TITRE : Voisine Coquine
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur
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Pour une fois qu'il m'arrive quelque chose, je ne peux pas le garder pour moi. J'ai dix-neuf ans et j'habite encore chez mes parents. Nous vivons tous les trois dans un pavillon, coincé dans un petit lotissement. Les terrains sont vraiment minuscules et les murs des bâtiments se trouvent seulement à quelques mètres les uns des autres. Je suis étudiant et durant les dernières vacances j'étais bloqué à la maison car je m'étais blessé assez sérieusement après une chute en snowboard. J'avais la jambe plâtrée et je passais le plus clair de mon temps devant la télé, assis sur le canapé du salon. Heureusement, avec le satellite je pouvais choisir mes programmes et les journées ne me paraissaient pas trop longues. Je jouais aussi à la PS2 et je regardais des DVD. Mais un après-midi, j'au eu droit à un spectacle beaucoup plus intéressant.

Dans le séjour, il y a une porte-fenêtre qui donne sur le jardin. Jusqu'en 2003, il y avait une belle rangée d'ifs qui clôturait notre terrain. Mais cette année là, la canicule a été fatale aux arbres et il a fallu les arracher au cours de l'hiver. Mon père a replanté des arbustes plus résistants, mais ils sont encore petits et ne nous protègent plus du tout des regards indiscrets. Il faudra encore attendre quelques années avant qu'ils n'atteignent une taille raisonnable. Le résultat, pour le moment, c'est qu'il n'y a plus d'obstacle entre notre maison et celle des voisins.

La famille qui habite à côté de nous est composée de trois personnes également. Un couple d'une cinquantaine d'années héberge sa fille déjà assez âgée. A mon avis, elle n'a pas loin de trente ans. Je ne la connais pas très bien car elle est revenue vivre avec ses parents il y a peu. J'ai cru comprendre que c'était suite à son divorce d'avec son mari. C'est une jeune femme relativement mignonne, mais sans plus. Elle n'a pas de charme particulier mais me paraît bien foutue. Nous n'avons jamais parlé ensemble et nos échanges se sont limités à l'une ou l'autre formule de politesse.

Donc, cet après-midi là, j'étais occupé à regarder la télévision. Ma mère venait de partir pour faire des courses. Jusque là, j'avais du endurer "Les feux de l'amour " et les aventures répétitives des familles Newman et Abott. J'étais content de pouvoir passer à autre chose et je me préparais à visionner le dernier DVD d'Iron Maiden tranquillement. J'étais confortablement installé sur mon canapé de relaxation, la jambe en l'air et un verre de bière à mes côtés. L'après-midi se présentait sous les meilleurs auspices.

Pendant que je mettais le lecteur de DVD en marche avec ma télécommande, quelque chose me gênait au coin de l'œil, une sorte de mouvement désagréable. C'était derrière le voilage de la porte-fenêtre, distant de quelques dizaines de centimètres seulement de mon siège. J'ai tourné la tête et me suis penché vers le rideau. J'ai écarté le tissu et jeté un coup d'œil à travers la vitre. C'était effectivement de l'extérieur que venait le mouvement gênant. Ou plutôt, c'était dans le salon de mes voisins. Je me penchai un peu plus pour en avoir le cœur net. Là, je découvris que ma voisine, la fille de mes voisins s'agitait bizarrement sur son fauteuil. En fait, elle était occupée à se toucher entre les cuisses. Je n'en croyais pas mes yeux : la jeune femme se branlait dans son salon sans se douter que j'étais là, à quelques pas et que je pouvais l'observer presque aussi distinctement que si j'avais été à ses côtés. Vous imaginez bien que je ne pouvais pas rester insensible à cela et que mon DVD de heavy-métal me paraissait bien fade en comparaison avec le spectacle qui s'annonçait. Je me décidai donc à rester les yeux rivés à la fenêtre, à peine protégé par le voilage blanc. Je pris tout de même des précautions pour ne pas être repéré trop facilement. Je m'en serais voulu de briser le charme et d'interrompre la séance de masturbation de ma voisine.

Bien calé à la lisière du rideau, j'observais donc avec intérêt ce qui se passait dans le séjour de la villa voisine. La jeune femme avait posé l'une de ses jambes sur un accoudoir du fauteuil et l'autre était à plat sur le siège. Je n'arrivais pas bien à distinguer ce qu'elle faisait, mais je crois bien qu'elle tenait un livre d'une main. L'autre était plantée entre ses cuisses et bougeait lentement, mais régulièrement. De toute façon, il ne pouvait pas y avoir de doute : elle était complètement nue sur son fauteuil. Elle avait chaussé des lunettes et ça faisait un peu incongru, mais ça lui donnait un certain charme.

