La soirée a été un peu trop arrosée. Ceux qui sont
hébergés sur place ont vraiment de la chance.
France a tout prévu : son neveu Sylvain, âgé de dix
sept ans, avec sa soeur ; sa fille est son mari Max, âgés de trente six
ans, et leur deux enfants.
Tout le monde est monté se coucher.
Vers deux heures du matin, suite à un abus d'alcool, France a une petite
soif. A cinquante
huit ans, c'est dur. Une boisson gazeuse lui
ferait le plus grand bien. Elle descend donc à la
cuisine en évitant de réveiller son mari Michel.
Elle est vêtue d'une chemise de nuit ultra courte,
sans rien dessous.
Arrivée en bas, elle aperçoit de la lumière qui
provient du salon.
Elle pousse la porte, et tombe sur son neveu en
train de visionner des photos sur son appareil
numérique. Il est assis sur une chaise.
-Que fais-tu mon chéri, demande France, tu n'est
pas couché ?
-Non, tata, je contrôle les photos de la soirée.
-Je peux voir, demande-t-elle.
-Bien sur, prend une chaise et viens prêt de moi.
-Merde, toute les chaises sont empilées. Je vais
me placer derrière toi.
-Assied toi sur mes genoux si tu veux, tu es ma
tante.
-Je serai pas trop lourde, poursuit France.
-Mais non, allez, viens.
France s'assied sur les genoux de son neveu, et
regarde les photos qui défilent sur l'appareil.
Sylvain passe un bras autour de la taille de sa
tante, l'appareil dans une main, appuyant sur le
bouton avance de l'autre main. C'est vrai que France est assez enveloppée, une
poitrine imposante, et un ventre qui pend légèrement sur les cuisses.
-Je vais peut être un peu trop vite, dit Sylvain,
appuie si tu veux.
-Oui, répond France, parce que je te trouve que
tu accélères.
La main de Sylvain tombe sur la cuisse de France.
Elle n'y prête pas attention, ni quand la main
remonte sous la chemise de nuit, jusqu'à entrer
en contact avec le duvet pubien.
France a un sursaut, et serre les cuisses.
-Eh, Sylvain, qu'est-ce-que tu cherches la dessous?
Sylvain insiste, un doigt touche les lèvres.
France essaie de se dégager, elle s'agite sur les
genoux de son neveu, ce qui à pour effet de faire
écarter ses jambes. Elles est prise, et ne peut
pas crier.
-Déconne pas mon chéri, dit France, si quelqu'un
nous surprend.
Sylvain ne prend pas ça comme un refus. il décide
de continuer son exploration, et la, surprise,sa
tante s'ouvre littéralement devant sa main. Il
se permet de glisser deux doigts dans la fente
humide.
-Salaud, gémit France, tu chattes ta tata, tu as
pas honte, sens comme tu me fais mouiller.
-Tu veux que j'arrête, demande Sylvain.
-Idiot, répond-elle, c'est trop tard maintenant. Décalotte bien mon clitoris, gratte le avec un
ongle, fais lui du bien.
Pour son âge, sylvain s'en sort pas trop mal. Il
doigte sa tante de plus en plus vite. France est
prête, elle vient.
-Ha..ha..oui, vicieux, tu me fais jouir, vas-y
mon chéri, fais cracher ma minette, oui..oui.
Dans la foulée, France quitte sa chemise de nuit.
-Déshabille toi, dit-elle, je veux jouer avec ton
fifre.
Sylvain obéit. France lui saisit les couilles, fait rouler les
testicules entre ses doigts, puis remonte vers le
haut de la queue. Elle joue avec le prépuce, et
doucement libère le gland, et le fait coulisser
le long de la bite.
Sylvain est prêt à tourner de l'oeil.
-C'est bon de se faire taper une queue, hein ? Tu
vas voir ton oiseau comme tata va te le faire
pleurer. Et après, il va se faire manger par ma
chatte.
France écarte d'avantage ses cuisses, et s'empale
sur la queue en érection de son neveu.
-Allez, met moi un coup de queue maintenant. Tu vois comme je t'ai décalotté le noeud, tu te régales
vilain. Putain, moi aussi je me régale, oui..oui
vas-y, nique ta pute de tante, ha..ha..que c'est
bon de se le faire mettre, même par un gamin.
France se tourne et prend Sylvain à pleine bouche
dans un baiser torride. Elle se soulève, la queue
n'a pas variée d'un millimètres.
-C'est pas vrai, remarque France, encore ? Tu veux
que je te taille une pipe, j'aime bien tu sais.
France se place à genoux devant son neveu, et le
prend en bouche, prenant bien soin de jouer avec
le gland avec sa langue.
Sylvain tient sa tante par la nuque. Il sent que ça vient. Il essaie de se
reculer, mais elle le
retient par les fesses. Sylvain met sa main devant
sa bouche pour atténuer son cri.
-Houunn, hounnn, oui..oui , je jouis, mon oiseau
crache, oui...ha..ha.
Les jets de semences giclent dans la gorge de la
tante. Elle nettoie le gland, et l'embrasse.
-Alors, mon chéri, ça t'a plus, même les grosses
savent se servir d'une queue.
Sylvain est visiblement épuisé, il est si jeune.
France lui caresse la joue maternellement, et sort
du salon. Elle récupère sa boisson à la cuisine
et monte se coucher.
Frankie
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