Comme souvent le soir, quand je suis seule au bureau, je
sors mes vêtements féminins. Je me dirige vers
les toilettes et je m'habille en fille de la tête
aux pieds. J'aime ça et ces situations m'excitent
beaucoup. En général, j'essaie de travailler
un petit peu mais au bout de 10 minutes, l'excitation est
trop forte et je passe une bonne partie de la soirée
à me caresser ou à dialoguer avec d'autres
personnes. Je ne reçois jamais à mon bureau,
autant je m'y fais plaisir toute seule, autant je ne veux
pas tout mélanger. Pourtant ce soir là, je
m'étais comme d'habitude habillée très
sexy : Bas guêpière string, talons, teddy,
chemisier transparent qui laissait voir ma dentelle jupe
plissée mini. Une touche de maquillage, des bijoux
et une perruque blonde au carrée, je faisais très
femme ou plutôt petite secrétaire bourgeoise
bcbg et sexy. Je me sentais bien et j'étais déjà
très excitée quand soudain j'entendis le bruit
de la porte d'entrée s'ouvrir. J'eus une peur effroyable.
Qui cela pouvait-il bien être ? Mon patron ? Non il
habite bien trop loin pour revenir le soir, un autre employé,
non plus, personne d'autre que mon patron et moi avons la
clé pour ouvrir. C'est alors que je vis un homme
noir, grand et assez carré. Sans faire de remarques
et plutôt étonné de me voir, il m'explique
qu'il vient faire le ménage et qu'il remplace la
personne habituelle qui est en vacances. Aie ! Me-dis-je,
que faire ? D'habitude la femme de ménage passe très
tôt le matin mais là, c'était inattendu.
Je ne dis pas un mot de peur que ma voix finisse de me tromper.
Je faisais comme si de rien n'était et je me mis
à faire semblant de travailler. Les minutes passèrent
sans que rien ne se passe. Quelque peu rassurée,
cette situation commençait sérieusement à
m'exciter : Moi en femme au bureau avec une autre personne
travaillant à côté. La situation avait
de quoi me combler, je me sentais réellement femme.
Il arriva dans mon bureau
avec son caddie et commença à faire le ménage.
Il me fit un grand sourire que je lui rendis instantanément
tout en rougissant de peur et d'excitation. Il s'occupa
des bureaux quand il arriva au mien, il me dit pardon mademoiselle,
je me poussais et il me dit : " Toi, tu n'es pas une
femme, t'es un petit travesti. Je t'ai reconnu tout de suite.
J'étais interloquée, que faire ? Que dire
? C'est alors qu'il commença à caresser mon
épaule, j'étais tétanisée. Puis,
il me dit que si je ne voulais pas avoir de problèmes,
je devais être très gentille avec lui. S'il
savait... Moi qui aie toujours voulu être baisée
par un noir... Mais je faisais comme si j'étais apeurée
et gênée. C'est alors qu'il me demanda de me
mettre debout et il me roula une pelle magnifique. Je sentais
la bosse de son jean gonfler contre ma cuisse, il me caressait
partout, passa sa main sous ma jupe, caressa la lisière
de mes bas et bientôt joua avec la ficelle de mon
string. Je bandais comme jamais et je sentais bien que lui
non plus ne restait pas insensible. Puis il me caressa le
sexe avec vigueur, il embrassait mon chemisier, s'amusait
à jouer les voyeurs de petite bourgeoise effarouchée.
C'est alors qu'il sortit son sexe de son pantalon, celui
ci était énorme. Il m'appuya légèrement
sur les épaules et je commençais à
faire des petits bisous sur son gros membre dressé.
Je le pris en bouche et commençais par bien lécher
son gland puis, j'essayais d'avaler le maximum de sa queue
afin de le sucer le mieux du monde. Il commençait
à me dire des mots crus, des insultes. Cela m'excita
encore plus, il me demandait si j'aimais sucer des grosses
bites comme la sienne, que je suçais à merveille,
que j'avais l'aire d'aimer la bite.
Après l'avoir sucé
un bon quart d'heure, il me fit m'asseoir sur le bureau,
il m'écarta les jambes et commença à
me titiller l'anus de sa langue. cette image de mes jambes
gainées de bas et de jarretelles avec ma jupe retroussée
et cette tête en train de s'affairer entre me cuisses
me combla au plus au point.
J'y trouvais un érotisme
foudroyant. Puis il se releva, je lui fis mettre un préservatif
(pas folle la chienne...) et il commença à
poser son gland à l'entrée de mon anus. Je
me dis quand même, que j'étais folle d'accepter
aussi facilement qu'un sexe si gros me pénètre
mais je voulais connaître ce plaisir et la situation
était si forte et si érotique que j'aurais
été folle de refuser, il commence à
forcer la porte, après quelques coups de boutoir,
il commença à entrer son gland ; J'avais mal
mais j'étais dans un état d'excitation sexuelle
intense. Et puis le poppers permet de faciliter le passage.
Il commença ses mouvements de va et vient, mon anus
se dilatait de plus en plus et il commença vraiment
à me pénétrer de plus en plus quand
enfin je sentis ses couilles taper contre mes fesses. Il
me bourra le derrière pendant 10 bonnes minutes tout
en me proférant des insultes qui me comblaient au
plus au point. Soudainement, je le sentis décharger
dans sa capote et je me mis alors à me branler frénétiquement
pour enfin éjaculer aussi sur mon si beau chemisier,
il se retira, se dirigea vers la salle de bain. Puis il
revient, rangea son caddie et me dit qu'il avait adoré
me baiser lui-même étant gay de toute façon,
il m'a aussi donné son numéro de portable
afin que je puisse l'appeler pour qu'il passe me baiser.
Il m'a demandé la prochaine fois de mettre uniquement
de la lingerie tout en dentelle et satin. Je l'ai appelé
pour qu'il vienne ce soir, je me suis faite très
belle pour lui, il m'a dit qu'il viendrait avec son mec
qui est aussi bien monté que lui.
J'attends avec impatience
tout en étant déjà habillée
comme il le souhaitait : une guêpière magnifique
noire en dentelle et satin, un string qui moule bien mon
sexe, des talons vernis, maquillée, perruque... je
vous raconterais...
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