TITRE : Une aventure sur commande
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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C'est mon histoire que je vous raconte là, elle est véridique. Elle a commencé au mois de juin 2005 et je ne sais pas quand elle se terminera car je vis de nouveaux épisodes encore maintenant. Je ne pourrai certainement pas vous raconter toutes mes inconduites mais, si ça vous intéresse, je vous en donnerai encore quelques-unes, rien que pour le plaisir.

Pourquoi écrire cette aventure ? Tout simplement par désir de m'exhiber, mais aussi de me confier. Je dois vous dire que, à part mon ami inconnu - celui qui est à l'origine de cette histoire - et mon mari, personne jusqu'à présent ne connaît cette facette de ma personnalité. Je suis moi-même la première surprise de ce qui m'arrive.


Voilà, j'ai 32 ans et je suis mariée. Mon visage est très ouvert et mes yeux rieurs. Je me trouve joliment tournée, le regard des hommes me le confirme. Je suis bien dans ma tête et bien dans mon corps. Je porte généralement des tenues sexy mais non provocantes. Je suis élancée, très féminine et mes seins, en 90 C, sont fermes et souvent libres sous mes tee-shirts ou mes robes légères. Même si je porte souvent des jeans qui soulignent mes formes, je laisse chaque fois que je peux mon ventre nu et mon nombril visible.

Jusqu'à présent j'étais une adepte des strings. Cette ficelle qui sépare mes fesses et les lèvres de mon sexe m'excite, mais je dois reconnaître que j'en mets de moins en moins. J'adore créer des situations pour que l'on puisse voir mes cuisses, mes seins et ma fente sans que j'aie l'air de les montrer. Mais, derrière mes lunettes de soleil ou par-dessus mon livre, ça stimule ma libido d'observer celui qui regarde entre mes cuisses.

Cela fait déjà plusieurs années que je me rase totalement, je ne laisse qu'un très léger triangle de duvet bien au-dessus de mon clitoris. J'adore mon sexe glabre, sa peau nue est très sensible, elle décuple les sensations procurées par les caresses de l'air, d'un tissu, d'un regard surpris ou celles de l'homme qui est avec moi dans le plaisir.

Mes lèvres intimes sont relativement gonflées et bien visibles, même lorsque je suis debout et nue évidemment : la fente remonte très haut et je trouve ça joli. Eh oui, je suis plutôt exhibitionniste et, ce qui me plaît par-dessus tout lorsque l'on me regarde, c'est de faire comme si je ne le savais pas.

Afin que pour vous, lecteurs chéris, je sois plus complète dans ma confession, il faut que je vous dise que j'ai eu quelques amants, mais je ne les garde pas, je change chaque fois. Dans ce domaine, la nouveauté m'est indispensable. Mieux : c'est une demande de Ludovic, mon époux.

Pour rassurer ceux qui s'inquiètent de mon ménage, je dois leur dire que suis vraiment heureuse avec mon mari, il me laisse libre d'avoir des aventures. Nous ne connaissons pas encore le train-train de l'habitude. Je l'adore et il m'aime. Il me comble au-delà de mes attentes par ses attentions et sa tendresse à mon égard. Je le lui rends bien car je cuisine pour lui de délicieux petits plats et j'aime embellir notre maison. Nous faisons souvent l'amour. Disons, pour les petits curieux que ça intéresserait : trois fois par semaine en moyenne, il me pénètre de toutes les façons et m'envoie chaque fois au septième ciel.

Merci mon chéri !

Depuis quelques semaines, je vis une aventure secrète bien excitante qui met du piquant dans ma vie, et c'est bien là le sujet de mon histoire.

Il n'y a pas si longtemps, j'ai reçu d'étranges messages par mail. Ils provenaient d'un homme que je ne connaissais pas. Je me demandais bien comment il avait eu mon adresse et comment il connaissait mon côté salope. En revanche, lui semblait bien me connaître, il m'expliquait qu'il m'avait vue une fois l'an dernier, au bord de la rivière Ardèche, dans un endroit sauvage.

Le souvenir de ce jour superbe et de nos baignades dans cette eau magnifique m'est revenu et je crois qu'il restera toujours dans ma mémoire, vous allez comprendre pourquoi.

L'endroit, d'une grande beauté, est une vraie nature sauvage. Nous étions comme des Robinson, des oubliés du monde. Pendant les quelques jours où nous avons vécu au bord de cette rivière, j'ai vite laissé le maillot sur la berge et je n'étais pas la seule, loin de là.

Nus tous les deux, Ludovic et moi jouions comme des fous dans la rivière. Près de nous, il y avait quelques autres personnes, nues également, qui s'amusaient beaucoup. Nous avons rapidement joint nos efforts pour nous renvoyer le ballon d'un gamin qui criait pour le récupérer. Puis, l'amitié naissant, nous nous sommes laissés prendre à faire des concours d'arrosage et de "sous l'eau" et puis de tous ces jeux qu'on affectionne et qui rapprochent les gens et les corps.

J'étais bien entourée et j'en rajoutais : comme j'étais joyeuse et pas farouche, plusieurs hommes me regardaient avec envie et s'approchaient de plus en plus. Certains, plus hardis, trouvaient toutes les occasions pour me frôler discrètement.

Toute cette nudité, je trouvais ça très excitant.

Mon Ludo savait parfaitement ce qui était en train de se passer, mais nous avions convenu entre nous depuis longtemps les règles de nos jeux érotiques : je peux tout faire et avec qui je veux, je flirte, on me caresse, on me prend, mais jamais sous les yeux de mon amour. Mon mari ne doit rien voir de mes écarts, je me débrouille toute seule et, si je veux, je lui raconte le soir.

