TITRE : Une semaine aux Baléares
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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Je m'appelle Anaïs. Comment ai-je pu me retrouver là dans le lit d'un inconnu ? Je m'en veux terriblement, mais en même temps je savoure la plénitude de ma chair repue de plaisir, même si j'ai consenti pour cela à la laisser se faire outrager par une débauche de luxure et à la laisser se repaître avidement de ce mâle.

Les seuls plaisirs solitaires que j'avais connu jusqu'à hier et que ma main aimait à me donner sans pudeur aucune, font bien pâle figure à coté de ceux découverts en mêlant ma chair à celle de cet inconnu dans leur plus profondes intimités.

Comment aurait il pu en être autrement ? Ce n'était qu'un manège mille fois répété. Dans mon lit, le sommeil tardant à venir, mes doigts, innocents d'abord, se glissant sous l'élastique de ma culotte, pour calmer un léger manque de je ne savais quoi, s'attardant au delà de cette frontière pour s'enrouler autour des boucles du haut de mes poils pubiens, puis se laissant attirer insensiblement plus bas pour lentement amplifier leur jeux. Mes seins qui s'émeuvent et de concert avec le haut de mes cuisses. Ces doigts qui lentement se laissent glisser en virevoltant sur les pentes de mon mont de Vénus, jusqu'au renflement à la commissure de mes grosses lèvres. Ils glissent légèrement sur le haut de leurs rives et accentuant et relâchant tour à tour leur pression. Incapable de les arrêter, je sens mon majeur répondre maintenant à l'appel de plus en plus insistant de ma chair. Il force le sésame de mes grosses lèvres y répondre pénétrant dans mon intimité, effleurant au haut de mes lèvres intimes et le fourreau de mon pistil et l'écrin de la perle que j'ai déjà exploré du regard dans le miroir. La douce vibration de mon majeur fait lentement enfler cet écrin qui bientôt s'entrouvre comme une gousse de noisette trop mure pour libérer ma perle dilatée. Mon majeur continue son ballet, je sens ma chair s'offrir à ses caresses, mes cuisses s'entrouvrent, mes hanches se contractent et se relâchent tour à tour pour offrir ma chair à ses caresses. Je me sens perdre tout contrôle sur ma chair assoiffée de toujours plus de soins, mes seins frissonnent, mon majeur s'enfonce dans les profondeurs de ma fente ruisselante de je ne sais quoi, il explore les rives ondulées de mon puit, mes reins se cambrent, il plonge dans ses profondeurs pour revenir à son antre caressant les replis de sa paroi que lui offre mes reins qui se cambrent. Ma langue dardent entre mes lèvres, mes yeux se ferment savourant le bien être de ma chair, j' imagine un homme là près de moi, nu, il me laisse caresser son sexe comme je le faisait avec mon frère, mon aîné de peu, dans sa jeunesse, je le sens grandir dans ma main et j'ai une envie irrésistible de le prendre dans ma bouche comme quand je jouais au docteur avec un copain mon frère et qu' il enfonçait sa langue dans mon sexe ou plus tard quand je l'ai senti jaillir en saccade dans ma bouche. Je me rappel la saveur de sa sève si douce et anisée. Mais bien vite j'a été séparé de ce copain.

Qu'il est bon cet émoi que je ressens dans ma chair et que je n'ai jamais connu avant. Je voudrais maintenant ce sexe entre mes cuisses, le sentir me pénétrer comme me pénètre mon majeur, le sentir jaillir en moi comme le sexe que j'ai senti jaillir dans ma bouche. Mes reins s'arquent de plus en plus haut, mon sexe toujours plus avide de caresses, je sens une vague de bonheur enfler en moi, plus grosse, toujours plus grosses, je m'offre sans pudeur aux caresses de mes doigts, m'offre encore sans plus aucun contrôle sur ma chair m'abandonnant à la luxure, soudain l'arc de mes reins s'effondre, ma bouche laisse échapper des râles avec le plaisir si intense qui m'envahit, mes reins vont et viennent offrant toute l'intimité de mon sexe à ces caresses. Je jouis, jouis toujours plus sans pouvoir arrêter le manège infernal de mes doigts. Mon sexe ruisselle, mes doigts suivent le flot de la lave qui se déverse de mon cratère jusqu'entre mes fesses pour atteindre mon œillet sur lesquels ils s'attardent un instant.

