J'étais remontée à Paris pour un stage d'un
mois dans un laboratoire de recherches. J'étais étudiante
de troisième cycle. Grande de taille avec de belles formes
bien généreuses et un cul que tous les hommes sans exceptions
n'arrêtent pas de regarder.
Depuis cinq ans je vis avec un homme une histoire d'amour
adorable. Nous travaillons, continuons nos études et nous
nous aimons à la folie. Notre vie sexuelle était honnête,
mon copain faisait de son mieux et moi aussi. Nous avions
tous les deux 24 et 27 ans et à cet âge là le sexe à une
grande importance dans la vie. IL faut tout de même savoir
que pour notre premier rapport sexuel, mon copain et moi
étions vierges tous les deux et nous avons tout appris par
la télé ou des cassettes porno.
Donc je disais que j'étais en stage à Paris et mon copain
est resté chez nous pour un mois. Entre nous il n'y a jamais
eu d'infidélité. Une des personnes qui était avec moi en
stage est un homme de 55ans, c'est un beau parleur et un
dragueur de première classe. J'ai vu que depuis l'instant
ou il m'a vu, il n'a pas arrêter de reluquer mon q serré
se jour là dans un beau pantalon de couleur claire qui ne
cachait rien aux ficelles de mon string.
Je me suis senti à ma grande surprise flatter de son regard,
lui qui a toujours eu de belles conquêtes et que l'histoire
de ses ruptures avec une collègue à nous avait fais beaucoup
de bruit.
Ce cher monsieur se débrouilla toute la période du stage
pour m'avoir avec lui dans la même salle de travail et se
penchait sur moi pour inspecter mon boulot et ma poitrine
que j'ai appris au fil des jour à laisser sans soutien de
gorge pendante à ses regard avec ses95D. Ce jeu m'excitait.
Pour moi ce n'était qu'un vieux pervers plus vieux même
que mon père et à qui il fallait donnait des leçons de conduite.
Je n'ai donc pas arrêté de l'exciter pour me défiler par
la suite et rentrer à mon hôtel avant qu'il ne termine sans
travail.
Après la première semaine, j'ai vu dans ses yeux qu'il s'était
aperçu de mon jeu et que sa vengeance sera proche. Je n'ai
tout de même prêté aucune importance à ses regards. Cependant,
j'ai senti que à plusieurs reprises il a essayer de me caresser
le cul prés de la photocopieuse, il s'est plaqué cotre moi
prés de l'imprimante en panne, il regarde par-dessous mes
jupes si j'en mettais prétextant quelque chose qui tombait
et même introduisant sa main entre mes cuisse lors des déjeuners.
Tout ce qu'il faisait m'excitait et je ne pensais pas que
tout le monde voyait que je ne le repoussais pas. En effet,
notre cher ami à fait couler le bruit que j'aimais me faire
pétrir le derrière par une main baladeuse et depuis ce jour
j'ai senti des mains et des pieds venir à tout bout de champs
se frotter contre moi, j'étais morte de honte et d'excitation
à la fois jusqu'au jours ou vers la moitié du stage en rentrant
chez nous un collègue a lancé une idée : il nous invite
pour prendre un verre chez lui. C'était un étudiant qui
habitait dans une cité universitaire dans la banlieue. Tout
le monde a approuvé et nous voilà dans le RER partis chez
lui.
Nous étions deux filles et cinq garçons dont le monsieur
que je vous ai présenté. En arrivant un des gars s'est débrouillé
pour partir avec la fille et nous a laissé. Le monsieur
de 55 ans s'est tout de suite approché de moi et m'a lancé
:
- eh ! ma belle ! tu te souviens de toute les fois que tu
m'as allumées et bien tu vas me le payer.