Avec mes admirateurs empressés, je fais donc attention à ne pas dépasser la limite.

Deux d'entre eux, Michel et Patrick, étaient un peu plus vifs et entreprenants que les autres. Ils étaient souvent très proches de moi et n'hésitaient pas à m'effleurer de leurs mains, voire de leur queue qui, sans être dure, avait déjà une belle tenue. Je devais les remettre à leur place. À un moment où je commençais à être vraiment échauffée, je leur ai dit, moitié sourire, moitié sérieuse :

- S'il vous plaît, soyez plus discrets, mon mari est là.

J'adore évoquer mon époux au milieu de mes jeux érotiques, ça m'excite de faire savoir qu'il est cocu. Ce prétexte électrise les hommes. Là, cette phrase sonnait comme un accord à toutes leurs entreprises, mais tout devait se faire en cachette. Ils ont été corrects parce qu'ils m'ont écoutée. Lorsqu'ils me touchaient, c'était toujours sous l'eau. Je n'hésitais pas à me baisser ou m'allonger lorsqu'ils étaient sous l'eau, ou bien plonger en eau profonde pour leur rendre la chose plus facile, ils en profitaient bien, les cochons.

Les choses se sont déliées, surtout lorsque, voyant la tournure des évènements, Ludo est sorti, prétextant l'envie de s'étendre pour bronzer un peu. À ce moment, j'étais presque libre pour eux, les jeux furent plus directs, mais toujours en dessous. Chacun à leur tour, ils me caressaient les seins, ils me touchaient le ventre et les cuisses et je me laissais faire avec délice. Je mouillais, même dans l'eau.

À un moment, toujours aussi nus, nous jouions à ce jeu fabuleux qui consiste à passer, à tour de rôle, entre les jambes écartées des deux autres. Pour eux, ce fut comme une permission supplémentaire. Chaque fois que l'un d'entre eux passait au milieu de mes cuisses largement écartées, il glissait ses doigts entre les lèvres de ma chatte qui commençait à s'affoler. Pour pousser ce jeu érotique dans sa suite logique, en passant ils appliquaient leurs bouches sur mon abricot.

Mon mari et tous les gens de la plage me voyaient faire des gestes d'affolée et m'entendaient rire aux éclats de nos jeux innocents. Ils ne savaient pas que Michel ou Patrick glissaient carrément leurs doigts ou leur langue dans mon sexe ou mon anus.

Lorsque je m'accroupissais légèrement au-dessus de celui qui était allongé, il en profitait pour frotter vigoureusement sa queue entre les bourrelets de ma chatte puis glisser le gland dans mon vagin. À dix mètres de la plage et des familles, deux hommes, nus comme des vers, tentaient à tour de rôle de me pénétrer pendant que je riais pour donner le change et avoir l'air de m'amuser.

Si, cet après-midi-là, sous le Soleil de l'Ardèche, nous n'avions joui ni les uns ni les autres de ces flirts poussés, notre excitation était au maximum. J'ai adoré sentir autour de moi tous ces désirs de mâles et leurs odeurs musquées. C'était bon de sentir ces verges dressées sous l'eau à mon intention.

Le soir venu, grâce aux jeux plus anodins de l'après-midi, nous avions fait connaissance avec quelques personnes du camping. Il y avait une ambiance sympathique et nous comptions bien terminer cette journée de baignade et de rires de la plus belle façon, et c'est loin de la civilisation et totalement nus que nous avons mangé et parlé tout le soir autour d'un feu de camp.

Mon inconnu, celui du mail, m'a appris qu'il était lui aussi autour du feu et observait mon manège. En ce qui me concerne, je ne comptais pas m'en tenir à quelques caresses : le sexe en feu, je ne rêvais que d'une belle bite.

J'avais remarqué que Michel regardait souvent dans ma direction et lorgnait sur mes seins et ma chatte gonflée, ouverte, luisante et dévoilée à tous. J'étais moi-même surprise de sa couleur rouge, tellement j'étais excitée.

Je décidai qu'il serait le premier à en profiter.

Assise sur un siège de plage à ras du sol, j'écoutais les conversations qui allaient bon train, nous mangions, nous riions, l'ambiance était au top. Je profitais de tous ces éclats de joie pour allumer Michel. Tout en le regardant dans les yeux, je me touchai, faisant glisser deux doigts entre les lèvres de mon sexe et je m'éclipsai discrètement, sachant très bien qu'il me suivrait quelques minutes après.

Sans préliminaires - c'est l'avantage d'êtres nus - je l'ai reçu directement dans mon puits trempé, debout contre un arbre. J'ai fait l'amour avec lui comme une folle, tellement j'étais excitée. Il m'a prise comme un sauvage, il émettait des sortes de grognements involontaires qui le libéraient de la tension sexuelle accumulée. Il a plaqué sa bouche contre la mienne avec une telle force que ses dents tapaient les miennes, sa langue m'a envahie et presque étouffée !

Puis il m'a retournée sans douceur et m'a mise à quatre pattes pour me prendre en levrette.

Depuis le temps qu'il en avait envie, le pauvre, il a joui assez rapidement. On a ri comme des gamins, un vrai fou rire. J'avais mal partout, au dos et aux genoux. Beaucoup ri, mais peu joui... Tant pis ! Je ne pouvais pas me plaindre : il m'avait fait du bien, j'étais heureuse. Je lui ai demandé d'appeler son ami.

