TITRE : Une agréable promotion
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Histoire au bureau

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Je me présente, je m'appelle Jean-Paul, je suis cadre dans une grande entreprise nationale. Il y a sept ans, afin de progresser dans cette société, j'ai accepté de prendre la direction d'une antenne locale, en région parisienne, comptant une dizaine d'employés.

Dès les premiers jours, j'en ai remarqué une particulièrement. La trentaine, brune, pas trop mal fichue et des grands yeux noirs très expressifs. Etant la plus ancienne du service et connaissant parfaitement son travail, elle s'est vite imposée comme étant celle sur qui j'allai pouvoir compter pour m'installer dans mes nouvelles fonctions.

Jours après jours, une certaine complicité s'installait entre nous et ses regards devenaient de plus en plus insistants. Un midi, alors que le reste de l'équipe était partie, nous restions déjeuner ensemble dans la salle de repos. Nous discutions de choses et d'autres quand elle se pencha pour prendre son dessert dans le frigo. Aussitôt mon regard a été attiré par la dentelle d'un string qui dépassait de son jean, dentelle bleue agrémentée d'un papillon. Superbe vision. Je n'en dis rien.

Notre discussion glissait doucement sur nos vies sentimentales respectives, elle était célibataire, mon mariage battait de l'aile. En fin du repas, je m'approchais d'elle, comptant bien lui faire remarquer que j'aimais bien les papillons en dentelle... Au même moment, j'entendis une clé dans la porte de l'agence, un de mes collaborateurs revenait plus tôt afin d'étudier le dossier d'un client. Le regard de Sandrine me fit savoir qu'elle avait compris ce que je voulais, mais nous en sommes restés là.

L'après-midi me parut long, je n'avais qu'une idée en tête, la baiser. J'en étais dingue.

La fermeture arriva bientôt et, un à un, mes collaborateurs quittaient l'agence, nous étions vendredi, pas d'heures supplémentaires avant le week-end. Sandrine passa devant mon bureau, elle me fit un sourire et, comme les autres, s'esquiva.

Je finalisais un dossier quand un bruit de clé me réveilla. J'entendis des talons et Sandrine vint se planter devant ma porte en me demandant que je lui dise ce que je voulais lui dire à midi. Le dossier allait attendre...

Je la rejoins et nous nous embrassons, comme ça sans avoir échangé un mot. Je l'attire vers la salle de repos où nous nous asseyons sur un fauteuil, elle sur moi. Elle m'embrasse encore, sa langue virevolte dans la mienne. Mes mains remontent sous son chemisier. J'avais bien vu, elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont de taille moyenne, ils sont fermes et, à la façon dont elle réagit, ils sont très sensibles. Son chemisier vole rapidement.

Je veux aller plus loin. Je la fais se lever et commence à lui déboutonner son jean, tout en lui embrassant les seins. Elle m'aide et le fait glisser, apparaissant devant moi seulement vêtue de ce string de dentelle bleue qui m'a fait fantasmer tout l'après-midi. Je la veux, je bande comme une bête. Je lui caresse l'intérieur de la cuisse, elle pose sa jambe sur l'accoudoir du fauteuil. Ma main frôle son intimité, mon doigt pénètre sa chatte, elle est inondée. Sa mouille est abondante, une vrai fontaine. Je passe mon doigt sur ma langue, son goût me plait. Elle s'assied au bord du fauteuil, je lui fais écarter les jambes et commence à me délecter de son nectar. Sa chatte est grande ouverte, elle présente de superbes grandes lèvres et son clitoris est dressé comme je n'en avais encore jamais vu.

Dessous, son anus plissé luisait de mouille. Je me risque à un coup de langue dessus, elle ne refuse pas, je ne dois pas être le premier à m'essayer ici. Je retourne à sa chatte et lui aspire le clitoris. Elle jouit, une jouissance explosive, son corps est agité de spasmes, elle sert ma tête contre son sexe et hurle son plaisir.

Je suis toujours habillé et je suis vraiment à l'étroit dans mon pantalon. Je remonte le long d'elle en l'embrassant. D'un seul coup elle me repousse et me dit « à moi ». Je me relève, elle me déboutonne mon jean, sort mon sexe et l'engloutit. Elle suce sacrément bien, mais je n'ai pas encore tout vu. Elle se lève, me fait asseoir sur le canapé et me dit qu'elle va me faire jouir comme jamais.

Je sens que je suis tombé sur une experte. Elle me fait mettre les jambes sur les accoudoirs et reprend sa succion. Elle descend sur ma colonne, remonte, me lèche le gland, passe ses dents dessus. Elle arrête. Sandrine se met légèrement de côté et je sens sa langue sur mon anus. Je suis surpris. Elle me demande si j'aime, je n'ai pas le temps de répondre qu'elle me pénètre avec sa langue. Pendant ce temps, elle me branle à n'en plus finir. Je lui dis que je jouis, elle se relève et récupère mon foutre sur ses seins.

Je suis dans tous mes états. La petite sait ce qu'elle veut, elle me fait allonger par terre et vient s'asseoir sur moi, me reprenant en bouche. La fontaine continue à couler, je lui dévore sa petite chatte, elle ne perd pas de temps non plus, je retrouve vite de ma vigueur. Je regarde ma montre, ça fait une heure que nous sommes là, il faut que rentre. Je la fais mettre à quatre pattes et la prends immédiatement en levrette. Elle pose sa tête sur son avant bras et passe sa main entre ses jambes pour me serrer les couilles. Ca ne durera pas longtemps, je sens que je vais vite exploser. Je jouis quasiment aussitôt en elle, nous nous couchons sur le côté, elle se tourne, me regarde et m'embrasse longuement.

