Nadine, trente-quatre ans, profite de l'absence de son mari, Alain, pour
faire du rangement. Le couple a deux enfants. Morgan, âgé de seize ans,
qu'ils ont eu très jeunes, et Jérôme, sept ans, qui passe le week-end chez
ses grands-parents. Malgré ses deux grossesses, Nadine a conservé un corps
magnifique. Morgan rentre du collège vers dix-sept heures. Il croise son
copain Louis, un jeune métis de dix-sept ans, qui sort de chez lui.
-Alors, ça va Louis, tu voulais me voir ?
-Pas spécialement, répond Louis. Je passais dans le coin, je suis passé
dire un petit bonjour. Je le regrette pas, je viens de donner un coup de
queue à ta mère, oh putain. Qu'est-ce-qu'elle est bonne. Tu l'aurais
entendue gueuler la salope. Elle a l'air d'aimer les grosses bites
noires.
-Quoi, sursaute Morgan, tu n'as pas fait ça ?
Morgan jette son cartable et monte dans la chambre de sa mère. Elle est
allongée sur le lit, à plat ventre, entièrement nue, une jambe légèrement
repliée. Elle est de toute beauté. Il s'assied à côté d'elle.
-Maman, qu'est-ce-que tu as fait ? demande Morgan.
-Oh mon chéri, je sais pas ce qu'il m'a pris. Quand il m'a fait voir sa
queue, j'ai pas pu résister. Si tu voyais comme il est monté. Comme il
m'a niquée, un régal. J'ai jamais connu ça. Je lui ai demandé de passer
de temps en temps. Tu m'en veux pas mon chéri ? Ne dis rien à ton père,
s'il te plaît. Viens, allonge-toi près de moi.
-Je te promet de rien dire maman, mais ne te fais pas attraper. Ce serait
con.
Morgan caresse les fesses de sa mère. Elle s'étire comme une chatte en
chaleur. Elle sourit à son fils.
-Je vais aller me doucher, dit-elle. On dine ensemble, en amoureux, tu
veux ?
-Mais bien sur maman, j'irai me doucher moi aussi après, répond Morgan.
Le repas se termine. Nadine fixe son fils en souriant, comme fascinée.
-Qu'est-ce-que tu as à me regarder comme ça maman ?
-Tu es tellement beau mon fils, si attentionné, si gentil, et complice
maintenant, sourit-elle. Bon, ne rêvons pas, je vais me brosser les dents.
Morgan en profite pour me monter dans sa chambre se changer. Nadine revient
de la salle de bains en chemise de nuit et découvre son fils assis sur le
fauteuil, vêtu d'un boxer moulant.
-Tu t'es mis à l'aise, à ce que je vois, dit-elle en passant.
Elle n'a pas senti le piège. Elle est subitement happée par les bras de
son fils qui la couche sur le dos, les reins cassés sur ses genoux.
-Mais chéri, ça va pas, se débat-elle, je suis ta mère enfin. Allez, lâche-moi.
-Chut maman, tu m'a bien demandé de ne rien dire à papa, hein ? Alors
pourquoi Louis et pas moi ?
Morgan enroule la nuisette de sa mère autour de son cou, lui découvrant
tout le corps. Ses jambes sont totalement écartées. Il commence à promener ses mains sur les coins sensibles, érogènes.
-Déconne pas Morgan, je suis ta mère quand même. Arrête, je t'en prie, pas ça.
Morgan glisse une main entre les cuisses de Nadine et, avec un doigt, fait
des va-et-vient sur la fente, jusqu'au clitoris. Une larme apparait sur
la joue de Nadine.
-Tiens, c'est quoi que je gratte là ? C'est bien dur d'un coup, ironise
Morgan.
Malgré sa position inconfortable, Nadine commence à se détendre. Elle
ferme les yeux, entrouvre la bouche. Elle a l'air d'oublier que c'est
son propre fils qui joue avec son corps, au point de laisser échapper
quelques gémissements.
-C'est mon petit bouton salaud, tu le sais bien, soupire-t-elle.
Décalotte-le ce vilain, oh mon dieu, que c'est bon ce que tu fais à ta
maman.
Morgan écarte les lèvres de sa mère et la pénètre. Nadine pousse un
cri de plaisir.
-Ouaou, comme tu mouilles m'man, tu te régales on dirait, petite vicieuse va.
-Mais c'est toi qui me fais mouiller comme ça. Vas-y, doigte bien mon
petit bouton. Oh comme tu chattes ta maman, ha, ha, oui, ne t'arrête pas
trésor, je jouis, oui, ouii.
Nadine a un orgasme furieux, son corps est pris de tremblements, ses jambes
s'agitent dans tout les sens. Doucement, Morgan la relève et la prend
dans ses bras. Nadine lui prend les lèvres, elle est heureuse.
-Polisson, sourit-elle. Qui t'a appris tout ça ?
-C'est Jenny, ma prof de gym. Je la doigte de temps en temps. Elle aussi
elle gueule.
-Ben dit donc, elle doit être chaude. Tu veux qu'on inverse les rôles ?