Elle posa le livre un instant et laissa aller sa tête en arrière, sur le dossier. A ce moment là, sa main s'agita plus vigoureusement. Elle devait se frotter la chatte avec force et détermination. En fait, elle alternait les moments d'intense masturbation avec des passages beaucoup plus cool. Elle reprenait alors son livre et lisait une ou deux pages. J'avais l'impression qu'elle était partie pour faire durer son plaisir, que c'était ce qu'elle recherchait. De plus, j'avais de la chance. Elle prenait vraiment son pied quand elle accélérait la cadence et c'est à ces moments là que je voyais le mieux son visage. J'ai toujours trouvé très excitant de regarder le visage des filles quand elles ont du plaisir. Même quand je mate des photos de cul sur le web, j'aime bien celles où l'on peut voir correctement l'extase sur la figure des modèles. Ca m'excite bien plus que des gros plans de pénétrations anales ou vaginales. Là, j'étais comblé. D'ailleurs, ma bite me le faisait savoir. Elle se rappelait à mon bon souvenir dans mon froc. Je bandais dur et je me suis trouvé dans l'obligation, bien agréable au demeurant, de me satisfaire. J'ai pris soin de rester discret derrière la cachette du rideau et j'ai sorti ma pine de mon survêtement.

J'ai commencé à me masturber en continuant de regarder la voisine. Moi aussi, je voulais faire durer la séance. Je calquais donc mes caresses sur le rythme qu'elle adoptait, tantôt lent, tantôt plus rapide. J'aurai bien voulu jouir avec elle, mais pour cela il fallait que je sois patient et observateur.

Sur son fauteuil, la jeune femme était en phase de branlette soutenue. Elle avait remonté sa seconde jambe sur l'accoudoir du fauteuil et je pouvais mieux voir son sexe. Elle avait une petite motte bien rebondie et visiblement bien ouverte. Je pouvais bien distinguer ses formes car elle avait coupé ses poils très courts. Je devais quand même faire un petit effort d'imagination pour me convaincre que j'apercevais la mouille qui lui coulait sur les doigts. Mais ce n'était pas grave, ce qui comptait vraiment, c'était le caractère très évocateur de la position et des gestes de la voisine. Ce que je ne voyais pas bien, mon cerveau se chargeait de le créer et, surtout, de le transmettre à ma queue. J'étais très dur et sensible. Ma main allait et venait sur ma tige toute seule et je me touchais le gland pour me faire du bien. C'était la première fois que je jouais au voyeur, mais je me promettais déjà de renouveler cette expérience le plus souvent possible à l'avenir, pour peu que la jeune fille des voisins ait la bonne idée de réitérer ce genre de spectacle fréquemment !

Pour le moment, elle était très occupée à se rentrer deux doigts dans la foune. Je pouvais les voir entrer et sortir du trou. Elle les sortait entièrement et les replongeait aussi sec (façon de parler, en fait, ils devaient être trempés). Parfois, elle était si brusque qu'on aurait dit qu'elle se donnait un coup de couteau dans la chatte, à d'autres moments, elle serrait toute sa vulve dans la main et la caressait avec volupté. J'imagine que c'était surtout pour cajoler son petit clito. Je ne le voyais pas distinctement de là où je me trouvais, mais je me rendais bien compte que ses caresses lui donnaient énormément de plaisir. En fait, tout son visage respirait le bonheur. Elle laissait aller sa tête en arrière et, parfois, sa langue sortait d'entre ses lèvres. Elle se la passait sur tout le tour de sa bouche. En même temps, sa main demeurée libre se portait sur ses seins et elle les massait, passant de l'un à l'autre au gré de ses envies. Elle les prenait à la base et tirait dessus, comme pour les étirer, d'abord avec la paume, puis, quand elle arrivait au bout, avec les doigts. C'était beau à regarder.

Je commençai à avoir du mal à me retenir de jouir. Déjà une fois, j'avais du m'interrompre de caresser ma queue pour ne pas juter. J'avais serré bien fort la base du manche pour retarder l'éjaculation. Puis, un peu calmé, j'avais repris ma masturbation. Mais maintenant, la tension devenait trop vive et, surtout, j'avais envie de gicler. Quand ma voisine se mit à crier dans son salon, je me lâchai. J'étais heureux de jouir et de partager avec elle ce pur moment de bonheur, même si elle ne le savait pas. J'ai fermé les yeux et savouré l'explosion de mes couilles.

Je pensais que les choses en resteraient là pour aujourd'hui et je m'apprêtais à passer le reste de mon après-midi d'une manière beaucoup moins excitante. Mais quand j'ai jeté un dernier coup d'œil vers la maison d'à côté, j'ai vite compris qu'il n'en était rien et que j'aurai droit à un petit bonus.

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