Ce soir, c'est la fête chez Michelle et Armand.
Dix couples environ participent à la soirée, dont
Christine et son époux Claude. Il fait très chaud. C'est dire si les
boissons sont les bienvenues. Deux créatures sortent du lot. Chris,
bien sur, belle blonde d'un mètre soixante-douze,
vêtue d'une jupe noire qui arrive mi-cuisses,
avec un sweet blanc qui laisse apparaitre le nombril. Pas de soutien-gorge. Et il y a Martine,
une superbe brune d'un mètre soixante-dix, vêtue d'un short moulant
blanc, et d'un bustier, blanc également. Toute la soirée, Martine reste
en contact avec Christine, à tel point que de temps à autre, une main ou
un coude effleurent les seins Christine.
-Oh la la, c'est pas du toc, dit Martine. J'aimerais bien en savoir davantage.
Christine est surprise devant les propos de cette
femme qu'elle connait à peine, tellement belle, et qui a l'air d'aimer
les filles. Ce qui n'est pas le cas de Christine. Elle est plutôt mâles.
-Christine, appelle Michelle, tu peux aller au
garage avec Armand chercher des boissons ?
-Pas de problème, j'y vais.
Aussitôt dans le garage, Armand prend Christine par la taille, passe ses
mains sous le sweet, et
lui caresse les seins.
-Tu es fou, dit-elle, on peut nous surprendre.
Déconne pas.
-Trop tard, répond une voix, je vous ai vus.
Ils se retournent, c'est Martine. Armand sort du
garage, laissant sa maîtresse régler le problème.
-Et si je te faisais chanter maintenant, menace
Martine. Le prochain voyage, tu me demande de
venir avec toi, d'accord? Et d'être docile. Et
que ça, ça n'y soit plus.
Martine parlait du string en glissant une main
entre les jambes de Christine. Une heure plus tard, Michelle redemande à
Christine si elle peut
approvisionner les tables.
-Bien sur, tu viens m'aider Martine ?
-Mais de suite, ma chérie. J'espère que tu as été
obéissante, lui souffle Martine à l'oreille.
Christine lui sourit, et se dirige vers le garage.
-On revient de suite, et on s'éclipse.
-Mais comment ? , riposte Christine.
-Tu me suis et tu discutes pas, OK ?
Une fois les tables alimentées, elles reviennent
au garage. Martine se rassure sur l'entre-jambe de
Christine. Elle a obéi. Elle l'empoigne par les cheveux et l'embrasse
sauvagement. Christine pince ses lèvres. Elle n'a jamais fait çà avec une
femme.
-Tu veux que je balance ton manège avec Armand?
Alors participe, lui conseille Martine.
-Oui, arrête, tu me fais mal.
Martine force la bouche avec sa langue. Cette fois
Christine répond presque amoureusement. Martine
comprend qu'elle va s'abandonner, et commence à lui caresser les seins.
-Viens, suis moi, ordonne Martine, pas de bruit.
Elles sortent par la porte de service et regagnent
un 4x4 garé dans la pénombre. Une fois dans le véhicule, Martine arrache
littéralement les habits
de Christine, qui se retrouve toute nue.
-Que tu es belle, murmure Martine.
Elle lui écarte entièrement les jambes, commence à lui caresser la chatte,
tout en lui suçant les bouts des seins qui ont doublé de volume. Au
début, aucune réaction de la part de Christine, mais maintenant, elle
commence à onduler du bassin et va à la rencontre des caresses de plus en plus précises.
-Oh, mais tu aimes, dit Martine, tu es déjà toute
mouillée. Et ton clitoris, n'en parlons pas, il
est à moitié sorti.
-Caresse moi, gémit Christine, vas-y, c'est bon,
branle moi, s'il te plait, ne t'arrête pas. Oh
putain, tu me fais jouir.
Christine a un orgasme interminable.
-Mon dieu, je me suis faite prendre. Tu m'as eue,
déshabille toi, je veux profiter de ton corps
moi aussi.
Martine tombe short et bustier, et les voilà parties dans de longues
caresses. Les mains explorent les endroits les plus sensibles, les
endroits ou les femmes aiment être caressées. Cà
crie, çà gémit de plaisir, les souffles s'accélèrent,
les jambes s'entrelacent, les chattes se frottent
l'une contre l'autre. Christine ne tient plus.
-Putain, qu'est-ce-que tu me fais, hurle-t-elle.
-Tu vas voir, ce n'est pas fini, sourit Martine.
Et les voilà positionnées en soixante-neuf. Les clitoris sont en feu,
attaqués de toute part. D'un coup, çà y est, c'est l'orgasme, elles
jouissent en criant les mots les plus obscènes.
-Salope, petite pute, tu mérites d'être connue
toi, dit Martine.
-C'est la première fois que je fais çà, tu m'as
régalée, admet Christine. Je suis devenu une
gouine maintenant. Promet moi qu'on se reverra.
-Mais bien sur ma chérie, on peut recommencer si
tu veux.
Les deux femme se lovent une contre l'autre, et repartent dans leurs
caresses.
Frankie.
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