TITRE : Une si belle jeune fille
Catégorie : 
Histoire au bureau
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Je me présente : j'ai 47 ans, je suis veuf depuis trois ans et je suis chef de service dans une grande entreprise financière.

J'adorais ma femme et j'ai longtemps considéré qu'une autre expérience sexuelle équivalait à la tromper. Stupide puisqu'elle n'aurait voulu que mon bonheur. On ne se refait pas.

Ma vie sexuelle se résumait à me branler le soir chez moi. Un magazine érotique me servait de support à mes fantasmes. Parfois une femme croisée dans la rue ou professionnellement peuplait mes rêves.

Et puis, ma vie sexuelle a pris un tournant fort sympathique.

Depuis peu, une jeune recrue a rejoint les équipes de traders. Aurélie a 21 ans. C'est une jeune surdouée qui a eu son bac à 16 ans et qui vient juste de sortir de HEC. Physiquement, elle n'a rien d'un tâcheron : assez grande, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une poitrine voluptueuse. Son visage est assez rond mais angélique avec un petit nez fin, une bouche assez pulpeuse et de grands yeux bleus. Pourtant professionnellement, elle n'a rien d'angélique : c'est une tueuse. Notez que dans ce milieu de traders, c'est plutôt une qualité. Si bien que tout le monde finit par la détester cordialement. De toute façon, tout le monde déteste tout le monde

Heureusement pour moi, je n'ai pas de problème avec ces gens là. Mon travail d'analyste est plutôt respecté. Mon côté lunaire amuse tout le monde. Et particulièrement Aurélie. Les gens connaissaient ma triste situation et compatissaient, je pense. En fait, je suis un peu dans une bulle.

Pour ne rien cacher, elle me faisait diablement fantasmer. Ses tenues ultra bcbg, ses chemisiers fluides, ses robes sensuelles excitaient mon imagination. Et le soir dans mon lit, elle commençait à inonder de plus en plus mes rêves érotiques. Seulement voilà, mes fantasmes étaient proportionnels au côté inaccessible de cette jeune personne.

Elle était là depuis six mois. Elle venait de plus en plus souvent discuter dans mon bureau pour se détendre. Nous parlions cinéma, théâtre et bien sûr d'analyse financière. Elle était très naturelle malgré son allure de femme d'affaire. Dans le fond c'était encore une jeune fille et je pense qu'elle se donnait plus un genre qu'autre chose.

Comme tous les ans, la Direction organisait un grand séminaire dans un château à la campagne. C'était plus un grand défoulement qu'une réunion de travail.

La veille du départ, Aurélie vint dans mon bureau

- alors Alain ? prêt pour la fête

- oh, vous savez, je suis toujours un peu décalé dans ces soirées là. Et puis, c'est toujours toute une histoire pour faire garder ma fille

- oh le rabat joie dit elle en riant, et vous y aller comment ?

- en voiture

- je peux y aller avec vous je n'ai pas mon permis !

- C'est le seul diplôme qui vous manque, non ?

- Eh oui, personne n'est parfaite.

Etant donné nos logements respectifs, le plus simple était qu'elle vienne me chercher à la maison et que j'emmène ma fille chez ma sœur après.

Elle arriva à l'heure dite. Même en jean et pull tout simple, elle était ravissante. Je lui présentait ma petite fille de 10 ans. Elles sympathisèrent tout de suite. Elle m'apprit qu'elle était l'aînée de cinq enfants et qu'elle s'était beaucoup occupée de ses frères et sœurs. Je la découvrais sous un autre jour, plus détendue qu'au bureau.

Nous avons déposé ma fille chez ma sœur et nous avons entamé la route pour aller à ce fameux séminaire.

Au début du voyage, nous n'avons pas parlé. Elle m'a demandé si cela me gênait qu'elle fasse un petit somme. J'ai répondu que non. Alors elle a retiré son pull et s'est endormie quasiment aussitôt.