Lui, Patrick, il m'a bien baisée. Le temps qu'il arrive, j'avais choisi un emplacement sur un rocher un peu plus confortable et sur lequel je pouvais enfin m'allonger. J'étais encore toute glissante de salive, de transpiration et de foutre.

Patrick est arrivé en conquérant, sa respectable bite en main. Il m'a aussi pénétrée directement, sans un mot. Il m'a limée longuement, le jus de Michel ressortait en faisant des bruits de succion et coulait sur mon anus et dans ma raie.

Puis il est sorti de moi afin que je le suce. Je l'ai pris entre mes lèvres. À ce moment, j'étais vraiment amoureuse. Ce sentiment était peut-être dû à notre contact avec cette nature préservée. En le suçant, je m'appliquais, j'y mettais tout mon cœur. J'avais une impression de plénitude, de vivre un temps suspendu et unique, j'étais en osmose. On aurait dit que la nature autour faisait tout pour m'exciter. J'aurais voulu rester comme ça longtemps.

Puis il est sorti de ma bouche, me laissant un peu frustrée, il est venu se finir dans mon vagin. Il devait avoir mal aux genoux, tant il a fait durer le plaisir.

Waoouhh !! Quelle explosion ! Juste avant lui.

Si tu lis ce texte, je sais que tu te reconnaîtras. Je veux que tu saches qu'avec toi j'ai super bien joui, merci Patrick.

Entre nous, je l'avais subtilisé quelques minutes à sa femme. Mais je crois qu'elle ne s'en est même pas aperçu.

Je suis entrée dans l'eau afin de laver l'excès de plaisir qui dégoulinait de mon sexe, puis je suis retournée à ma place. Mon chéri m'a regardée d'une drôle de façon : il savait, et j'étais fière de l'avoir fait et qu'il le sache. Le soir même, nous avons eu une explication de texte, une leçon de chose, je lui ai tout dit, en détail, il était très excité. Lui aussi m'a fait jouir plusieurs fois. Il a été géant, mon Ludo.

Ce sont les mails de cet inconnu, qui disait s'appeler Alain, qui m'ont rappelé tout le plaisir de ce soir magique que je viens de vous raconter. Mon inconnu a compris à cette époque tout le bien qu'il pouvait tirer de la situation. Il savait que, selon mon humeur coquine, je pouvais être très disponible. C'est à cette époque, je crois, qu'il a voulu lui aussi jouer avec mon corps, il voulait profiter de moi, le salaud. Il a fait des pieds et des mains pour avoir mon adresse.

Je l'aime de tant me désirer...

J'ai envie de jouer avec votre capacité à vivre des situations émotionnellement fortes et, naturellement, toutes basées sur le sexe, me disait-il.

Je trouvais cette approche plutôt curieuse, mais sa demande se précisait à chaque mail.

Il m'invitait habilement à me livrer un peu plus. Je le poussais dans ses retranchements. Je faisais la mijaurée, lui disant que je ne comprenais pas, que cela ne tenait pas debout. Mais ses mails se faisaient de plus en plus directs, il me connaissait bien, le coquin. Il avait envie que je me découvre avec beaucoup d'impudeur. Il voulait savoir tout ce qui chauffe dans mon ventre et dans ma tête et connaître ce qui me poussait à m'ouvrir à fond pour que d'autres hommes que mon mari me prennent sans limites. Mais, au début, il ne disait jamais vouloir coucher avec moi. Je lui dis mon étonnement :

À ce que tu m'écris, mon cher Alain, je pense que tu dois me prendre pour une vraie salope. Je ne sais pas si c'est à cause de ce que je t'ai écrit précédemment ou de ce que tu as vu en Ardèche, en tout cas, je ne me souviens pas du tout de toi. Et je me demande comment tu as pu récupérer mon adresse. Ce n'est pas en fouillant dans mes affaires, j'espère.

Si tu ne veux pas coucher avec moi, je ne comprends pas alors la raison de tes mails. En tout cas, tu as l'air d'apprécier mon physique, c'est déjà ça !

Tu veux quoi de moi, exactement. Tu veux savoir pourquoi j'ai eu ces aventures ?

Eh bien, disons : pour faire plaisir à mon mari.

Ça te va, comme réponse ?

Tu vois, je ne suis pas si salope que ça !

Nadine

Voilà sa réponse :

Chère Nadine,

Bien sûr que ça m'excite que tu sois une salope, toujours prête à te faire tripoter par des inconnus. Il a bien de la chance, ton mari, d'avoir une baiseuse à domicile.

C'est là que se trouve ma proposition : nous échangeons des idées sur les possibilités d'aventures et tu les expérimentes.

Tu as déjà le talent et la pratique pour partir en chasse et tu sais lever un homme mais, de mon côté, je SUIS un homme et je sais ce qui nous fait plaisir, bander et fantasmer, j'ai envie de t'aider.

J'ai envie de décider avec toi des plans baise pour te faire jouir un max.

Viens, monte sur mon manège et laisse-toi porter.

Accepte et nous formerons un couple rare, à la recherche de sensations et de plaisirs.

Ma main glisse sous ta jupe

Alain

Il me faisait craquer, cet amour. Peu à peu, par messages interposés, j'ai moins ressenti le besoin d'être sur ma réserve et je commençai à me laisser aller :

T'es un peu cochon sur les bords, dis-moi !

Ca t'excite que je sois une salope ?

