TITRE :  Une élève très coquine
Catégorie : 
Histoire interraciale

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Je m'appelle Marc, j'ai 25 ans et je suis étudiant en thèse de géographie. Je vis avec Sophie, magnifique Noire aux formes plus que généreuses. Comme ma copine, je suis surveillant dans un lycée. Outre de jeunes élèves, il y a aussi dans cet établissement des sections de BTS. Ces étudiants sont âgés de 18 à 23 ans.

En cette rentrée 2005, une nouvelle section de BTS secrétariat s'est ouverte. Composée à 100% d'étudiantes, cette ouverture a permis de faire baisser le niveau de testostérone très élevé dans cet établissement spécialisé dans les métiers du bâtiment.

Début septembre, j'ai donc accueilli ces demoiselles en leur expliquant qu'elles arrivaient dans un lieu très masculin, et qu'elles ne devaient pas hésiter à contacter un membre de l'équipe pédagogique en cas de problème avec nos garçons, car ils n'étaient pas à proprement parler ce qui se fait de mieux en matière de finesse. J'expliquais à l'inverse aux garçons que le moindre problème avec nos nouvelles étudiantes serait sévèrement puni. Cette nouvelle mixité ne devait pas être le prétexte à des débordements sexistes.

Tout se passa bien pendant trois semaines...

Fin septembre, une des étudiantes, nommée Nora, vint me voir en m'affirmant que trois élèves de terminale étaient venus la tester en lui demandant fermement quelques faveurs buccales. Elle les avait repoussés et les trois lascars n'avaient pas insisté. Mais, quelques jours plus tard, ils étaient revenus à la charge... Connaissant bien les trois larrons, je savais qu'ils n'iraient pas plus loin que ces débordements verbaux, et je l'expliquai à Nora qui en fut rassurée. Je pris quand même soin d'aller voir ces trois élèves pour leur rappeler les risques qu'ils encouraient avec de telles pratiques. Cela les calma, et je décidai de ne pas en parler à la direction du lycée.

Pour me remercier, Nora me proposa de m'inviter à prendre un verre. Nora a vingt ans, je ne risquais donc rien. Deux étudiants dans un bar, ça n'a rien d'immoral. Nous étions vendredi soir, le rendez-vous fut pris pour le soir même. Je lui demandai quand même de ne pas en parler avec ses amies. La journée passa, Nora me souriant quand elle me croisait.

De retour chez moi, je trouvai l'appartement vide. J'avais oublié que Sophie était partie pour trois jours pour un stage de terrain avec la fac. J'avais deux heures devant moi avant de partir voir Nora. En sirotant une vodka orange, je pensais à la façon dont la soirée allait se passer. Ses sourires appuyés toute la journée et le regard qu'elle a eu quand j'ai accepté de la voir ce soir pouvaient me laisser penser qu'elle allait tenter quelque chose. D'un autre côté, je l'avais sortie d'une situation un peu stressante, et m'inviter était peut-être sa façon de m'être reconnaissante. Bref, j'étais assez dans l'expectative.

C'est que Nora est une très jolie fille. La peau mate, des cheveux très bruns et ondulés, elle est mince et mesure environ 1 m 70. Ses yeux illuminent son visage. En amande, très noirs, avec une intensité qui trouble la personne qu'elle regarde. Etant obnubilé par les poitrines généreuses, je ne peux oublier de mentionner la sienne, dont je confesse que j'ai remarqué le volume lorsque qu'elle était près de moi plus tôt dans la journée. Ces pensées et sûrement aussi la vodka commencèrent à me donner un début d'érection. L'heure tournant, je filai prendre une douche pour me laver à la fois de la journée et des idées coquines qui me trottaient dans la tête.

Quand je suis arrivé dans le bar, je fus surpris par le fait que Nora n'était pas seule. Elle était en effet accompagnée par une amie du nom de Sophie, comme ma copine. Nora s'absenta rapidement pour aller aux toilettes et je me retrouvai seule avec Sophie.

– Alors, comme ça, tu acceptes une invitation d'une de tes élèves ! me dit-elle.

– D'une étudiante, précisai-je. Un rendez-vous entre deux adultes consentants n'est pas interdit. Et de toute façon cette rencontre se fait en tout bien tout honneur.

– Je te taquinais. Mais tu sais que tu lui as tapé dans l'oeil ?