J'ai pris l'autoroute et je me suis lancé dans les quatre heures de route. Je jetais quelques coups d'œil furtifs vers elle. Au gré de ses mouvements, je pus apercevoir un spectacle bien agréable. Elle portait un chemisier blanc à manches courtes. Les trois premiers boutons étaient ouverts. Et par l'échancrure entrouverte, j'avais une vue plongeante sur la naissance de son sein lourd avec sa peau fine tendu. Je ne pouvais m'attarder à chaque fois que quelques secondes pour ne pas faire un écart de conduite. Mais je tournais de plus en plus mon regard vers cette ouverture pour détailler la vue. Je remarquai la lisière de son soutien gorge à balconnet en dentelle blanche ajourée. Je priais pour que le tissu s'écarte encore afin de voir plus de ce jeune sein. Je rêvais de son aréole. Cette quête était vaine mais elle agrémenta de façon plaisante le parcours. Mes pensées étaient envahies de scènes plus délicieuses les unes que les autres. J'étais bien, mon sexe en ébullition et dur.

Je dus m'arrêter pour prendre de l'essence. Elle ne se réveillait pas. Je me suis garé pour prendre un café. Avant de sortir de la voiture, je l'ai longuement contemplé. Elle était si touchante ainsi endormie. J'avoue que son échancrure me fascinait toujours autant. J'en arrivais même à me tortiller pour essayer d'en voir plus. Mais rien n'y faisait. Une idée folle me traversa l'esprit. Mais j'osai.

Très doucement, j'ai avancé mes doigts vers le pan le plus éloigné de son chemisier. J'ai délicatement attrapé le tissu pour le soulever à peine. Je pus voir quasiment tout le sein et notamment, la tache sombre du mamelon à travers la dentelle. Mon cœur battait à se rompre. Tout à coup, elle bougea à peine. J'ai sursauté en lâchant le chemisier. J'étais proche de la crise cardiaque. Elle ne se réveilla pas mais j'ai considéré que le jeu était trop dangereux. Je suis donc allé boire mon café. Elle me rejoignit un peu plus tard l'air encore endormi et en s'excusant de ne pas être un covoyageur très volubile.

Nous avons repris la route en discutant de nos vies respectives. Elle m'apprit qu'elle venait de rompre avec son fiancé. Et puis, son travail la passionnait et elle ne voulait pas s'embarrasser d'une histoire trop impliquante. Je lui dit avec amusement que c'était typique des jeunes filles modernes et qu'elle manquait quelque chose.

- et vous ?

- quoi moi ?

- vous ne voulez pas refaire votre vie ?

- je n'ai pas ça à l'esprit non. Ma fille m'occupe bien et un peu comme vous, je me réfugie dans mon travail.

- Je ne veux pas réveiller de souvenirs douloureux, je suis peut être trop curieuse ?

- Mais non, je n'ai rien à cacher

- Vous voyez vous aussi, vous préférez votre travail

- Ce n'est pas pareil

- Qu'est ce qui n'est pas pareil ?

- J'ai vécu une superbe histoire d'amour, j'ai connu ce bonheur là. J'ai simplement l'impression que vous ne souhaitez pas une histoire d'amour parce que cela nuirait à votre carrière

- Je l'avoue, je préfère des relations plus ...sexuelles qu'amoureuse dirons nous, et puis le prince charmant ne court pas les rues

- Pourtant ce ne sont pas les prétendants qui doivent manquer

- Qu'en savez vous ?

- Vous êtes ravissante, Aurélie, ne me dites pas que les hommes ne sont pas à vos pieds

- Je suis flattée.....sur ce point c'est vrai, je n'ai pas vraiment à me démener pour trouver un partenaire. Mais je peux vous dire que je n'ai pas vraiment trouver l'amant idéal. Les hommes ne cherchent pas autre chose que leur plaisir immédiat

- Eh bien quelle vision de la gent masculine ! ! dis je en riant

- Je vous choque ?