Epuisée par tant de fougue mon ardeur se calme et je reste alanguie dans mon lit ; Reprenant progressivement mes esprits je ne peux résister à l'envie de goûter cette lave qui m'inonde. Je porte mes doigts à ma bouche pour découvrir sa saveur surprenante d'abord avec son odeur de marée mais bien vite si grisante que j'enfonce mes doigts dans ma bouche pour les sucer goulûment. Sautant dans ma douche pour effacer toute trace de ce plaisir solitaire mes doigts ne peuvent résister à s'attarder encore dans ma fente qui veut encore les mouiller. Je m'abandonne et laisse jaillir mes flots dorés entre mes doigts. Quelle libération j'éprouve, c'est comme si tous les interdits de ma jeunesse disparaissaient.

Jusqu'à ce jour ce ne fut que ces plaisirs solitaires que j'imaginais être ce qu'on appelle le 7ème ciel. Aujourd'hui seulement je découvre que c'en était encore bien loin.

A 25 ans je me suis offerte une semaine aux Baléares avec mon amie Martine, mon aînée, divorcée, n'ayant peur de rien, boute en train, et bien décidée à me dévergondée.

Dans l'avion j'étais assise à coté d'un homme que n'avais pas cherché à détailler. J'ai su plus tard, bien plus tard, qu'il avait une quarantaine d'années mais en paraissait 30. Au cours du vol il a entamé une conversation anodine au cours de laquelle j'ai imprudemment lâché le nom de notre hôtel.

Dans l'après midi Martine et moi nous avons apprécié la plage et après dîner, nous nous sommes installées à la terrasse de l'hôtel pour apprécier la fraîcheur du soir. Martine m'avait proposé d'aller en boite, mais je n'étais pas très enthousiaste.

Tout en sirotant un gin fizz, je vis soudain apparaître mon compagnon de voyage, accompagné par un autre homme d'âge similaire.

De toute évidence à ma recherche, il m'aperçoit, s'approche et nous demande l'autorisation de prendre un verre. Martine sans attendre ma réponse dit " oui, bien sûr " avec empressement ravie d'avoir trouver un compagnon pour aller en boite. Nous sirotons chacun un cocktail musclé et parlant de choses et d'autre. Bien vite Martine s'échappe avec son nouveau compagnon. Nous continuons notre conversation et Jacques, c'est son nom, m'offre encore un autre cocktail que je ne peux me soustraire à accepter.

Bien vite son effet se fait sentir et j'indique à Jacques que je souhaite aller dormir. Je salue Jacques et me dirige vers ma chambre. Notre hôtel est du style motel, de plein pied avec une terrasse et quelque plante en façade. Pratiquement arrivée à ma chambre, ouvrant la porte, j'entend Jacques qui m'avait presque rattrapée, me dire de loin " quand pourrait on se retrouver demain ? ". Je lui réponds machinalement " sur la plage, vers le sémaphore ". Il est maintenant à coté de moi. Il me propose une bise ce que j'accepte. Ce faisant il prend ma tête entre ses mains et dépose un baiser sue mes lèvres. Griserie de l'alcool, je le laisse faire sans résister. Prenant cela pour une invite, il me serre dans ses bras tandis que sa langue force le barrage de mes lèvres. A nouveau je m'abandonne à son baiser qui devient fougueux tandis qu'il me pousse doucement dans la chambre et referme la porte derrière lui. Un peu désemparée par mon abandon à la fougue de son baiser, je lui propose de prendre un verre. Il opte pour le champagne que je sors du minibar. Je l'invite à s'asseoir sur le canapé seul siége de la chambre et trinque avec lui. Le canapé n'est pas très large et je peux ressentir non loin de moi la chaleur de son corps. Mais je suis bien décidé à résister à toute avance. Dans le cours de la conversation il pose nonchalamment la main sur mon genou. Je tressaille mais ne dit rien. Je cherche à me lever mais il me retient et m'enlace. Je veux résister mais déjà mes lèvres sont assaillies par les siennes. Mes lèvres, encore sous le charme de son baiser précédent, s'offrent aux siennes. Dans la fougue de son baiser je sens sa main errer sur ma jupe s'attardant sur la dépression à la fourche de mes cuisses, s'abaisser jusqu à mi cuisse pour remonter sous ma jupe. Je serre les cuisses, bien décidée à résister à ses assauts. Mais déjà je sens le contact de ses doigts sur ma culotte. Je m'échappe et vais m'asseoir sur le lit. Mais ces doigts ont déjà mis ma chair en émoi. Il se lève comme pour partir en disant qu'il ne veut rien faire que je ne souhaite pas.