– Tu ne serais pas en train de me tester pour connaître mes intentions ? Dans le cas contraire, ce ne serait pas sympa de trahir ta copine.

– En fait, j'en sais rien. Mais elle est contente que tu aies écarté ces gamins. C'est dans sa nature de te remercier comme ça.

Nora revint.

– Je te laisse pas cinq minutes et tu commences déjà à le draguer, dit-elle à son amie en souriant.

– Je testais juste ses intentions et elles me semblent honorables alors je peux vous laisser maintenant.

Sur ces mots, Sophie prit son sac et partit, nous laissant seuls. Pendant plus d'une heure je discutai avec la belle de façon très spontanée. J'appris qu'elle n'avait commencé son BTS que pour faire plaisir à une copine présente au lycée, mais qu'elle allait bientôt démissionner. Elle était en fait étudiante en licence de sociologie, et elle comptait se spécialiser dans le domaine de l'intégration des immigrés. Ce qui nous rapprocha, puisque ma thèse portait sur la diaspora chinoise en France. Pendant cette heure, nos regards sont restés rivés l'un à l'autre, comme une prévision de ce qui allait arriver à nos corps dans quelques heures. Pour rompre le charme qui commençait à nous envahir, je l'interrogeai sur la présence du sac de sport qui trônait à ses pieds.

– Je pratique le self-défense depuis cinq ans avec Sophie.

– Tu aurais donc facilement pu repousser tes trois « agresseurs » sans problème ? lui demandai-je innocemment, sentant que Nora n'était pas venue chercher mon aide sans arrière-pensée. Elle éluda la question et me dit :

– On dîne ensemble ?

– Pourquoi pas ? Tu as une idée de l'endroit ?

– Pas encore, mais de toute façon il faut que je passe chez moi, car je n'ai pas eu le temps de me doucher après mon entraînement. Comme tu ne vas pas attendre tout seul, tu viens avec moi et on ira au resto après. D'accord ?

– Je crois que je n'ai pas le choix...

– Non ! me dit-elle avec un sourire sans équivoque.

Le piège s'était refermé sur moi, mais je dois avouer que m'être fait manipulé par la belle Nora a été un vrai plaisir. Et la soirée s'annonçait des plus belles.

Nora habite un vieil immeuble haussmannien et, comme je m'y attendais, l'ascenseur y est tout petit. Nous nous retrouvons donc face à face, corps à corps même, et j'ai l'occasion de vérifier que les seins de Nora sont d'un volume parfait. Mes pensées divaguent et je sens une érection monter tranquillement dans mon caleçon. En mettant la main dans sa poche pour chercher ses clefs, Nora effleure mon membre en croissance sans pour autant, semble-t-il, le remarquer. Mon excitation monte d'un cran supplémentaire.

Nous arrivons enfin au bout du voyage. Son appartement décoré sans fioritures est composé de deux pièces spacieuses, ce qui me surprend pour une étudiante. Nora m'explique que son père a eu la chance de gagner un belle somme au loto et qu'il a fait cadeau d'un deux-pièces à chacun de ses enfants. Après m'avoir présenté son antre, Nora s'éclipse vers la salle de bains après m'avoir invité à prendre possession de son bar.

Le bar contient mon alcool fétiche : la vodka. Je m'autorise une virée jusqu'au réfrigérateur où je trouve du jus d'orange. Avec mon verre je me dirige vers le PC avec l'intention de consulter mes mèls. Rien d'intéressant, alors je laisse l'ordinateur et vais m'asseoir sur le canapé. Je ne reste assis que quelques secondes car j'entends la voix mélodieuse de ma douce qui m'appelle depuis la salle de bains. Quand j'entre, elle est cachée derrière le rideau de douche, il n'y a que sa tête qui dépasse et elle me dit en riant :

– J'ai oublié de prendre des sous-vêtements.

– C'est con, ça ! Tu vas devoir passer devant moi toute nue !

– Sauf si tu vas en choisir pour moi dans la commode de ma chambre...

– Je prends ce que je veux ?

– Ce que tu veux !

Dans sa commode, en effet, il y a le choix. Je porte le mien sur un ensemble tanga/soutien Wonderbra qui mettra son corps en valeur. Quand je le lui apporte, elle a un petit sourire mutin des plus charmants. Je m'éclipse dans le salon pour l'attendre. Quand elle sort de la salle de bains, elle ne porte que ce que je lui ai apporté. Elle reste devant moi, fait un tour sur elle même et me dit :

– L'ensemble que tu as choisi te plaît ?