- Pas du tout, je suis amusé tout au plus, peut être l'écart de génération

- Vous n'êtes pas si vieux

- A mon tour d'être flatté, néanmoins je ne peux rivaliser avec vos jeunes partenaires sur bien des points hihihi oh excusez moi je deviens grivois

- Non, c'est amusant de vous entendre parler comme ça

- Je n'aurais peut être pas dû, chacun doit garder son jardin secret

- On peut aussi se confier, ça fait du bien de temps en temps

- Je suis heureux de bénéficier de votre confiance

- Je vous respecte beaucoup, Alain, vous êtes la seule personne au bureau avec laquelle on peut parler dans cette société

- Il faut dire que vous voulez tous être calife à la place du calife, se confier c'est déjà s'affaiblir dans la course aux honneurs

- Eh oui, au moins avec vous, on n'est pas jugé constamment et on peut discuter de plein de sujet qui n'ont pas de lien avec le travail, c'est rafraîchissant

La discussion continua et je ne sais pourquoi, elle commença à critiquer les uns et les autres. A chaque fois, je lui rétorquais que ce n'était pas bien de critiquer son prochain. Mais elle avait envie de se défouler, c'était net.

- je peux me permettre une remarque ?

- oui

- je trouve que vous manquez beaucoup de tendresse dans votre vie, de tendresse à donner, de tendresse à recevoir. Vous vous êtes construite une carapace dure, si dure.

- La vie n'est pas facile Alain

- Je sais....

- Excusez moi

- Ce n'est rien

La conversation dévia heureusement sur des sujets plus culturels. Nous sommes enfin arrivés au château. Nous avons gagné tous les deux notre chambre. Elle me demanda de venir la chercher à 8 heures pour l'apéritif.

Cela nous laissait peu de temps pour prendre une douche et se préparer. Je suis allé frapper à sa porte. Elle me cria de rentrer. Elle était encore dans la salle de bain. Je pénétrais donc dans cette chambre luxueuse (la Direction ne faisait rien à moitié). J'ai remarqué tout de suite sa valise ouverte avec ses vêtements et sous-vêtement éparpillés autour et ce parfum délicieux qui flottait dans la pièce. Mes sens s'éveillèrent de nouveau en me remémorant la vision paradisiaque dans la voiture.

- je suis prête dans cinq minutes dit elle en sortant de la salle de bain

Elle portait un pantalon large en coton très fin noir qui moulait admirablement ses petites fesses et un caraco en satin blanc aux fines bretelles et bordé de broderies finement tissées sous lequel il était manifeste que sa poitrine ballottait librement. Elle se pencha en avant pour ramasser ses affaires. Le satin s'écarta de son corps et de nouveau je pus profiter largement d'une vue plongeante sur les deux globes fermes. Lorsqu'elle se redressa, mes yeux fixaient ses seins moulés par le satin et les tétons qui formaient deux petits appendices au sommet de ces monts de douceur.

- j'aurais peut être du mettre un soutien gorge dit elle en riant

J'étais rouge pivoine.

- euh non, euh je ne sais pas oui

- ma tenue vous plaît alors reprit elle avec un air malicieux en enfilant une veste noire assorti au pantalon.

- Vous êtes sublime Aurélie

- Alors allons y fit elle gaiement en me prenant le bras.

J'étais tout honteux. Mais je profitais du bonheur d'être à son bras, de toucher son corps même imperceptiblement.

La soirée fut très gaie. Mais à chaque fois que je me rappelais sa réflexion, mon cœur se serrait. J'étais aller trop loin. Pourtant quand je croisais son regard (elle était à ma table), elle me souriait comme si de rien n'était. Pour oublier, je bus pas mal de champagne ce qui eut pour effet de me laisser aller à une douce torpeur.

