Je me présente, je suis Sandrine, jeune femme
de 29 ans , secrétaire commerciale.
Jusqu'à septembre 2003, je
menais une vie tranquille, en concubinage, la routine s'était
déjà un peu installée dans notre couple qui commençait à
battre un peu de l'aile.
L'arrivée d'un nouveau directeur
commercial dans la société allait tout bouleverser.
Dès son arrivée je fus fascinée
par sa personnalité, c'est un homme de 42 ans, divorcé,
pas spécialement beau, mais beaucoup de classe.
Peu de temps après son arrivée,
il a annoncé qu'une des trois secrétaires commerciales devrait
l'accompagner lors de ses déplacements pour visiter les
différentes agences de la société; étant la seule à ne pas
avoir d'enfants en bas âges, je fus désignée d'office.
Et ce qui devait arriver
arriva, un soir, à notre retour à l'hôtel après un dîner
bien arrosé avec les commerciaux, je me suis retrouvée dans
son lit.
Loïc est très impressionnant
avec son 1,88 mètre.
Ce qui m'a un peu effrayée
au début, c'est la taille de son sexe, jamais je n'en avais
vu de si gros au repos ( il est déjà plus gros que celui
de mon copain quand il est en forme) et en érection c'est
délirant, 25 cm par 6,5 cm de diamètre.
Lorsqu'il m'a demandé de
le sucer, je ne pouvais prendre que son gland dans la bouche.
Ses doigts investissaient mon intimité sans ménagement et
mon jus coulait sur sa main.
Il m'a fait mettre à quatre
pattes, et tremblante j'ai senti son gland se frayer un
passage dans mon vagin. Je n'avais jamais ressenti une telle
sensation, je me sentais dilatée et lentement il progressa,
j'ai senti son pubis sur mes fesses, toute la longueur de
son sexe était en moi, je sentais son gland buter au fond
de mon vagin et dans un grand frisson j'ai eu mon premier
orgasme.
Lentement mais fermement
il commença d'aller et venir, et à ma grande surprise j'ai
eu deux autres orgasmes consécutifs, c'était la première
fois que ça m'arrivait; il se retira et présenta son sexe
devant ma bouche, sans hésiter je gobais son gland, et bientôt
j'ai senti un flot de sperme que j'ai avalé jusqu'à la dernière
goutte (c'était la première fois).
Je me suis blottie dans ses
bras, puis il me dit de prendre une douche, il m'a rejoint
sous la douche, m'embrassa, puis me dit qu'il n'aimait pas
trop les poils et qu'il allait me raser. J'allait protester,
mais il me dit de me laisser faire, c'est à ce moment que
je me suis rendue compte que j'étais incapable de lui résister,
il me fascinait, et être à sa merci m'excitait.
Après le rasage, ça me faisait
tout drôle j'avais l'impression d'avoir un sexe de petite
fille.
Il me dit de m'habiller,
car il avait envie d'une coupe de champagne, le bar de l'hôtel
devait être encore ouvert.
Au moment de prendre mes sous
vêtements il me dit:
"Non! tu n'as pas besoin
de ça!"
J'allais protester, mais
sur un ton sans appel il me dit de ne pas discuter .
J'enfilais donc une robe
noire ( boutonnée sur le devant), il s'approcha défît deux
boutons de mon décolleté et trois boutons du bas.
Le bar était presque vide,
deux hommes seuls discutaient autour d'un verre dans un
petit salon, et le serveur était derrière le comptoir; à
notre arrivée je sentis les regards se poser sur moi, j'essayais
de limiter au maximum mes mouvements pour en dévoiler le
moins possible.
Je fus un peu soulagée quand
Loïc choisit deux fauteuils un peu en retrait, je m'installai,
mais les fauteuils étaient assez bas, et ma robe ouverte
dévoila totalement mes cuisses, j'allai refermer les boutons,
Loïc me dit:
" Surtout pas ! reste comme
ça !".