J'étais horrifié. Les autres me regardait d'un air amusé
et commençaient déjà à se déshabiller. Le vieux se rapproche
de moi et me prend les mains pour me les mettre derrière
le dos. Tandis que les autres essayer de me retenir pour
me ficeler contre une étagère de bouquin en me bâillonnant
la bouche, le vieux a pris un ciseau et a coupé mes habits
me laissant totalement nue. Il en lève les étages de l'étagère,
me ficelle une jambe de chaque côté en laissant mes mains
unies en avant. J'étais toute nue, le cul pendant en arrière
et les mains en avant. Je ne peux pas expliquer à cet instant
comment j'ai pu avoir un sentiment de plaisir en me sentant
déshabiller et ficelée de la sorte. Les trois étudiants
commençaient à se caresser la bite et s'installent devant
moi assis sur un lit tandis que le vieux fait mine de s'occuper
de moi. Il commença alors à toucher mes formes généreuses
à me donner des coups violents sur les fesses en l'air,
à titillait ma poitrine pendantes à l'avant et a exhibé
son sexe de dimensions ridicules. En le voyant je n'ai pu
retenir mon air amusé.
Je me suis dit : ce n'est pas avec ça qu'il se dandine depuis
tout à l'heure comme même. Devinant mes pensées, il me tire
les cheveux et me dit :
- tu te moques, tu vas voir ce que je vais te mettre sale
petite baiseuse. C'était bien au bureau quand tu me mettais
tes gros seins pleins de graisse sous le nez, maintenant
c'est moi le maître et tu va voir ce que je vais faire de
toute ta graisse. Et il accompagna son geste de deux baffes
qui m'ont ôté l'envie de rire.
Pendant ce temps les autre continuèrent à se branler sans
relâche et n'avaient nullement envie de voler à mon secours.
Le vieux commença alors à me malaxer les seins en me faisant
mal, à me les pincer fort à un point que je gémissais, à
me mordre, à me cracher dessus et à étaler son crachas sur
tout mon corps en m'insultant. Pour lui, j'étais moins qu'une
merde, j'étais une salope de seconde zone, une chatte assoiffée
de baise, il accompagnait le geste à la parole pour me doigter
l'anus et m'administrer des claques sur les fesses en malaxant
douloureusement « la graisse ». Il avait même pris un flacon
de déodorant pour homme et m'a goder la chatte avec sans
ménagement du premier coups sur toute la longueur du flacon
et vous pouvais me croire il était gros. Il me disait que
j'aimais les grosses bites et que j'allais être servis.
Il laissa le flacon dans ma chatte et m'introduit un tube
de dentifrice dans l'anus sans prendre soins de me l'humidifier.
Il laissa ces deux joujous dans mes trous et fait tournoyer
l'étagère pour bien montrer aux autres mes trous bien pleins.
Leurs masturbations finis et ayant éjaculés, les trois autres
sans s'intéresser à moins viennent me maculer de leur sperme
puis partirent pour me laisser seule avec mon bourreau.
Il ne se lasse pas et toute la nuit j'ai du resté dans cette
position à subir ce vieux me goder la chatte et l'anus avec
tout ce qui lui tombe sous la main. J'étais attachée bâillonnée
et lui il a passé toute la soirée et une partie de la nuit
à me violé, à m'enduire le corps avec tout : du crachas,
du sperme, du pisse et même sa merde.
J'étais sale souillée et dégoulinante de partout et lui
riait de plein fouet en me regardant comme ça. Vers deux
heure du matin, mon violeur sort en me laissant dans la
même position et revient avec deux clodo à qui il demande
juste de m'enculer sans regarder mon visage ce que les deux
personnes font sans vergogne, il leur demande même d'aller
chercher des amis ce qu'il font aussi. J'ai passé toute
la nuit à me faire défoncé l'anus à me faire battre jusqu'à
ce que je perde conscience de douleur. Le matin, on m'a
retrouvé sale devant mon hôtel, par terre en peignoir. On
m'a reconduit vers ma chambre, je me suis reposée, je me
suis lavée, je suis rentrée chez moi en mettant fin à ce
stage.
Je n'ai rien dit à mon copain qui s'étonne encore du fait
que je ne veux plus qu'il me touche l'anus pourtant avant
j'aimait me faire enculer par lui.
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