TITRE : Une exhibe qui dégénère
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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C'est Lundi, il est 23 heures, ma femme n'est pas encore rentrée. Elle m'a dit manger chez une amie, mais la vérité est bien plus croustillante, comme vous pourrez le constater. Mon épouse et moi-même sommes revenus ce matin, d'une petite escapade espagnole, empreinte d'érotisme et de sexe. J'aime ma femme, et je l'ai adorée plus encore, en la voyant déambuler parmi la foule dans des tenues des plus affriolantes. J'ai aimé que les hommes ( et les femmes d'ailleurs aussi) plongent leur regard dans son large décolleté et se retournent sur elle pour lui mater le cul. Je me suis amusé à la laisser seule quelques minutes, et voir une meute de jeunes loups venir l'accoster, lui faire des propositions indescantes, en profiter pour la frôler, et constatant sa vulnérabilité, la peloter sans gêne. Nous avions également partagé d'agréables moments autour de quelques verres de Margarithas à la terrasse d'un café, lui ouvrant les cuisses afin que les serveurs puissent entrevoir ses formes les plus exquises. Nous avons mangé aux rythmes de nos fantasmes. Elle m'a avoué ses envies cochonnes. Etre prise par d'autres hommes, jouir sous les carresses d'une femme, nous exhiber devant la caméra... Nous avons fait l'amour à l'hôtel, baisé dans une ruelle. Elle m'a suçé dans une cabine d'essayage, je l'ai pénétrée dans un bar.