Oui, j'en suis une, et ceci grâce à mon mari ! C'est lui qui a voulu que je me laisse tripoter par des inconnus et j'adore ça !

Pourquoi tu veux que je mette toujours des culottes ? Tu n'aimes pas les femmes cul nu ?

Moi, j'adore cette sensation et j'aime bien voir la tête des mecs lorsqu'ils s'en rendent compte. Même si je ne suis quand même pas toujours comme cela.

Mon mari adore lorsque je suis en mini et rien dessous. Je pense que toi aussi, tu as envie de voir des femmes comme cela ? Peut-être que ta femme le fait aussi ?

Au fait, tu es marié ?

Bon, j'ai pas trop le temps.

Bises

Nadine

J'ai envie d'en savoir plus : qui est cet homme mystérieux ? Jusqu'où veut-il aller ? Je sens monter une douce pression qui se fait de plus en plus forte dans mon ventre, elle ne me lâche plus.

Être soumise à un inconnu est un fantasme que j'ai depuis longtemps. J'ai sûrement, au fond de moi, un côté pute qui s'ignore et qui est en train de se révéler. Je sais que je réaliserai un jour cette folie, avec lui ou avec un autre, peu importe, puisqu'il est l'Inconnu.

Afin de donner le change et de ne pas perdre trop de dignité, je tentai faiblement de garder la main et je continuai mes investigations :

C'est un de vos copains qui vous a donné mon adresse ? Vous voulez quoi ? Coucher avec moi ? C'est plutôt indirect comme demande, non ? Pour que je dise oui, faudrait que j'en sache plus !

Mais pourquoi pas ?

Voilà, j'ai fini par craquer, je me suis laissé dire toutes ces choses que j'avais envie d'entendre. Puis j'ai accepté les propositions malhonnêtes qu'il me faisait.

Il m'a aussi demandé si j'acceptais que mon mari regarde, alors je lui ai répondu :

Et toi, tu aimerais voir ta femme se faire baiser devant toi ? Mon mari, lui, n'y tient pas trop. Il me voit assez souvent quand je me fais draguer et tripoter en boîte. Mais, lorsque je sors avec le gars, il me suit rarement pour voir ce que je fais.

Une fois ou deux, ça lui est arrivé de me suivre et me regarder monter dans une voiture avec un mec, mais c'était trop loin pour me voir en action, il n'a pas voulu s'approcher. Il sait que je suis en main et ça lui suffit.

Toi, je suppose que tu aimerais être à côté et regarder... Je me trompe ?

Mon mari, lui, est content du récit que je lui fais, c'est ça qu'il aime, ça l'excite.

Une seule fois il m'a vue à poil avec un gars. C'était pendant les vacances, j'étais dans un appartement, en train de faire l'amour avec un autre, rencontré à la plage, et j'avais oublié de fermer la porte à clé. Mon mari a pu entrer et, comme la porte de la chambre était largement ouverte, il nous a bien vus.

Je m'en suis pas rendu compte, tellement il a été discret. Il a préféré attendre dans le salon que je finisse.

C'est à ce moment que cet Alain m'a écrit le mail qui m'a faite fondre... J'ai craqué :

Chère Nadine,

C'est depuis cette fameuse soirée au bord de l'eau que j'ai envie de te faire l'amour, en vrai, longuement, profondément.

Si ce rêve se concrétisait, je déploierais sur tous les espaces de ton corps des caresses inouïes et délicieuses, jusqu'à ce que ton élixir coule littéralement, jusqu'à ce que tu demandes et appelles plus encore...

Alors, je te pénètrerais longtemps, avec force et douceur, jusqu'à ta jouissance, jusqu'à l'apothéose bienfaisante qui te comblerait totalement.

À cette époque, en Ardèche, tu aurais peut-être accepté que je te rejoigne. Aujourd'hui, je suis malheureusement au moins à six cents kilomètres de chez toi et tout ça n'est qu'un fantasme.

Pour compenser, j'ai envie d'être ton collaborateur, ton conseiller, ton confident ou ce que tu voudras, pourvu que je sois dans tes petits secrets, dans les couloirs qui mènent à ton sexe, même si d'autres que moi le pénètrent.

Puis il me posa des questions indiscrètes destinées à mieux me connaître :

Comment tu t'habilles ? Je sais déjà que tu ne mets pas toujours de culotte dans tes jeans et sous tes jupes courtes.

Tu m'as dis aussi que tu ne détestes pas qu'un homme regarde sous tes jupes lorsque tu es assise, par exemple. Est-ce que tu t'arranges pour que ton slip ou ton sexe soit visible ?

Je crois savoir que tu aimes danser et que tu vas en boîte.

J'ai compris également, puisque tu me l'as dit, que tu ne fais pas que danser, tu es parfaitement capable de trouver un (ou plusieurs ?) amants, et que ton mari apprécie ce trait qui te caractérise.

À propos, ton mari doit aimer lorsque tu rentres encore chaude de tes joutes amoureuses ?

Si ce que j'ai cru comprendre d'après un mail est juste, j'en déduis qu'il aime te prendre lorsque tu sens l'amour, l'homme et le sperme, n'est-ce pas ?

Nadine, si tu es toujours d'accord, je veux que tu sois ma pute.

Encore une fois, tout cela n'est qu'un jeu, mais je veux que tu te mettes dans ce jeu pour moi, j'ai envie de savoir que j'ai organisé des situations dans lesquelles tu t'es laissé regarder sous ta jupe, entre tes cuisses,

J'ai envie de savoir que, grâce à moi, des mecs t'ont touchée, t'ont doigtée et j'ai envie que tu me racontes lorsque tu as couché et joui.

