Je m'appelle Anaïs. Comment ai-je pu me retrouver
là dans le lit d'un inconnu ? Je m'en veux terriblement,
mais en même temps je savoure la plénitude de ma chair repue
de plaisir, même si j'ai consenti pour cela à la laisser
se faire outrager par une débauche de luxure et à la laisser
se repaître avidement de ce mâle.
Les seuls plaisirs solitaires que j'avais connu jusqu'à
hier et que ma main aimait à me donner sans pudeur aucune,
font bien pâle figure à coté de ceux découverts en mêlant
ma chair à celle de cet inconnu dans leur plus profondes
intimités.
Comment aurait il pu en être autrement ? Ce n'était qu'un
manège mille fois répété. Dans mon lit, le sommeil tardant
à venir, mes doigts, innocents d'abord, se glissant sous
l'élastique de ma culotte, pour calmer un léger manque de
je ne savais quoi, s'attardant au delà de cette frontière
pour s'enrouler autour des boucles du haut de mes poils
pubiens, puis se laissant attirer insensiblement plus bas
pour lentement amplifier leur jeux. Mes seins qui s'émeuvent
et de concert avec le haut de mes cuisses. Ces doigts qui
lentement se laissent glisser en virevoltant sur les pentes
de mon mont de Vénus, jusqu'au renflement à la commissure
de mes grosses lèvres. Ils glissent légèrement sur le haut
de leurs rives et accentuant et relâchant tour à tour leur
pression. Incapable de les arrêter, je sens mon majeur répondre
maintenant à l'appel de plus en plus insistant de ma chair.
Il force le sésame de mes grosses lèvres y répondre pénétrant
dans mon intimité, effleurant au haut de mes lèvres intimes
et le fourreau de mon pistil et l'écrin de la perle que
j'ai déjà exploré du regard dans le miroir. La douce vibration
de mon majeur fait lentement enfler cet écrin qui bientôt
s'entrouvre comme une gousse de noisette trop mure pour
libérer ma perle dilatée. Mon majeur continue son ballet,
je sens ma chair s'offrir à ses caresses, mes cuisses s'entrouvrent,
mes hanches se contractent et se relâchent tour à tour pour
offrir ma chair à ses caresses. Je me sens perdre tout contrôle
sur ma chair assoiffée de toujours plus de soins, mes seins
frissonnent, mon majeur s'enfonce dans les profondeurs de
ma fente ruisselante de je ne sais quoi, il explore les
rives ondulées de mon puit, mes reins se cambrent, il plonge
dans ses profondeurs pour revenir à son antre caressant
les replis de sa paroi que lui offre mes reins qui se cambrent.
Ma langue dardent entre mes lèvres, mes yeux se ferment
savourant le bien être de ma chair, j' imagine un homme
là près de moi, nu, il me laisse caresser son sexe comme
je le faisait avec mon frère, mon aîné de peu, dans sa jeunesse,
je le sens grandir dans ma main et j'ai une envie irrésistible
de le prendre dans ma bouche comme quand je jouais au docteur
avec un copain mon frère et qu' il enfonçait sa langue dans
mon sexe ou plus tard quand je l'ai senti jaillir en saccade
dans ma bouche. Je me rappel la saveur de sa sève si douce
et anisée. Mais bien vite j'a été séparé de ce copain.
Qu'il est bon cet émoi que je ressens dans ma chair et
que je n'ai jamais connu avant. Je voudrais maintenant ce
sexe entre mes cuisses, le sentir me pénétrer comme me pénètre
mon majeur, le sentir jaillir en moi comme le sexe que j'ai
senti jaillir dans ma bouche. Mes reins s'arquent de plus
en plus haut, mon sexe toujours plus avide de caresses,
je sens une vague de bonheur enfler en moi, plus grosse,
toujours plus grosses, je m'offre sans pudeur aux caresses
de mes doigts, m'offre encore sans plus aucun contrôle sur
ma chair m'abandonnant à la luxure, soudain l'arc de mes
reins s'effondre, ma bouche laisse échapper des râles avec
le plaisir si intense qui m'envahit, mes reins vont et viennent
offrant toute l'intimité de mon sexe à ces caresses. Je
jouis, jouis toujours plus sans pouvoir arrêter le manège
infernal de mes doigts. Mon sexe ruisselle, mes doigts suivent
le flot de la lave qui se déverse de mon cratère jusqu'entre
mes fesses pour atteindre mon œillet sur lesquels ils
s'attardent un instant.
