Nous nous sommes séparés avec mon épouse en janvier 2004.
Après 7 ans de mariage, les disputes étaient fréquentes,
et pour tout dire nous ne supportions plus la vie en commun.
Je tiens cependant à signaler que nous avons partagé jusqu'à
la fin de notre relation une exaltante entente sexuelle
(pour les rares fois où nous ne nous disputions pas...)
Mon ex s'appelle Anne. C'est une femme pulpeuse de 37 ans,
petite, jolie avec un type que je pourrais qualifier de
« blonde méditerranéenne ». Elle a en effet une peau mate
et une flamboyante chevelure blonde bouclée, un nez un peu
busqué, et de jolis yeux expressifs. Elle est petite et
potelée. Lorsque nous étions ensemble elle passait son temps
à suivre d'inefficaces régimes que je lui déconseillais,
j'étais fan de ses rondeurs (comme souvent les hommes d'ailleurs).
En juillet je suis parti en vacances dans un hôtel en Crète.
Mon nouveau célibat m'a poussé pour faire des rencontres
à prendre ce genre de vacances où les rencontres sont faciles
et sans grandes conséquences sentimentales.
Les logements de l'hôtel étaient d'agréables petits pavillons,
regroupés par deux avec un petit jardin commun. J'ai vite
fait la connaissance de mon voisin, un Italien de mon âge,
Marco, qui profitait de ses vacances et de sa séduction
naturelle (c'est un beau garçon très brun, bien bâti) pour
multiplier les conquêtes. On est vite devenus copains. On
parlait un effroyable mélange d'anglais, de mauvais français
et de mauvais italien, et on se marrait bien. Je l'entendais
parfois par les minces cloisons de ma chambre ravir ses
compagnes d'une nuit ; et il m'arrivait de faire de même
(j'avais toutefois moins de succès que lui ; d'autre part
je gardais une certaine tristesse de ma séparation qui m'empêchait
de faire comme lui le séducteur tous les soirs dans les
boites où nous allions trainer ; soit celle de l'hôtel,
soit d'autres aux environs).
Après une semaine, un matin, au sortir du petit-déjeuner
Marco me dit que ce serait sympa d'assister aux arrivées
(les gens arrivaient massivement dans la journée du samedi).
Il ajouta en me faisant un clin d'œil : « perhaps news
girls this week !)
Nous allâmes donc boire un café au bar de l'hôtel en regardant
tous ces nouveaux arrivants harassés (voire parfois exaspérés
après une nuit de transferts, avions, re-transferts et attentes
diverses.)
Soudain mon cœur s'arrêta. Parmi les arrivants je
reconnus Anne, avec une de ses copines (Sandrine, qui m'avait
toujours exaspéré).Au moment où j'allais dire quelque chose,
Marco me pinça le bras : « Hey, look, the two girls, les
deux filles ! Troppo bella, the blond with the beautiful
big ass...)
J'étais rouge comme une écrevisse. La blonde avec un «
magnifique gros cul » c'était évidemment Anne. (entre parenthèses
je n'aimais pas le terme « big » pour « gros », je mis ce
choix de terme sur la méconnaissance de la langue anglaise
de Marco, son postérieur était certes généreux, mais harmonieux,
ce qui d'ailleurs fascinait visiblement Marco). En attendant,
j'étais consterné de voir débouler mon ex sur mon lieu de
vacances, voulant réfléchir, je prétextais un besoin urgent
et m'éclipsais vers ma chambre.
C'était évidemment un hasard, une pure coïncidence. Je
ne savais pas comment aborder la chose, et surtout pas devant
Marco, à qui je n'avais pas raconté ma récente séparation.
Je partis à la piscine... Et je croisais Anne avec ses
bagages et sa copine qui allaient vers leur chambre. Elles
furent aussi surprises que moi. Anne avait l'air furieuse.
Voyant arriver l'orage, Sandrine s'éclipsa pour nous laisser
parler.