– L'ensemble sur toi me plaît...

Elle sourit et se dirige vers le bar. Elle se penche pour prendre une bouteille, me donnant l'occasion d'admirer sa chute de reins et ses fesses. Sublime !

– Tu ne comptes pas mettre autre chose sur le dos ?

– Tu as peur que j'attrape froid ?

– J'ai plutôt peur de te sauter dessus.

– Et moi, j'ai peur que tu ne le fasses pas !

– C'est toi qui m'as attiré ici, c'est donc à toi de mener le bal, en tout cas dans un premier temps.

– Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux...

– Alors, commence par me déshabiller.

– Vos désirs sont des ordres, monsieur le surveillant.

La belle s'approche de moi, me prend par la taille et m'embrasse langoureusement. Je pose la main sur ses fesses et mon sexe s'enflamme. Je palpe à pleine main ses fesses callipyges pendant que nos langues s'emmêlent. De son côté, elle défait un à un les boutons de ma chemise et fait sauter le bouton de mon pantalon. Ainsi libérée, ma queue en érection jaillit de mon caleçon qu'elle abaisse dans le même mouvement. Elle laisse alors ma bouche, se tourne et commence à tortiller ses fesses contre mon membre tendu. Je profite de cette position pour dégrafer son soutien et caresser ses seins, tendus par l'excitation. Je l'embrasse dans le cou et lui pince doucement les tétons. Cette caresse lui tire ses premiers gémissements. Je la sens totalement à ma merci et lui dit :

– Prends-moi dans ta bouche

Elle se dégage de mon emprise, se tourne face à moi, prend mon sexe dans la main et susurre :

– J'attendais que tu me dises ça.

Sur ces mots elle se met à genoux et, tout en continuant à me masturber, me lèche avidement le gland. Elle continue cette caresse pendant quelques secondes et gobe mon gland gorgé de sang. Nora me montre tous ses talents en matière de fellation. Elle me branle avec sa bouche, lèche mon sexe, mes couilles, mon gland pour récupérer les quelques gouttes qui perlent. Puis, prenant mon gland dans sa bouche, elle aspire puissamment, c'est divin. Je suis au comble de l'excitation.

Nora me laisse alors quelques instants pour aller fouiller dans un tiroir. Elle en sort un tube de lubrifiant, revient s'agenouiller devant moi et verse une grosse giclée vers mon sexe tendu. Elle se relève un peu, prend ses seins dans ses mains, emprisonne ma queue et commence à me branler entre ses seins. Je suis au Paradis ! Grâce au lubrifiant, mon sexe glisse avec facilité entre ses seins. Petit à petit, mon étudiante élève le rythme et, sentant ma jouissance arriver, elle me reprend en bouche pour m'aspirer.

– Je vais jouir, ma chérie.

– Et moi, je veux ton nectar.

Elle me reprend en bouche et je jouis. Elle avale les deux premières giclées, ressort ma queue de sa bouche et dirige les autres jets vers son visage et ses seins. Les jambes en coton, je tombe sur le canapé, impressionné autant par la performance de Nora que d'avoir lâché autant de sperme. Ma belle, toujours souillée de ma semence, se lève pour prendre son verre. Elle finit d'un trait sa tequila et vient se placer devant moi. Je suis encore en érection. Elle recommence alors à me sucer. Je me dégage de sa bouche et lui propose de prendre une douche.

L'eau brûlante nous lave de nos péchés mais pas de nos ardeurs. Nos mains explorent nos corps, s'attardent sur les zones les plus sensibles. Mes mains et ma bouche s'occupent de sa poitrine, de son cou, de ses fesses qui m'obnubilent. Mon sexe a repris de la vigueur, je la retourne et commence un mouvement de va-et-vient dans sa raie. Elle gémit et me dit qu'elle ne veut pas de capote, elle veut me sentir m'épancher en elle. Je continue mes mouvements, et d'un coup je la pénètre jusqu'à la garde. Elle pousse un cri de plaisir et de surprise. Je me retire presque entièrement et, d'un coup puissant, je m'enfonce à nouveau au fond de son vagin. Nora feule de plaisir en poussant son corps sur mon pieu. Je l'attrape par la taille et la prends violemment pendant qu'elle-même s'empale sur moi. Nora crie maintenant, et chacun de nos mouvements augmente la puissance de sa jouissance. Elle augmente encore le rythme et soudain se fige, ma queue au fond de son corps. Son orgasme est très puissant, je sens son vagin palpiter autour de mon sexe. J'arrête de bouger, mais Nora continue pour épuiser son orgasme jusqu'au bout.

