TITRE : Une belle journée de printemps
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze
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C'est une belle journée de printemps, la première depuis des jours. Les nuages ont laissé place à un ciel limpide, le soleil réchauffe agréablement l'air, la vie est belle. C'est ce qui m'a donné envie de repasser à la maison pour récupérer ce dossier oublié ce matin. Je n'en ai pas spécialement besoin mais c'est bon de s'aérer un peu quand il fait aussi beau.

La route est dégagée en ce début d'après-midi, mon village est en vue, puis ma rue et enfin ma maison. Achetée il y a dix ans, pour une bouchée de pain, elle en vaut maintenant le double... Une belle superficie, un grand terrain planté d'arbres fruitiers... Dans à peine un mois, ils seront en fleur. Je gare la voiture devant le portail. Il est fermé et comme je ne vais pas rester longtemps, pas la peine de me compliquer la vie... Et puis marcher me fera du bien.

Je m'approche de la maison, je la contourne pour rentrer par la terrasse arrière. Je sais qu'il y a de grandes chances pour que ma femme y soit. Nous sommes mariés depuis 15 ans, nous avons trois enfants qui sont en ce moment au collège ou à l'école. Sophie est restée une femme très attirante, brune, élancée, elle est bien faite et assume parfaitement sa féminité, n'hésitant jamais à se mettre en valeur. Elle affectionne la lingerie fine et coquine, les tenues courtes et moulantes. Une femme extraordinaire. Nous avons une sexualité débridée, Sophie est très curieuse et ouverte aux nouveautés, du moment que ça reste dans notre couple. Sophie n'est pas sur la terrasse, mais la baie vitrée est grande ouverte et il me semble entendre la télévision. Je rentre au salon, lui aussi désert.

Je me dirige vers les chambres et je m'apprête à appeler lorsque je perçois des bruits... Gémissements, gloussements, je ne sais pas trop mais j'ai la nette impression que c'est... Sexuel, c'est le mot qui me vient à l'esprit... Et c'est tellement évident que ça me fait frissonner. Je progresse dans le couloir, la moquette étouffe le bruit de mes pas... Notre chambre est au fond du couloir, la porte est entrouverte, je découvre la scène. J'ai d'abord du mal à distinguer, je ne vois pas en direct mais grâce au miroir qui orne le mur... Je pense d'abord à un homme en train de prendre ma femme en levrette. Mais le nombre de bras ne colle pas, puis tout devient clair...

Il y a un homme allongé sur le lit, elle le chevauche, un autre est au dessus d'elle, il la chevauche. Ils doivent avoir la bonne quarantaine, pas des athlètes mais ils ont l'air d'y aller de bon coeur. De son côté, elle n'a pas l'air gênée de sentir ces queues s'agiter en elle. En fait, elle a l'air d'aimer ; je distingue ses paroles, elle en demande plus, plus fort, à fond. Je ne suis pas jaloux, je ne suis pas triste, je ne me sens pas trahi. Je n'ai pas de rage, pas d'amertume. Je suis excité. J'ai toujours fantasmé en l'imaginant avec deux hommes et là, je suis en plein dedans. Je ne vois pas grand-chose de là où je suis, mais je sais que si maintenant, j'ouvre la porte, ils ne me verront pas. Ils me tournent le dos ; alors je me déshabille, lentement, sans bruit.

J'ouvre la porte sans bruit et je traverse à quatre pattes la distance qui me sépare du pied de lit. J'y suis. Nu, la queue tendue... Je bénéficie alors d'une vue extraordinaire... Je distingue clairement sa chatte et la queue qui s'y trouve fichée... Un beau membre à la couleur sombre, veiné et luisant de sa mouille à elle. Sa chatte est gonflée, ce qui m'étonne à moitié, je suis derrière la porte depuis environ dix minutes et elle n'a cessé de se faire prendre. Je la connais et je devine donc son état d'excitation... Puis plus haut, il y a cette autre queue, qui me semble plus fine... Plus fine mais néanmoins plantée dans son cul. J'estime que le mec est rentré en elle à moitié, qu'il peut encore aller plus loin. J'ai envie de l'encourager car je sais qu'elle aime être mise bien profondément...

Soudain, ils décident de changer de position, je me baisse, sachant que le pied de lit me permet de me dissimuler, des bruits de draps froissés, des murmures, des gémissements et un 'oooohhhh' qui me fait relever la tête. Je découvre alors que les deux hommes ont inversé les rôles... Celui qui était dans sa chatte est passé dans son cul, sa queue est imposante, il est en train de la ressortir lentement, complètement. Le gland apparaît, énorme, violacé, il revient s'appuyer contre l'anus qui se dilate et l'absorbe, le gobe, la queue disparaît, entièrement, il sait comment la prendre, elle gémit de plaisir. Je constate qu'aucun des deux n'a de capote, je me demande si c'est la première fois, je pense que non. Ils semblent avoir de la pratique à trois ceux là. Surtout celui qui est en train de la sodomiser, lui, il y va franchement, il sait ce qu'elle aime et comment elle l'aime.

