TITRE : Un mercredi inoubliable
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Je m'appelle Christian, j'ai 45 ans et je suis marié avec Marie-Angèle depuis 23 ans.

Cela fait de nombreux mois que nous ne baisons plus comme avant. On se contente de faire l'amour une fois de temps en temps et je sens bien que ma femme n'éprouve presque plus de plaisir à le faire.

On en a parlé ensemble et elle m'a dit qu'elle avait besoin de tendresse pour pouvoir avoir des orgasmes quand je la baisais.

Aujourd'hui, j'ai donc décidé de lui faire une surprise.

Le mercredi est le jour où je rentre le plus tard à la maison, à cause des réunions de milieu de semaine. Marie-Angèle le sait : je ne suis jamais chez moi avant vingt heures.

Sans rien lui dire, je suis sorti plus tôt du bureau et je suis allé chez le fleuriste prendre un bouquet de roses rouges, dans l'intention de l'inviter au resto en amoureux, en espérant la reconquérir une fois rentrés à la maison.

Arrivé chez moi, mon bouquet à la main, j'eus la surprise de voir la bagnole de Jacques, mon meilleur pote, garée devant l'allée.

- Merde, putain ! Ce con va foutre tout mon plan à l'eau ! me dis-je. Toujours là quand il ne faut pas, celui-là !

Tant pis, pensai-je, je fais comme si rien n'était : c'est comme un frère pour moi, il comprendra vite qu'il faut qu'il se casse !

Discrètement, je fis tourner la poignée de la porte et j'entrai dans le hall.

Je déposai ma veste sur le portemanteau à l'entrée et ce fut à ce moment-là que j'entendis des bruits bizarres venant du salon. Lentement, les fleurs toujours à la main, je m'avançai vers la porte du salon entrouverte, prêt à la pousser pour entrer.

Le spectacle que je vis à travers l'entrebâillement me sidéra totalement, le bouquet tomba par terre et je faillis m'évanouir.

Ma femme était assise sur le fauteuil en cuir noir, les seins à l'air, ne portant qu'un string rose que je voyais pour la première fois. Elle tenait ses jambes écartées avec ses mains sous les genoux, alors que Jacques, complètement nu était accroupi devant elle, avait enfoui la tête entre ses cuisses et lui bouffait la chatte.

Le salopard ! Mon meilleur pote était en train de baiser ma femme et apparemment elle aimait ça ! Je voyais tout, j'entendais tout, et cependant je ne pus réagir. Je me contentai de rester là, à regarder.

- Humm... Vas-y, lèche-moi bien la chatte... Tu me fais mouiller ! dit Marie-Angèle en fermant les yeux. Continue comme ça, salaud, je suis en feu !

- Ouiii, salope, je te dévore, j'ai faim de ta chatte humide... Hummm, quelle odeur magnifique ! J'adore sentir ta moule !

D'une main, elle tirait sur son string et de l'autre, elle plaquait la tête de Jacques contre son sexe, en faisant des mouvements de bassin.

- Encore, salaud ! Je suis inondée de plaisir... Déguste mon jus... Il te plaît, hein ?

- Tu es vraiment une chienne en chaleur ! Tu sens le sexe, ton odeur de salope me fait tourner la tête !

J'aurais dû, normalement, bondir dans la pièce et faire arrêter tout cela, mais curieusement, je me mis soudain à bander.

A ce moment précis, Marie-Angèle repoussa Jacques, le prit par les épaules et le jeta sur le fauteuil en position assise.

- Je vais m'occuper de toi, maintenant, dit-elle. Je vais te baiser comme une chienne !

Elle ôta son string, le chevaucha, prit sa queue dans la main gauche et s'empala dessus. Elle se déhanchait comme une folle sur la bite tendue de Jacques, qui avait du mal à suivre le rythme.

- Baise-moi, salope ! cria-t-il. Tu vas m'exploser la queue ! J'en peux pluuuuuus !

- Ouuuiiii, je la sens bien, ta bite, au fond de ma chatte ! Tu la sens, ma moule, qui va et vient sur ton manche ? Hummm... Ca fait longtemps que j'avais pas baisé comme ça ! Tu aimes, hein, salaud, que la femme de ton pote te baise ?

Ma queue durcissait de plus en plus dans mon pantalon. Instinctivement, je fis glisser la fermeture Eclair et je commençai à me branler.

