TITRE : Une simple passante
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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Il était environ huit heure, je marchais sur la rue et observait les gens qui venaient en sens inverse. Soudain, je la voit, une fille superbe asser grande, un corps parfait qui laissait deviner ses courbes asser généreuses sous son chandail. Elle portait des lunettes teintées mais je savais très bien qu'elle me regardait. Plus loin, dans un marché, elle s'arrête devant un stand de vêtements et observe un objet plus haut que sa tête. Je la regarde toujours, tête retournée et je m'approche. Le marché était plus long que je ne le croyais. Une fois à ses côtés, je la prends doucement par la hanche et lui souffle tranquilemment à l'oreille. Elle eu un frisson mais aucun doute, elle s'appuie la tête à mon épaule. Je rescend déjà l'extase m'envahir juste à sentir son parfum. En marchand vers mon appartement, je devance l'excercise et fais glisser ma main dans sa jupe, par-dessus sa petite culotte. Juste pour sentir le relief de ce qui m'attendait. Ce qui eu son effet puisqu'un instant plus tard, je senti ma main s'humecter. Personne ne nous voyais et nous marchions lentement.

Une fois rendus à mon domicile, n'en pouvant plus d'attendre, et elle non-plus, je la souleva et la mise sur le comptoir de ma cuisine. Aussitôt, elle déboutonna sa jupe et la lança en l'air. Elle commença par se caresser lentement puis, elle sorti un engin manuel qu'elle glissa sur sa lèvre inférieure. Ensuite, elle me le donna pour que la fasse jouir, ce que je fit quelques coups pour finir avec ma langue. Son clitoris était bien visible, dur et délicieux. Elle s'installa dans le lavabo, juste en dessous de l'évier et ouvrit légèrement le robinet. Un filemment d'eau chaude parcouru son corps magnifique. Je reprit de plus belle mon mouvement de langue que je maîtrisait avec adresse. Elle s'arc-bouta un peu puis, beaucoup en gémissant d'un cri angélique jusqu'à ce qu'elle retombe lentement au dessus du lavabo, écartée et souriante.
Par la suite, nous échangeames de place. Je me retrouvis donc couché en sens inverse sur le comptoir. Elle y était toujours positionnée mais cette fois, accroupie sur le genoux, complètement nue. Mon jugement était juste, elle avait des seins parfaits, du genre à rendre jalouse n'importe qu'elle fille. Elle se mouilla les lèvres et désippa mon pentalon. Sans hésiter, elle en dégagea mon gland, gonflé et humide, pour l'insérer au plus profond de sa gorge. Sa façon de procéder était hallicinante. Elle possédait une dextérité étonnante, elle prennait le tour du gland avec ses lèvres et insérait le bout sur son palais texturé. Le tout, progressivement. Sa langue accueillait chaque partie du pénis avec délicatesse et douceur. Soudain, elle s'arrête et se positionne par dessus moi pour que je la liche. En alternance, elle fait passer ses seins sur toute la longueur de mon pénis. Une pratique qu'elle performe à merveille. Je me sentait venir et pensais que j'allais lui exploser dessus, sur son cou et sous sa bouche, mais, elle s'arrête au bout d'un moment et change de position. Elle me regarde et me dit qu'elle en voulait plus, ensuite, elle me fit dos et se penche lentement vers l'avant pour que je la pénètre mais c'est trop tôt, je la désire trop.

Au lieu de ça, je me penche aussi et constate qu'elle se masturbait rapidement, je commence alors à la licher et à entrer ma langue au plus profond de sa chatte. Je me rappellerai toute ma vie du cri qu'elle à fait et du gout de la pureté de son vagin. Je m'aide quelques temps de mon index et de mon majeur car ,maintenant, la lubrification est parfaite. Son sexe, légèrement gonflé, est parfait, doux et dépourvu de tout poils. Je salive toujours et je crois être prêt à en finir. À cet instant, avec certitude, elle a jouit très longtemps. Elle avait l'air bien et, soudain, tous ses muscles se relâchèrent. Elle se retourna avec ses yeux désireux. Je me leva et m'offra a elle. Elle sauta sur l'occasion et débuta une sucion constante en s'aidant de ses mains. Il ne suffit que de quelques coups pour que je vienne. Je déversa, avec une force surprenante, ce qui me sembla des litres de sperme dans sa bouche, ce qui fit, manifestement, son bonheur, aussitôt, elle sourit et avala tout le contenu en se secouant les cheveux. Moi, encore secoué de convulsions, j'éjaculais encore sans top viser et maintenant, la salisant de partout. Elle riait et s'essuyait. Elle ravala le tout et comença à se rabhiller. En sortant, elle remit ses lunettes et nota l'adresse de ma porte, sans dire un mot. Un dernier regard et puis elle disparu dans la rue, ajustant sa petite culotte. Jamais je ne saurai son nom mais je garde un excellent goût en bouche.
mannyAQUE

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