Regarde comme je suis écartée, salaud, je
suis toute mouillée à cause de toi.
Voila plus d'un quart d'heure que Véronique est
empalée sur la queue de Nicolas, son fils cadet
âgé de dix sept ans.
-Et alors, tu aimes pas, salope. Sent ton clitoris
comme il est dur. Je suis sur qu'il est tout
rouge. Papa te donne pas assez que tu fais la
pute avec moi.
-Tais toi, tu sais que j'aime la queue. Même si
c'est celle de mon fils. Putain, gratte moi le
bouton, oui...ouiii.
-Moi aussi je viens, salope, ouais, prend çà. Que
c'est bon de tremper sa queue dans ta chatte.
Le couple s'écroule sur le canapé.
-Tu iras doucement avec papa, j'ai besoin que tu
soit en forme pour mes besoins, compris?
-Oh oui mon amour, je simulerai avec lui.
Véronique est entièrement soumise à son fils, depuis qu'il l'a surprise
au lit avec le jeune
voisin âgé de seize ans.
-Demain, y a Paul qui vient, dit Nicolas. Alors,
tenue légère, rien dessous. Et tu auras intérêt
à bouger ton cul.
Paul est le cousin de Nicolas, donc le neveu de
Véronique. Nicolas est de plus en plus dur avec
sa mère. Il lui fait payer cash tout ses écarts.
La semaine dernière, au cinéma, il a exigé qu'elle
lui taille une pipe. La salle était pleine. Elle
a été obligée de tout avaler. Une autre fois, elle
lui a avoué qu'elle avait fait l'amour avec son
père. Il l'a mise sur ses genoux, et lui a donné
une fessée. Elle en avait joui.
-Ca c'est passé comment avec papa, hier soir? demande-t-il.
-J'ai dis que j'étais fatiguée. Je lui est juste
tapé une petite queue. Il s'est bien régalé.
Paul arrive à quatorze heures.
-Bonjour tout le monde, dit-il, ça va tata, en
forme?
-Et toi, tu t'es décidé à venir me voir. Comment
va ma soeur?
-Très bien, le petit train train.
Nicolas est installé sur le canapé. Il a exigé
que sa mère mette sa petite jupette, sans rien
dessous. Il l'a prend par la taille, la tire
et l'assoie sur ses genoux. il glisse une main
entre ses cuisses.
-Tu t'es épilée, m'man, ça m'excite ça.
-J'ai fait ça pour toi, mon chéri.
Paul est sidéré par la scène. Il aperçoit l'entre-jambe de sa tante.
-Mais tu es fou, dit-il. Qu'est-ce-que tu fais ? C'est ta mère enfin.
-Approche Paul, viens voir la petite chatte de
ma maman comme elle est belle. Elle est déjà
toute mouillée. Viens la lui caresser.
-Arrête, gémit Véronique, tu vas me faire jouir.
Tu sais que je résiste pas longtemps. Tu me rend
folle.
Paul s'avance timidement, et caresse le clitoris
de sa tante.
-C'est vrai qu'elle mouille, dit-il.
-Je vous en prie, supplie-t-elle, niquez-moi.
Vous voyez pas que j'en crève d'envie.
Ils se déshabillent. Nicolas prend la tête de sa
mère, et la force à le sucer.
-Allez maman, une petite turlutte à ton fils, ça
te dis pas ? Regarde comme elle est raide.
Paul se place derrière sa tante, la queue en
érection. Il l'a fait aller et venir entre les
lèvres humides, puis la pénètre.
-Ha..ha..l'enfoiré, hurle Véronique, quelle bite,
oh putain, il est mieux monté que toi ton cousin,
oh le con. Et ses couilles, fait moi toucher tes
couilles.
Véronique passe une main entre les jambes de son
neveux, et fait rouler les testicules entre ses
doigts.
Paul accélère ses coups de queues dans la chatte
en feu de Véronique. Nicolas donne des signes de
faiblesses.
-Salope, pipe, avale, bien, brave maman. Que tu
es bonne. Pauvre papa, s'il savait que sa femme
se fait tirer par son fils. Quel cocu.
-Tais toi, gémit Véronique, laisse moi jouir
tranquille, vas-y Paul, maque moi, bourre moi,
vide tes grosses couilles dans la chatte de tata.
Ha..ha..oui..ouiii, je jouiiis.
Paul envoie sa semence dans le ventre de sa tante,
en hurlant de plaisir. Elle se retourne, l'embrasse.
-Petit vicieux, dit Véronique, tu as pas honte de
niquer ta tante, tu le ferai à ta mère? Vilain.
Paul se retire. Nicolas tend une main, et lui
prend la queue.
-C'est vrai que tu es membré, dit-il. je comprend
que tu ais fais gueuler ma mère. Tu veux qu'il
t'encule maman?
-Non, dit Paul, pas ça, je peux pas me permettre. Restons en là.
-Comme tu veux, répond Nicolas, ce sera pour moi
ce soir, hein m'man?
-Bien sur mon chéri, dit Véronique, ton père
rentre pas ce soir, on aura toute la nuit.
Elle se retire dans la salle de bains.
Les deux cousins restent assis sur le canapé.
Nicolas prend la main de Paul, et la porte à son
sexe.
-Caresse moi, lui dit-il, décalotte moi comme
il faut. Prend moi les couilles aussi.
-Comment tu es devenu, Nicolas. Oser abuser de
sa mère à ce point.
-Tu devrais essayer avec la tienne, répond-il.
Du reste, tu devrais l'emmener un jour pour
qu'elle se gouine avec sa soeur devant nous, ça
doit être excitant, non? Oh putain, je crache,
regarde, tu as fais jouir ma mère, maintenant
tu fais jouir son fils, quel salaud.
-J'en ai assez vu et entendu, dit Paul, je préfère
m'en aller.
Deux jours plus tard, Véronique appelle sa soeur.
-Allo, allo.
-Ha..ha..oui.
-Mais qu'est-ce-qu'il t'arrive ? demande Véro.
-Si tu savais, c'est mon fils, il est en train de
me mettre des coups de queue ce salaud, ça fait
deux fois qu'il me fait jouir. Tu m'entendrais
crier. Ha..ha...oui, je viens encore, je jouiiiis.
Tut.tut.tut.tut.
Frankie
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