– Je crois que je n'ai jamais joui aussi fort de ma vie, mon chéri.

– Tu le méritais bien, après ce que tu m'as fait tout à l'heure.

– Mais toi tu n'as pas joui et je veux te sentir couler en moi.

Nous sommes toujours mouillés, mais elle m'entraîne hors de la douche vers le séjour. Elle me pousse sur le canapé et entreprend de me sucer à nouveau. Puis, estimant que j'ai repris assez de vigueur, elle vient s'empaler d'une traite sur mon sexe qui n'attendait que ça. Je profite de cette position pour plaquer mes mains sur ses fesses qui me font rêver. J'ai envie de la sodomiser, mais je ne sais pas si elle apprécie cette pratique. Je décide de tenter ma chance...

Nora est toute à son plaisir, elle va et vient sur mon sexe avec entrain. Les mains toujours sur ses fesses, je rapproche lentement mes doigts de sa raie. Mon index passe doucement entre ses globes, en insistant sur son anus humidifié par la cyprine. Nora ne dit rien de mon manège, jusqu'à ce que mes caresses se précisent :

- Je ne l'ai jamais vraiment fait par là...

- Comment ça... vraiment ?

- Mon précédent copain me mettait des doigts mais il ne tenait jamais assez longtemps pour me prendre par le cul. Mais, rien qu'avec ses doigts, je prenais vraiment mon pied.

- Alors, je vais y aller doucement.

Nora est toujours en mouvement sur moi, je continue ma caresse en insistant vraiment avec mon doigt qui doucement la pénètre. Cette intrusion est accueillie par un « ah » de plaisir qui m'incite à continuer. Je commence de lents mouvements de pénétration, sentant mon sexe à travers la fine paroi qui le sépare de mon doigt. De mon autre main je saisis le tube de lubrifiant qui traîne sur le canapé. Je ressors mon doigt de ses fesses et je l'imbibe de lubrifiant, ainsi que son voisin. Mes deux doigts pénètrent sans problème le cul de ma douce. Pénétrée de deux côtés, Nora semble en transe. Je ne bouge plus ma queue dans son vagin, mais commence un va-et-vient avec mes doigts. Nora feule chaque fois que je m'enfonce entre ses fesses. Elle paraît tellement aimer ça qu'elle pousse ses fesses sur mes doigts. Se sentant prête, elle se dégage, se met à genoux face au dossier du canapé et me dit :

- Je te veux dans mes fesses, mon chéri. J'ai assez attendu, encule-moi !

- Moi aussi je veux ton cul, mais je veux que tu viennes t'empaler sur moi. C'est comme ça que j'aime sodomiser les filles.

Sur ces mots, ele revient sur moi, prend ma queue gluante dans sa main et la présente à l'entrée de son cul. Puis, doucement, elle s'abaisse, jusqu'à ce que ses fesses s'appuient sur mes cuisses. Une douce et chaude pression s'exerce sur mon sexe. Son orifice est vierge et divin. Et je suis au Paradis quand elle commence un lent mouvement. Nora ne feule plus, elle jappe. Au bout d'une minute ou deux, elle amplifie ses mouvements et se met à crier. Ne résistant plus au plaisir qui m'inonde, je plaque mes mains sur ses fesses pour accentuer encore plus ses mouvements de bassin, augmentant ainsi encore l'intensité de ses cris. Sentant notre plaisir imminent, je me mets moi-même à crier et me déverse au fond de ses fesses. Comme sous la douche tout à l'heure, Nora reste coite, terrassée par l'orgasme qui submerge son esprit. Nous restons de longues minutes silencieux, mon sexe encore dur fiché en elle.

Quand nous émergeons, Nora me sourit. Elle me dit qu'elle avait rarement joui aussi fort, et jamais par le cul. Puis elle me prend par la main et m'attire vers la douche. L'eau brûlante est comme tout à l'heure, mais la séance est cette fois-ci beaucoup plus sensuelle. Nous nous caressons, nous nous embrassons, nous sommes heureux d'avoir partagé ce moment de plaisir.

Puis nous partons nous coucher, lovés l'un contre l'autre.

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