A la fin du repas, la plupart des personnes présentes rejoignirent le dancing du Château. J'étais rester discuter avec quelques Directeurs. Laissons les petits jeunes s'amuser ! Nous avons décider au bout de deux heures de les rejoindre pour voir la fête qui battait son plein au son de la musique techno. Puis ce fut le tour d'une chenille sur je ne sais plus quel air. Nous les regardions, nous, les vieux croûtons, se mettre en file indienne en se tenant par les hanches et commencer à aller un peu partout sur la piste de danse. Aurélie en faisait partie et quand la chenille passa à côté de notre petit groupe, elle m'entraîna malgré moi dans cette cavalcade échevelée. Enfin un quart d'heure plus tard, cela cessa à mon plus grand soulagement. Aurélie semblait s'amuser comme une petite fille. La musique suivante était un slow.

- vous m'invitez ? me demanda t-elle

- ouh là je ne sais pas danser

- un slow ? ça n'a vraiment rien de compliqué, même les plus nuls savent le faire

Piqué au vif, je me laissais entraîner à nouveau. Mais je fus tout chamboulé quand elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule, son buste lové contre le mien. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. J'ai posé timidement les mains sur ses hanches. Et nous avons tourné lentement ainsi au rythme lancinant du slow. Nous ne parlions pas. Aussi chaudement coincé contre son jeune corps ferme et le champagne aidant, les images de l'après-midi et de son caraco blanc me revinrent à l'esprit.

- je voulais m'excuser Aurélie lui dis je doucement à l'oreille

- pourquoi ? répondit elle aussi discrètement

- pour tout à l'heure

- je ne vous comprend pas

- lorsque je vous ai rejoins dans votre chambre

- je ne vois toujours pas

- eh bien euh j'ai, je crois, eu un regard un peu trop insistant sur...enfin vous voyez

- sur mes seins ?c'est ça ?

- oui

- vous êtes mignon

En complément de sa réponse, elle se blottit contre moi encore plus fort. Je pouvais sentir son ventre contre mon sexe. C'en était trop et je ne pus réprimer une superbe érection. Gêné, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me dise de façon câline :

- restez tranquille

Je me suis alors laissé aller à bander contre elle, à lui faire sentir mon désir pour elle. J'aurais voulu que cela dure des heures. La musique prit fin et le DJ enchaîna sur un morceau endiablé de techno. Heureusement qu'il y avait une pénombre suffisante pour cacher mon érection qui déformait mon pantalon. Quelle allait être sa réaction ? Elle me glissa à l'oreille :

- partons d'ici, prenez une bouteille de champagne et rejoignez moi dans ma chambre

Elle s'éclipsa me laissant là un peu bête. Je tournais la tête à droite et à gauche : personne n'avait rien remarqué. Je mis un peu de temps à trouver une bouteille et deux verres. J'ai monté les escaliers quatre à quatre le cœur battant et c'est un peu essoufflé que je frappais à sa porte. Elle vînt m'ouvrir. Elle fumait une cigarette en m'attendant.. Je servis les deux coupes et lui en tendit une.

- trinquons à cette belle journée dit elle en faisant tinter son verre avec le mien

- tchin

Nous bûmes une gorgées. Elle posa sa coupe et écrasa sa cigarette. J'étais intrigué. Très lentement, elle déboutonna sa veste et écarta les pans pour la faire glisser le long de ses bras. Elle se cambra bien droite les seins en avant. Ses tétons avaient manifestement grossi car j'avais l'impression qu'ils allaient transpercer la mince étoffe satinée d'un blanc écarlate.

- alors le spectacle vous plaît il toujours autant ?

- je dois l'avouer, Aurélie, mais que dois je comprendre ?

- Vous m'avez dit que je ne savais pas donner de tendresse alors je me suis dit qu'il était temps d'apprendre

- Et vous m'avez choisi comme cobaye ?

- Cela vous embête ?