Ce faisant il pose sa main sur mon épaule et entame un massage très doux. Je vibre de toute part. Il m'embrasse à nouveau, sur les lèvres, sur l'oreille et dans le cou. Ma chair est en feu. Etourdie par l'alcool, je le laisse m'allonger sur le lit en lui demandant de partir, bien décidée à résister à ses assauts. Il dépose un baiser sur ma poitrine. Je sens sa chaleur à travers la fine étoffe de mon corsage. Je ne porte pas de soutien gorge et s'il ne l'avait pas découvert avant ses lèvres n'ont pas manqué de lui révéler. Ses doigts glissent à nouveau sous ma jupe à l'assaut de ma culotte. Je le laisse faire confiante, les cuisses serrées, dans ma volonté pour y résister.

Devant l'échec de ses tentatives il dépose un baiser sur mon genou, puis sur l'intérieur de ma cuisse. Non préparée à la douceur de ce baiser, j'ai peine à y résister. Je me sens déjà ruisselante dans ma culotte. Lentement ses baisers montent le long de ma cuisse tandis que sa tête s'enfonce sous ma jupe protégeant la pudeur de mes yeux. Je sens maintenant ses baisers atteindre ma culotte, rendre hommage à mon mont de Vénus. Je sa langue se presser contre le pontet humide de ma culotte entre mes cuisses. Je veux résister mais avec la complicité du voile pudique de ma jupe sur les assauts de cette bouche, je sens inexorablement ma chair échapper à mon contrôle. Je ne peux réprimer mes hanches qui s'animent de micro mouvements. La bouche de Jacques les a sûrement détectés car sa fougue augmente. Mes hanches ne peuvent résister plus longtemps, elles s'animent, je capitule. Jacques a compris ; Il fait glisser lentement mon slip le long de mes hanches tandis que sa bouche investit au fur et à mesure le terrain libéré de son écran. Qu'elle est bonne cette bouche qui viole la virginité de mon intimité sans s'exposer à mes regards désemparés. Mes hanches offre malgré moi mon clitoris à cette langue qui l'enlace. Qu'elle est bonne cette langue qui butine le miel de mon sillon. Je l'imagine aussi grisant pour Jacques qu'il l'était pour moi

Je voulais me laisser jouir de sa lèche partout j'essayais d'écarter mes jambes mais elle étaient entravées par ma culotte descendue à peine à mi cuisse.

Jacques le compris et me débarrassa totalement de ma culotte en la faisant glisser le long de mes jambes. Que c'est bon d'être comprise sans un mot. Jacques repris sa lèche avec encore plus de fougue. J'écartais mes cuisses le plus que je pouvais pour laisser le champ libre à sa bouche et à sa langue.

Hmmm quel délice de sentir sa langue s'enfoncer loin en moi avide de mon suc que je sentais suinter de mon puit avec délice, délice de le satisfaire, délice d'être prise, possédée dans les recoins les plus reculés de ma chair. J'exultais. Je compris vite que le meilleur moyen de m'offrir à lui sans la moindre réserve c'était de replier mes jambes sur moi-même. Je lui offrais ainsi l'intégralité de mon intimité qu'il pouvait dévorer à sa guise à la carte. Je sentis aussitôt sa langue plonger entre mes fesses pour lécher mon œillet. Délice encore inconnu, C'était si jouissif. " Oui Jacques, pensais je dans mon esprit, bouffe moi ". Je sentis sa langue prendre possession de l'étroit goulet que dont l'entrée est gardée par mon œillet, C'était si bon. Me sentir pénétrée par là. Encore des interdits dont je me sentais libérée. J'aurais voulu qu'il me goûte, me mange et je le sentais bien avide de moi, mais les réflexes de l'interdit n'étaient pas encore vaincus. Mes mains tiraient sur mes genoux pour m'offrir toujours plus.

