TITRE : Voisine Coquine (2)
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Je m'apprêtais à quitter mon poste d'observation, bien lessivé par le petit spectacle que venait de m'offrir ma voisine, quand elle se leva du siège qu'elle occupait dans son salon. Elle avait mis quelques dizaines de secondes à se remettre de sa jouissance, tout comme moi. Elle fit quelques pas en direction d'un meuble.

C'était vraiment une fille bien foutue. J'ai déjà eu l'occasion de vous dire que son visage n'avait pas de charme particulier, mais là, je pouvais voir son corps entièrement nu et il faut bien reconnaître que cela rattrapait tout le reste. Il existe pas mal de femmes au visage banal qui se révèlent en fait très excitantes quand on peut admirer leur corps dans toute leur plénitude. La voisine en faisait partie. Elle n'était pas très fine, mais pour moi qui aime les femmes aux formes épanouies, c'était parfait. Elle avait de superbes seins, pas très gros, mais bien arrondis et qui me paraissaient très fermes. La séance de masturbation qu'elle venait de s'accorder avait contribué à les raffermir encore. Ils pointaient outrageusement. Elle avait un petit ventre rebondi, mais à peine, comme je les apprécie. Surtout, son derrière était phénoménal : de bonnes fesses bien hautes et rondes. Rien à voir avec les culs trop plats qu'on peut voir s'exhiber fièrement (mais y-a-t-il de quoi ?) sur les plages ou à la piscine en été. Non, le cul de la voisine collait parfaitement avec le reste de son anatomie. Le tout formant un ensemble harmonieux et presque bouleversant. C'était la femme gironde dans toute sa splendeur. Si vous ajoutez à cela la paire de lunettes qu'elle n'avait toujours pas quittée, vous imaginez tout à fait ce que j'aime chez les femmes et que je pouvais observer avec plaisir à cet instant.

Elle se dirigea donc vers un meuble qui se trouvait tout au fond de la pièce. J'avais un peu de mal à voir distinctement cette partie du salon. Je devinais que la voisine ouvrait une porte ou un tiroir pour y prendre quelque chose. Elle s'était accroupie et j'appréciais la position excitante qu'elle avait adoptée. J'aurais aimé être avec elle pour pouvoir venir lui glisser la main entre les jambes et lui caresser la fente, légèrement ouverte par l'écartement de ses genoux. Je lui aurai massé le sexe, touché le périnée et peut-être même passé mes doigts sur son petit trou du cul. J'étais déjà en train de m'exciter à nouveau, rien qu'en imaginant les délices que je pourrais lui faire subir. Malheureusement, je devais me contenter de regarder.

Après quelques secondes, elle se releva et retourna vers le fauteuil qu'elle occupait auparavant. Elle tenait quelque chose en main. J'ai d'abord eu du mal à voir de quoi il s'agissait, mais quand elle fut arrivée assez près de la fenêtre, je compris qu'elle n'allait pas se contenter d'un seul orgasme pour tout l'après-midi. Cela devenait fort intéressant. L'objet en question était un godemichet de bonne taille. Je ne pouvais pas en voir les détails, mais ce dont j'étais certain, c'était qu'il avait un format tout à fait impressionnant. Il devait faire au moins vingt-cinq centimètres, mais surtout, son diamètre était plus qu'honorable. Je regrettais un peu de ne pas pouvoir mieux le contempler pour en saisir toutes les dimensions et tous les détails.

La jeune femme reprit sa place sur le fauteuil. Comme tout à l'heure, lorsqu'elle se tripotait la chatte avec les doigts, elle écarta ses cuisses et vint poser ses jambes sur les accoudoirs. Elle se saisit à nouveau du livre qu'elle lisait et le posa à côté d'elle. Tout en lisant, je vis qu'elle se passait le bout du gode sur la fente. Elle le tenait du bout des doigts et semblait le faire glisser sur son sillon sans réelle motivation. Pourtant, de temps en temps, elle paraissait se laisser aller. Sans doute un passage plus cru ou une scène plus chaude de son livre lui donnait-ils l'envie de mieux se donner du plaisir. Je voyais qu'elle insistait sur le sommet de sa vulve et je me demandais si, tout compte fait, le gode n'était pas, aussi, un vibromasseur. Elle se l'appliquait sur le clitoris et effectuait de petits mouvements circulaires sur toute la zone extrêmement érogène qui l'entoure. D'où j'étais je ne pouvais bien sûr ni voir ni entendre l'objet vibrer, mais j'en étais convaincu, elle se faisait du bien avec les vibrations de la bite. D'ailleurs, il lui arrivait de se la passer sur le bout des seins et je voyais bien que ça lui donnait des frissons.

