L'un de mes meilleurs souvenirs de pieu restera celui de
Julien. Quand on commençait à baiser on savait que cela durerait
des heures et que nous ne nous séparerions pas avant de nous
être complètement vidés les couilles, tous les deux. C'était
hot, c'était hard entre nous ; de la bonne défonce virile
avec des tendances s-m qui flirtaient, parfois, avec des pratiques
un peu crad. Uro, odeurs de queue, slip foutreux et pisseux…
Julien voulait du vrai mâle, des rapports musclés, du vice
d'homme et une bonne prise en main pour faire de lui une bonne
salope à tout faire. Je crois y avoir réussi… Et ce salaud
avait l'art de me faire bander encore, quelques minutes après
m'avoir fait juter. Il aimait la bite, c'était sûr ! Je me
souviens encore de sa voix gémissante chaque fois que je lui
fourrais ma belle tige dans le fion et lui qui me suppliait
: " Oui, encore ! Eclate-moi le cul ! ". Et moi, je lui promettais
de transformer sa rondelle en garage à bites capable de recevoir
les plus gros calibres. Je le travaillais avec des gods énormes.
Je ne suis pas branché fist mais par contre, je m'amusais
à l'enculer avec des concombres, des bananes ou des aubergines.
Quand j'ai rencontré Julien, il était pratiquement puceau.
Quelques pipes, deux ou trois coups de pine entre les fesses,
rien de plus. Il avait 24 ans, j'en avais 41. Nous nous sommes
croisés sur un réseau téléphonique. Il recherchait un mec
mur et expérimenté, 100% actif et bien monté. J'avais une
bite épaisse de 18 sur 6 à lui proposer, ainsi qu'un corps
velu, 1 mètre 80 pour 83 kilos et de belles burnes poilues
à purger. Lui, il s'était décrit comme châtain, imberbe, petit
sexe fin mais très beau cul. Le temps de régler quelques derniers
détails et je lui refilais mon adresse. J'étais à poil chez
moi et je n'ai même pas passé de slip quand j'ai entendu sonner.
Je suis allé ouvrir avec la queue à moitié raide entre mes
cuisses. Là, j'ai découvert un drôle de petit minet, mignon
mais rouge jusqu'aux oreilles, terriblement anxieux et intimidé.
Il fuyait mon regard et sur le coup, j'ai pensé qu'avec ce
mec coincé, ma soirée allait être gâchée. Mais bon ! Il était
là… J'avoue que lorsque je l'ai vu à poil, avec ses jolies
petites fesses rondes et sa trique, raide comme un piquet,
je me suis fait une autre opinion de lui. Encore plus quand
il m'a dit :
- Je n'ai pas beaucoup d'expérience mais j'aimerais que tu
m'apprennes.
Finalement, avec ses airs de pucelle effarouchée, il s'est
mis à drôlement m'exciter. Il voulait apprendre, j'allais
tout lui montrer… Ce fut d'abord de bien s'occuper d'une tige
en la branlant et en la suçant. Ca me faisait bander à mort
de guider ses doigts et sa bouche sur ma bite, de lui dire
comment palucher mes couilles et mon zob tout en pompant mon
gland. Installé sur mon canapé, les cuisses très écartées
et lui, à genoux devant moi, je lui apprenais tout de l'art
d'un bon pompage. J'ordonnais et il obéissait en cherchant
à s'appliquer de son mieux. Au bout d'un moment, je lui ai
dit qu'une bonne salope devait savoir aussi bouffer un cul.
Je me suis placé à genoux sur le canapé, le corps en appui
sur le dossier et je lui ai écarté mes fesses en les empoignant
:
- Suce ! Lèche ! Encule-moi avec ta langue !
Ma petite pute docile s'est révélée être un élève doué et
motivé, un apprenti docile et très désireux de se perfectionner.
