Depuis quelques temps au supermarché, j'apercevais cette
femme, environ cinquante-cinq, soixante ans, bien foutue
pour son âge. Toujours habillée avec des vêtements moulants
qui accentuaient ses formes généreuses. Une paire de seins
en forme d'obus... Un derrière qui remuait à faire damner
un saint. Chaque semaine, j'allais faire les courses en
espérant la voir. Je la regardais en catimini. Elle, l'effrontée,
me dévisageait sans vergogne. Au bout de deux mois de ce
manège, elle m'aborda.
- Mon cher, voilà prés de deux mois que nous nous regardons,
que nous nous épions dans les différents rayons de ce supermarché.
J'ai envie de baiser avec vous et vous en avez envie vous
aussi ou plutôt vous souhaitez vous taper une vieille de
cinquante-huit ans, je me trompe ?
J'étais troublé, je rougis. Bien sûr, j'avais envie de me
la taper la vieille cochonne et j'étais sûr que cela serait
un bon coup. Je répondis :
- Oui, j'ai très envie de vous, je suis sûr qu'ensemble
cela va être merveilleux et plus encore !!!
- OK mon chéri, nous allons chez moi et je vais te montrer
ce qu'une vieille est capable de faire.
- D'accord, c'est parti, je vous suis.
Chacun monta dans sa voiture et nous partîmes chez elle.
Une superbe maison avec une vue sur la mer Méditerranée,
laquelle ce jour-là était agitée par un fort mistral. Elle
fit coulisser le portail automatique et gara sa voiture
devant le perron. Je me garai derrière elle. Dès que je
descendis, ses lèvres se posèrent goulûment sur les miennes
pour un interminable baiser, qui nous laissa tous les deux
sans souffle.
-Prends-moi dans tes bras et porte-moi jusqu'à la chambre.
J'obéis sans poser de questions, tel le serviteur de madame.
La chambre se composait d'un lit rond avec des draps en
satin, des miroirs au plafond qui nous renvoyaient notre
image, des volets à moitié fermés et la pénombre était propice
à toutes les turpitudes du monde. Nous nous embrassâmes
à en perdre haleine. Je commençai par lui enlever son chemisier,
puis son soutien-gorge et j'eus la surprise de deux seins
en forme de poire, très fermes. Le bout était tendu à craquer.
Je les suçais, les mordillais et ils devenaient de plus
en plus durs, de plus en plus turgescents. Elle poussait
des cris, elle gémissait.
- Mords-moi, fais-moi mal, mon chéri.
Ma queue était tendue, mon pantalon allait se déchirer,
elle me déboutonna et libéra mon dard. Je ressemblais à
un cerf en rut. Elle prit ma queue dans sa bouche, elle
en aspira le gland puis toute la tige. Ses lèvres aspiraient
goulûment toute ma pine. Ses va-et-vient me firent éclater
dans sa bouche. Elle m'aspira jusqu'à la dernière goutte.
Elle me donna sa chatte épilée à manger, ses lèvres étaient
agrémentées d'un petit anneau du plus bel effet. Je jouais
avec, le tirais et cela lui donnait de vives sensations.
des gémissements infinis. Ma langue allait et venait sur
ses lèvres, elle s'insinuait dans sa chatte qui dégoulinait
comme une fontaine. Je n'avais jamais vu un tel déluge.
Mon visage se couvrait de son bon jus. Elle été trempée.
Je rebandais et je fis rentrer ma queue dans sa chatte :
elle était chaude et assez serrée.
- Lime-moi jusqu'au bout de mon plaisir.
Ma queue grossissait, grossissait sous l'emprise du désir.
Nous arrivâmes ensemble au septième ciel. Elle cria, gueula
ameuta toute la ville... Quelle exubérance ! Nous nous sommes
alors accorder un moment de répit. Je la retournai, ma langue
prit le chemin de son petit trou du cul. Elle se laissa
faire, m'encourageant à aller au plus profond avec ma langue.
Je la fis mettre à quatre pattes et je présentai ma queue
à l'entrée de son petit passage culier. D'un coup de reins,
je la pénétrai. Aucune résistance, son derrière était chaud,
serré et bien lubrifié par ma salive. Je lui enfilai ma
queue jusqu'aux couilles.
- Oui, mon chéri, encule-moi bien. Défonce-moi...
Elle n'avait pas besoin de m'encourager. Je pris mon temps,
dès que je sentis mon plaisir arriver, je ralentissais la
course. Puis j'accélérai et ce qui devait arriver arriva.
Je déchargeai dans ses boyaux. Sous la douche réparatrice,
je lui refis l'amour, elle pris son pied. Et pour mon plaisir,
je lui remis ma queue dans le cul, qu'elle remuait comme
la salope et la vieille cochonne que j'avais soupçonné en
elle. Depuis, nous passons une après-midi par semaine à
baiser. Elle me suce, je la baise, je l'encule et elle en
redemande... Une vraie dépravée !
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