Les révisions se poursuivent. C'est la dernière ligne droite
et il ne faudrait pas que la concentration se relâche. Madame
Defflaere me retient pour bavarder de plus en plus longuement
à chaque nouvelle visite. Il semble que cette mère inquiète
soit encore plus énervée que son fils. Ce dernier aborde
l'épreuve avec une détermination qui n'est sans doute pas
étrangère à notre dernier pacte. La réussite des examens
avec mention contre une invitation chez moi. Et cette fois,
j'ai bien l'intention de passer à l'acte. Cette aventure
avec le jeune puceau m'aura bien fait languir mais je ne
regrette pas cette progression sur la pente de ses fantasmes.
Mes propres surveillances d'examens occupent mon esprit
durant les jours qui me séparent du but désiré. Je ne peux
m'imaginer un échec. Je serais bien attrapée s'il ne parvenait
pas à franchir la barre que je lui ai fixée ! Voilà que
je me mets à partager les angoisses de sa mère, mais pour
des raisons bien différentes ! La première semaine d'épreuves
est terminée. La seconde ne comporte pour lui qu'un oral
d'anglais. Encore un peu de patience, bientôt les résultats.
La semaine suivante, alors que je rentre de courses en ville,
un message m'attend sur mon répondeur.
- Bonjour Florence, c'est Antoine. La mention BIEN ça marche
pour notre accord ?Bon ben, j'attends votre appel. Aurevoir.
Enfin ! Oooh, ça va être bon ! Je décroche le combiné. Madame
Deffelaere répond. À sa voix, je l'imagine en train de trépigner
sur place. Je reste aussi sereine que possible mais il me
faut bien 10 minutes avant de pouvoir la persuader de me
passer Antoine. Après quelques mots sans importance pour
ne pas éveiller les soupçons de madame, je lui donne mon
adresse et un rendez-vous pour le lendemain après-midi en
me retenant de dire des mots plus compromettants qui me
brûlent pourtant les lèvres.
Nuit tendue, douche revigorante, déjeuner frugal. Voyons,
que mettre ? Je choisis de rester classique : du blanc.
Je serai virginale pour son dépucelage ! Un ensemble de
dessous en maille transparente pour l'affoler, des bas blancs
pour le faire craquer, le tout recouvert d'une courte robe
bleue fermée par une ceinture. Des sandales en velours noir
dont les sangles s'enroulent autour de mes chevilles avec
des talons carrés de 8 centimètres devraient achever de
le mettre à ma merci ! Je me regarde dans la glace et j'avoue
que pour un peu je me trouverais mouillante !
L'heure du rendez-vous approche. L'interphone !
- Oui ?
- C'est Antoine.
- Je t'ouvre, troisième étage.
- OK.
Je fais les cent pas en l'attendant. J'ai laissé ma porte
entrouverte pour que le rai de lumière dans le couloir le
guide jusqu'ici. Toc, toc !
- Entre Antoine.
Comme une fille bien sage, je l'attends dans le salon, mains
croisées devant moi. Il pénètre dans la pièce et avant toute
parole me regarde de la tête aux pieds. Je dois lui plaire
! Nos yeux se font les plus tendres aveux alors qu'il avance
vers moi et pose son blouson sur le dossier du fauteuil.
Je baisse les yeux comme une jeune fille timide.
- Cette fois Antoine. C'est moi qui me plierai à tes désirs,
mais tutoie-moi, je t'en prie.
Il ne répond rien, s'approche encore, tourne autour de moi,
puis me dit :
- Déshabille-toi.
Sa première parole ! Elle me fouette le sang ! Je cherche
nerveusement son regard. Il est comme enivré. Je délace
ma ceinture et la laisse tomber à terre. J'écarte les pans
de ma robe, il m'aide à l'enlever. Ses yeux fous plongent
sur mes seins dont les aréoles n'apparaissent que trop bien
sous le fin soutien-gorge. Il me tourne encore autour. Son
souffle chaud glisse sur mes épaules, dans mon cou. Ses
lèvres effleurent ma peau. Les yeux fermés je gémis doucement.
Ses mains caressent ma taille, remontent sur ma poitrine.
Fébriles, ses doigts rampent sur les globes fermes de mes
seins, tapotent sur mes aréoles dont les mamelons excités
ne tardent pas à se dresser. Mes mains rejoignent les siennes
et je guide ses doigts, lui apprenant à jouer avec mes pointes
sensibles. Je soupire, lui fais comprendre le bien qu'il
me procure. Son corps se colle au mien, je sens le renflement
de son pantalon sur mes fesses. Il ondule imperceptiblement,
je l'encourage :
- Vas-y chéri, frotte-toi bien. Excite-toi contre moi.
