L'histoire qui suit s'est déroulée il y a 4 ans. J'avais
alors 18 ans. Il y avait un mec dans ma classe que je connaissais
depuis 2 ans, il s'appelait Anthelme. Grand, mince, un peu
musclé et imberbe, je fantasmais sur lui surtout depuis
que je l'avais vu torse nu à la piscine. On se parlait de
temps en temps, mais sans plus.
Puis le jour des résultats du bac, on se retrouva à faire
la queue, l'un à côté de l'autre, pour récupérer toute la
paperasse. On discutait tranquillement et puis d'un coup
il posa sa tête sur mon épaule. Je n'osais plus bouger,
à la fois surpris et un peu excité. Il resta ainsi de longues
secondes... Puis les lycéens devant nous avancèrent et il
releva sa tête. Nous avons continué à discuter, passant
plus d'une heure avant d'arriver à la nana qui donnait le
papier. Il était alors près de midi.
Comme il habitait près du lycée et moi un peu plus loin,
il me proposa de venir déjeuner chez lui. Il ne voulait
pas manger seul et j'ai donc accepté, profitant de l'occasion.
Il s'est donc mis au fourneau, je le voyais transpirer à
s'activer... Je le matais, tranquillement assis. Après avoir
mangé, on est allé dans sa chambre, décor plus sympa que
la cuisine. Au bout de quelques minutes, il se leva et me
dit :
- C'est dingue ce que ça donne chaud de faire la cuisine...
Je vais me prendre une petite douche et me changer... Je
reviens dans 5 minutes.
Puis il revint dans la chambre, il était simplement vêtu
d'un caleçon. Je n'avais plus qu'une envie maintenant...
Il est allé vers son placard pour se rhabiller, mais je
me suis levé à ce moment et suis venu vers lui. Il m'a alors
demandé, avec un air faussement innocent :
- Tu veux quelque chose ?
Ma main s'est posée sur son bras et nos regards se sont
croisés. Pendant plusieurs secondes rien ne s'est passé,
j'attendais une réaction de sa part. Puis sa tête s'est
approchée de la mienne, et n'y tenant plus, je me suis alors
jeté sur ses lèvres et sa bouche. Nos langues se sont enroulées
l'une sur l'autre un long moment...
Nos êtres vibraient de désir, mes mains parcouraient son
corps et se sont attardés sur ses fesses, ses tétons qui
durcissaient sous mes doigts. Puis soudain il m'a poussé
sur son lit qui se trouvait à côté. Et on a ainsi continué
à se rouler une pelle monumentale. Je sentais sa queue se
raidir à travers le caleçon... De son côté il s'est occupé
de me retirer short et T-shirt, si bien qu'en deux minutes,
j'étais moi aussi en caleçon.
Nos deux bites se frottaient l'une contre l'autre pendant
notre étreinte. Je lui ai donné encore quelques petits baisers
au coin des lèvres, et j'ai commencé à descendre et à titiller
ses tétons avec ma langue. Je voyais bien qu'il appréciait
beaucoup, il frémissait... J'ai décidé de passer à la vitesse
supérieure, pendant que je continuais avec ma langue, ma
main caressait sa queue, tout d'abord à travers le tissu,
puis je me suis aventuré à la glisser sous son caleçon.
J'ai alors enfin senti sa verge qui avait atteint un volume
et une rigidité impressionnants. Je l'ai regardé dans les
yeux :
-J'ai très envie !
Il sourit et me répondit en ôtant lui-même son caleçon.
Sa bite était relativement fine : moins épaisse que la mienne,
elle la dépassait en longueur. J'ai alors commencé à branler
lentement sa queue, tandis que ma bouche s'en approchait.
Je l'ai léché de la base jusqu'au gland, sur lequel j'ai
donné de petits coups de langue. Je me suis attardé quelques
instants sur son beau gland, le léchant telle une friandise.
Anthelme soupirait de plaisir, ce qui m'excitait encore
plus. Puis j'ai enfourné le reste de sa bite dans ma bouche.
Je ne bougeais pas la tête, laissant ma langue tournoyer
autour de sa queue. Au moment où j'ai voulu commencer à
lui sucer plus activement, il m'a dit :
- Arrête.
Il m'a levé la tête. Je le regardais, un peu étonné.
- Ça te plaît pas ? lui dis-je
- Au contraire... mais à vrai dire, j'aimerai te rendre
la pareille.