Je te caresse,

Alain

Dans son dernier mail, il me demande de me préparer à faire certaines choses et de les vivre, et c'est justement ce que je suis en train de faire maintenant. Je suis à la maison, très excitée d'obéir à cet inconnu qui m'affole un peu. Pour cette première occasion, il m'a laissé le choix vestimentaire.

D'abord, je prépare ma soirée dans ma tête, les images qui tournent me stimulent. Je prends un bain moussant bien décontractant, je me passe une crème hydratante sur la peau et je ne résiste pas au plaisir de me masturber avant de partir en chasse. Je me caresse le bouton, mmmhh, c'est bon, ça développe mes senteurs aphrodisiaques et l'humidité de ma chatte. Puis je mets un peu de gloss sur mes lèvres et un léger maquillage.

Je suis délicieusement nue pour aller dans la chambre : que vais-je mettre comme vêtement pour ce soir ?

Mon choix est vite fait. J'enfile directement sur ma peau cette robe blanche à fleurs, c'est un voile de coton. En me penchant, son large décolleté qui bâille laisse apparaître mes seins sans difficulté. Elle est si peu serrée à la taille, que lorsque je me penche un peu plus, ce décolleté ne cache rien de mon ventre ni de mes cuisses.

Mon image dans la glace m'excite !

J'hésite sur les dessous : je reste seins nus, c'est sûr, mais peut-être un string, ou un tanga un peu lâche... J'en essaie plusieurs modèles : mettre et enlever, je me séduis. C'est fou, ce plaisir caressant qui consiste à glisser ces culottes sur mes cuisses et mon ventre. Finalement je me décide une fois de plus à ne rien mettre d'autre, juste un peu de mon N°5 de Chanel.

Je sortirai donc entièrement nue sous cette robe légère et presque transparente, ce sera une première avec elle.

Je me mire dans la glace :

- Bandante, tu es bandante, ma fille !

Il est presque minuit. Juste avant de sortir et d'aller en boîte, conformément aux ordres qu'Alain m'a donnés, je m'approche de mon Ludovic, bien installé dans son fauteuil. En me penchant en avant, je lui dis sur un ton langoureux pour l'exciter :

- Regarde ma jolie robe.

Je virevolte devant lui pour l'échauffer un peu, je soulève le tissu afin qu'il soit sûr que, sous ce léger voile, je suis totalement nue et offerte.

Sur un ton félin, presque douloureux :

- Mon chéri, ce soir j'ai très, très envie, ma chatte me démange beaucoup ! Tiens, touche comme elle coule. Tu sens ?

- Tu es bien excitante, ce soir, tu me fais bander, viens...

Il commence à prendre mes cuisses dans ses bras pour m'attirer à lui.

- Pas maintenant, mon chéri, Il faut absolument que j'aille en ville. Il faut que je sorte. Je rentrerai tard, tu sais, ne t'inquiète pas.

Mon chéri est tellement surpris, il ne s'attendait pas à ça ! Je l'embrasse profondément en mettant sa main entre mes cuisses et en glissant ses doigts entre mes lèvres trempées, et je sors.

Mon cocu de mari sait parfaitement ce que ça signifie. Rien que cette scène entre nous me liquéfie. Quand j'affirme mon pouvoir de femelle sur lui, ma chatounette s'enflamme encore plus, elle coule sur mes cuisses.

Vous l'avez compris, même en robe blanche, je ne suis pas une oie blanche, loin de là. Mais si je trompe mon mari irrégulièrement, je le fais avec son accord car, depuis quelque temps, il m'encourage dans cette voie, il aime que je couche avec d'autres hommes et je trouve ça très agréable.

Mais je n'arrive pas à comprendre comment j'arrive à accepter ce que me demande cet inconnu, cet Alain. J'aime ses mots, ce sont des invites auxquelles je n'ai pas envie de résister. J'aime sa façon d'écrire et de me ressentir. J'aime ses mails, parce qu'il sent à l'avance ce que j'ai envie de faire et, le plus fort, c'est que je le fais. Je vais finir par croire que je suis vraiment une salope.

Maintenant, je suis dans la voiture et, rien qu'à l'idée de cette soirée, je suis déjà trempée comme ce n'est pas possible de l'être, j'ai la tête et la chatte en feu. C'est sûr, ma robe est déjà tachée... Tant pis !

Il faut que je fasse attention à la route, car j'ai de la peine à me concentrer. Je suis tellement tourneboulée que si les flics m'arrêtent ils vont croire que je suis saoûle.

Tout en conduisant, je tourne et retourne ses demandes dans ma tête et je me dis tout fort :

- Me faire caresser et pénétrer sur une banquette de la boîte par un jeune inconnu, là, au milieu de tout le monde ?

Eh oui, j'envisage d'enfourcher un homme en public. Pour cette action hardie, j'ai besoin d'un vêtement pratique et sexy, c'est ce qui a motivé mon choix pour cette très légère robe d'été blanche à fleurs, à peine transparente. Elle a un autre avantage pour l'exploit de ce soir : elle est relativement ample et longue, elle est coupée juste au-dessus des genoux. Je l'avais achetée presque uniquement pour son décolleté, parce que mes seins, qui supportent largement d'être libres, sont très visibles quand je la porte. Lorsque je me penche, celui qui est devant moi peut voir mes mamelons et mon ventre et, s'il a de la chance et que mon décolleté bâille bien, il verra même que j'ai rasé ma chatte.