Je meurs d'envie de les rejoindre ; je n'ai pas tellement peur de leurs réactions à eux mais plutôt de sa réaction à elle. En attendant, celui qui la sodomisait est en train de se vider en elle, et vu la façon dont il est planté en elle, il y a peu de chance qu'une seule goutte s'échappe, il se retire, ainsi que l'autre, qui vient lui aussi se finir en elle pendant que son acolyte, allongé, les yeux fermés, se fait sucer la queue par Sophie qui y met tant de bon cœur que je la soupçonne de vouloir un second round... Celui qui est dans son cul s'active de plus en plus, sa queue fait un bruit de succion à chaque mouvement, puis d'un seul coup, il s'affale sur elle dans un long râle, il reste fiché en elle quelques instants puis va lui aussi se faire nettoyer la queue...

Ils s'allongent chacun d'un côté du lit. Elle au milieu, à quatre pattes, la croupe offerte passe d'une queue à l'autre. Son anus est boursouflé, du sperme suinte et s'écoule le long de ses lèvres turgescentes et trempées de la mouille qui goutte de sa chatte. Son cul est à une cinquantaine de centimètres de moi, il me suffirait de me relever et de la prendre, et je le fais. Je me lève et je la saisis par les hanches, elle relève la tête surprise, vérifie les deux queues qu'elle est en train de sucer avec tant de ferveur qu'elles sont de nouveau turgescentes, elle ne comprend pas, se retourne légèrement juste au moment ou d'une poussée, je l'encule... Ma queue rentre en elle, elle comprend. Elle comprend qui je suis, ce que j'ai vu, ce que je sais. Elle comprend qu'en la sodomisant, je trempe ma bite dans le sperme chaud laissé par ses amants quelques instants à peine auparavant...

Les deux hommes aussi ont compris, ils ont bien saisi le bref instant d'hésitation qu'elle a eu avant de les reprendre en bouche, eux aussi savent qui je suis et comprennent à cet instant que j'accepte de partager ma femme avec eux, que j'accepte leur semence en elle. Je la vois sucer celui qui a la plus grosse queue, l'homme au gland violacé, je poursuis mon œuvre en elle, je sens le foutre chaud couler sur mes couilles, je ressors complètement d'elle, j'admire son cul ouvert, dilaté, un appel à la luxure, je la savais anale mais pas à ce point...

Je regarde l'homme au gland violacé, sa queue est sensiblement de la taille de la mienne, un signe suffit, il glisse sous elle, elle se relève, le guide vers sa chatte mais il se la fait remonter... Il ne veut pas de sa chatte, nous nous sommes bien compris... Elle s'empale de nouveau sur cette queue que son cul connaît bien. Après quelques mouvements, il ressort légèrement, assez, pour que je puisse venir revendiquer moi aussi son orifice anal, elle semble comprendre ce qui va se passer et c'est tant mieux pour elle, je la sais capable de ça. Prenant ma queue à pleine main, je viens placer mon gland juste contre la queue de l'autre et je pousse, lentement mais sûrement, à chacun des mouvements de l'autre, je gagne quelques millimètres, elle crie « non » tout en cambrant encore plus les fesses, je sens la résistance de son anus, je sens cette résistance diminuer puis ma queue se fraye un passage dans son cul, nous sommes deux, nous sommes deux et nous la sodomisons, elle grogne de plaisir, affalée sur son partenaire, le visage tourné vers celui qu'elle suçait, qui se relève pour admirer le spectacle en se masturbant et qui, n'en pouvant plus d'une telle débauche, retourne décharger sur elle le contenu de ses couilles, il zèbre son visage et ses lèvres de traînées blanchâtres qu'elle tente de récupérer avec sa langue. Je la sens se masturber furieusement, je la devine au bord de l'orgasme et je jouis, je sens ma semence jaillir, exploser, je sens mon partenaire se contracter lui aussi et nous la sentons, elle, elle crie, se contracte, un orgasme fulgurant...

Je me lève, elle gît sur le lit, ouverte, dilatée, épuisée.

Nos spermes mêlés sortent de son anus resté ouvert...

Je me rhabille, je sors, heureux, satisfait. Plus rien ne sera comme avant. Nous sommes rentrés dans une autre dimension sexuelle.

Je rentre au boulot, la tête pleine d'images. La route me semble encore plus belle qu'à l'aller... Mon portable sonne, je décroche, c'est elle... Elle me dit : « Je t'aime »... Moi aussi je l'aime

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