Bref, ce Lundi, nous sommes impreignés de sexe. J'ai repris le boulot,mais mon esprit est encore dans le creux de ses reins. Et c'est vraiment par hasard, qu'au sortir de mon rendez-vous de 15 heures, j'apperçus la voiture de ma femme se diriger vers le Géant Casino. Habituellement, j'aurais continué ma route, mais aujourd'hui la tentation était trop forte. Je lui emboitais donc le pas et la suivis. En fait, elle se gara dans l'un des box de la station de lavage, et moi, certainement pour combler mon coté voyeur, je me rangeais à une cinquantaine de mètres de là, sur le parking de l'hypermarché,derriere un monospace, de manière à la voir sans etre vu. Elle sortit de son Austin mini, et introduisit quelques pièces dans le monayeur. Elle était vêtue de sa nouvelle petite robe en lin blanc achetée Samedi,et d'une paire de tong.Il est vrai que les après-midis sont encore relativement cléments, mais sa tenue est tout de même tres légère pour l'epoque. Malgré la transparence indéniable de sa robe, mon éloignement m'interdisait la vision de son string. En revanche, à chaque mouvement de sa part, l'extrême minimalisme de sa robe me révèlait la base de ses fesses si appetissantes. Le spectacle de ma femme virevoltant autour de sa voiture etait sublimement excitant, et je sentais de plus en plus mon membre durcir et tendre mon pantalon. J'extirpais alors le télephone devenu genant de ma poche, et en profitais pour lui envoyer un message: "T'es ou?". Je savais qu'elle etait assez accros a son portable, mais je fus tout de même très surpris de voir sa main plonger entre ses seins et l'en dégager." Baleine Bleue": me repondit-elle. Etant tres joueurs tous deux, elle ne fut pas surprise de recevoir quelques secondes plus tard: "Enlève ton string!!! ". Un sourir coquin illuminait son visage. Elle s'approchait alors de la portière, voulant à coup sûr s'éxécuter à l'interieur de la mini, quand un 4X4 noir vint se positionner derrière son vehicule. Elle fit alors volte-face et continua nonchalament le nettoyage de sa voiture. Je rageais: Satanée Cayenne, qui venait perturber mon Show wife! C'est alors que je m'aperçus que les passagers du 4X4 avaient ouvert leur vitre et lancèrent quelques mots à ma femme.C'était deux hommes d'une petite quarantaine d'années, d'allure typée, bizarrement espagnole.Je ne sais pas ce qu'ils ont pu lui dire, mais toujours est-il qu'elle semblait ravie.
Ma bite n'en pouvait plus et je me la touchais maintenant à travers le tissu. Je repris alors mon portable et téléphonais à ma coquine de femme: "Salut, alors plus à l'aise?" "Non j'ai pas pu, y a deux..." Je ne lui laissais pas le temps de finir sa phrase et dit:" Tu m'avais promis. Retire - le!!!" Ma femme posa alors son téléphone ainsi que la tige du Karcher sur le capot humide de son véhicule, et fit glisser son infime bout de résille rose le long de ses cuisses. Il ne fallut sûrement qu'une demi-seconde pour que son string se retrouva dans sa main, mais la scène était telle que j'avais une impression qu'elle s'était passée au ralenti. J'imaginais la tête que devait faire les deux hommes devant la vision de cette belle salope. Aussi, ma femme repris la karchérisation de sa mini, abreuvant ses deux spectateurs et moi-même de ces gestes impudiques. Elle se retrouvait tantôt accroupie à hauteur de roue, cuisses totalement écartées dévoilant sa chatte épilée, tantôt courbée en avant ,offrant aux hommes son cul magnifique.Le manège dura encore 2 ou 3 minutes, quand le copilote descendit du 4X4 et vint l'interrompre. Il échangea quelques phrases avec la superbe allumeuse, se mit au volant de la mini et vint la garer à quelques places de parking de là où j'étais. Pendant ce temps, Le 4X4 se plaçait dans le box, ma femme le regardait faire en passant sa langue sur ses lèvres et en se touchant la chatte. Aussitôt, la porte avant du conducteur s'ouvrit, ma femme se positionna dans l'entrebaillement, se pencha vers l'homme et commença à lui lécher la bite, qui devait être de bonne taille, aux vues des vas et viens que sa tête faisait. L'autre les rejoint, pris la tige du Karcher dans sa main droite en faisant mine de laver l'aile de son monstre, tandis que sa main gauche fouillait le cul de ma chère et tendre. Elle alternait maintenant, et se retrouvait de nouveau accroupie, mais avec la queue du passager dans la bouche, et celle du conducteur dans la main. Cela se prolongea près de 5 minutes, et je pense qu'elle les a faits jouir tous les deux avec très peu d'intervales, même si aucune goutte de sperme ne me permettait de le certifier, car rien n'avait jailli hors de ses lèvres. Contrairement à moi, qui avait inondé mon pantalon. Je crus alors que c'était fini, mais l'homme hors du véhicule prit virilement ma femme par la taille et la propulsa sur la banquette arrière du 4X4. Les portières se refermèrent, le moteur vrombrit, et le 4X4 partit sur les chapeaux de roues. Le temps de me remettre partiellement de ce qui venait de se passer, je repris mon portable pour l'appeler. Elle ne répondit qu'au troisième appel consécutif. "Allo, ça va?" lui dis-je d'un air plutôt détaché. "Oui très bien" me dit elle, " je crois que je vais aller faire quelques courses en ville. Tu m'as maintenant très excité, et je veux profiter d'être libérée de petite culotte, pour faire prendre l'air à mon minou.""O.K" lui répondis-je assez stupéfait par son vice." A ce soir, mon amour, je crois que je vais te sucer toute la nuit tellement j'ai envie de ta bite." O.K.": lui rerépondis-je en riant presque jaune dans un semi K.O.

Ensuite plus de nouvelles. Je suis rentré directement chez nous, pas en état de poursuivre mon travail, excité comme jamais, mais quelque peu anxieux tout de même. Elle m'avait appeler vers 19 heures, me disant qu'elle dînait avec Marie, et qu'il se pouvait qu'elle rentre tard, car sa copine avait des problèmes de couple. Il est maintenant 4 heures du mat, personne à l'horizon. J'ai passé ma soirée à imaginer ce que tu étais en train de faire, et à me donner de longs plaisirs. J'espère que tu me raconteras bientôt ce qui s'est réellement passé, mais saches que je ne t'en veux pas. Bien au contraire, c'est moi-même qui t'y ai poussé. Pardonnes-moi.

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