« Comment se fait-il... » commença Anne. En voyant ma tête
déconfite elle comprit que je n'y étais pour rien et se
calma.
« Ecoute, tu prends des vacances, je prends des vacances
; faisons comme si on était des copains de Paris qui se
connaissent un peu. Ca nous facilitera la vie à tous les
deux. »
« D'accord, lui dis-je. Mais essayons de nous croiser le
moins possible, ça aussi ça sera plus facile... » Elle acquiesça
; je rejoignis Marco qui m'attendait à la piscine et qui
était tout surpris (et un peu émoustillé ?) à l'idée que
je connaisse les deux filles. Je lui expliquai donc que
c'étaient « de vagues copines de Paris » et on en resta
là.
Plus tard, alors que l'on se faisait dorer au soleil, nos
vîmes les filles arriver à la piscine. Marco me poussa du
coude. Il faut dire qu'elles étaient mignonnes en maillot,
et surtout Anne , appétissante avec son postérieur tout
dodu et ses seins généreux comprimés dans le maillot..
Je fis comme si de rien n'était, et fis mine de me rendormir.
Je surpris plus d'une fois le regard de Marco sur Anne ;
et il me sembla bien que mon ex-compagne jaugeait mon pote
derrière ses lunettes de soleil.
Deux jours passèrent. J'avais présenté mes « copines »
à Marco qui ne manquait pas une occasion de me faire une
remarque salace sur le physique d'Anne. Cela m'agaçait et
je ne pouvais pas lui dire pourquoi. Toutefois nous ne les
rencontrions pas souvent, l'hôtel étant grand il était possible
de ne pas se croiser trop souvent, à part au restaurant
où je pouvais juger de son bronzage grandissant. Avec son
type de peau elle était dorée par le soleil, et pour tout
dire très séduisante (en tout cas pour ceux qui aiment les
beautés callipyges).
Ce soir-là nous décidâmes Marco et moi d'aller dans la
discothèque de l'hôtel. J'avais marqué quelques points dans
une entreprise de séduction avec Laura, une touriste suisse
que je devais retrouver à la boîte, et Marco m'accompagna.
Vers 23h, alors que j'étais en pleine discussion avec Laura,
Anne et Sandrine firent leur entrée dans la boîte. Anne
me jeta un coup d'œil inquisiteur. Elle ne se faisait
visiblement aucun doute sur ce que j'entreprenais et je
me sentis un peu gêné. Elle était ravissante : maquillée,
ses beaux cheveux noués, une courte jupe mettant en valeur
ses jambes gainées de noir. Je me rappelais alors qu'elle
se mettait souvent des dim-up lorsqu'elle sortait et je
cessais de me poser la question lorsque je surpris le haut
nu de ses cuisses généreuses lorsqu'elle s'assit à quelques
tables de nous. La bretelle du soutien-gorge contenant sa
lourde poitrine dépassait de son haut et je fis un rude
effort pour me concentrer sur Laura.
Marco invitait à danser toutes les filles qu'il pouvait
et je ne me fis pas trop d'idées lorsque je le vis danser
avec Anne. Quand les slows arrivèrent j'invitai ma compagne.
Tout en dansant (un peu trop collé) je vis cependant que
Marco collait Anne, la faisait danser, boire et il lui chuchotait
à l'oreille ce qui la faisait rire. Puis il la laissa un
moment pour parler à un compatriote ce qui curieusement
me rassura.
Je quittai la boite avec Laura ; et tentai de la ramener
vers ma chambre. J'obtins un baiser passionné d'adolescente,
suivi d'une excuse à propos d'une « séparation récente qui
la poussait à ne pas s'engager trop vite » et elle partit
se coucher.
Je fis de même, un peu désappointé. Je sombrai vers 2 h
; et fus réveillé vers 3h par des rires. Mon coeur s'arrêta.
