L'histoire que je vais vous raconter m'est arrivée il y
a quelque temps. J'avais dû être hospitalisé pour une péritonite.
De retour à la maison, je me retrouvais seul toute la journée
à ne pouvoir pas faire grand-chose d'autre que de surfer
sur Internet, manger, me laver et attendre le passage de
l'infirmière qui venait faire mes soins.
Un matin, alors que je venais de prendre mon petit déjeuner
et de terminer de mettre la maison en ordre, je me dirigeais
vers la salle de bains pour faire ma toilette lorsqu'on
frappa à la porte. C'était la secrétaire de la boîte pour
laquelle je travaillais. Elle était aussi la femme de mon
patron. Une personne très gentille avec qui je m'entendais
très bien. Avec les années une relation de confiance s'était
installée entre nous. Je savais à peu près tout sur elle.
Jamais il n'y avait eu la moindre ambiguïté dans nos rapports,
qui se bornaient à être professionnels et amicaux. Elle
était assez jolie, pas très grande, très mince, un joli
petit fessier et une toute petite poitrine. Elle était tellement
inquiète du fait que je me sois fait opérer qu'elle avait
profité de l'occasion pour venir me rendre une petite visite.
Je l'invitai donc à rentrer et m'excusai de la laisser quelques
minutes seule pour aller passer des vêtement un peu plus
décents (j'étais encore en pyjama). Elle alla donc s'installer
dans le fauteuil et je me dirigeai vers l'escalier pour
aller à la salle de bains. Je fis couler l'eau pour me laver
et allai dans ma chambre chercher des vêtements et sous-vêtements.
Soudain elle me demanda si je n'avais pas besoin de son
aide. Je lui répondis que non, qu'à part me laver les jambes
et les pieds, le reste allait très bien. À ma grande surprise,
elle me proposa alors de venir me les laver. Très gêné par
la situation, je ne savais que répondre ; il y eut un silence
qui ne dura que quelques secondes, car elle était déjà dans
l'escalier. Je me retrouvai donc en caleçon devant la femme
de mon patron. Pour beaucoup, cette position aurait été
des plus choquantes mais, comme il n'y avait jamais eu le
moindre sous-entendu scabreux entre nous, finalement ce
n'était pas si différent que de me retrouver en maillot
de bain sur la même plage qu'elle.
J'étais debout, appuyé au lavabo ; elle prit le gant de
toilette, l'humidifia dans l'eau, mit du savon dessus et
s'accroupit pour commencer à me laver pieds et jambes.
En remontant le long de ma jambe, son visage se retrouva
à quelques centimètres de mon sexe. Je sentis monter une
légère érection. Soudain, je ne sais pas si elle l'avait
fait exprès, son visage heurta la zone intime qui était
déjà légèrement sous pression. Le début d'érection se transforma
en une belle et fière trique qui déformait allègrement mon
caleçon. Je ne savais plus que faire, j'étais très gêné
mais aussi très excité par la situation. Visiblement, elle
savait exactement ce qu'elle faisait, elle était arrivée
à ses fins. Moi, qui avais toujours cru que le sexe ne m'intéressait
pas, je crois que je m'étais trompé. Elle finit quand même
de me sécher les jambes. Sentir ses mains remonter le long
de mes jambes entretenait la tension sexuelle, même si elle
s'arrêtait à quelques centimètres de ce qui était devenu
le centre d'intérêt.
À un moment, son menton frôla l'extrémité de ma verge tendue.
Je ressentis ce contact, si bref fut-il, comme une décharge
électrique, tant mon corps était tendu. Elle reposa enfin
la serviette sur le rebord du lavabo et se tint debout en
face de moi, me regardant dans le blanc des yeux mais sans
prononcer le moindre mot.
Une bonne minute s'écoula sans qu'elle ni moi ne fissions
le moindre geste.
C'est alors qu'elle me demanda de lui faire visiter l'étage.
Je commençai donc la visite sans avoir pensé à remettre
mon pantalon. Et me voilà dans le hall de nuit, en caleçon,
avec la femme de mon patron. Je lui montrai le bureau, les
chambres des enfants pour finir par la chambre conjugale.
Une fois dans cette chambre, elle s'assit sur le bord du
lit et fit quelques commentaires sur la maison qu'elle trouvait
très belle et très à son goût. Mon érection, qui quelques
minutes plus tôt était indiscutable, était retombée. Je
pensais donc qu'en fait c'était moi qui m'était trompé et
qu'il n'y avait pas eu la moindre intention sexuelle dans
cette toilette des jambes et des pieds. J'en fus encore
plus gêné.
Je lui proposai alors de redescendre pour lui offrir à
boire et me dirigeai vers la porte. Au moment où je passai
devant elle, elle me stoppa, me fit pivoter pour se retrouver
avec mon bassin juste en face de son visage, et d'un geste
précis elle retira mon caleçon. Ma verge revint presque
instantanément au garde-à-vous. Je n'eus pas même le temps
de me rendre compte de quoi que ce soit, elle avait déjà
commencé un long mouvement de va-et-vient le long de mon
sexe. Elle me décalotta entièrement et revint lentement
en serrant ma bite entre ses doigts. J'avais les yeux fermés
pour profiter au maximum du plaisir qu'elle m'offrait.