Le serveur arriva pour prendre
la commande, je ne savais plus comment me mettre je voyais
bien son regard sur mes cuisses que je serrais au maximum,
le serveur reparti, Loïc passa une main sur ma cuisse, et
déboutonna un autre bouton les deux pans de ma robe glissèrent
un peu plus, l'ouverture s'arrêtait pratiquement au niveau
de mon sexe, sa main remonta un peu et m'obligea à desserrer
mes cuisses puis me dit surtout de ne pas bouger, de rester
comme ça; j'étais rouge de honte, mais bien décidée à ne
pas décevoir Loïc.
Le serveur arriva avec la
commande, il prit son temps le salaud, il avait une vue
imprenable sur mes cuisses, et je suis sûre qu'il pouvait
aussi voir mon sexe totalement dénudé, je n'osais pas le
regarder, puis il repartit.
« Bravo » me dit Loïc, je
ne t'en croyais pas capable, il m'embrassa, ( nous n'étions
pas visibles des deux clients du bar),il titilla un peu
mon clitoris, ce qui me fit mouiller à nouveau, deux de
ses doigts pénétrèrent mon vagin, c'est à ce moment que
je vis le reflet du serveur dans un miroir près du comptoir,
le salaud, il devait voir tout ce qui se passait, mais au
point où j'en étais, ça m'excitait encore plus.
A ce moment , les deux autres
clients quittèrent le bar sans nous avoir vus; Loïc en profita
pour me faire prendre une position encore plus obscène :
prenant ma jambe droite sous le pli du genou, il la posa
sur l'accoudoir, je voyais le serveur dans le miroir, son
bras droit bougeait, il devait se masturber derrière le
comptoir, les doigts de Loïc fouillaient de plus en plus
vite mon vagin et je suis partie dans une nouvelle jouissance
d'une intensité encore inconnue.
Je me suis un peu rajustée,
Loïc fit signe au serveur qui arriva à notre table et lui
demanda combien il devait.
"C'est offert par la maison,
et merci pour le spectacle!"
Mon regard se porta sur le
pantalon du serveur, une belle bosse était encore visible,
lorsque nous quittâmes le bar
En sortant de l'ascenseur
à l'étage de la chambre, Loïc défit tous les boutons de
ma robe, la faisant glisser à mes pieds il me dit de regagner
la chambre comme ça.
A ce moment je me sentis prise
de panique, je sais qu'il est très tard, mais j'ai peur
que quelqu'un sorte d'une chambre ou d'un ascenseur au moment
où je traverse le couloir qui me semble interminable, mais
heureusement tout était désert.
Arrivée dans la chambre,
je me jette sur Loïc, défais son pantalon et entreprends
une belle fellation sur son membre démesuré, ensuite il
me fait mettre en levrette et me pénètre violemment, je
sens ses doigts sur mon anus bien humide de mon jus qui
a coulé quand nous étions au bar. Ses doigts me pénètre,
deux, puis trois, son sexe quitte mon vagin et je sens son
gland appuyer sur mon anus . Je proteste il est trop gros,
il va me déchirer! Une vive claque sur les fesses me rappelle
à l'ordre, et je sens la pression s'accentuer, je pousse
au maximum en essayant de me détendre, la progression se
fait lentement mais fermement, je sens mon anus se dilater
progressivement mais ça ne
semble pas suffisant, je commence à avoir mal et le gland
n'est toujours pas passé. Loïc maintient la pression, je
pousse comme pour aller à la selle. Et d'un seul coup, je
sens mon anus aspirer le gland avec une brève douleur, j'ai
l'impression d'être écartelée, à la limite de la déchirure,
puis progressivement la douleur disparaît, mon anus s'habitue
à cette intrusion et je me surprends à aller à la rencontre
de son sexe en reculant mon postérieur, comprenant le signal,
Loïc reprend sa progression et j'ai bientôt tout son sexe
en moi. Après une série de va et vient puissants, au moment
où Loïc jouissait dans mon anus, un orgasme dévastateur
m'a emportée.
Après un sommeil réparateur,
je me suis réveillée dans les bras de Loïc ne sachant plus
si je rêvais ou si c'était la réalité; tout en m'embrassant,
il m'expliqua qu'il allait s'organiser pour écourter la
réunion du jour, et que vu que nous n'étions pas loin de
La Rochelle nous allions profiter du temps estival de ce
mois de septembre.
A suivre...
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