De mon côté, j'avais, sans m'en rendre compte, repris ma queue en main. Je me branlais en observant la vicieuse qui se touchait sans savoir qu'un jeune voyeur la regardait faire. J'étais très excité par le jeu indécent de la voisine. Mais déjà, dans ma tête, je me prenais à espérer pouvoir bientôt faire plus ample connaissance avec elle. Visiblement, elle aimait le sexe et ne se privait pas de pratiquer l'onanisme pour remédier à l'absence de mâle disponible dans sa vie. J'avais envie de lui crier que j'étais là, prêt à remplacer avantageusement le pénis artificiel dont elle se contentait. Malheureusement, avec ma jambe dans le plâtre, je ne risquais pas de faire des étincelles. Je m'en serai aussi voulu de briser le charme de la situation. Mais je me promettais déjà de l'aborder d'une manière ou d'une autre très prochainement. Pour le moment, je lui étais reconnaissant de m'offrir le moyen d'occuper agréablement mon après-midi.

Le gode était maintenant entré dans sa vulve. Elle avait écarté de deux doigts les grosses lèvres de son sexe et forcé le passage avec le nœud. Avant cela, elle l'avait un peu sucé. Sa salive et la mouille qui inondait son con avaient beaucoup aidé à ce que la pénétration se fasse en douceur. Elle devait avoir l'habitude de s'enfoncer des gros calibres dans la chatte car le vibro était entré sans difficulté particulière. Elle commença à le faire lentement aller et venir. Je voyais à chaque fois le manche qui coulissait entre ses cuisses. Elle arrêtait de le sortir quand il était presque dehors. Seul le gland restait à l'intérieur de son sexe. Elle avait de nouveau lâché son bouquin cochon, qui était tombé à terre, au pied du fauteuil. Elle s'était tournée et avait les deux jambes sur le même accoudoir, face à moi. Elle avait complètement occulté le fait qu'elle se trouvait face à la fenêtre et je pouvais voir très nettement l'engin qui allait et venait dans son trou. Ses grandes lèvres étaient distendues sur le pieu de plastique rose qui la bourrait. Plus haut, elle se tirait à nouveau sur les seins. Elle avait même pris l'un de ses tétons magnifiques dans la bouche. Je pouvais voir sa langue et ses babines qui venaient en lécher et en sucer le bout. Puis, elle changea de mamelle et prodigua à la tétine le même traitement impudique. Inutile de vous dire comme cela me rendait fou. Je m'astiquais le manche comme jamais et je devais me forcer à ne pas aller trop vite là où mon désir voulait m'emmener. Je voulais encore la voir se faire du bien et ne surtout pas rater le moment où elle jouirait pour la seconde fois.

Bien m'en a prit ! La voisine devenait comme folle. Elle parlait toute seule. Je ne pouvais pas l'entendre, mais je le voyais sur ses lèvres. Elle devait se dire des cochonneries pour s'exciter encore plus. Ou alors, elle parlait à son gode. Je l'imaginais bien : " Vas-y gros salaud, bourre-moi à fond ! Nique-moi bien ! " ou encore " Ah, je suis ta pute, remplis-moi la chatte et tète-moi les nichons ! " Qu'est-ce que je n'aurais pas donné pour me trouver entre ses jambes et lui fourrer ma queue dans la connasse ! Je suis sûr qu'elle y aurait trouvé son compte autant que moi.

Maintenant, elle était agenouillée par terre, au pied du fauteuil. Son buste et sa tête reposaient sur le siège et je pouvais admirer son cul fantastique en gros plan. Ses fesses étaient vraiment superbes. Elle se passait le bout du gode dans la raie et venait le mettre entre ses cuisses. Elle écartait les jambes et s'ouvrait bien. Subitement, elle fit entrer le gros gland déjà tout mouillé dans sa chatte. Je voyais bien ses grandes lèvres qui pendouillaient de part et d'autre du godemichet. Elle avait un beau sexe assez développé et charnu. Sa main s'agitait devant son cul pour faire entrer et sortir le manche de plastique dans son ventre. En même temps, elle tortillait les fesses, comme pour mieux s'empaler sur l'objet vicieux qui lui perforait le sexe.

J'accélérai le rythme de ma masturbation pour me caler sur elle. Ma main s'agitait frénétiquement sur mon mandrin et j'étais prêt à jouir. Il me devenait impossible de retenir le foutre qui bouillonnait dans mes couilles. Je fus délivré quand la voisine parvint enfin à l'orgasme. Elle sautilla un moment sur ses genoux, devant le fauteuil, avant de s'effondrer complètement sur le tapis. Quand j'ai ouvert les yeux après avoir libéré ma semence entre mes doigts, j'ai juste pu voir le gode qui ressortait de sa chatte et tombait à ses côtés.

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