J'avais reconnu les voix d'Anne et de Marco. Je les entendis
rentrer ; elle avait la voix un peu éméchée. Puis rien pendant
un moment. Je me levai pour aller dans la salle de bain,
allumai la lumière quand j'entendis se rouvrir la porte
de mon voisin, puis on frappa doucement à ma porte. Etonné
j'allais ouvrir. « Scusi, mon ami, I saw the light and I
know you were not sleeping. I have a little problem, you
can help me ? »
Je le fis rentrer. Il chuchota, l'air ravi : « The beautiful
girl with the beautiful big ass, she's in my room ! But
I've just
see I have no condoms... Can you help me ? You have some
? »
Alors là j'étais éberlué. Il venait me demander de lui
donner des préservatifs pour s'envoyer en l'air avec Anne.
Et je ne pouvais rien dire, il m'avait « dépanné » du même
service cinq jours auparavant. J'ouvrai mécaniquement le
tiroir de la table de nuit.Au moment où j'allais lui tendre
la boite il me désigna le tube de lubrifiant qui était à
côté (j'en ai toujours avec moi, certaines femmes ne supportant
pas le caoutchouc) avec un clin d'œil : « And this
also, my friend, if you don't need it tonight ». Je lui
tendis les deux objets. Il me remercia chaleureusement et
me souhaita bonne nuit...
Je me recouchai en essayant de ne pas imaginer ce qui allait
se passer à côté. J'étais partagé entre la raison qui me
disait que c'était normal (nous étions séparés !), un zeste
de jalousie (fort mal placé avec ce que j'avais tenté avec
Laura ) et une étonnante excitation. Je me rendis vite compte
que je ne pouvais pas dormir du tout. Je sortis dans le
jardin, et poussé par un mauvais instinct je me rapprochais
en catimini de la porte-fenêtre de Marco, qu'il gardait
souvent entrouverte (il détestait la clim).
Il avait laissé la lumière de sa salle de bains allumée
ce qui laissait une très douce lueur dans sa chambre. Je
me rendis compte que ses rideaux ne m'empêchaient pas de
voir à l'intérieur, me rapprochai encore et là, je les vis.
Ils s'embrassaient passionnément sur le lit. J'étais à même
pas trois mètres d'eux et je pouvais les observer (et les
entendre!) tranquillement sans être vu. Il y avait devant
moi un petit buisson qui devenait mon allié dans l'obscurité...
Je n'ai pas une mentalité de voyeur mais je ne résistais
pas au spectacle. Elle avait dénoué ses cheveux et l'embrassait
avec ardeur. Je me dis qu'elle n'avait peut-être pas fait
l'amour depuis fort longtemps. Elle s'arracha de sa bouche
quand il commença à lui pétrir les seins et gémit « ooooh...
» Sa main à elle malaxa son entrejambe à lui, elle cherchait
à le masturber au travers du jean's. Elle se leva, fit disparaître
son haut, ses chaussures et sa jupe et apparut en string,
soutien-gorge et dim-up (comme quoi je ne m'étais pas trompé...)
Tout en la caressant il se déshabilla entièrement, puis
fit glissa au sol pour lui embrasser l'entrejambe. Il fit
glisser au sol le petit string. Elle voulut enlever les
dim-up mais il lui dit « no, no please, it's beautiful,
keep it... » Elle sourit et marmonna en français « toi,
tu es un coquin... » Il se releva, recula un peu et l'admira
: « you're so beautiful » Elle minauda un peu et dit « oh
no, I'm too fat ». Elle était de fait un peu grassouillette,
mais admirablement et juste où il faut, pleine de sensualité
: des gros seins lourds en poire, des hanches un peu larges
mais la taille fine et cambrée, et des fesses dodues à souhait.
Et je savais à quel point sa peau est douce... « You're
a strong man » dit-elle en observant d'un air appréciateur
son érection. Il avait un sexe large et long et, toujours
debout, elle lui roula une pelle enamourée en le branlant
lentement. Il lui caressait le dos, les fesses avec passion,
et elle le poussa à s'asseoir au bord du lit. Elle s'agenouilla,
ouvrit la bouche, et lentement, très lentement, engouffra
son sexe entre ses lèvres pulpeuses. Il poussa un râle de
satisfaction, et lui caressa les pointes de ses seins que
je voyais érigées sous la fine dentelle du soutien-gorge.