Il se plaque encore plus et entame des mouvements de va-et-vient,
durcissant sa jeune virilité contre mes fesses. Parfois
ses doigts se crispent alors je le calme d'un mot tendre.
À son initiative, le doux préliminaire cesse et il dégrafe
mon soutien-gorge qui se retrouve au sol lui aussi. Ses
mains entourent à nouveau mon corps et vont saisir mes mamelons
tendus entre le pouce et l'index, les faisant rouler délicatement.
Son souffle dans mon cou est troublé et mes rondeurs m'informent
de la persistance de son érection. Je gémis, je mouille,
j'ai envie ! Entre deux soupirs, je l'explique à mon jeune
puceau.
- Tu sais Antoine, quand tu fais ça à une femme, au bout
d'un petit moment elle a très envie d'être pénétrée.
Pour lui faire bien comprendre, je saisis un de ses poignets
et le guide, par derrière, entre mes jambes. Ses doigts
palpent le renflement de ma vulve. L'étoffe de mon slip
est gorgé de mon désir. Ses doigts frottent le tissu qui
s'enfonce entre mes lèvres gonflées. Par réflexe je pousse
mon bassin à la rencontre des doigts. Je soupire :
- Enlève ma culotte chéri...
Ses mains s'affairent sur ma taille, glissent sons l'élastique
et entraînent la fine lingerie sur mes jambes. Les bas crissent
à ce contact qui s'achève sur mes chevilles. Prestement,
il m'en débarrasse et reste agenouillé, le visage à hauteur
de mes fesses et de ma conque luisante. J'écarte ostensiblement
les jambes et me penche en avant, posant mes mains sur mes
genoux, attendant son initiative. Ses mains glissent sur
mes bas, se posent sur mes fesses. Son souffle est là, mes
muqueuses sensibles me transmettent sa chaleur. Je pousse
mon bassin en arrière, comme une invitation. Ses doigts
écartent mes bouclettes, ouvrent mon coquillage. Oooh s'il
pouvait... OOh ouiiiii! ouiiii! il le faiiit !
- Oooh chérii!, Ouiii, ouiii ta langue !
L'appendice buccal serpente dans mes replis, explore ce
monde inconnu. Il se guide à l'intensité de mes cris pour
atteindre mes zones les plus sensibles ! Comme il doit être
excité ! Je ne sens plus qu'une de ses mains entre mes jambes,
j'imagine ce que l'autre est occupée à faire. Sa bouche
est collée sur ma fleur dont il butine le pistil. C'est
encore maladroit mais peu importe ! Mon envie d'être possédée
est à son comble. Je me soustrais à ces délicieuses caresses,
me retourne et m'agenouille devant lui, l'air hébété, le
sexe érigé dans la main. Sa bouche luit encore de mes sécrétions
! Je l'embrasse toute langue dehors et entreprends de le
déshabiller. En quelques secondes, il se retrouve plus nu
que moi. Je l'entraîne sur le canapé tout proche, l'installe
confortablement tandis que je reste assise sur mes jambes
à même la moquette. De la main, je me suis emparée de sa
jeune virilité. Sa respiration s'accélère comme il regarde,
les yeux exorbités, la douce main d'une femme coulisser
le long de l'axe de son plaisir. Prise dans l'anneau formé
par le pouce et l'index, sa verge palpite à chaque va-et-vient.
D'un mouvement plus ample, je repousse sa peau fine sur
son gland violacé et referme mon poing sur ce bout sensible
recouvert de son prépuce. Son corps se tend. Je lance une
rapide vibration de mon poignet qui lui fait pousser des
gémissements étouffés. Oh comme il aime ça mon joli puceau
! Il peut lire sur mon visage le plaisir que je prends à
le masturber ! Mais pas question de le laisser venir ainsi.
Je descends à nouveau le long de son érection en décalottant
sa fraise turgescente. Une goutte transparente perle du
méat ouvert. Je masse doucement ses testicules. La peau
fripée et contractée plaque ses délicates ovoïdes contre
son pubis, prémices de sa jouissance proche. Je me relève,
place mes genoux sur le canapé de part et d'autre de ses
cuisses. Ses yeux sont exorbités, sa respiration suffoquée.
Tout en fixant mon regard dans ses yeux j'abaisse mon bassin,
saisis sa dureté entre deux doigts et écarte mes lèvres
intimes. Son gland glisse dans ma fente, se place au creux
de ma vulve. Il gémit. Je soupire en descendant encore mon
bassin, mon fourreau se dilate, la tige glisse naturellement,
se love dans son nid. Comme c'est booon ! Je pose mes mains
sur ses épaules et empale ma féminité jusqu'à ce que mes
fesses reposent sur ses cuisses. Mes lèvres s'ouvrent et
se posent sur les siennes. C'est sa langue qui vient dans
ma bouche, lape ma salive. Ses mains palpent mes hanches,
mes cuisses, griffent mes bas qui crissent sous la caresse.