En fait, j'ai compris qu'il aimait qu'on lui parle en baisant,
qu'on le dirige, qu'on lui donne des ordres. Je ne m'en suis
pas privé, l'obligeant à bien me fouiller le cul jusqu'à ce
que, excité par sa soumission, je décide de le troncher. Il
y a une position que j'affectionne, c'est de placer mes partenaires
à cheval sur les accoudoirs de mon fauteuil club. Le cul est
bien cambré, bien offert, la raie s'ouvre d'elle-même et l'œillet
est juste à la bonne hauteur pour que ma bite puisse le défoncer.
Je lui ai d'abord léché le cul avant de le travailler avec
mes doigts. En même temps, j'obligeais Julien à répéter des
phrases après moi. Je voulais l'entendre dire qu'il avait
le feu au cul, qu'il voulait se faire niquer comme une chienne,
que son trou avait besoin d'une bonne queue… J'ai préféré
le lubrifier avec une crème avant de l'empaler. Une fois sa
rosette bien graissée, je l'ai emmanché et je l'ai enculé
à fond, le tenant par les hanches et la tête penchée pour
regarder son cul grand ouvert avaler mon dard. Julien se tordait
de plaisir et gémissait à chaque coup de reins. Son trou a
fini par bien se dilater et j'ai pu le pistonner plus violemment.
Je n'arrêtais pas de l'insulter, de lui lancer des choses
comme :
- T'aimerais, hein salope, avoir une autre bite dans la bouche
pendant que je te bourre le cul !
Je l'ai prévenu quand j'ai senti que je n'allais plus tarder
à cracher mon jus. Julien a empoigné sa petite queue et au
moment où je déchargeais, il jouissait avec moi. A chaque
spasme de son orgasme, les muscles de son trou se contractaient
sur ma queue. Quand je me suis retiré, l'orifice était rouge
et encore bien détendu. J'adore mater le fion élargi d'un
mec que je viens de sauter. Très souvent, cela me donne encore
envie de le baiser. Mais avant de le faire, j'ai exigé que
Julien lèche son sperme qui avait giclé sur mon fauteuil.
Je l'ai vu sortir sa langue et nettoyer consciencieusement
les traînées de foutre blanc et épais. Puis, je lui ai glissé
ma tige entre les lèvres…
Deux soirs plus tard, je revoyais Julien. Cette fois, il était
beaucoup moins intimidé quand je lui ai ouvert ma porte. C'est
lui qui m'a dit :
- Si tu veux, tu peux te montrer encore plus vicieux avec
moi que l'autre jour.
C'est à partir de là qu'à commencer son " dressage ". La première
idée qui m'est venue a été de lui raser le trou du cul. Il
s'est laissé faire, en levrette sur mon lit en me tenant ses
fesses bien ouvertes. Je me suis amusé à passer le blaireau
dans sa raie et à bien l'enduire de savon à barbe avant de
raser ses poils. Durant toute l'opération, la queue de Julien
est restée plaquée sur son ventre tellement il bandait. A
présent, j'avais bien cerné mon jeune minet et je savais ce
qu'il attendait de moi aussi, je n'ai pas hésité à l'attacher
sur mon lit et à le fesser avant de le baiser.
Nous nous sommes encore revus. Julien ne disait rien de ses
envies, moi seul devait lui imposer les miennes. J'ai commencé
à l'enculer avec tout ce qui me tombait sur la main : godes,
légumes, objets divers. Il ne restait plus une heure ou deux
chez moi mais il y passait la nuit entière. De temps en temps,
nous allions aussi chez lui. Il m'arrivait, par exemple, de
lui passer un coup de fil et lui ordonner de m'attendre, déjà
à poil et à quatre pattes sur le lit, prêt à se faire tirer
comme une pute ! J'arrivais et je trouvais Julien dans la
position que je lui avais imposée. Cela a duré un peu plus
de trois mois. Trois mois que je n'oublierai jamais.
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