TITRE : Vive le sport !!!
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Tout d’abord, je me présente : je m’appelle Jean-Baptiste et je suis étudiant dans une ville bien connue du sud-ouest : Bordeaux. Je suis sportif, mon corps est donc musclé, je mesure 1,85 m pour 83 Kg. Je suis brun, les cheveux courts, j’ai les yeux verts et sexuellement, je suis assez gâté par la nature (20 cm en érection).

     Je vais vous raconter une histoire qui m’est récemment arrivée. Pratiquant beaucoup de sports, je suis souvent amené à me rendre dans un gymnase composé de différentes salles de sport.

     Ayant terminé ma séance, je traîne un peu, discutant avec l’entraîneur avant de rejoindre le vestiaire pour prendre ma douche. Si bien que lorsque je rentre dans la pièce, tous mes coéquipiers sont déjà entrain de se rhabiller, se hâtant pour aller déjeuner, mais n’étant pas pressé je pose tranquillement mes affaires et je vais à la douche. J’ai à peine terminé de me savonner que tous mes collègues sont allés manger laissant le vestiaire vide.

     Une fois rincé, je sors de la douche et pour cela, je marche face à une porte séparant le vestiaire des hommes de celui des femmes qui est certes condamnée mais dont l’absence de poignée laisse un orifice par lequel on peut observer le vestiaire voisin. Alors que je rejoint le banc sur lequel sont posés mes habits et qui est face à la porte, j’entend des chuchotements qui ne laissent planer aucun doute : des filles sont entrain de me mater par le trou de la porte. Se doit être des danseuses qui ont terminée comme moi leur cours à midi. Je décide donc de me sécher lentement face à mes voyeuses et comme la situation ne me laisse pas indifférent, j’ai un début d’érection. Etant seul dans le vestiaire, j’en profite pour commencer à me masturber. N’étant pas trop éloignée j’entend distinctement « Laure, viens voir ce bel engin ! Ça me donne envie, pas toi ? ».

     Dès lors, je n’en peux plus, je suis excité comme jamais, ma queue est bien raide et je l’astique de plus en plus vite en prenant soin de rester dans l’axe de la porte pour que mes mateuses n’en perdent pas une miette. L’oreille toujours aux aguets guettant les réactions des filles d’à coté, j’entend bientôt un dialogue qui m’excite encore un peu plus. « Emilie, j’en peu plus ! c’est l’inondation ! Et si on le rejoignait avant qu’il se finisse, pour profiter d’une si belle queue ? » . Alors mon sang ne fait qu’un tour espérant une réponse positive de son amie. « Je sais pas. C’est sur que ça me fait envie mais … j’ai jamais fait ça à plusieurs et puis quelqu’un peut arriver ». « Aller fais pas ta timide, entre midi et deux heures, il n’y a personne dans le gymnase et puis une belle queue comme ça, ça se rencontre pas tous les jours ». « Bon OK, mais c’est toi qui rentre la première ! ». « OK ! ». Et là, il me tarde que mes deux voyeuses fassent leur apparition dans le vestiaire. Mon attente n’est pas longue puisque j’entend déjà la porte s’ouvrir.

     Et là, enveloppées dans leurs serviettes, mes deux demoiselles entrent dans le vestiaire : une petite asiatique aux cheveux noirs comme le jais et une grande blonde. La petite asiatique vient directement vers moi et m’embrasse, me laissant découvrir une langue vigoureuse et furtive. Pendant ce temps, la grande blonde laisse glisser sa serviette qui découvre une poitrine plus que généreuse (90 C) et un corps élancé et musclé. Quittant ma bouche, ma petite asiatique se retourne vers sa copine : « Emilie, viens t’occuper de lui et ne laisse pas retomber son érection, le temps que je me débarrasse de cette serviette ! ». Sans aucune objection, cette belle blonde (Emilie, donc), prend ma queue en main tout en m’embrassant goulûment. Sa copine (Laure, je suppose) pose sa serviette et exhibe une poitrine plus menue (85 B) mais ferme et un sexe totalement épilé.

     Je vous avouerai que mon excitation est à son paroxysme car en plus du fantasme de tous les hommes qui est de faire l’amour avec deux femmes, j’ai toujours rêvé de faire des cochonneries avec une asiatique.