Elle commença à le sucer avec passion (et je savais à quel
point elle pratiquait bien cet art !). Il gardait les yeux
fermés et ne vis pas ce que je vis : sa main droite à elle
disparut entre ses cuisses ; et tout en pratiquant sa fellation
elle se masturbait avec délice. J'avais une vision incroyable
d'où j'étais : je voyais Marco, assis sur le lit, en train
de se faire tailler une pipe par mon ex-femme que j'observais
de dos, son large postérieur s'agitant sensuellement pendant
qu'elle se masturbait... Je m'étais couché en gardant mon
short sur moi et je ne résistais pas à me caresser machinalement
au travers de la toile... Marco gémissait sous la caresse
buccale, il lui empaumait les seins tout en marmonnant des
phrases en italien que je ne compris pas. Soudain, il s'arc-bouta
et jouit longuement ; je vis à l'accélération subite des
doigts d'Anne et surtout à la chair de poule qui recouvrit
ses fesses qu'elle aussi jouissait ; elle le maintint dans
sa bouche et avala tout ; elle ne fit pas part de son orgasme
autrement que par des « mmh, mmh » tant elle tenait à le
sucer jusqu'au bout. La scène était tellement érotique que
je me rendis compte que j'avais joui en même temps qu'eux,
en me touchant... Lorsqu'il eut fini de jouir, elle se dégagea
lentement, le regarda avec un sourire ironique et lui dit
: « So quick ? and me ? I didn't come... »
Quelle menteuse ! bien sûr qu'elle avait joui ! Je me sentis
curieusement rasséréné du fait qu'elle lui reproche sa jouissance
rapide. Cela en faisait moins un Superman... Mais il se
dressa, son sexe un peu débandé et dit en souriant: « No
problem, it's your turn now ». Il l'allongea sur le lit,
et lui écarta doucement les jambes. Il se mit à lui lécher
fort délicatement le sexe en la tenant par les fesses qu'il
malaxait voluptueusement. Elle se mit à gémir, à haleter,
puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge
pour libérer sa poitrine, s'humecta les doigts et se toucha
le bout des seins. Je l'avais vue pratiquer ce type de caresses
souvent par le passé mais là la vision était fort différente
puisque ce n'était pas moi qui étais en train de la lécher...
Je suivais sur son visage la montée de son plaisir, elle
s'agitait de plus en plus sous la langue de Marco ; elle
prit la chevelure de son amant à pleine main et lui appuya
sur la tête en haletant ; elle se tendit en arc de cercle
en criant pendant qu'elle jouissait pour la deuxième fois.
Marco se redressa, son sexe avait repris une forme plus
honorable (le mien aussi). Anne, insatiable (je savais qu'elle
pouvait avoir plusieurs orgasmes consécutifs) se pencha
sur lui pour le sucer encore un peu, jusqu'à obtenir une
rigidité absolue... Il tendit la main et attrapa un préservatif
qu'il déroula sur sa verge tendue et roula sur le dos...
Anne se mit sur lui, guida sa verge et lentement, très lentement,
se l'introduisit en elle. Elle poussa un râle de satisfaction.
Elle était tellement inondée que j'entendais le doux clapotis
de leur accouplement. Il la maintenait soudée à lui en lui
pétrissant les fesses pendant qu'elle s'agitait en gémissant,
ses gros seins totalement échappés du soutien-gorge ballottant
au rythme de leur coït.
Il se dégagea doucement, la coucha sur le ventre et la
pénétra ainsi. Je savais qu'elle adorait être prise comme
ça et elle répondit à ses coup de reins par un roulage des
fesses des plus érotiques. Tout en lui faisant l'amour il
se redressa et caressa ses fesses. Il semblait obnubilé
par cette partie de son anatomie. Il glissait de temps à
autres son pouce dans le sillon fessier d'Anne qui ne protesta
pas (au contraire si j'en jugeais par ses gémissements).