Epuisée par tant de fougue mon ardeur se calme et je reste
alanguie dans mon lit ; Reprenant progressivement mes esprits
je ne peux résister à l'envie de goûter cette lave qui m'inonde.
Je porte mes doigts à ma bouche pour découvrir sa saveur
surprenante d'abord avec son odeur de marée mais bien vite
si grisante que j'enfonce mes doigts dans ma bouche pour
les sucer goulûment. Sautant dans ma douche pour effacer
toute trace de ce plaisir solitaire mes doigts ne peuvent
résister à s'attarder encore dans ma fente qui veut encore
les mouiller. Je m'abandonne et laisse jaillir mes flots
dorés entre mes doigts. Quelle libération j'éprouve, c'est
comme si tous les interdits de ma jeunesse disparaissaient.
Jusqu'à ce jour ce ne fut que ces plaisirs solitaires que
j'imaginais être ce qu'on appelle le 7ème ciel. Aujourd'hui
seulement je découvre que c'en était encore bien loin.
A 25 ans je me suis offerte une semaine aux Baléares avec
mon amie Martine, mon aînée, divorcée, n'ayant peur de rien,
boute en train, et bien décidée à me dévergondée.
Dans l'avion j'étais assise à coté d'un homme que n'avais
pas cherché à détailler. J'ai su plus tard, bien plus tard,
qu'il avait une quarantaine d'années mais en paraissait
30. Au cours du vol il a entamé une conversation anodine
au cours de laquelle j'ai imprudemment lâché le nom de notre
hôtel.
Dans l'après midi Martine et moi nous avons apprécié la
plage et après dîner, nous nous sommes installées à la terrasse
de l'hôtel pour apprécier la fraîcheur du soir. Martine
m'avait proposé d'aller en boite, mais je n'étais pas très
enthousiaste.
Tout en sirotant un gin fizz, je vis soudain apparaître
mon compagnon de voyage, accompagné par un autre homme d'âge
similaire.
De toute évidence à ma recherche, il m'aperçoit, s'approche
et nous demande l'autorisation de prendre un verre. Martine
sans attendre ma réponse dit " oui, bien sûr " avec empressement
ravie d'avoir trouver un compagnon pour aller en boite.
Nous sirotons chacun un cocktail musclé et parlant de choses
et d'autre. Bien vite Martine s'échappe avec son nouveau
compagnon. Nous continuons notre conversation et Jacques,
c'est son nom, m'offre encore un autre cocktail que je ne
peux me soustraire à accepter.
Bien vite son effet se fait sentir et j'indique à Jacques
que je souhaite aller dormir. Je salue Jacques et me dirige
vers ma chambre. Notre hôtel est du style motel, de plein
pied avec une terrasse et quelque plante en façade. Pratiquement
arrivée à ma chambre, ouvrant la porte, j'entend Jacques
qui m'avait presque rattrapée, me dire de loin " quand pourrait
on se retrouver demain ? ". Je lui réponds machinalement
" sur la plage, vers le sémaphore ". Il est maintenant à
coté de moi. Il me propose une bise ce que j'accepte. Ce
faisant il prend ma tête entre ses mains et dépose un baiser
sue mes lèvres. Griserie de l'alcool, je le laisse faire
sans résister. Prenant cela pour une invite, il me serre
dans ses bras tandis que sa langue force le barrage de mes
lèvres. A nouveau je m'abandonne à son baiser qui devient
fougueux tandis qu'il me pousse doucement dans la chambre
et referme la porte derrière lui. Un peu désemparée par
mon abandon à la fougue de son baiser, je lui propose de
prendre un verre. Il opte pour le champagne que je sors
du minibar. Je l'invite à s'asseoir sur le canapé seul siége
de la chambre et trinque avec lui. Le canapé n'est pas très
large et je peux ressentir non loin de moi la chaleur de
son corps. Mais je suis bien décidé à résister à toute avance.
