Je m'apprêtais à quitter mon poste d'observation,
bien lessivé par le petit spectacle que venait de m'offrir
ma voisine, quand elle se leva du siège qu'elle occupait
dans son salon. Elle avait mis quelques dizaines de secondes
à se remettre de sa jouissance, tout comme moi. Elle
fit quelques pas en direction d'un meuble.
C'était vraiment une fille bien foutue. J'ai déjà eu l'occasion
de vous dire que son visage n'avait pas de charme particulier, mais là,
je pouvais voir son corps entièrement nu et il faut bien reconnaître
que cela rattrapait tout le reste. Il existe pas mal de femmes au visage banal
qui se révèlent en fait très excitantes quand on peut admirer
leur corps dans toute leur plénitude. La voisine en faisait partie. Elle
n'était pas très fine, mais pour moi qui aime les femmes aux formes
épanouies, c'était parfait. Elle avait de superbes seins, pas
très gros, mais bien arrondis et qui me paraissaient très fermes.
La séance de masturbation qu'elle venait de s'accorder avait contribué
à les raffermir encore. Ils pointaient outrageusement. Elle avait un
petit ventre rebondi, mais à peine, comme je les apprécie. Surtout,
son derrière était phénoménal : de bonnes fesses
bien hautes et rondes. Rien à voir avec les culs trop plats qu'on peut
voir s'exhiber fièrement (mais y-a-t-il de quoi ?) sur les plages ou
à la piscine en été. Non, le cul de la voisine collait
parfaitement avec le reste de son anatomie. Le tout formant un ensemble harmonieux
et presque bouleversant. C'était la femme gironde dans toute sa splendeur.
Si vous ajoutez à cela la paire de lunettes qu'elle n'avait toujours
pas quittée, vous imaginez tout à fait ce que j'aime chez les
femmes et que je pouvais observer avec plaisir à cet instant.
Elle se dirigea donc vers un meuble qui se trouvait tout au fond de la pièce.
J'avais un peu de mal à voir distinctement cette partie du salon. Je
devinais que la voisine ouvrait une porte ou un tiroir pour y prendre quelque
chose. Elle s'était accroupie et j'appréciais la position excitante
qu'elle avait adoptée. J'aurais aimé être avec elle pour
pouvoir venir lui glisser la main entre les jambes et lui caresser la fente,
légèrement ouverte par l'écartement de ses genoux. Je lui
aurai massé le sexe, touché le périnée et peut-être
même passé mes doigts sur son petit trou du cul. J'étais
déjà en train de m'exciter à nouveau, rien qu'en imaginant
les délices que je pourrais lui faire subir. Malheureusement, je devais
me contenter de regarder.
Après quelques secondes, elle se releva et retourna vers le fauteuil
qu'elle occupait auparavant. Elle tenait quelque chose en main. J'ai d'abord
eu du mal à voir de quoi il s'agissait, mais quand elle fut arrivée
assez près de la fenêtre, je compris qu'elle n'allait pas se contenter
d'un seul orgasme pour tout l'après-midi. Cela devenait fort intéressant.
L'objet en question était un godemichet de bonne taille. Je ne pouvais
pas en voir les détails, mais ce dont j'étais certain, c'était
qu'il avait un format tout à fait impressionnant. Il devait faire au
moins vingt-cinq centimètres, mais surtout, son diamètre était
plus qu'honorable. Je regrettais un peu de ne pas pouvoir mieux le contempler
pour en saisir toutes les dimensions et tous les détails.
La jeune femme reprit sa place sur le fauteuil. Comme tout à l'heure,
lorsqu'elle se tripotait la chatte avec les doigts, elle écarta ses cuisses
et vint poser ses jambes sur les accoudoirs. Elle se saisit à nouveau
du livre qu'elle lisait et le posa à côté d'elle. Tout en
lisant, je vis qu'elle se passait le bout du gode sur la fente. Elle le tenait
du bout des doigts et semblait le faire glisser sur son sillon sans réelle
motivation. Pourtant, de temps en temps, elle paraissait se laisser aller. Sans
doute un passage plus cru ou une scène plus chaude de son livre lui donnait-ils
l'envie de mieux se donner du plaisir. Je voyais qu'elle insistait sur le sommet
de sa vulve et je me demandais si, tout compte fait, le gode n'était
pas, aussi, un vibromasseur. Elle se l'appliquait sur le clitoris et effectuait
de petits mouvements circulaires sur toute la zone extrêmement érogène
qui l'entoure. D'où j'étais je ne pouvais bien sûr ni voir
ni entendre l'objet vibrer, mais j'en étais convaincu, elle se faisait
du bien avec les vibrations de la bite. D'ailleurs, il lui arrivait de se la
passer sur le bout des seins et je voyais bien que ça lui donnait des
frissons.