Elle me dit qu'elle a aimé, elle m'avoue avoir eu envie de ça tout l'après-midi et qu'elle saura me surprendre si je désire continuer cette petite aventure. Elle sort une lingette de son sac et me nettoie le sexe, nous nous rhabillons. Elle m'embrasse à nouveau et me demande de passer la voir chez elle le lendemain.

Prétextant un rendez vous, je file donc le samedi matin chez Sandrine, qui habite à quelques kilomètres de notre agence. Le portable sur messagerie, je monte chez la belle. Je sonne, elle m'ouvre. Elle apparaît dans l'embrasure de la porte en déshabillé de satin. Je referme la porte, je la plaque au mur et l'embrasse. Sa langue n'a pas perdu de sa vigueur pendant la nuit.

Nous filons dans son salon et nous asseyons sur le canapé. Je sais pourquoi je suis là, elle aussi. J'attaque d'entrée et lui défais la ceinture de son déshabillé. Quelle surprise ! Elle est vêtue d'un string, d'un porte-jarretelles avec des bas de couleur blanc pâle et d'un petit haut, le tout coordonné vert pâle et dentelle blanche. Cette vue décuple mon envie, je lui passe la main sur la cuisse, elle écarte les jambes. Je passe mon doigt sur son sexe, la fontaine est ravivée, je suce mon doigt, je le remets pour encore prendre un peu de son jus, elle vient le long de moi et vient me lécher le doigt.

Sa main se pose sur ma braguette, elle l'ouvre, sors mon sexe de mon slip. Je bande comme un fou. Elle commence une pipe d'enfer, elle me branle, me lèche, passe sa langue autour de mon gland, je sens que je ne vais pas résister longtemps et je le lui dis. Elle s'arrête et me propose de continuer dans sa chambre. J'en profite pour enlever tout ce qui me gêne en bas. C'est donc le sexe au garde à vous que je rejoins la petite qui m'a précédé dans la chambre. Elle est allongée sur le lit et attend. Je m'allonge à côté d'elle et l'embrasse à nouveau. Tout doucement, je descends, lui embrasse le ventre, continue de descendre, écarte ses jambes. La ficelle de son string est gluante de cyprine, je l'écarte et commence à déguster le minou. Je m'abreuve de son jus, aspire les grandes lèvres, lèche son clitoris, l'aspire également. Sandrine ondule, jouit, gémit. Je sens monter en elle un premier orgasme. Une onde parcourt son corps, elle serre ma tête sur son sexe avec force et d'un seul coup son corps se relâche.

J'en profite pour varier les positions. Je me mets tête-bêche et l'invite à venir sur moi. La petite s'exécute et me reprend en bouche pendant que ma langue s'aventure à nouveau sur son petit trou. Après quelques coups de langue je passe mon doigt dessus, elle frémit mais ne refuse pas ma caresse. J'entreprends de la pénétrer avec un doigt, elle gémit doucement et reprend sa fellation. Je sens que je vais jouir. Je lui dis mais rien n'y fait, elle continue sa succion jusqu'à ce que j'explose en elle. Elle maintient sa succion, je ne peux plus, elle se calme, je me calme, elle me lèche jusqu'à la dernière goutte.

Elle vient le long de moi, nous nous embrassons, elle me dit aimer sentir son goût, je n'avais jamais senti le mien avant. Je me remets à la branler et à lui caresser l'anus ; il s'ouvre tout doucement. Mon doigt coulisse facilement tant la mouille coule de sa petite chatte. Elle fait une petite ruade et me propose un chocolat. J'accepte, j'aimerai bien reprendre des forces avant la suite. Nous prenons un chocolat et filons prendre une douche. Sous la douche, la petite m'embrasse à nouveau, je reprends de la vigueur, sa main prend mes couilles et les caresse. Nous nous séchons et retournons sur le lit.

Elle s'allonge, je viens le long d'elle, son sexe est toujours trempé. Elle écarte les jambes, je la prends, normalement, comme un vieux couple. Elle m'embrasse, replie ses jambes sur mon dos. Je lui prends les fesses et caresse son anus tendu par la position. Après l'avoir bien limée, je me retire et la fait mettre en levrette. D'elle-même elle saisit ses fesses et les écarte, mais je préfère replonger dans sa petite chatte brûlante. Comme la veille elle me saisit les couilles et me les pelote.

Je me retire et remonte de quelques centimètres. Elle reprend ses fesses et les écarte à nouveau. J'appuie sur sa petite rondelle, elle s'ouvre et lentement je m'enfonce dans son tréfond. Elle pousse un feulement de chienne, se cramponne aux draps et alors que je me mets à la limer, elle se met à cogner son cul contre moi comme si elle voulait que j'aille encore plus loin.

Nous ne durerons pas des heures comme ça, de feulements en gémissements, elle jouit, me supplie de continuer, je dure encore un peu et me vide en elle.

Nous basculons tout les deux sur le côté, mon sexe est encore dans ses entrailles, Tout doucement je me retire, elle vient sur moi m'embrasse et m'entraîne sous la douche. Un dernier baiser sur mon sexe, nous nous rhabillons et je la laisse. Elle me dit qu'elle va aller se reposer un peu. Je sens qu'avec ma nouvelle collaboratrice nous allons faire du bon travail.

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