Dans le cours de la conversation il pose nonchalamment la
main sur mon genou. Je tressaille mais ne dit rien. Je cherche
à me lever mais il me retient et m'enlace. Je veux résister
mais déjà mes lèvres sont assaillies par les siennes. Mes
lèvres, encore sous le charme de son baiser précédent, s'offrent
aux siennes. Dans la fougue de son baiser je sens sa main
errer sur ma jupe s'attardant sur la dépression à la fourche
de mes cuisses, s'abaisser jusqu à mi cuisse pour remonter
sous ma jupe. Je serre les cuisses, bien décidée à résister
à ses assauts. Mais déjà je sens le contact de ses doigts
sur ma culotte. Je m'échappe et vais m'asseoir sur le lit.
Mais ces doigts ont déjà mis ma chair en émoi. Il se lève
comme pour partir en disant qu'il ne veut rien faire que
je ne souhaite pas.
Ce faisant il pose sa main sur mon épaule et entame un
massage très doux. Je vibre de toute part. Il m'embrasse
à nouveau, sur les lèvres, sur l'oreille et dans le cou.
Ma chair est en feu. Etourdie par l'alcool, je le laisse
m'allonger sur le lit en lui demandant de partir, bien décidée
à résister à ses assauts. Il dépose un baiser sur ma poitrine.
Je sens sa chaleur à travers la fine étoffe de mon corsage.
Je ne porte pas de soutien gorge et s'il ne l'avait pas
découvert avant ses lèvres n'ont pas manqué de lui révéler.
Ses doigts glissent à nouveau sous ma jupe à l'assaut de
ma culotte. Je le laisse faire confiante, les cuisses serrées,
dans ma volonté pour y résister.
Devant l'échec de ses tentatives il dépose un baiser sur
mon genou, puis sur l'intérieur de ma cuisse. Non préparée
à la douceur de ce baiser, j'ai peine à y résister. Je me
sens déjà ruisselante dans ma culotte. Lentement ses baisers
montent le long de ma cuisse tandis que sa tête s'enfonce
sous ma jupe protégeant la pudeur de mes yeux. Je sens maintenant
ses baisers atteindre ma culotte, rendre hommage à mon mont
de Vénus. Je sa langue se presser contre le pontet humide
de ma culotte entre mes cuisses. Je veux résister mais avec
la complicité du voile pudique de ma jupe sur les assauts
de cette bouche, je sens inexorablement ma chair échapper
à mon contrôle. Je ne peux réprimer mes hanches qui s'animent
de micro mouvements. La bouche de Jacques les a sûrement
détectés car sa fougue augmente. Mes hanches ne peuvent
résister plus longtemps, elles s'animent, je capitule. Jacques
a compris ; Il fait glisser lentement mon slip le long de
mes hanches tandis que sa bouche investit au fur et à mesure
le terrain libéré de son écran. Qu'elle est bonne cette
bouche qui viole la virginité de mon intimité sans s'exposer
à mes regards désemparés. Mes hanches offre malgré moi mon
clitoris à cette langue qui l'enlace. Qu'elle est bonne
cette langue qui butine le miel de mon sillon. Je l'imagine
aussi grisant pour Jacques qu'il l'était pour moi
Je voulais me laisser jouir de sa lèche partout j'essayais
d'écarter mes jambes mais elle étaient entravées par ma
culotte descendue à peine à mi cuisse.
Jacques le compris et me débarrassa totalement de ma culotte
en la faisant glisser le long de mes jambes. Que c'est bon
d'être comprise sans un mot. Jacques repris sa lèche avec
encore plus de fougue. J'écartais mes cuisses le plus que
je pouvais pour laisser le champ libre à sa bouche et à
sa langue.
Hmmm quel délice de sentir sa langue s'enfoncer loin en
moi avide de mon suc que je sentais suinter de mon puit
avec délice, délice de le satisfaire, délice d'être prise,
possédée dans les recoins les plus reculés de ma chair.
J'exultais. Je compris vite que le meilleur moyen de m'offrir
à lui sans la moindre réserve c'était de replier mes jambes
sur moi-même. Je lui offrais ainsi l'intégralité de mon
intimité qu'il pouvait dévorer à sa guise à la carte. Je
sentis aussitôt sa langue plonger entre mes fesses pour
lécher mon œillet. Délice encore inconnu, C'était si
jouissif. " Oui Jacques, pensais je dans mon esprit, bouffe
moi ". Je sentis sa langue prendre possession de l'étroit
goulet que dont l'entrée est gardée par mon œillet,
C'était si bon. Me sentir pénétrée par là. Encore des interdits
dont je me sentais libérée. J'aurais voulu qu'il me goûte,
me mange et je le sentais bien avide de moi, mais les réflexes
de l'interdit n'étaient pas encore vaincus. Mes mains tiraient
sur mes genoux pour m'offrir toujours plus.
