TITRE : Un week end d'enfer
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Je suis un homme marié mais un incorrigible séducteur. J'habite en Normandie. Depuis deux ans, je me suis lié d'amitié avec une femme prénommée Claire, une collègue de travail. Elle est belle et délicieuse, le teint mate, l'oeil rieur et coquin, un cul et des seins de déesse.
Peu à peu, cette amatrice de bonne chair est devenue mon amante, bien qu'elle aussi vive en couple.

Cet été, ma femme et moi l'avons invitée à venir passer une week-end en Bretagne dans la maison de mes parents. Son ami n'a pas pu venir et elle est donc arrivée avec une autre collègue de travail que j'avais invitée. Mon père avait monté une tente dans le jardin pour nos deux invitées.
Le week-end s'est déroulé gentillement même si le regard de Claire et le mien étaitent plein d'envie.
Claire et ma collègue devaient repartir le lundi matin. Nous étions le dimanche soir et il y avait urgence à faire quelquechose ! Ma femme, Claire, mon autre collègue et moi nous sommes rendus le soir même à une petite fête locale.
Claire m'invita alors à danser. Nous nous sommes noyés dans la foule des danseurs. C'est alors que la féline est passée à l'attaque. (Ma femme, en pleine discussion, était assise à une table, dos tourné). Claire a glissé lentement sa main sur mes parties intimes tandis que je lui caressait sensuellement le creux des reins. Elle se pencha alors sur mon oreille et me lança sulfureusement :
- "Je n'en peux plus. J'ai envie de toi".
Moi aussi, je n'en pouvais plus. Mais que faire ? Ma femme était là. Toute initiative hasardeuse aurait été vouée à l'échec. Cependant la situation était on ne peut plus exitante.

Vers une heure du matin, nous avons décidé d'aller en boîte de nuit. Un ami qui n'avait pas bu nous y a conduit. Sur le siège passager avant, se tenait ma collègue de travail. A l'arrière, Claire s'était placée entre moi et ma femme. Pendant le trajet, je me penchais discrètement pour parler à ma femme de choses et d'autres. Pendant ce temps, ma gauche s'était immiscée sous la jupe de Claire. Je lui masturbai le clitoris un bon moment avant d'introduire mon majeur dans son orifice brûlant. Elle n'en pouvant plus et tentant difficilement de cacher son plaisir. Parfois, je sortais mon doigt humide pour le mettre dans ma bouche, en prenant bien soin qu'elle me voit le faire.
Arrivés en boîte de nuit, j'ai augmenté son désir et elle le mien. J'ai dansé langoureusement avec ma femme et elle avec un inconnu.
Plus tard, au sortir de la boîte, aucun taxi ne répondait à nos appels. Nous avons alors décidé de rentrer à pieds. 4 km de marche en pleine nuit.
Ma femme et ma collègue de boulot partent devant et prennent de l'avance.Le hasard fait parfois bien les choses. Claire et moi restons une centaine de mètres derrière à se toucher toutes les parties du corps sans pouvoir conclure.

Arrivés épuisés à la maison à 7 heures du matin, nous sommes tous allés nous coucher.Moi avec ma femme ; Claire avec notre collègue de travail.
Le lendemain matin, à 10 heures, au petit déjeuner, Claire me carresait la cuisse sous la table. Le feu était encore allumé. Ma femme s'est levée après nous et est restée déjeuner avec mes parents et ma collègue. Claire s'est levée et a annoncé qu'elle partait sous la douche en me lançant un regard coquin mais discret.
J'attendis un peu...me levai et allai la rejoindre. Je frappai à la porte de la salle de bain. Il n'y eut besoin que d'un coup. La porte s'ouvrit. Il fallait faire vite et ne pas se faire surprendre. Claire me fis une fellation et je lui léchai le clitoris et l'anus. Puis, je la pris en levrette contre le lavabo. Nous eûmes du mal à contenir nos râles tant nos orgasmes furent simultanés et puissants.
Tant d'attente et de risque ont été ce week-end-là la potion magique du plaisir.

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