Je suis ainsi revenu vers ses lèvres, lui donner un baiser,
et suis passé au dessus de lui, de manière à ce qu'il puisse
me sucer pendant que je le suçais. Il a retiré mon caleçon,
depuis longtemps tendu par le désir, et a reçu en récompense
mon sexe qui lui sauta au visage. Il l'a alors attrapé et
mis en bouche. J'ai ainsi gobé sa bite et ai commencé à
la sucer goulûment, jouant avec ma langue toujours autour
de son gland. Je faisais de longs mouvements avec ma tête,
et j'entendais derrière Anthelme qui poussait de petits
gémissements. Lui de son côté, calquait son rythme sur le
mien. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j'ai
senti que, gagné par l'excitation et le plaisir, il allait
jouir. C'est d'ailleurs ce qu'il a fait cinq secondes plus
tard. Ceci a eu pour effet de provoquer ma jouissance à
ce moment. Je me suis alors retourné et nous nous sommes
embrassés à nouveau. Pendant un long moment, nous sommes
restés ainsi, joignant baisers et caresses.
Mais, rapidement nous avons recommencé à bander... Anthelme
me dit :
- J'ai envie de te sentir en moi.
Tout en l'embrassant, mes mains se sont dirigées vers ses
fesses, et j'ai glissé un de mes doigts dans sa raie. J'ai
senti un petit frémissement qui s'est amplifié quand mon
doigt a pénétré son petit trou. Il a fini par se détendre
un peu, et j'ai donc rajouté un doigt supplémentaire. Puis
j'ai cessé de l'embrasser et je me suis approché de son
trou... Ma langue en a frôlé l'entrée... J'ai alterné lèche
et jeu avec mes doigts... Anthelme soupirait.
- Viens. et se mit sur le dos. J'ai soulevé ses jambes
et ai présenté mon gland devant son trou. J'ai poussé lentement,
profitant de ce moment, et ne voulant pas lui faire mal.
Je sentais la sueur de son excitation faciliter la pénétration...
De son côté, il respirait bruyamment... Je me suis enfoncé
le plus loin possible, sans me presser, dans son petit cul.
Une fois le fond atteint, je suis resté immobile, attendant
qu'il soit totalement décontracté. Puis j'ai commencé à
ressortir ma queue de son cul, avant de l'enfiler à nouveau.
J'ai fait ça plusieurs fois, à un rythme plutôt lent. Anthelme
poussait de longs soupirs. J'ai alors accéléré un peu la
cadence.
Rien que de voir Anthelme gémir de plaisir, je bandais
comme jamais. Je limais son cul, variant de temps en temps
la vitesse. Lui s'amusait à le contracter créant une pression
autour de ma bite des plus agréables. Il jouait également
avec sa langue et ses lèvres, m'excitant encore davantage.
Sachant que je ne pourrai tenir plus longtemps, j'ai alors
décidé de finir en beauté. Je lui donnais des coups de reins
de plus en plus rapides et violents, jusqu'à ce que je vienne
dans son cul. À ce moment je me suis effondré sur son corps,
léchant ses tétons au passage. Anthelme me regarda alors
et me dit :
- Je veux te faire la même chose.
Je me suis positionné sur son ventre, et j'ai senti ses
doigts s'introduire entre mes fesses. Il a donc préparé
mon cul, humidifiant ses doigts avec sa salive de temps
en temps. Puis je me suis mis au dessus de sa queue, encore
toute dure. Je me suis empalé dessus, faisant coulisser
lentement sa longue bite dans mon cul. Cela m'a fait un
peu mal au début, mais l'excitation et la douceur d'Anthelme
aidant, je réussis à être complètement enculé. Je balançais
mon bassin d'avant en arrière. D'une main je caressais son
torse, de l'autre ses couilles.
J'ai vu dans son regard qu'il avait plus qu'envie que je
bouge le long de sa queue. Je me suis donc relevé, puis
me suis rassis plusieurs fois, afin d'être bien ouvert.
Prenant appui sur son torse dont rien que le toucher m'excitait,
j'ai commencé les va-et-vient.
Anthelme s'est rapidement joint au mouvement en montant
les fesses, me pénétrant ainsi plus fortement. Le plaisir
était si intense que je me suis surpris à pousser de légers
cris, suivi de près par Anthelme qui a gémi également. Je
continuais à lui caresser les bourses d'une main, elles
étaient désormais toutes dures. Il s'est soudain mis à accélérer
la cadence et, pendant quelques minutes, il m'a véritablement
défoncé. J'ai alors senti un liquide me remplir le cul,
tandis qu'Anthelme arrêtait de bouger... Je me suis allongé
sur lui et nous nous sommes embrassés tendrement.
Au cours de l'été, nous nous sommes retrouvés plusieurs fois, mais à la rentrée ses études l'ont poussé à s'éloigner géographiquement. Nous nous sommes ainsi séparés, nous nous parlons encore parfois via internet, néanmoins nous ne nous sommes pas encore revus.
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