Conscient que j'étais arrivée à un point de non retour
Jacques repris son manège alternativement sur mon clitoris
et dans mon puit d'amour.
Je sentais la vague monter en moi enfler, irrésistiblement,
mes reins s'arquer cherchant le ciel. Sa langue experte
obtenait tout de moi. Soudain l'arc de mes reins s'effondra
accompagné d'un râle irréprimable et sonore. Il était là
mon plaisir, mon orgasme, irrésistible je m'abandonnais
a lui sans retenue dans la jouissance la plus totale incapable
de retenir mon plaisir si intense que je ne contrôlais plus
rien. Je sentais ma vessie me trahir et libérer quelques
perles dorées que la bouche de Jacques cueillit goulûment.
Je laissais ma source sourdre doucement et pour assouvir
la soif de Jacques.
Cette gratification libera Jacques de toute retenue, me
sachant maintenant hors de mon self contrôle et prête à
tout donner et à tout prendre.
En quelques secondes sans savoir comment je me retrouvais
nue totalement nue devant lui, exposant ma nudité sans honte
et sans pudeur. Lui aussi était nu, complètement nu, le
sexe brandit par le désir de moi. Il s'assit sur mes hanches.
Je savourais le contact de son cul sur mon clitoris et de
ses bourses sur mon ventre ma langue dardait entre mes lèvres
dans un appel irréprimable à de nouveau plaisir. Jacques
s'allongea entre mes cuisses et me pénétra profondément
sans que j'offre la moindre résistance. Il embrassa mes
seins et se mis à aller et venir en moi. Bien vite mes anches
s'animèrent, mon pubis s'élançant vers lui au rythme de
ses aller et venue. Je me sentais possédée. Je voulais qu'il
me pénètre au plus profond de moi. Il fit passer mes jambes
sur ses épaules pour que je lui sois offerte sans réserve.
Je ne pouvais que recevoir ses coups de butoir sur mes fesses
en le sentant loin en moi. J'ondulais sous lui pour parfaire
notre coït. Mes reins se arquaient je sentais la vague de
désir enfler de plus en plus en moi. Ses allés et venues
s'accéléraient pour soudain me pénétrer avec vigueur et
marquer une courte pose au plus profond de sa pénétration
dans mon sexe qui s'offrait. J'étais à, prête, en quête
de lui. Soudain la pose se prolongea, l'arc de mes hanches
s'écroula mon orgasme explosa tandis que je sentis la salve
de son sexe en moi jaillir puissamment, ses allées et venues
reprirent plus saccadée accompagnées à chaque zénith d'une
nouvelle salve et d'un nouveau jet qui m'inondait et comblait
ma chair avide de lui. Mon corps se désarticulait de plaisir
sous lui. Quelle plaisir de me sentir emplie par lui, prise
au fil de ses allées et venues il m'inondait de lui et je
sentais mon sillon entre mes cuisses ruisseler sans savoir
si cela venait de lui ou de moi. Ma tête gesticulait dans
tout les sens laissant échapper un " ahhh ouiiii " a chaque
zénith de ses assauts je sentais la marée entre mes cuisses
se répandre, déborder entre mes fesses et baigner mon œillet
m'entraînant par ses va et vient en moi à le suivre jusqu'à
un nouvel orgasme et puis un autre avant que sa chevauchée
sur moi se ralentisse et se calme jusqu'au repos. Je contractais
mon vagin autour de son sexe pour qu'il m'abandonne les
dernières gouttes de son sperme.
Nous somme resté la alanguis, savourant de sentir son sexe
rester en moi .
Puis il m'échappa, me laissant un vide en moi vite comble
par le contact de son sexe sur mon ventre en glissant jusqu'à
ma poitrine. Tandis que je sentais ses couilles balayer
mon ventre je sentais sa verge aller et venir entre mes
seins que ses mains pressaient pour les réunir comme une
paire de fesses. Son sexe allait et venait entre eux.
Quel jouissance de me sentir prise par mes seins.
Viens suppliais je
Il guidait maintenant le bout de sa verge sur mes tétons
Je regardais sa verge enduire mes tétons de sa mousse
Viens maintenant suppliais je
Je regardais sa verge ne voulant rein perdre du spectacle.