     Emilie lâche mon sexe, mais laisse ma langue dans sa bouche ; Laure s’agenouille et caresse mon sexe lentement. J’en profite pour titiller avec la pointe de ma langue les tétons d’Emilie pendant que Laure s’active de plus en plus vite sur mon sexe. Puis, elle embrasse mon gland, passe sa langue sur mon sexe et sur mes testicules. Et alors, qu’elle enfourne ma bite dans sa bouche, un frisson parcourt mon corps. Je mordille donc les tétons d’Emilie qui gémit, semblant apprécier.

     Laure, pour sa part, ne faiblit pas, sa bouche fait des va-et-vient de plus en rapides sur ma queue tout en caressant de mes couilles de ses petites mains. Me sentant au bord de l’éjaculation, elle lâche mon sexe : « Tu ne vas pas gicler dès maintenant dans ma bouche. Ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion de nous faire goûter ta semence mais tu as quelques trous à visiter avant ! ». Sur ce, elle s’allonge sur la banc, sur le dos et écarte les jambes m’invitant à déguster sa petite chatte épilée. Je laisse les seins d’Emilie pour m’occuper du sexe de Laure, je commence par titiller son clitoris avec la pointe de ma langue. Pendant ce temps, Emilie s’agenouille et lèche les seins de son amie.

     Laure pousse de petits gémissements qui en disent long sur le plaisir qu’elle ressent. J’accélère donc le mouvement sur son clito puis je lèche ses lèvres qui s’ouvrent pour laisser ma langue pénétrer dans sa grotte humide. Son sexe ruisselle et j’avale toute la cyprine que je peux. Emilie, quant à elle, est tellement excité qu’elle se met à quatre pattes sur le banc pour se faire brouter le minou par sa copine.

     Le silence du gymnase désert est rompu par les gémissements de plus en plus puissants de mes deux partenaires. Ma langue fait de rapides aller-retours sur le clito de Laure et j’introduit un doigt dans son intimité. Ses petits cris s’accélère, une vague de plaisir la submerge et son corps se tend, secoué par un orgasme. Pour reprendre son souffle ,Laure se redresse délaissant la chatte d’Emilie dont je m’empresse de m’occuper. Je me délecte du mélange de cyprine et de la salive de Laure qui dégouline du vagin d’Emilie surmonté d’une fine bande de courts poils blonds, puis ma langue glisse jusqu’à son petit trou. Alors que ma langue s’introduit dans son anus, elle m’arrête : « fais ce que tu veux avec ma chatte mais ne touche pas mon cul, je suis vierge de là et ça me dit rien ! » Discipliné, je retourne m’intéresser à son minou. C’est alors que Laure intervient : « laisse toi faire, Emilie tu sais pas ce que tu perds ! ». « Non, j’ai trop peur d’avoir mal ! ». Laure, décidée à convaincre son amie, renchérit : « tu as confiance en moi. Je vais m’occuper de ton anus en douceur et tu vas voir, tu vas adorer ! ». Emilie finit par accepter. Je passe sous elle pour continuer à lécher sa chatte et pour laisser libre accès à son petit trou, à son amie. Laure prend alors la direction des opérations et me demande de pénétrer Emilie. Je m’allonge alors sur le banc et Emilie s’empale donc sur mon chibre en érection. C’est le moment que choisis Laure pour introduire un doigt dans le fondement de sa copine. Alors que j’accélère le mouvement, Laure lui insère un second doigt qui lui arrache un cri. « Je t’ai fait mal, Emilie ? ». « Non, au contraire, c’est trop bon, tu avais raison. Continue ! ». Laure me propose alors d’échanger les rôles. Emilie se relève, moi aussi. Elle se met à quatre pattes sur le banc et Laure guide mon sexe vers le cul de son ami et appuie mon gland sur sa rondelle dilatée par les doigts de Laure. La cyprine aidant, ma bite pénètre progressivement dans le fondement d’Emilie jusqu’à ce que mes testicules touchent ses fesses fermes. Je commence par faire lentement des aller-retour puis j’accélère le mouvement pendant que ma belle asiatique s’active sur le sexe de son amie. En réaction à des coups de queues de plus en plus rapides et de plus en plus profonds, Emilie m’encourage : « vas-y ! Défonce moi, je suis au bord de l’orgasme ! Finalement, j’adore qu’on me sodomise avec une grosse queue ! ». Appliquant ses consignes, mes couilles claquent sur ses fesses et un cri annonce l’orgasme qui la submerge bientôt.