Après quelques instant, je sentis une chaleur humide entourer
mon gland : elle entamait une fellation. J'entendais le
bruit de ma verge entrer et sortir de sa bouche, tant elle
salivait dessus. Elle agrémentait le tout de tendres caresses
sur mes fesses, sur mes testicules et la base de mon sexe.
Sa langue entourait mon gland, s'attardant sur le prépuce
et sur l'extrémité. Je ne savais que faire de mes deux mains.
J'aurais bien voulu lui retirer son chemisier pour découvrir
la petite poitrine qui s'y cachait et, qui sait, peut-être
jouir sur ses seins. Mais j'étais bloqué debout devant elle.
Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, j'étais
au bord de l'explosion. Allais-je, sans la prévenir, lâcher
dans sa bouche tout le sperme contenu dans mes couilles?
Il faut dire qu'elle ne me laissait pas beaucoup d'autres
choix vu que je ne savais rien contrôler et qu'elle ne lâchait
pas mon sexe une seconde.
Le point de non-retour était presque atteint lorsqu'elle
stoppa cette magnifique pipe. Elle retira son chemisier
et son soutien-gorge, me laissant découvrir une poitrine
qui n'était pas si menue que cela. Bien sûr, cela n'avait
rien à voir avec la poitrine de mon épouse, mais j'étais
pour l'instant loin de penser à elle. Elle ne disait toujours
rien. Une fois son déshabillage terminé, elle reprit mon
sexe dans ses mains et me fit comprendre que je devais m'asseoir
à mon tour. Elle m'offrit ses seins à embrasser et me permit
de jouer avec ses tétons. Elle les tint dans ses mains et
les porta à mon visage avant de se mettre à genoux entre
mes jambes pour reprendre sa fellation. Ce petit intermède
avait permis de faire retomber la pression.
Je n'étais plus au bord de l'éjaculation, mais savais qu'il
ne faudrait pas longtemps pour que l'orgasme soit à nouveau
proche. Elle dirigea alors ma verge entre ses deux petits
seins et me fit une branlette espagnole. Ce qui était marrant,
c'est de savoir qu'elle était d'origine espagnole (peut-être
est-ce dans ses gênes ?). Ce n'était pas ses seins qui me
massaient le plus le sexe mais ses mains qui essayaient
tant bien que mal de l'enrober. Ses tétons se dressaient
fièrement au sommet des mamelons.
Je sentais déjà remonter la pression au bout de mon gland,
l'orgasme était très proche. Elle accéléra la cadence au
fur et à mesure, me donnant de petits coups de langue pour
lubrifier mon membre. Après ces instants magnifiques, elle
reprit tout en douceur sa fellation puis augmenta la cadence
pour, cette fois-ci, me mener à l'orgasme. Elle ne garda
que mon gland dans sa bouche et me masturba énergiquement
jusqu'à ce que, dans un grand cri, je jouisse dans sa bouche.
De longs flots de sperme vinrent inonder sa bouche. Elle
n'en perdit quasiment rien, juste quelques gouttes glissèrent
des commissures de ses lèvres et descendirent le long de
son menton. Elle avala tout ce que je lui avais donné et
passa la main sous son menton pour récupérer les dernières
gouttes. Elle continua de me branler machinalement, toujours
sans dire le moindre mot, et caressa ses tétons dressés
avec l'extrémité de mon gland encore gonflé par l'excitation.
J'avais des tonnes de frissons qui parcouraient tout mon
corps. Elle ne disait toujours rien. J'avais bien envie
que cela ne s'arrête pas, mais voulais aussi lui rendre
le bonheur qu'elle venait de me donner. Cependant, la cicatrice
située au bas de mon ventre m'interdisait de la pénétrer
et même de me plier pour lui lécher le sexe. Elle se mit
debout en face de moi qui étais toujours assis sur le bord
du lit. Je lui déposai quelques baisers sur le bas du ventre
et commençai à défaire son pantalon. Elle m'arrêta immédiatement
et me dit qu'il était préférable d'attendre d'avoir repris
toutes mes forces pour lui rendre le plaisir qu'elle venait
de me donner. J'embrassai donc une dernière fois ses seins,
m'attardant sur ses tétons avant qu'elle ne reprenne son
soutien et son chemisier qu'elle remit assez rapidement
avant de sortir de la chambre.
Une fois redescendu au rez-de-chaussée, je lui offris à
boire. Puis nous avons discuté jusqu'à ce qu'elle prenne
congé car elle avait encore des courses à faire. Elle me
promit de revenir dans quelques jours me dire un petit bonjour
(et peut-être plus si j'avais retrouvé des forces).
Rendez-vous pour de prochaines aventures...
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