Maman aussi peut te faire du bien. Allez, prend ma place.
-Mais je suis trop lourd pour toi, allons, tu pourras pas me porter.
-Mais si, tu n'auras qu'à me soulager.
Nadine s'installe sur le fauteuil, pendant que Morgan quitte son boxer.
Elle découvre son fils dans toute sa nudité. Elle a un sifflement
admiratif.
-Ben mon fils, c'est moi qui t'ai donné tout ça ? Putain, quel joli
membre.
Morgan prend la position tenue par sa mère quelques seconde
auparavant. Elle le regarde en glissant une main entre ses jambes. Elle
saisit les testicules qu'elle fait rouler entre ses doigts.
-Elles sont pleines, remarque-t-elle. Il faut les vider, qu'est-ce-que tu
en dis ? Et cette queue toute raide, il faut s'en occuper aussi.
Nadine mouille ses doigts et remonte sur la colonne de chair. Morgan râle
de plaisir.
-Regarde comme maman t'a bien décalotté mon chéri, dit-elle. Hum, c'est
bon ça. Tu vas voir ce qui va sortir du petit trou là. Régale-toi mon
garçon.
Morgan se tord sur les cuisses de sa mère. Elle sait qu'elle va l'avoir.
Ses couilles remontent. Il dresse la tête pour voir ce que sa mère est
en train de lui faire.
-Je viens maman, je vais cracher, oh salope, que c'est bon, ha, ha oui.
Nadine se penche sur son fils. Sa queue est à deux centimètres de sa
bouche.
-Vas-y mon amour, donne à boire à ta maman, dit-elle, fais-toi plaisir.
Les premières giclées de semences fusent dans la gorge de Nadine. Ses
lèvres sont en contact avec le gland de son fils. Elle l'aspire pour ne
pas perdre une goutte et lui nettoie le bout de la queue.
-C'est bon mon chéri, hein ? Tu as vu comme maman t'a fait jouir,
salaud.
-Super maman, comme je t'aime. Mais dis-moi, quelle est la plus grosse
entre la mienne et celle de Louis ?
-La sienne mon trésor, mais la tienne est belle aussi.
-Je vais l'appeler pour qu'on passe la nuit tout les trois. Tu veux bien, m'man?
-Mais bien sur mon chéri. Vous voulez me niquer tous les deux, vilains. Tu
veux voir comme ton copain fait crier ta maman.
La nuit s'annonce chaude. Louis a pris les choses en mains. Nadine est à
genoux sur la moquette en train de se faire prendre par le petit trou.
-Oh mon chéri, regarde ton copain comme il encule ta maman, gémit Nadine.
C'est bon tu sais, viens que je te taille une pipe. Après, tu me niqueras
toi aussi.
L'énorme queue de Louis laboure les entrailles de Nadine. Elle a glissé
une main entre ses cuisses et presse les couilles de son baiseur pour en
faire sortir le jus. Avec ses lèvres, elle a décalotté le gland de Morgan et entame une savante fellation. Morgan a réussi à passer une main entre
les cuisses de sa mère et lui doigte le clitoris. Elle commence à couiner de plaisir.
-C'est bon maman de faire la pute, hein ? dit Morgan. Vas-y Louis, donne
lui un bon coup de queue à cette salope, fais la gueuler.
-Tu m'étonnes, avec ce qu'elle a dans le cul, répond Louis. Quand je te
disais qu'elle était bonne.
-Je viens maman, gémit Morgan, vas-y, suce-moi le fifre. Aspire ha, ha,
ouiii.
-Moi aussi je crache, poursuit Louis, prends ça bordille, oh putain.
-Bande d'enfoirés, qu'est-ce-que vous me faites, ma petite chatte est
toute mouillée, salauds. Vas-y chéri, doigte bien le petit bouton de ta
maman, fais-moi jouir.
Pendant une bonne partie de la nuit, Nadine va hurler de plaisir, se faire
prendre dans toutes les positions, par tous les trous. Elle ne compte plus
les orgasmes qu'elle a eus. Son corps est couvert de sperme, elle en a
avalé aussi. Avec sa bouche, elle a nettoyé la queue de ses amants. Des
cernes apparaissent sous ses yeux, ses lèvres sont gonflées, son clitoris
est gorgé de sang. Elle n'en peut plus. Elle supplie ses deux partenaires
d'arrêter. Morgan remplit la baignoire, Louis la dépose dedans. Tout le
monde a droit à un repos bien mérité. Ils ont tout le dimanche devant eux.
Morgan regagne sa chambre, Louis aide Nadine à s'essuyer et à passer son
peignoir. La douche l'a revigorée. Elle embrasse Louis, lui saisit les
couilles.
-Tu finis la nuit avec moi, propose-t-elle. Je prendrais bien un autre coup
de queue avant de dormir, surtout qu'elles ont l'air pleines.
-Tu veux que j'appelle ton fils, demande Louis.
-Non, répond Nadine, je parlais d'une grosse queue de black et d'une
bonne paire de couilles, pas d'un fifre.
Louis la prend dans ses bras et l'emmène à la chambre.
Frankie
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