Il humecta son majeur et lui pénétra doucement la rosette.
Elle cria « oui, oui » et eut un troisième orgasme. Marco,
rendu endurant du fait de son premier orgasme la laissa
reprendre ses esprits et, toujours en elle, tendit la main
pour attraper le flacon de lubrifiant. Je voyais bien où
il voulait en venir. Je m'attendais à un refus d'Anne. Nous
avions pratiqué la sodomie du temps de notre mariage, mais
cela n'arrivait que certaines fois lorsqu'elle était extrêmement
excitée. D'autre part elle m'avait dit qu'avant notre rencontre
cela lui était déjà arrivé mais qu'elle ne réservait ce
plaisir qu'elle jugeait très particulier qu'à des hommes
qu'elle connaissait déjà bien et avec qui elle avait déjà
eu plusieurs semaines de relations.
Eh bien je me trompais. Visiblement elle en avait envie
car lorsqu'elle sentit le produit couler sur son orifice
anal, après un léger sursaut elle fit juste entendre un
« mmh » qui semblait me donner tort.
« You like it ? » demanda-t-il.
« Yes, but do it very slowly, carefully, please »
Il enfonça tout doucement son doigt dans son petit œillet
lubrifié. Elle roulait des fesses, tendant sa croupe vers
le doigt qui lui fouillait l'arrière train, et je sus que
Marco n'allait pas tenir longtemps. Il se dégagea de son
sexe et approcha son pénis de sa « petite porte d'entrée
secrète » (expression d'Anne) Il lui souffla à l'oreille
: « you make me go inside you, I don't want to hurt you,
you decide »
Mauvais anglais, mais sens limpide. Anne d'ailleurs avait
fort bien compris et je sentis me monter l'adrénaline lorsque
je la vis prendre le sexe de son amant et le positionner
entre ses fesses charnues. Elle poussait en arrière, gémissait
quand le gland pénétrait un peu son intimité anale. Elle
tourna la tête vers Marco et lui dit : « Please, more of
this (elle désigna le lubrifiant). More, more, I want to
get you all... »
Il ne se le fit pas dire deux fois, et pour le coup se
recouvrit le sexe d'une généreuse couche de lubrifiant,
ainsi que la « petite porte secrète » de mon ex. Ainsi préparée,
elle s'introduisit sans difficulté le sexe de Marco dans
ses reins. Lorsqu'il fut entré en entier elle se mit carrément
à crier son plaisir. « Don't move, don't move, wait... »
Elle se redressa sur les bras. Il commença à faire des va-et-vient
dans ses fesses, d'abord doucement, puis de plus en plus
vite. Elle était comme une femelle en chaleur, râlant, gémissant,
hoquetant. Ses fesses tremblaient un peu sous les assauts
de son mâle, ses gros seins tendus par le plaisir ballottaient.
Mon sexe à moi avait la rigidité d'une statue et je me caressais
sans honte, les yeux rivés sur le spectacle de mon ex sodomisée.
Elle prit le coin du drap et commença à se masturber avec
ardeur. Marco, abouté à ses fesses, accéléra ses mouvements
face à ce spectacle charmant... Elle dit (en français, ce
qui prouve à quel point elle n'avait plus sa tête à elle,
en route qu'elle était pour le 7ème ciel...) : « oui, oui,
mon chéri, viens dans mes fesses, jouis, jouis » Accroché
à ses larges hanches, il se vida en elle, en criant pendant
qu'elle jouissait comme une folle, je vis le morceau de
drap s'agiter à toute vitesse entre ses cuisses charnues,
et je dois avouer que moi aussi j'arrosai la végétation
autour de moi de ma semence...
Apparemment repus, ils s'endormirent l'un sur l'autre.