Je monte et descends le long de cette hampe inflexible.
Il pousse de petits cris !
- Oui mon chéri... Mon petit homme... Tu me baises bien
là...
Râles, cris, soupirs lascifs deviennent notre vocabulaire
du plaisir. J'accélère le rythme avec de petits mouvements.
Je me sens partir moi même, mais mon jeune amant ne peut
se retenir plus longtemps. J'accueille par des soupirs appuyés
l'aspersion vaginale qu'il m'offre avec son pucelage. Ses
gémissements spasmodiques s'apaisent. Nous restons un moment
lovés l'un contre l'autre. Je sens mon vagin se désemplir
de sa virilité satisfaite et j'embrasse doucement son visage
angélique. Il ne dit rien mais son regard est éloquent de
tendresse. Je lui propose d'aller dans la chambre. Il approuve.
Par la main je l'attire dans mon antre. Je m'allonge dans
une pose féline, mettant en avant mes jambes blanches et
mes talons hauts provoquants ! Je ne dois pas être si éloignée
des filles sur lesquelles il gaspille sa liqueur à longueur
de nuits. De fait, il me regarde avec fascination, debout
à coté du lit. J'ai pris mon air le plus mutin pour formuler
cette requête, un doigt sur mes lèvres. Il sourit puis grimpe
me rejoindre sur la couette. Je m'allonge sur le dos, attrape
les barreaux de la tête de lit dans un geste qui met ma
poitrine en valeur.
- Tu peux tout regarder, tout toucher.
Ses doigts caressent, soupèsent, massent mes globes fermes.
Il me lance des regards coquins. Envolée la timidité devant
la prof de maths! Sans préavis il ouvre la bouche, gobe
un sein, sa langue frotte le bout souple du mamelon, je
serre les poings sur les barreaux de fer. Son aspiration
délicieuse tend mon bourgeon mammaire en quelques secondes.
L'excitation me fait frotter les jambes l'une contre l'autre.
Sa langue relâche son étreinte et descend sur mon ventre,
furète autour du nombril. J'écarte mes cuisses pour l'inviter
à poursuivre son chemin. Il se redresse. Son regard balaye
mon corps, des sandales au visage. Il est à nouveau intimidé.
Respect craintif devant le creuset de nos différences. Je
ramène une jambe contre ma poitrine, offrant une vue très
ouverte de mon abricot, camouflé sous ses bouclettes blondes.
Sa main se pose sur le renflement de mon entre-jambes et
commence à en flatter la douce fourrure. Parfois, son pouce
vient heurter mes lèvres au creux de mon vallon. Je me mords
la lèvre. Satisfait il se redresse, exhibant une belle érection.
Oh oui... Je la veux sa bite ! Je relève mes deux jambes
vers le plafond, offrant ma féminité impatiente. Je dois
avoir l'air d'une vraie salope avec mes bas et mes talons
hauts, à clamer mon envie sans aucune pudeur, agrippée aux
barreaux du lit comme si j'y étais attachée. Je suis sûre
que ça l'excite ! Il s'approche, darde sa sonde charnue
entre mes muqueuses lubrifiées. Il pousse ! Oh ouii ! Son
désir écartèle le mien d'une intromission inflexible !
Il râle, s'enfonce encore, gémit, pousse son pubis à la
rencontre du mien. En appui sur ses bras, qui me maintiennent
les jambes, il entame un va-et-vient. Je soupire et l'impudeur
de mes accents n'est pas feinte. Il me possède réellement,
profondément ! Il se mord la lèvre et contemple mon visage
défait par la jouissance. C'est bon. Son jeune sexe en moi
! Cette envie de me donner à lui enfin satisfaite ! Comme
une vague incessante, il polit avec endurance l'anse ma
féminité, érode mon bout de corail rose qui explose à chaque
pénétration. Il dévore avec des yeux fascinés le plaisir
tout neuf de mener une femme à un état d'impudeur totale.
Oh je viens ! Il sent mes contractions, voit mes mains griffer
la couette, mes jambes qui ne m'obéissent plus ! Je halète,
plongée dans l'ouate de mon orgasme. Les tensions de mon
corps ont également porté son excitation à son comble. Il
accélère, me baise avec force, violence... se crispe ! Il
jouit ! Sa semence de jeune mâle nappe mon intimité qui
ondule et me fait ronronner de plaisir ! Ah, le bonheur
des cours d'appoint !!!!!
Auteur
|