Comme chaque année, Marseille avait droit à un mois d'août
caniculaire. Cette après-midi-là était particulièrement
torride. Aujourd'hui, Lionel ne travaillait pas, il était
seul chez lui. Pour se rafraîchir, il avait pris une douche
et n'avait pas pris la peine de se rhabiller. Allongé dans
son canapé, il lisait un livre sans intérêt lorsque l'on
sonna à la porte. Lionel se leva et se précipita vers celle-ci.
Il regarda par le petit trou et reconnu sa voisine. Elle
s'appelait Véronique, c'était une très belle femme que Lionel
admirait. Malgré leur différence d'âge, puisque vingt années
les séparaient, Lionel avait complètement craqué sur elle.
Depuis son arrivée dans l'immeuble, sa voisine le faisait
fantasmer ! Il faut dire que Lionel avait très bon goût,
Véronique n'était pas le genre de femme à laisser les hommes
indifférents. Elle avait un corps sublime, un corps que
Lionel s'imaginait à posséder dans ses pensées les plus
lubriques, lors de ses plaisirs solitaires. Malheureusement,
la réalité était tout autre et Véronique et Lionel entretenaient
seulement des relations cordiales comme le font tous bons
voisins.
Donc Véronique était là, devant la porte de l'appartement de Lionel, elle sonna encore une fois. Que fait-elle ici ? se demanda Lionel qui lança, « J'arriveee... », en se précipitant vers la salle de bain prendre une serviette pour se la mettre autour de la taille. Enfin, Lionel ouvrit la porte et accueillit sa voisine avec un large sourire. Il y eut comme un blanc, deux secondes de silence qui semblèrent interminables. Véronique avait les yeux fixés sur le torse de son voisin. Lionel était gêné et se dit qu'il aurait dû choisir une autre tenue pour accueillir sa voisine.
Véronique se décida finalement à prendre la parole :
- Bonjour Lionel, j'espère que je ne te dérange pas ? - Absolument pas, je sors de la douche, désolé de t'accueillir dans cette tenue...
- Ce n'est pas grave, j'en ai vu d'autres... tu es très
bien comme ça !
En disant cette phrase, Véronique se mit à rougir devant
le jeune homme. Elle poursuivit en bafouillant :
- Je suis en train de cuisiner un gâteau et il me manque du sucre. Pourrais tu m'en prêter ?
- Bien sûr, avec plaisir...
Lionel était amusé par la situation qu'il avait lui même
provoquée et s'était rendu compte du trouble qui avait gagné
sa voisine.
- Ne reste pas là, rentre, je vais te chercher ça... suis-moi...
Ils entrèrent dans la cuisine. Le sucre était tout en haut,
au fond d'une étagère. Lionel monta sur une chaise pour
y accéder. Alors qu'il était perché sur celle-ci, en train
de fouiller dans ses étagères, la serviette glissa et tomba
au sol ! Lionel se retrouva complètement nu sur cette chaise
et sa voisine derrière lui assistait au spectacle. Et de
ce spectacle, Véronique n'en perdait aucune miette. Elle
se régalait les yeux en regardant les fesses rebondies qui
se trouvaient sous son nez.
- Ne bouge pas, je vais te la ramasser...
Joignant le geste à la parole, elle se pencha pour se saisir de la serviette. En se redressant, elle la donna de sa main droite à Lionel, tandis que sa main gauche venait frôler les fesses de celui-ci. Ce contact, électrisant, provoqua une soudaine érection du sexe de Lionel. Un silence et une chaleur moite régnaient dans cette cuisine.
Véronique continua ses caresses, Lionel essaya de faire
comme si de rien n'était et dit :
- Je suis désolé, je n'ai pas de sucre moi non plus.
- Ce n'est pas grave, je ne mangerai pas de gâteau aujourd'hui
.... je mangerai autre chose...
Elle caressait les fesses de son voisin des deux mains
maintenant. Ses caresses était douces et sensuelles. Lionel,
sur sa chaise, ne bougeait toujours pas. Véro déposa ses
lèvres sur ses fesses et commença à les embrasser. Ses baisers
devinrent de plus en plus sauvages, elle dévorait les belles
fesses avec ses lèvres. Sa langue entra en action. Elle
se mit à les lui lécher maintenant. Elle goûtait pour la
première fois à la peau de son voisin, elle avait finalement
trouvé le sucre qu'elle était venu chercher.
L'excitation montait chez Lionel et il pivota enfin pour
faire face à sa voisine. C'était surtout son sexe dressé
qui lui faisait face... Véro le fixait du regard, on aurait
dit qu'elle se demandait a quelle sauce elle allait le manger
tellement on pouvait lire de la gourmandise dans ses grands
yeux. Elle passa sa langue sur ses lèvres et regarda Lionel
dans les yeux. Elle approcha sa bouche devant le membre
dressé et le prit dans sa main. Elle appliqua sur celui-ci
un délicat mouvement de va-et-vient, la pointe de sa langue
venant titiller le bout du gland... Lionel pencha la tête
en arrière et soupira. Il prit alors conscience qu'un de
ses fantasmes les plus fous était en train de se réaliser.
Véronique accélérait le mouvement, elle avait pris complètement
le gland entre ses lèvres et le caressait langoureusement
avec sa langue. Lionel attrapa sa partenaire par les cheveux
et enfonça son sexe au fond de sa gorge, puis le ressortit.
- Tu es un sacré gourmand ! dit-elle
- Je ne crois pas que ce soit moi le plus gourmand de nous
deux !!