J'allais me coucher, plein de pensées fort confuses. J'avais
à la fois honte de m'être masturbé comme un adolescent en
les matant ; j'avais un curieux sentiment de jalousie et
je me posais des questions sur le désir qu'elle me procurait
maintenant. Heureusement qu'elle ne savait pas que j'avais
la chambre contiguë à celle de Marco...
Vers 7h 30, j'entendis par la cloison des bruits sourds,
des râles. Apparemment ils avaient remis ça. Je tentai de
me rendormir, mais, exaspéré je me levai et allai prendre
mon petit-déjeuner. Lorsque je revins, au moment où j'ouvris
ma porte, je tombais nez à nez avec Anne qui sortait. Mon
cœur battait la chamade. « Ah, c'est ta chambre, ici
? » dit-elle un peu sottement. « Remarque, j'aurais pu m'en
douter, comme tu es copain avec Marco... »
Elle était rouge de confusion, et moi aussi. Je luttai
contre une érection envahissante car me revenait ses ébats
de la nuit. Elle le vit, et, le regard trouble, me demanda
d'une voix douce : « Tu nous as entendus ? »
« Ben... oui. » Je ne pouvais évidemment pas lui dire que
non seulement je les avais entendus (elle savait qu'ils
avaient été bruyants) mais que je les avais matés copieusement...
Elle me sourit : « On dirait que ça t'a fait de l'effet.
» Son regard désignait la bosse de mon short que je n'arrivais
pas à dissimuler. « Et toi, tu t'amuses bien ici aussi...
» Elle faisait allusion à Laura, et je ne cherchais pas
à la détromper. D'autant que depuis notre séparation je
n'avais pas vécu comme un saint, loin s'en faut.
« Tu sais, depuis notre séparation je n'avais pas fait
l'amour. Et là, avec les vacances, c'est comme un déclic,
j'en ai follement besoin »
« C'est ton problème » bougonnai-je, « tu fais ce que tu
veux »
Elle me regarda avec douceur. « Ca peut être le tien, si
tu le souhaites. Il y a des choses sur lesquelles on fantasmait
tous les deux et que l'on n'a jamais tentées... »
Là elle me sciait. On avait parfois parlé, dans les jeux
de l'amour de parties avec un troisième partenaire, mais
j'avais toujours pensé que c'était un jeu de pensée pour
elle, un fantasme uniquement...
« Et puis... Tu me manques » dit-elle en me poussant dans
ma chambre. Bon sang ! Elle ne doutait de rien ! Cependant
lorsqu'elle me fit tomber sur le lit et qu'elle m'arracha
mon short, mon sexe érigé ne pouvait faire mentir le désir
que j'avais d'elle.
« Je te vais te soulager, mon pauvre chéri ; dit-elle suavement.
Et puis je vais parler à Marco. Je suis sûr qu'il est partageur
et qu'il aimerait bien que l'on joue tous les trois. Je
vais organiser ça pour ce soir. Tu veux ? »
En me parlant, elle se mit à me masturber avec ardeur.
Je voulus lui toucher les seins, elle me fit « tu-tut, ce
soir peut-être si tu es sage » Je déclarai assez vite forfait,
et éjaculai à longs traits brûlants.
« Ne t'inquiètes pas, il dort encore » me dit-elle. « A
ce soir, alors »
Je la regardai s'éloigner, songeur.
A midi je retrouvai Marco, dithyrambique sur sa conquête
de la nuit. « She loves to take it in her ass, my friend,
it's incredible, she loves sex very very much ! »
Elle vint le rejoindre au dessert et lui parla à l'oreille
un long moment. Je m'éloignai prendre un café. Il vint me
voir, hilare : « She thinks you're cute, she want to try
with you and me together... »
Ca prenait des proportions des plus étranges. Voilà qu'un
copain de vacances, amant de mon ex, me proposait une partie
à trois avec elle...