     Un grand sourire illumine le visage d’Emilie : « quel pied ! J’ai jamais autant joui ! Laure, ma cocotte, tu vas pouvoir subir la même torture, il a pas encore éjaculé. ». « J’espère bien que notre beau sportif va m’enculer de la sorte. Tu sais à quel point j’aime ça, Emilie ! Au fait quel est ton prénom bel étalon ? »

     « Jean-Baptiste, pour vous servir mesdemoiselles. Et vous, c’est Emilie, que je viens de sodomiser et Laure, c’est çà ? ». Apparemment mon petit numéro fait bien rire Emilie, alors que Laure me répond : « C’est bien ça ! Tu as gagné mon beau et en récompense je t’offre mon cul. Tu peux y aller franco, moi je suis loin d’être vierge de ce côté là ! ».

     Je m’exécute donc, après quelques coups de langues préliminaires sur sa rondelle, j’appuie mon gland sur son anus et d’un coup de rein je m’enfonce, tout au fond de son fondement. Emilie qui a repris ses esprits, vient rendre la pareille à son amie en lui léchant goulûment le minou. Je met de grands coups de rein enfonçant mon braquemart jusqu’à la garde et faisant claqués mes couilles sur ses grandes lèvres inondées, poussé par les encouragement de la belle asiatique : « vas-y ! Casse mon cul de salope, mon beau ! Remplit moi l’anus ! ». Excité par des mots aussi crus dans une si belle bouche, je donne toute l’énergie qui me reste pour l’amener vers l’orgasme ; bien aidé que je suis, par la langue d’Emilie qui s’active sur le clitoris de Laure. Vu les feulements qui jaillissent de sa bouche, celle-ci est proche de l’orgasme, quant à moi je suis proche de l’explosion. Ce que Laure semble ressentir : « je veux que tu me remplisses ! Ejacule moi dans l’anus mon chéri ! ». Pour combler ce désir, je lâche mes dernières forces et alors que son corps est parcouru par un orgasme, j’explose dans son cul. Je sens de puissants jets déverser tout mon foutre dans ses entrailles.

     Une fois remis de toutes ces émotions, nous nous embrassons tous les trois puis nous décidons de prendre ensemble une bonne douche pour nous remettre de tous nos efforts. En nous savonnant mutuellement, nous discutons :

     _ Emilie : « Je sais pas que je pouvais prendre un tel pied en me faisant enculer ! Qu’est-ce que c’est bon d’avoir une grosse queue dans l’anus ! ».
     _ Laure : « En plus d’être bien monté, il a un sacré coup de rein ! Ça faisait longtemps que j’avais pas joui comme ça ! Tu crois pas que Jean-Baptiste mérite une petite récompense pour le plaisir qu’il nous a procuré ? ».
     _ Emilie « Oh que si ! ».

     Mes deux amantes s’agenouillent donc pour me faire une petite gâterie sous la douche. Emilie lèche délicatement mon gland pendant que Laure passe sa langue sur mes testicules. Puis, la belle blonde enfonce ma queue, de nouveau raide, au fond de sa gorge, faisant de rapides va-et-vient alors que Laure gobe mes couilles dans sa bouche. Décidées à me faire jouir, les deux femmes lèchent tour à tour mon membre. Ma queue passe de bouche en bouche et alors que Laure a avalé ma bite, je me sens au bord de la jouissance : « Si vous continuez comme ça, je vais pas résister longtemps les filles ! ». Emilie, jusque là la plus timide me dit quelque chose qui m’excite au plus au point : « C’est ce qu’on veut mon chéri, laisse toi aller ! Comme te l’a dit Laure, on veut goûter à ton sperme ! ». Ces paroles me font beaucoup d’effet, me sentant au bord de l’éjaculation, mes deux amies me branlent devant leur visage, langue tirée. C’est Laure qui m’astique le manche et qui m’emmène vers l’orgasme. Je le sens monter en moi, je ne peux plus me retenir. Une première giclée pénètre dans la bouche de la belle asiatique, les suivantes zèbrent de foutre le visage des deux jeunes femmes arborant un sourire satisfait. Emilie et Laure se nettoient mutuellement le visage avec leur langue et partage ma semence dans un long baiser humide. Ensuite, Emilie avale les quelques gouttes de sperme qui restent au bout de ma bite.

     Nous avons ensuite, fini notre douche de manière beaucoup plus chaste et nous nous sommes habillés avant que les sportifs réinvestissent les vestiaires. Nous nous sommes dirigés vers le restaurant universitaire où nous avons fait plus ample connaissance devant notre repas. Nous nous sommes échangés nos numéros de téléphone et nous nous revoyons souvent depuis… Mais ça c’est une autre histoire !

     

     N’hésitez pas à me faire des remarques relatives à cette histoire vraie, car c’est la première que j’écris.


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