- Alain, je sais pas comment tu fais, mais je trouve que de jour en jour tu me comprends de mieux en mieux !

Aussi, là, je m'adresse à toi, je vais te raconter ma soirée, elle va te plaire. Tu sais que c'est pour toi, que je fais la pute, c'est encore pour toi que j'écris cette aventure toute fraîche, puisque je l'ai vécue au début du mois d'août dernier.

Tu comprendras comment j'ai réussi à obéir à ta demande et comment je me suis laissée baiser un samedi soir, dans la salle de cette boîte bondée, au milieu du monde.

Depuis que je suis dans ce dancing, je fais un peu tapisserie parce que j'ai déjà refusé trois ou quatre invitations mais, comme tu me l'as demandé, j'ai attendu un bien jeune pour accepter.

Toi, tu n'es pas comme mon mari, qui préfère que je sorte avec des hommes plus âgés. Il a peur que je me laisse séduire par une plus belle bite que la sienne !

Ça y est ! Je crois que je tiens enfin l'homme qu'il me faut. Il me regarde, mais je soutiens à peine son regard et je lui souris gentiment.

J'ai lu quelque part une phrase très juste qui me revient à l'instant.

Il y a plus érotique que l'impudeur : c'est la chasteté. Jamais une femme lascive ne donnera à un homme un soupçon des délices goûtées auprès d'une femme vertueuse qui rend les armes, frémissant de ses propres ivresses.

Il est tout jeune, j'accepte sa timide invitation.

Je danse quelques slows très sages avec ce garçon. Je ne le provoque à aucun moment, car tu veux que je me laisse draguer par "l'élu". Il doit faire tous les efforts, il faut te mériter, m'as-tu dit. Je laisse donc faire. Au bout de quelques danses, il ne dit rien et ça me gêne. Je lui demande son âge. Il me répond avec un sourire magnifique, en me regardant dans les yeux.

- 18 ans et demi.

Je suis ravie, difficile de faire plus jeune !

Le dialogue est ouvert, il se réveille enfin et s'enhardit. Il commence à déplacer ses mains dans mon dos. Je frissonne. Comme je suis passive il continue et ses mains se posent maintenant différemment. Elles sont sur mes hanches, puis il les déplace vers le bas de mon dos, il palpe ma peau à travers le voile de ma robe, les laisse un moment, observant mes réactions. Je me colle à lui, mon ventre et mes seins sont déjà moites, je lui transmets ma chaleur, il sent bien que je lui cède.

Cet encouragement le dope car il se met carrément à me caresser le dos, descend sur mes fesses, en touche le milieu et glisse un ou deux doigts le long de mon sillon. Je crois qu'il a compris que je n'ai pas de sous-vêtements.

Sa jambe se place au milieu de mes cuisses. Au lieu de me dérober, je me serre encore plus, en dansant les jambes légèrement plus écartées. À moins d'être nus, nous ne pouvons pas être plus collés l'un à l'autre. Sa chaleur m'envahit et je sens les frottements de sa cuisse sur mon clitoris. J'aime ça et je mouille. Le fait que son pantalon soit sûrement taché m'amuse et me stimule.

Ses mains sont libérées, l'une d'elles remonte sur le tissu et je m'écarte un peu pour le laisser empaumer mes seins chacun leur tour. Ses caresses m'étourdissent, je n'offre aucune résistance. Il est très excité, je sens son sexe dur contre mon ventre. Il se penche pour effleurer mes lèvres avec les siennes et, par jeu, j'esquive chaque fois que je sens sa langue forcer ma bouche :

- Non, non, s'il vous plaît.

Une main redescend, elle pousse un peu pour passer entre nous et toucher mon bas-ventre. Ses doigts enfoncent le tissu entre mes jambes et tentent de caresser mon sexe à travers l'étoffe. Il touche mon clitoris, il le fait vibrer. Je me frotte de plus en plus.

Pffftt, j'ai les jambes qui tremblent, je me retiens avec mes bras autour de son cou et ma tête sur sa poitrine, les yeux fermés. J'ai confiance, il est solide.

J'aime sa main, j'aime son odeur. Je vais jouir là, au milieu de la piste. La musique s'estompe, les autres danseurs nous frôlent involontairement en dansant, mais je ne les sens plus. Le plaisir monte dans mon ventre. Je suis molle sur mes jambes, mes deux bras derrière sa tête, je m'accroche et je m'affale sur lui.

- Aaahhh, je jouis !

Il est ravi et fier de me sentir dans cet état. Il me tripote de plus belle, se contorsionne un peu et rentre un peu plus le tissu avec son doigt, pendant qu'il essaie de prendre ma bouche.

Je réagis et me retire d'un coup, effarouchée, et je lui annonce dans un souffle :

- Non, non, il faut être un peu discret, mon mari est dans la salle, c'est dangereux.

Surprise et recul.

Il me lâche. Puis il comprend très vite que je suis toujours accessible. Et il me glisse à l'oreille :

- Je sens bien que tu es nue sous ta robe, j'ai envie de te faire l'amour. J'ai envie de toi. Viens, on va dehors, sur le parking, je demande la voiture à mon ami, viens, on va baiser, viens.

- Non, lui dis-je, je ne peux pas, mon mari est là, il va me chercher, ça me gêne, je préfère rester dedans, je peux mieux contrôler.

Je vois bien qu'il est déçu. Il insiste vraiment.