Nous allâmes nous reposer à la piscine. Anne apparut, sanglée
dans un maillot de bain deux-pièces qui moulait étroitement
son anatomie. Elle vint nous voir, et nous dit : « Il fait
un peu chaud pour rester au bord de la piscine, moi j'irai
bien me reposer au frais.. » « Give me your key, Marco,
please... »
Elle me fit un petit clin d'œil. « Rejoignez-moi dans
dix minutes... » Je ne résistai pas à lui balancer un :
« je croyais que tu pouvais attendre jusqu'à ce soir » qui
lui fit hausser les épaules. Elle s'en alla, ses hanches
ondulant de manière sensuelle. Marco me dit : « I said it
to you, she's incredible ! »
Difficile de lui dire que j'avais profité de ses charmes
bien avant lui...
Nous allâmes la rejoindre sans mot dire. Lorsque nous pénétrâmes
dans la chambre, l'ambiance était électrique, d'un érotisme
intense. Elle roula une pelle enflammée à Marco en me tournant
le dos, je lui pétris les fesses et elle m'attrapa le sexe.
Je lui dégrafai le haut de son maillot, pendant que Marco
lui faisait glisser le bas le long de ses jambes. Je lui
empaumai ses gros seins et elle gémit quand Marco agenouillé
commença à lui lécher le sexe. Nous retrouvâmes nus comme
des vers tous les trois, je m'assis sur le lit. Elle se
mit à plat ventre en face de moi pendant que Marco enfilait
un préservatif. Elle m'attrapa le sexe et le prit en bouche
pendant que derrière elle, Marco, la pénétrait. J'étais
fasciné, je voyais sa bouche pulpeuse sur moi pendant que
son arrière-train tressautait sous l'assaut de Marco.
Après quelques délicieuses minutes nous échangeâmes la
position et je ne résistais pas à l'envie que j'avais de
la sodomiser. Pendant qu'elle avait la hampe de Marco dans
la bouche, j'allais et venais dans ses reins avec facilité
(la boite magique de lubrifiant ayant été mise à contribution
une fois de plus...) Elle ôta un instant le sexe de sa bouche
et me dit d'une toute petite voix : « touche mon clitoris,
je vais jouir » Je lui massai délicatement son petit bourgeon
et elle fut agitée de spasmes violents ; Marco se déversa
dans sa bouche et je me répandis à grands jets dans ses
reins. Elle se dégagea et dit : « Ce soir, j'aimerais essayer
avec vous deux en même temps... Là, il faut vraiment que
j'aille dormir, je suis épuisée».
Le soir nous nous retrouvâmes, toujours dans la chambre
de Marco (la mienne ou la sienne semblant être tabous, d'un
tacite accord). Elle nous avait fait la totale : maquillée,
de grands anneaux de gitanes aux oreilles, et le retour
des dim-up...
Elle voulut d'abord se faire sodomiser par Marco pendant
que je les regardais (fantasme ?) Puis elle s'embrocha sur
lui, se tourna vers moi et me dit : « doucement, tout doucement
» Je la sodomisai lentement. Enfoncé au fond de ses fesses
majestueuses je pouvais sentir Marco ! Ce fut elle qui commença
à bouger. Elle était échevelée, marmonnait des mots sans
sens. Puis elle annonça qu'elle allait jouir, elle me demanda
de lui toucher les seins. « Allez-y mes chéris, jouissez
tous les deux en moi, j'aime, j'aime »
Nous eûmes, tous les trois en même temps, un orgasme foudroyant.
Nous continuâmes nos activités à trois jusqu'à la fin de
notre séjour, et je redécouvris ma femme, et elle me redécouvrit.
Depuis que nous sommes rentrés, nous avons arrêté la procédure
de divorce. Nous habitons encore chacun de notre côté ;
mais nous nous voyons presque tous les soirs. Il n'est plus
question de « parties à trois », en tout cas nous n'en avons
jamais re-émis le désir. Ce qui est sûr, c'est que ces étonnantes
expériences sexuelles nous ont réconciliés...
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