Je vais régulièrement à la piscine pour me maintenir
en forme. Ce jour-là, j'avais décidé d'y aller l'après-midi.
Je commençais mes longueurs comme d'habitude dans ce bassin
presque désert. Au bout d'un moment, j'aperçus un jeune
homme qui semblait me regarder avec insistance. Je continuai
à nager et discrètement il commença à me suivre dans l'eau.
Troublée, gênée, je décidai de continuer comme si de rien
était.
Mes longueurs finies, j'allai me doucher. Je sortis du bassin
et j'aperçus mon inconnu de l'autre côté du bassin qui me
dévorait du regard. Je restai indifférente et je me dirigeai
vers les douches. Je dois vous expliquer qu'en raison de
la faible fréquentation de l'endroit, les douches et les
vestiaires sont mixtes. Les douches étaient désertes à ce
moment, ce sont des douches communes et je décidai de me
mettre dans un angle. Au bout de quelques secondes, l'inconnu
arrive dans les douches et s'installe dans l'angle opposé.
C'est alors que je m'aperçois qu'il est vraiment pas mal.
1 m 90-95, brun, les yeux perçants, un corps de rêve, puissant,
taillé dans un roc. Je m'efforce de ne pas le regarder mais
lui n'en perd pas une miette.
Je ne me suis pas présentée... Je suis blonde, 1 m 70, sportive,
une belle poitrine ferme (90 C) et on peut dire que j'ai
une paire de fesses qui plaît aux hommes. Je me rinçai donc,
me relaxant sous la douche et par de petits coups d'œil,
je vis qu'il me matait, une main glissée dans son maillot.
Son sexe commença à grossir. J'aurais dû être gênée, offusquée,
mais au contraire, les rôles se sont inversés. Il faisait
semblant de m'ignorer et c'est moi qui le matait. Après
quelques secondes, il s'approcha de moi, je paniquai mais
restai plantée là. Il me demanda du shampooing, je lui en
donnai, puis il commença à se laver les cheveux sous la
douchette voisine de la mienne. En me rendant le flacon,
il s'approcha et là, je devins folle ; je lui demandai de
me masser le dos.
Je me tournai, la tête face au mur, il commença par me masser
la nuque, puis les épaules. Ses mains étaient chaudes sur
mes reins, il remonta sur les côtés et ses doigts effleurèrent
la naissance de mes seins. Je frémis, n'y tenant plus, je
tendis une main en arrière et mes doigts rencontrèrent son
maillot, au travers duquel je sentis son sexe tendu à l'extrême.
Il glissa une main sous mon maillot et me caressa le sein
droit, ses doigts me pincèrent le téton et son sexe se raidit
encore plus. Par un hasard extraordinaire, nous étions toujours
seuls. Sachant qu'il y avait une douche individuelle, je
l'entraînai vers celle-ci. Nous nous enfermâmes. Je me plaçai
face à lui. Je me sentis si petite près de lui. Ses mains
firent glisser mon maillot, mes seins pointaient désormais
vers lui, gonflés de plaisir. Il me caressa doucement, tendrement.
Il se pencha vers moi, m'embrassa goulûment, nos langues
se mélangèrent. Il me caressa les fesses, j'étais nue, mon
maillot à mes pieds.
Je libérai enfin son sexe de sa prison, il s'épanouit enfin
pleinement. Je n'en crus pas mes yeux. Je n'en avais jamais
vu de si long, de si gros. Son gland était rouge, lisse.
Il me regarda fasciné, ne bougeant pas, et retira son maillot.
Alors je me baissai. Je lèchai ce sexe énorme, je le suçai
avec difficulté, ma bouche sembla minuscule. Il était raide,
ma langue remonta à sa base, je lui léchai les couilles,
lui massai les fesses. Il commença à gémir. Je me forçai
pour enfoncer sa queue au plus profond de ma gorge. Je le
pompai furieusement et tout d'un coup, il me releva avec
une force incroyable et me retourna tout en me maintenant
dans les airs en 69 sur lui, debout Je me cramponnai, rattrapai
son sexe pendant qu'il me bouffait la chatte, sa langue
me fouilla, trouva mon clito tendu de désir, il ne lâcha
pas... J'aurais pu jouir comme ça mais mon sang se réfugia
dans ma tête alors il me reposa par terre. Je retournai
me coller contre le muravant de lui offrir ma chatte en
écartant bien mes fesses. Il était excité comme un fou,
mais il arriva à être encore doux et c'est délicatement
qu'il me pénétra avec son gros pieu. Au début, je pensai
qu'on n'y arriverait jamais, mais il s'y connaissait bien
et maintenant j'avais la chatte en feu, trempée, son dard
me pénétrait et je sentis ses couilles cogner contre moi.
Fesses écartées, sa queue au plus profond de moi, ses mains
sur mes seins, je craquai, il me fit jouir, je retins un
cri en me mordant les lèvres. Il me laboura comme jamais
je ne l'avais été. Je me retournai et je le suçai tout en
le branlant, lui massant les couilles et tout d'un coup,
je le sentis se contracter, son sexe frémit et il éjacula
tout son foutre sur ma langue... Après, nous nous sommes
embrassés, il est sorti, je me suis habillée et je ne l'ai
jamais revu. Ce que j'ai appris bien plus tard, c'est qu'il
connaissait bien le maître nageur et qu'il lui avait demandé
de fermer cette douche à toutes les autres personnes...
Auteur
|