J'ajoute, ferme et enjôleuse :

- Tu m'as fait beaucoup de bien, merci. Si tu veux me faire l'amour, je suis d'accord, mais c'est ici que tu dois me le faire, pas dehors.

Ma demande le surprend et le gêne, mais il accepte et me propose de l'accompagner à la table où il se trouve avec ses copains :

- Regarde, elle est là-bas, un peu dans l'ombre.

Naturellement, je fais semblant d'être rassurée et j'accepte.

Ses deux copains sont là, ils m'offrent un verre lorsque je m'installe. Je n'ai pas le temps de le siroter ni de faire la conversation. Dès que je suis assise, mon cavalier tente de m'embrasser. Je me retire, je fais l'hésitante, celle qui regarde si son mari n'est pas à proximité, j'ai l'air inquiète.

Puis, ne le voyant pas, je me détends, me laisse faire et il m'envahit.

Tu vois, mon cher Alain, je me suis mise toute à sa portée. Selon tes instructions, je suis totalement sur la banquette et, au début, je ne sais que faire de mes jambes. Elles sont repliées sous moi, les genoux en direction des deux copains. Dans cette position, ma robe ample me protège du regard des autres.

Mon cavalier glisse sa main dessous, il explore les possibilités de cette position et promène ses mains de mon ventre à mes seins puis jusqu'à ma chatte qu'il effleure. Ma robe se déforme au passage de ses mains. Sur ma peau, elles sont comme des papillons qui me palpent et me pénètrent à peine car la position n'est pas très favorable, ni confortable. Sa bouche recouvre mes lèvres et sa langue m'explore longuement.

D'un oeil, je regarde ses copains. Ils ne savent pas quelle contenance adopter devant le tableau érotique que nous formons. Pour mieux les observer, je pose pudiquement ma tête dans son cou. Mon cavalier tenter d'accéder à mon sexe. J'écarte très légèrement les jambes pour le passage de l'une de ses mains vers ma chatte. L'autre est passée derrière sous ma robe et me caresse le dos puis l'anus. Elles se rejoignent et me caressent sans relâche. Il est un peu avachi sur moi et ça me fatigue. Tant pis !

Ses gestes un peu désordonnés remontent ma robe. Mes cuisses sont à moitié découvertes et entrouvertes. Ses deux mains sont en action. L'une d'elles est en cuillère sur ma chatte qu'il touche en direct, son doigt me crochète le vagin et l'autre main s'introduit légèrement dans mon anus.

Ses doigts habiles nagent dans mon jus, ils glissent dedans, dehors, caressent et pénètrent délicieusement mes trous. Je suis prise des deux côtés ! Ça glisse beaucoup là au milieu, mhhh !

Nous sommes observés par ses deux amis et les personnes autour de nous parce que mes cuisses sont maintenant très dégagées, elles encadrent son avant-bras et sa main qui disparaît aux yeux des observateurs. Les voir regarder m'excite vraiment, une tension monte dans mon ventre.

Il me branle, je l'encourage :

- Continue, vas-y, tu me fais du bien ! Je sens que ça monte, je vais jouir sur tes doigts. Ahh, je jouis !

J'ai joui devant ses copains.

J'ai essayé d'être discrète car j'ai peur de me faire sortir par le videur, on ne sait jamais.

J'ai aussi envie de rire car ses deux amis font comme si tout était normal. Puis ils se lèvent, prétextant une subite envie de danser. Ils ont l'air très jeunes aussi et peut-être un peu timides.

Mon amoureux me dit qu'il aime beaucoup ma chatte rasée. Mmm, moi aussi, elle mouille, elle glisse, elle absorbe. J'aime ses doigts, j'aime mon sexe.

C'est le moment que je choisis pour changer de position. J'enjambe mon étalon. Tu m'imagines, à cheval, le cul nu, sur les cuisses de ce jeune. C'est super, indescriptible, la situation est inouïe. J'ai les seins gonflés et je coule carrément sur son pantalon.

Maintenant, c'est facile pour lui, car je suis à genoux, les cuisses largement écartées pour le recevoir. J'ai fait le bon choix avec cette robe, elle me tranquillise car elle me protège du regard des autres, et c'est une aubaine pour lui, car il passe ses deux mains dessous et a accès à tout mon corps et à toutes mes profondeurs trempées.

Il me doigte le cul en rythme avec la musique. Ça glisse bien et ça nous fait rire. De temps en temps, il va puiser un peu de mouille dans mon vagin et recommence à jouer. Autour de nous, la musique donne, les cris et les rires de la foule qui danse, tout se mélange. Je chavire.

Ses copains sont revenus et se sont réinstallés, alors que je suis profondément doigtée des deux côtés. Ils ne savent pas qu'il joue avec la membrane qui sépare mon vagin de mon anus, moi si. Il explore tous les secrets de mon corps. Il goûte tous mes jus. Je lui glisse à l'oreille :

- J'ai envie que tu me prennes ici. C'est le moment, vas-y, vite.

Surprise, silence, hésitation, gêne, froid. Il retire ses doigts, il a peur.

J'insiste en le léchant beaucoup, en suçant ses doigts et en frottant ma chatte contre son sexe à travers son pantalon, je suis déchaînée.

Il finit par ouvrir sa braguette, je mets ma main dedans et tente de sortir son sexe tendu. Mais ça ne passe pas, il faut défaire aussi la ceinture pour sortir le beau braquemart que je tiens.

- Baise-moi, lui dis-je dans un souffle, en dirigeant sa bite vers mon clito d'amour.