Il se branlait sur ma poitrine
Je vis le trouble gagner ses yeux au regard fixe vers le
haut
Et soudain jaillir sur mon sein comme une salve
Répartissant les salves successives entre mes deux tétons
Hmmmm les aspergeant de son sperme que mes doigts répandaient
sur mes seins
J'ouvris grande ma bouche en lui disant viens. Il pivota
sur le coté et ma bouche alla chercher son sexe pour le
baiser mes lèvres le prirent pour goûter ce sperme dont
j'avais été sevré si longtemps. Je sentais ma saveur sur
son sexe mêlée à la sienne.
Je l'attirais à moi pour le sucer avidement mes lèvres
s'attardant sur son gland dénudé tandis que ma langue cherchait
l'embouchure de cette savoureuse clarinette. Mes mains pétrissait
ses couilles, je le tétais comme un veau tétant se mère
ma bouche secouant cette verge comme un pis pour qu'il se
livre. Mes lèvres glissèrent le long de cette hampe pour
faire pénétrer cette verge jusqu`à ma gorge. Je le voulais
être prise là comme dans un sexe, mon sexe du haut.
Il pivota et plongea à nouveau sa tête entre mes cuisses
Sa bouche avide me dévorais léchais mon miel mêlée a son
sperme jusqu'entre mes fesses sur mon cul. Je me donnais
à nouveau à lui sans réserve.
Je sentais sa verge aller et venir dans ma bouche pour
se presser au fond de ma gorge
Je sentais ma chair s'abandonner à lui pour lui offrir
à nouveau ma jouissance qui ne tarda pas à venir
Je jouis et sa verge s'enfonça loin dans ma gorge au risque
de m'étrangler et jaillit au fond de ma gorge, sans que
j'ai la moindre possibilité de me soustraire à la perte
de la virginité de cette gorge se laissant prendre comme
un sexe et son insémination, gavée, comme une oie, de son
sperme sans pouvoir résister à son coït buccal |Après une
première salve que je sentis couler dans mon oesophage,
sa verge se retira légèrement pour délivrer ses autres salves
dans ma bouche envahie par la saveur de ce sperme qui emplissait
ma bouche.
En signe de gratification ma source resurgit. En le sentant
la boire avidement j'avalais à petite gorgée ce sperme en
jouissant de me sentir emplie de lui comme je l'emplissais,
Je l'entraînais dans la baignoire en le suppliant de m'arroser
de lui.
A genoux devant lui je m'offrais à lui pointant sa verge
sur moi
Bientôt quelques gouttes commencèrent à perler puis bien
vite un jet puissant jaillit, je dirigeais sur mes seins
et entre mes cuisses, J'exultais de me sentir ainsi imprégnée
de lui
Je guidais sa verge a ma bouche pour goûter à lui et et
dirigeais son jet sur mon ventre entre mes cuisses mes relevant
pour me faire pénétrer et le sentir jaillir en moi.
Une fois la source tarie, et après une bonne douche nous
nous recouchâmes.
Incapable de trouver le sommeil je ne pouvais m'empêcher
de me remémorer tous les plaisirs qu'il m'avait donnés en
pensant que mes plaisirs solitaires n'avaient pas grand
chose à voir avec cela.
Le lendemain nous nous sommes retrouvés sur la plage.
Nous nous sommes promené et chemin faisant nous avons découvert
l'entrée d'une grotte immergée à marée haute ma\is découvert
à marée basse.
Nous y avons pénétré. C'était un espace relativement vaste
avec un rocher en son centre d'environ 40 cm de haut en
forme de pain de sucre.
Ne pouvant résister à l'appel de mos sens nous nous sommes
tous deux mis nus.
Jacques s'est assis sur le pain de sucre son sexe dressé.
Je me suis faite empalée par lui, pénétrée profondément
et nous avons jouis bercé par le clapotis des vagues.
Nous avons jouis notre plaisir était décuplé par le fait
que nous sachions que nous pouvions être surpris à tout
instant dans nos ébats amoureux.
Il n'en fut rien et nous sommes ressortis de la grotte
juste avant la marée haute sans que quiconque puisse imaginer
le secret de nos ébats.
La semaine s'est vite terminée
Je n'ai jamais revu Jacques et n'ai jamais su si Martine
avait imaginé comment elle avait contribué à mon dépucelage.
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