Conscient que j'étais arrivée à un point de non retour Jacques repris son manège alternativement sur mon clitoris et dans mon puit d'amour.

Je sentais la vague monter en moi enfler, irrésistiblement, mes reins s'arquer cherchant le ciel. Sa langue experte obtenait tout de moi. Soudain l'arc de mes reins s'effondra accompagné d'un râle irréprimable et sonore. Il était là mon plaisir, mon orgasme, irrésistible je m'abandonnais a lui sans retenue dans la jouissance la plus totale incapable de retenir mon plaisir si intense que je ne contrôlais plus rien. Je sentais ma vessie me trahir et libérer quelques perles dorées que la bouche de Jacques cueillit goulûment. Je laissais ma source sourdre doucement et pour assouvir la soif de Jacques.

Cette gratification libera Jacques de toute retenue, me sachant maintenant hors de mon self contrôle et prête à tout donner et à tout prendre.

En quelques secondes sans savoir comment je me retrouvais nue totalement nue devant lui, exposant ma nudité sans honte et sans pudeur. Lui aussi était nu, complètement nu, le sexe brandit par le désir de moi. Il s'assit sur mes hanches. Je savourais le contact de son cul sur mon clitoris et de ses bourses sur mon ventre ma langue dardait entre mes lèvres dans un appel irréprimable à de nouveau plaisir. Jacques s'allongea entre mes cuisses et me pénétra profondément sans que j'offre la moindre résistance. Il embrassa mes seins et se mis à aller et venir en moi. Bien vite mes anches s'animèrent, mon pubis s'élançant vers lui au rythme de ses aller et venue. Je me sentais possédée. Je voulais qu'il me pénètre au plus profond de moi. Il fit passer mes jambes sur ses épaules pour que je lui sois offerte sans réserve. Je ne pouvais que recevoir ses coups de butoir sur mes fesses en le sentant loin en moi. J'ondulais sous lui pour parfaire notre coït. Mes reins se arquaient je sentais la vague de désir enfler de plus en plus en moi. Ses allés et venues s'accéléraient pour soudain me pénétrer avec vigueur et marquer une courte pose au plus profond de sa pénétration dans mon sexe qui s'offrait. J'étais à, prête, en quête de lui. Soudain la pose se prolongea, l'arc de mes hanches s'écroula mon orgasme explosa tandis que je sentis la salve de son sexe en moi jaillir puissamment, ses allées et venues reprirent plus saccadée accompagnées à chaque zénith d'une nouvelle salve et d'un nouveau jet qui m'inondait et comblait ma chair avide de lui. Mon corps se désarticulait de plaisir sous lui. Quelle plaisir de me sentir emplie par lui, prise au fil de ses allées et venues il m'inondait de lui et je sentais mon sillon entre mes cuisses ruisseler sans savoir si cela venait de lui ou de moi. Ma tête gesticulait dans tout les sens laissant échapper un " ahhh ouiiii " a chaque zénith de ses assauts je sentais la marée entre mes cuisses se répandre, déborder entre mes fesses et baigner mon œillet m'entraînant par ses va et vient en moi à le suivre jusqu'à un nouvel orgasme et puis un autre avant que sa chevauchée sur moi se ralentisse et se calme jusqu'au repos. Je contractais mon vagin autour de son sexe pour qu'il m'abandonne les dernières gouttes de son sperme.

Nous somme resté la alanguis, savourant de sentir son sexe rester en moi .

Puis il m'échappa, me laissant un vide en moi vite comble par le contact de son sexe sur mon ventre en glissant jusqu'à ma poitrine. Tandis que je sentais ses couilles balayer mon ventre je sentais sa verge aller et venir entre mes seins que ses mains pressaient pour les réunir comme une paire de fesses. Son sexe allait et venait entre eux.

Quel jouissance de me sentir prise par mes seins.

Viens suppliais je

Il guidait maintenant le bout de sa verge sur mes tétons

Je regardais sa verge enduire mes tétons de sa mousse

Viens maintenant suppliais je

Je regardais sa verge ne voulant rein perdre du spectacle.