Je me suis frottée avec son gland pour me faire du bien. Puis j'ai avancé mon bassin en me levant un peu et je l'ai guidé afin qu'il me pénètre. Je me laisse retomber d'un coup, il est là, bien profond. J'ai laissé ma main dans ses poils pour toucher son ventre, prendre délicatement ses bourses velues, les soupeser puis venir me caresser très doucement le clito.

Ouuhhh là ! Un homme tout à moi, là au milieu de la foule dansante, c'était bon ! Un rêve !

Puis, pour le sentir encore plus, j'ai relevé mes genoux de chaque côté de ses épaules et posé mes pieds à plat sur la banquette. Dans cette position, ma robe est descendue jusqu'à mon ventre, révélant ainsi la totalité de mes cuisses et une partie de mes fesses aux voisins. Tant pis, tant mieux. Cette posture très offerte me stimulait beaucoup, j'étais exhibée et il me pénétrait à fond. Ma main toujours dans la chaleur de nos deux sexes, je le touchais facilement et je me caressais aussi. Nous ne bougions pas nos corps, c'était très confortable.

Je suis restée sur lui très longtemps comme ça, presque immobile, collée à lui, son sexe enfoui profondément dans mon ventre. Ma bouche grande ouverte, je le laissais entrer. Nos langues s'échangeaient, je recevais la sienne et je lui donnais la mienne, elles se butinaient, se frottaient, s'exploraient, nous buvions nos salives. Je sentais peu à peu une vague de béatitude qui prenait de la force.

Je n'avais jamais vécu l'expérience que nous avons eue ensemble : nous nous respirions l'un l'autre dans une cadence qui provoquait un raidissement rythmique et involontaire de mon vagin. Par ma bouche et mon sexe, je buvais l'énergie de mon cavalier, je la mélangeais à la mienne et je lui donnais à boire à mon tour. Je sentais monter de la force le long de ma colonne vertébrale. Nos corps balançaient lentement d'avant en arrière. Il y avait tellement d'énergie en mouvement dans nos corps ! Je sentais sa vie circuler et je suis sûre qu'il sentait la mienne. Nous n'étions qu'un.

Puis, après un temps difficile à estimer, peut-être une demi-heure de ce régime extatique, un de ses amis s'est avancé et m'a touché l'épaule pour m'offrir un verre. Je me suis dessoudée de sa bouche, j'ai sorti ma main gluante d'entre nos ventres et j'ai pris le verre. Sa queue était toujours dans mon vagin.

Mon regard dans ses yeux devait être bizarre, mais il n'a rien dit et je n'ai rien provoqué, je vivais simplement ce moment d'amour intense.

Sa queue toujours en moi, je me suis quand même retournée pour remercier le copain. Je te jure que mon ventre ne bougeait pas. C'est à ce moment que mon cavalier s'est raidi et s'est vidé en moi. Il a giclé son jus avec force jusqu'au fond, contre ma matrice.

Je t'assure, Alain, c'est la première fois que je sens une queue m'emplir comme ça. Je n'ai jamais ressenti cette force et cette sensation aussi clairement. Je suis restée longtemps à cheval, jusqu'à ce que son sexe se retire de lui-même.

Et là, j'ai été dure avec lui, je lui ai dit, comme si j'avais peur :

- Il faut que je parte, mon mari risque de me voir.

Je me lève comme un ressort alors que son pantalon bâille encore et laisse voir ses couilles et sa bite ramollie et humide. J'ai trouvé amusant de le voir tirer son tee-shirt et ranger son pantalon pour cacher ses parties. Ça m'a bien amusée, même si je trouve que j'ai été méchante.

En fait, je pense qu'inconsciemment j'ai agi comme cela parce que je ne voulais pas m'attacher et que je ne voulais pas qu'il s'attache.

Après ça, je suis rentrée directement chez moi. Je n'avais pas joui avec son sexe, mais j'étais bien.

Mon mari ne dormait pas encore quand je suis arrivée et je lui ai raconté :

- Mon chéri, tu es encore éveillé, tant mieux. Il faut que je te dise que je t'ai fait cocu, ta petite femme chérie t'a fait cocu, tu es content ? Touche, là, sens comme je suis encore souillée du sperme de mon bel amant. Tu sais, ce que j'ai fait ce soir, je l'ai fait uniquement parce qu'un inconnu me l'a demandé par mail. Depuis plusieurs semaines, il a su me parler, il a su me convaincre. Il voulait que je sois une salope à son service, sa pute secrète, mais pas avec toi, il ne voulait pas t'associer dans ce coup. Je devais me débrouiller seule, en secret de toi. Toi, mon cher mari, tu es le cocu dans l'histoire, tu devais rester à la maison pendant que j'allais me faire baiser par un jeune au milieu du monde. Je l'ai fait ! Cet inconnu d'Internet, il s'appelle Alain, il a su m'exciter, il a su m'inciter et j'ai fait la pute pour lui. L'autre, au dancing, m'a bien chauffée, bien baisée, j'ai encore son jus en moi. Viens, mon chéri, viens te tremper, viens me faire l'amour, longtemps.

Tu vois, Alain, je suis pas très douée pour raconter des histoires mais, en gros, j'ai suivi tes ordres, non ? Et en plus, j'ai avoué à mon mari que j'avais fait ça, ce soir-là, parce que tu me l'avais demandé.

Mon Ludovic m'a demandé des détails et je les lui ai donnés, ça a duré une partie de la nuit. Je lui ai dit que ça m'avait beaucoup excitée de faire ça et que je recommencerais bien...

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