Elle continua à s'occuper du sexe de son jeune voisin. Elle l'avalait complètement, le faisait glisser entre ses lèvres. Elle jouait avec ses bourses, les léchait, les suçait... Lionel était au septième ciel sur sa chaise, Véro prenait un malin plaisir a offrir cette fellation à son voisin.
Il descendit de son perchoir après ces quelques minutes
de bonheur intense, il la saisit par la taille et l'embrassa
sauvagement. Ce fut un baiser torride ! Les deux langues
se cherchaient et s'entremêlaient. Les bouches s'entrechoquaient,
les lèvres étaient mordillées... Ce moment était interminable
et passionné, le désir les animait.
Lionel souleva Véronique pour la faire asseoir sur la minuscule
table de sa cuisine. Véro était vêtue d'une petite robe
légère idéale par ces grandes chaleurs estivales. Lionel
prolongea ses baisers jusque dans son cou, et continua en
direction de son décolleté. Véro avait une magnifique poitrine
généreuse qu'aucun sous vêtement n'enserrait. Plongeant
un doigt à l'intérieur de sa robe, juste entre ses seins,
Lionel baissa le tissu, ce qui eut pour effet de libérer
sa poitrine. Il s'en empara avec ses mains et sa bouche.
Il commença par lécher le creux situé entre les 2 poires,
tout en enfouissant sa tête... Ses seins était souples et
fermes à la fois. Il prit ses tétons entre ses doigts et
les fit rouler... puis ce furent ses lèvres qui prirent
le relais et qui s'occupèrent de ses pointes...
Lionel continua à descendre et à explorer le corps de sa voisine. Il plaça sa tête entre ses cuisses, il était nez à nez avec un charmant mini-string. À travers le tissu, il pouvait deviner les lèvres gonflées du sexe de sa partenaire. Il les caressa avec ses doigts agiles puis avec sa langue. La chaleur et l'humidité envahirent le petit bout de tissu. À travers celui-ci, Lionel appuyait sa bouche, l'odeur de cyprine l'excitait. C'est alors qu'il s'empara d'un couteau qui traînait sur la table et s'en servit pour couper la ficelle du string et ainsi dégager l'accès vers le paradis ! Avec son couteau à la main il ressemblait à un diablotin pervers. Il avait le sexe de sa voisine devant lui, à portée de langue. Il commença par y déposer un baiser, puis il écarta les lèvres avec ses doigts et sa langue vint caresser l'intérieur brûlant et humide de son sexe. Véro mouillait comme une folle et poussait de petits gémissements pendant que Lionel lui dévorait son clitoris. Il introduit deux doigts au plus profond de son vagin. Il lui dévorait le sexe et gouttait a son nectar avec délectation. Sa mouille était bonne et Lionel s'en régalait en donnant de grand coup de langue. Véro prenait un immense plaisir à regarder ce qui se passait entre ses cuisses.
Mais elle repoussa la tête de Lionel en arrière et descendit
de la table. Elle pivota et se pencha en avant pour présenter
sa croupe. Elle avait un cul terriblement bandant. Lionel
se jeta dessus la bouche en avant ! Tout s'accélérait !!!
Il devint plus sauvage !
Avec ses deux mains, il malaxait les fesses de sa partenaire puis les écarta pour y glisser sa langue. Il atteignit rapidement la petite rondelle de celle-ci, sa langue lui passait dessus pour l'humidifier. Il lui bouffait le cul et Véro était devenue complètement folle de désir et de jouissance. Avec ses lèvres et sa langue, il s'occupait à la fois de son sexe brûlant et de son petit trou. Véro mouillait tellement que son miel coulait le long de ses cuisses. Ni une ni deux, devant l'excitation de sa partenaire, Lionel se releva et plaça son sexe entre les fesses de Véro, il le frottait et se masturbait. Son membre était au chaud entre les deux fesses de sa partenaire. Puis plaçant son gland entre les lèvres de son sexe, il la caressait... Véro en était folle et ne voulait plus qu'une chose : sentir se sexe la pénétrer et aller au plus profond d'elle... Lionel répondit à son désir et introduit son membre dur dans son sexe bouillant. Elle poussa un cri de plaisir. Le membre glissa en elle dans un mouvement de va-et-vient lent et délicat... puis s'accéléra peu à peu. Le ventre de Lionel venait s'écraser sur les fesses de Véro pour mieux la pénétrer. Avec de grands coups sauvages, sa bite s'enfonçait en elle. Elle se tenait à la table pour résister à ses assauts ! Il sortit alors son membre trempé par la mouille de sa partenaire et le présenta à l'entrée de son petit trou. Il écarta de ses mains les fesses pour mieux dégager son passage et appuya doucement son gland sur la rondelle encore humide des coups de langue de tout à l'heure. Il n'eut aucun mal à la pénétrer et glissa son membre dans ce nouvel espace beaucoup plus étroit. Lionel était en train d'enculer sa voisine ! Il la pilonnait brutalement, elle était soumise à ses coups de butoir. Jamais il n'aurait pensé que sa charmante voisine était une cochonne perverse assoiffée de sexe !
Il était prêt a jouir et elle aussi ! Il sortit son membre
de son derrière et, sans avoir rien à demander, Véro se
retourna pour le prendre en bouche. Elle le suça jusqu'à
obtenir la jouissance de son partenaire. Sa semence gluante
jaillit dans sa bouche et dans sa gorge. Véro avala tout.
Elle but son jus jusqu'à la dernière goutte !
Ils restèrent assis sur le sol froid de la cuisine de longues minutes sans se parler. Ils étaient épuisés !
Véro se releva, remis sa robe, et dit :
- Merci Lionel de m'avoir dépannée ! À l'avenir je sais que je pourrai compter sur toi en cas de besoin. Je repasserai te voir...
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