Il se branlait sur ma poitrine

Je vis le trouble gagner ses yeux au regard fixe vers le haut

Et soudain jaillir sur mon sein comme une salve

Répartissant les salves successives entre mes deux tétons

Hmmmm les aspergeant de son sperme que mes doigts répandaient sur mes seins

J'ouvris grande ma bouche en lui disant viens. Il pivota sur le coté et ma bouche alla chercher son sexe pour le baiser mes lèvres le prirent pour goûter ce sperme dont j'avais été sevré si longtemps. Je sentais ma saveur sur son sexe mêlée à la sienne.

Je l'attirais à moi pour le sucer avidement mes lèvres s'attardant sur son gland dénudé tandis que ma langue cherchait l'embouchure de cette savoureuse clarinette. Mes mains pétrissait ses couilles, je le tétais comme un veau tétant se mère ma bouche secouant cette verge comme un pis pour qu'il se livre. Mes lèvres glissèrent le long de cette hampe pour faire pénétrer cette verge jusqu`à ma gorge. Je le voulais être prise là comme dans un sexe, mon sexe du haut.

Il pivota et plongea à nouveau sa tête entre mes cuisses

Sa bouche avide me dévorais léchais mon miel mêlée a son sperme jusqu'entre mes fesses sur mon cul. Je me donnais à nouveau à lui sans réserve.

Je sentais sa verge aller et venir dans ma bouche pour se presser au fond de ma gorge

Je sentais ma chair s'abandonner à lui pour lui offrir à nouveau ma jouissance qui ne tarda pas à venir

Je jouis et sa verge s'enfonça loin dans ma gorge au risque de m'étrangler et jaillit au fond de ma gorge, sans que j'ai la moindre possibilité de me soustraire à la perte de la virginité de cette gorge se laissant prendre comme un sexe et son insémination, gavée, comme une oie, de son sperme sans pouvoir résister à son coït buccal |Après une première salve que je sentis couler dans mon oesophage, sa verge se retira légèrement pour délivrer ses autres salves dans ma bouche envahie par la saveur de ce sperme qui emplissait ma bouche.

En signe de gratification ma source resurgit. En le sentant la boire avidement j'avalais à petite gorgée ce sperme en jouissant de me sentir emplie de lui comme je l'emplissais,

Je l'entraînais dans la baignoire en le suppliant de m'arroser de lui.

A genoux devant lui je m'offrais à lui pointant sa verge sur moi

Bientôt quelques gouttes commencèrent à perler puis bien vite un jet puissant jaillit, je dirigeais sur mes seins et entre mes cuisses, J'exultais de me sentir ainsi imprégnée de lui

Je guidais sa verge a ma bouche pour goûter à lui et et dirigeais son jet sur mon ventre entre mes cuisses mes relevant pour me faire pénétrer et le sentir jaillir en moi.

Une fois la source tarie, et après une bonne douche nous nous recouchâmes.

Incapable de trouver le sommeil je ne pouvais m'empêcher de me remémorer tous les plaisirs qu'il m'avait donnés en pensant que mes plaisirs solitaires n'avaient pas grand chose à voir avec cela.

Le lendemain nous nous sommes retrouvés sur la plage.

Nous nous sommes promené et chemin faisant nous avons découvert l'entrée d'une grotte immergée à marée haute ma\is découvert à marée basse.

Nous y avons pénétré. C'était un espace relativement vaste avec un rocher en son centre d'environ 40 cm de haut en forme de pain de sucre.

Ne pouvant résister à l'appel de mos sens nous nous sommes tous deux mis nus.

Jacques s'est assis sur le pain de sucre son sexe dressé. Je me suis faite empalée par lui, pénétrée profondément et nous avons jouis bercé par le clapotis des vagues.

Nous avons jouis notre plaisir était décuplé par le fait que nous sachions que nous pouvions être surpris à tout instant dans nos ébats amoureux.

Il n'en fut rien et nous sommes ressortis de la grotte juste avant la marée haute sans que quiconque puisse imaginer le secret de nos ébats.

La semaine s'est vite terminée

Je n'ai jamais revu Jacques et n'ai jamais su si Martine avait imaginé comment elle avait contribué à mon dépucelage.


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