De mon côté, j'avais, sans m'en rendre compte, repris ma queue
en main. Je me branlais en observant la vicieuse qui se touchait sans savoir
qu'un jeune voyeur la regardait faire. J'étais très excité
par le jeu indécent de la voisine. Mais déjà, dans ma tête,
je me prenais à espérer pouvoir bientôt faire plus ample
connaissance avec elle. Visiblement, elle aimait le sexe et ne se privait pas
de pratiquer l'onanisme pour remédier à l'absence de mâle
disponible dans sa vie. J'avais envie de lui crier que j'étais là,
prêt à remplacer avantageusement le pénis artificiel dont
elle se contentait. Malheureusement, avec ma jambe dans le plâtre, je
ne risquais pas de faire des étincelles. Je m'en serai aussi voulu de
briser le charme de la situation. Mais je me promettais déjà de
l'aborder d'une manière ou d'une autre très prochainement. Pour
le moment, je lui étais reconnaissant de m'offrir le moyen d'occuper
agréablement mon après-midi.
Le gode était maintenant entré dans sa vulve. Elle avait écarté
de deux doigts les grosses lèvres de son sexe et forcé le passage
avec le nud. Avant cela, elle l'avait un peu sucé. Sa salive et
la mouille qui inondait son con avaient beaucoup aidé à ce que
la pénétration se fasse en douceur. Elle devait avoir l'habitude
de s'enfoncer des gros calibres dans la chatte car le vibro était entré
sans difficulté particulière. Elle commença à le
faire lentement aller et venir. Je voyais à chaque fois le manche qui
coulissait entre ses cuisses. Elle arrêtait de le sortir quand il était
presque dehors. Seul le gland restait à l'intérieur de son sexe.
Elle avait de nouveau lâché son bouquin cochon, qui était
tombé à terre, au pied du fauteuil. Elle s'était tournée
et avait les deux jambes sur le même accoudoir, face à moi. Elle
avait complètement occulté le fait qu'elle se trouvait face à
la fenêtre et je pouvais voir très nettement l'engin qui allait
et venait dans son trou. Ses grandes lèvres étaient distendues
sur le pieu de plastique rose qui la bourrait. Plus haut, elle se tirait à
nouveau sur les seins. Elle avait même pris l'un de ses tétons
magnifiques dans la bouche. Je pouvais voir sa langue et ses babines qui venaient
en lécher et en sucer le bout. Puis, elle changea de mamelle et prodigua
à la tétine le même traitement impudique. Inutile de vous
dire comme cela me rendait fou. Je m'astiquais le manche comme jamais et je
devais me forcer à ne pas aller trop vite là où mon désir
voulait m'emmener. Je voulais encore la voir se faire du bien et ne surtout
pas rater le moment où elle jouirait pour la seconde fois.
Bien m'en a prit ! La voisine devenait comme folle. Elle parlait toute seule.
Je ne pouvais pas l'entendre, mais je le voyais sur ses lèvres. Elle
devait se dire des cochonneries pour s'exciter encore plus. Ou alors, elle parlait
à son gode. Je l'imaginais bien : " Vas-y gros salaud, bourre-moi
à fond ! Nique-moi bien ! " ou encore " Ah, je suis ta pute,
remplis-moi la chatte et tète-moi les nichons ! " Qu'est-ce que
je n'aurais pas donné pour me trouver entre ses jambes et lui fourrer
ma queue dans la connasse ! Je suis sûr qu'elle y aurait trouvé
son compte autant que moi.
Maintenant, elle était agenouillée par terre, au pied du fauteuil.
Son buste et sa tête reposaient sur le siège et je pouvais admirer
son cul fantastique en gros plan. Ses fesses étaient vraiment superbes.
Elle se passait le bout du gode dans la raie et venait le mettre entre ses cuisses.
Elle écartait les jambes et s'ouvrait bien. Subitement, elle fit entrer
le gros gland déjà tout mouillé dans sa chatte. Je voyais
bien ses grandes lèvres qui pendouillaient de part et d'autre du godemichet.
Elle avait un beau sexe assez développé et charnu. Sa main s'agitait
devant son cul pour faire entrer et sortir le manche de plastique dans son ventre.
En même temps, elle tortillait les fesses, comme pour mieux s'empaler
sur l'objet vicieux qui lui perforait le sexe.
J'accélérai le rythme de ma masturbation pour me caler sur elle.
Ma main s'agitait frénétiquement sur mon mandrin et j'étais
prêt à jouir. Il me devenait impossible de retenir le foutre qui
bouillonnait dans mes couilles. Je fus délivré quand la voisine
parvint enfin à l'orgasme. Elle sautilla un moment sur ses genoux, devant
le fauteuil, avant de s'effondrer complètement sur le tapis. Quand j'ai
ouvert les yeux après avoir libéré ma semence entre mes
doigts, j'ai juste pu voir le gode qui ressortait de sa chatte et tombait à
ses côtés.
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