- Je suis surpris

Elle me prit la main et la posa sur son sein. J'avais l'impression d'être comme un puceau devant sa première expérience. Ce plaisir, je me l'étais interdit depuis si longtemps. Il fallait profiter de l'occasion. Je commençais alors à caresser son sein à travers le satin du bout des doigts. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Mon sexe entrait en fusion. Mon pantalon était déformé une fois de plus de manière extravagante. Elle avança sa main jusqu'à cette bosse et pressa tendrement mon sexe bandé. Je soupirais profondément de ce plaisir retrouvé. Mes doigts parvinrent au téton et je me mis à le pincer tout doucement. Elle ferma les yeux en lâchant à son tour un gémissement de désir. Je me suis penché et j'ai embrassé la pointe de son sein. J'ai entrouvert mes lèvres pour happer tout son bout de sein et pour le sucer tranquillement. Sa main me caressa la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je m'écartais pour la contempler. Ma salive avait mouillé le tissu. Le satin était plaqué contre le haut de ce mont de chair et moulait à la perfection les formes de son large mamelon. Elle continuait de palper mon sexe. Elle s'attaqua à ma ceinture. Je la laissais faire sans agir. Elle a eu tôt fait d'ouvrir mon pantalon qui tomba à mes pieds. Mon slip cachait à peine mon sexe. Elle saisit l'élastique et en s'agenouillant elle libéra ma queue qui se déploya devant son visage jusqu'à être dressé en l'air.

- eh bien quelle belle forme !

- je n'ai pas été aussi dur depuis bien longtemps

- j'en suis heureuse

Avec attention, elle décalotta mon gland qui me donnait l'impression de vouloir exploser dans la seconde qui suivait. Elle saisit ma hampe entre deux doigts et avec un air coquin, elle darda sa langue pour léchouiller le frein et tout le tour du gland. Je ne pus refréner une plainte de plaisir. Quels picotements sublimes ! Elle commença à entreprendre mon gland brûlant entre ses lèvres. Elle le suçotait comme une grosse friandise. Elle le relâcha pour laper de sa langue agile toute ma hampe jusqu'à mes bourses. Elle les lécha avec application. C'était fait sans précipitation, elle tenait toujours ma hampe de ses deux doigts comme un objet fragile. Mais sa langue me prodiguait un plaisir au delà du divin. Elle reprit mon gland dans sa bouche pour le sucer et le faire rouler sur sa langue. Je me retenais déjà pour ne pas partir dans l'extase.

Sa main enserra ma hampe et elle débuta une masturbation tout en léchant et aspirant mon gland. Je gémissais sans retenue. Je plongeais mes doigts dans son épaisse chevelure noire. Je regardais ce visage de jeune fille absorbée à me prodiguer une fantastique fellation. Plus rien n'existait hors ce moment de plaisir intense. J'imprimais un mouvement de hanche lascif pour baiser sa bouche. Elle comprit et accompagna mon mouvement en accélérant le va et vient entre ses lèvres. Je me crispais pour faire durer la montée du plaisir.

- ahhh ouiii ouiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Je lâchais tous mes muscles d'un coup et ma verge dure comme du métal, se gonflant encore, cracha de longues giclées de sperme dans sa bouche et sur son visage. Elle me branlait presque violemment comme pour faire sortir la moindre goutte de liquide de mon bâton en fusion.

J'eus bien du mal à reprendre mes esprits. Je rouvrais les yeux pour découvrir ses yeux me regardant avec douceur, son visage maculé de sperme, son sourire enfantin. Je lui fis le sourire d'un homme totalement comblé. Je me suis plié en deux pour prendre son visage entre mes mains et l'embrasser à pleine bouche mêlant nos salives et goûtant avec elle mon sperme encore chaud.

Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. Je lui caressais le visage et sa chevelure comme à une enfant. Je me suis allumé une cigarette. Elle s'est blottie comme une petite chatte contre moi. Lorsque j'ai écrasé ma cigarette, elle dormait. J'étais frustré car j'aurais bien voulu lui rendre la pareille et, aussi je l'avoue la déshabiller entièrement. Mais elle dormait si profondément. Je me suis levé sans la réveiller et j'ai regagné ma chambre.

A suivre

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