TITRE : Une inconnue dans le métro
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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Je zigzaguais le long des trottoirs de la rue Tolbiac par une belle nuit de pleine lune. Il me semblait, dans mon ivresse, que Paris s'était tu et avait laissé la place au silence du vent qui me caressait le visage. Ma tête tournait dans tous les sens sous l'action de l'alcool que j'avais consommé sans modération pendant cette initiation aux soirées parisiennes remplies de folie, d'alcool, de sexe, et de plaisir en tous genres.

Après une soirée comme celle-là, mon seul regret était de monter dans mon fidèle Métro de la ligne 14 et de galoper jusqu'à la station St Lazare, pour m'allonger sous ma chère et fidèle couette adorée. La station Bibliothèque François Mitterrand était, contrairement à l'ordinaire, d'un calme ennuyeux. Mes seuls regards se portaient sur un clochard qui s'astiquait la tige sous le pantalon.

Les portes automatiques s'ouvrirent au même moment où mes yeux s'illuminèrent. J'aperçus, quelques fauteuils plus loin, une silhouette de femme assise, et rien d'autre autour d'elle que la dureté du métal qui composait le wagon. Dureté que je commençais à ressentir jusque dans mes entrailles, puisqu'elle faisait une belle grosse bosse sur le tissu lisse de mon plus beau pince, que je suis allé mettre en face de son beau visage.

Elle avait de magnifiques yeux noisettes et un visage légèrement rondelet qui laissait nettement apercevoir un petit sourire plein de désirs et de dires. Elle était vêtue d'un tailleur marron qui faisait entrevoir une chemise beige et aussi deviner la rondeur de ses mamelles. En dessous, elle arborait une petite jupe marron sur des bas en grosse maille noire descendant sur des talons en cuir noir. Son corps transpirait sous la chaleur de la rame de métro où l'on suffoquait, enfoui comme ça dans le sol à quelques mètres de l'air libre.

A ma vue, elle croisa ses jambes en me faisant un très joli sourire ; mes yeux ne pouvaient s'empêcher de la dévisager, alors que ma position assise me faisait déjà mal. Plus je la regardais et plus elle frottait ses jambes l'une contre l'autre tout en passant ses mains dessus alors que sa langue faisait le tour de ses petites lèvres qui faisaient penser à une chatte désireuse d'être ouverte.

Quand le métro démarra sa course folle dans l'est parisien, une secousse d'une grande ampleur la jeta sur moi. Ses mains vinrent se positionner sur mon sexe en érection tandis que sa tête frôla mon torse. Nous nous dévisageâmes... Elle me jeta un petit sourire... et laissa sortir un petit soupir de joie. Elle laissa sa main sur ma queue en prenant bien soin de l'appuyer dessus. Sa tête se rapprocha de la mienne et aussi naturellement que possible elle me déposa un baiser fougueux sur les lèvres.

J'ai été surpris par la passion de son baiser, par l'agilité de sa langue qui glissait sans gène dans ma bouche qu'elle ne connaissait qu'à peine mais qu'elle maîtrisait déjà pleinement.

Alors que sa langue s'enfonçait dans ma bouche, je sentais déjà la douceur de ses mains pénétrer à l'intérieur de mon pantalon pour caresser mon sexe. Sa main entama alors des va-et-vient tout en compressant ma queue. Je sentais le sang monter dans mes veines et l'extrême dureté de mon sexe me faisait très mal.

Lisant dans mes pensées, elle la libéra de sa main agile et commença à faire des va-et-vient avec ses longs doigts fins. Le mouvement de sa main m'évinça de la vie réelle. J'avais l'impression de flotter sur un nuage tant elle faisait monter le plaisir par sa main, le long de ma queue, et stimulait mon corps tout entier. Elle était près de moi, je sentais sa poitrine s'agiter sur mon torse, son corps onduler sur le mien. Alors mes mains se glissèrent à l'intérieur de son chemisier, et je fus étonné par la douceur de ses tétons et la chaleur de son corps. Les caresses de mes mains sur sa poitrine suivaient les rythmes de la masturbation qu'elle m'infligeait.

Alors qu'elle laissait sortir les prémices d'un début de jouissance, le métro s'arrêta et un homme noir d'âge mur pénétra dans notre wagon, il alla s'asseoir au loin dans un coin du métro. Mais nous étions déjà trop excités pour prêter attention à ce qui se passait autour de nous, surtout que l'homme ne nous avait pas vu. Cependant, je pris conscience qu'il ne me restait que très peu de temps pour en profiter.

Je la mis sur moi. Elle prit le soin d'enlever son string et très doucement elle me fit pénétrer en elle. La grosseur de mon érection me mit au départ des bâtons dans les roues, mais son excitation prit le dessus et très vite je me retrouvai en elle.

Elle était face à moi, je pouvais voir l'expression de son visage pendant qu'elle se trémoussait sur moi, elle aimait cela et elle le faisait sentir : des gémissements sortaient de sa bouche. Mais elle voulait beaucoup plus.

S'aidant du fauteuil, elle prit de l'élan avec ses pieds pour faire de grands va-et-vient sur ma queue, ce qui me permit de la pénétrer avec force et sensualité. Elle poussa des gémissements de plus en plus forts. La violence ne l'arrêta pas : elle continuait, elle voulait avoir mal.

Nous flottions sur un nuage de plaisir, où rien d'autre que l'orgasme ne prévalait. Pour mieux me sentir en elle, j'avais fermé les yeux quand un énorme cri provenant de ma partenaire m'obligea à les rouvrir. Je fus surpris de voir le grand noir, devant moi et derrière la femme, en train de la sodomiser.

Une fois la surprise passée, elle se laissa aller aux plaisirs du sexe à trois, et moi je me laissais guider par l'ambiance.

Mais les arrêts du métro s'intensifiaient et nous pressaient dans notre jouissance. Le grand noir accélérait ses coups, ce qui obligeait la femme à en faire de même et par ricochet m'obligeait aussi à me surpasser. Je n'étais pas habitué à ce genre d'expérience et je sentais déjà monter la jouissance.

La femme s'arrêta, se mit à quatre pattes devant nous et nous dit qu'elle voulait qu'on lui éjacule tous les deux dessus, qu'elle avait toujours rêvé d'être un garage à sperme. Elle nous suça chacun à notre tour et laissa nos deux queues pénétrer en même temps dans sa bouche. Nous branlant tous les deux en même temps, elle poussa des cris de plaisir, son corps se crispa et on eut l'impression qu'un orgasme interminable l'envahissait. Elle était dans le monde du plaisir continuel. La fixant du regard, mon foutre remonta ma verge sous la pression de ses doigts et mon sperme chaud et gluant lui aspergea le visage, les yeux, les cheveux ... et surtout la bouche. Cette giclée de sperme l'excita de plus belle. Elle accéléra ses va-et-vient sur le grand black qui ne put résister plus longtemps et qui l'aspergea à son tour de sperme. Sa bouche se remplit de liquide blanc qu'elle avala en nous regardant.

Quand elle prit la peine de nettoyer nos queues, les porte s'ouvrirent et un groupe de personnes rentra dans le métro. Nous fûmes surpris dans nos actes. Nous nous empressâmes alors de remettre nos vêtements et, sans prendre le soin de nous nettoyer, nous sautâmes sur le quai, Chatelet, et prîmes le chemin de l'hôtel le plus proche...


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