Marie-Angèle continuait son rodéo en hurlant de plaisir, puis soudain Jacques, à son tour, la repoussa et la fit tourner en position accroupie sur le tapis, lui écarta les fesses et enfouit la tête dans son cul en feu.

- Ahhh ouiiiiii ! Mange-moi le cul, salaud ! gémit-elle. Tu fais ça bien, hummm... Je sens ta langue dans mon cul... Vas-y, encule-moi avec ta langue... C'est trop bon ! Tu es le meilleur mangeur de cul au monde, hummmmm !

- Tu adores, hein ? Ton mari ne te baise pas comme ça, hein, salope ! Je me régale de ton cul, humm ! Quand je le bouffe, il dégage un parfum qui me fait bander à mort... Huummm, l'odeur de ta chatte et de ton cul m'enivrent, je sens que j'ai envie de t'enculer ! Tu veux, poufiasse ?

- Je sais pas, chéri, personne n'est encore passé par là, tu sais... Tu seras le premier !

- Tu vas voir, Angie, tu vas adorer, tu pourras plus t'en passer !

Je m'astiquais la queue de plus en plus vite : voir ma femme dans cet état m'excitait au plus haut point. Je n'avais jamais connu ça avec elle.

Après lui avoir préparé l'anus avec sa langue, Jacques enfonça d'un coup sec son membre dur dans le trou du cul de Marie-Angèle, qui hurla de douleur. Puis, lentement, il lui ramona la rondelle, en faisant presque sortir sa queue à chaque va-et-vient. La douleur que ressentait ma femme se transforma progressivement en plaisir.

- Alors, qu'en dis-tu, salope ? Tu la sens bien, ma queue, dans ton fion de pute ? Tu aimes ça ?

- Ohhh ouui, Jacky, encule-moi à mort !C'est trop bon de se faire casser le cul, j'adore ça ! Tu me remplis bien avec ton engin énorme... Déchire-moi le cul, je suis ta pute, encule-moi, encule-moi encore !

- Je te l'avais dit, espèce de chienne, que tu allais aimer ! Hummm, ton cul est superbe... Je te le défonce ! Tu me rends dingue ! Tu sens comme ma queue te lime bien, heinnn ?

- Ohhh ouii, hummm, n'arrête pas, Jacques... Bourre-moi bien fort, comme ça... Accélère la cadence, je vais pas tarder à partir... Aaaaahhhhh !

- Tiens ! Tiens ! Sale chienne, prends-la dans ton cul ! dit-il en la tamponnant de plus en plus vite et de plus en plus en fort.

- Aaaaarghhh ! Je jouiiiiiiis, salaud ! Tu m'as incendié la raie ! Viens, crache-moi vite ta purée dans le cul !

Je n'en croyais pas mes oreilles : ma femme qui ne me parlait jamais pendant l'amour, se lâchait complètement avec Jacques. Cela avait pour effet de faire grossir ma bite entre mes mains, j'étais au bord de l'éjaculation.

- Non, dit-il, pas dans ton cul ! Dans ta bouche !

Il la retourna, se mit debout devant elle, la prit par les cheveux et lui dit :

- Vas-y, suces-moi... Prends ma queue dans ta bouche ! Regarde-la, elle est prête à gicler dans ta gorge !

Ma femme ne se fit pas prier : avec sa langue, elle lui dévorait les couilles et de sa main droite, elle branlait frénétiquement sa bite trempée.

- Hummm, elle est bonne ta queue ! Elle sent mon cul et mon jus de chatte... Vas-y, chéri, baise-moi la bouche !

A ces mots, Jacques eut un geste inattendu : il saisit le string de ma femme qui était posé sur le tapis et le porta à ses narines, en le reniflant profondément pendant qu'elle continuait à engloutir sa queue entre ses lèvres.

Il lui pilonnait carrément la bouche à grands coups de chibre.

- Ouiii, suce-moi bien ! Mange-moi la bite ! Tu aimes bouffer des queues, hein, salope ? Continue, je vais te faire boire ma semence ! Hummm, j'ai ton odeur de chienne dans le nez... Aaaahhhh, je viens ! Je viens ! Aaaaaaarghh !

Il lâcha un long jet de sperme dans les cheveux bruns d'Angie et tomba à moitié évanoui sur le fauteuil.

C'est le moment que je choisis pour en faire de même, dans mon caleçon.

- Tu m'as baisée comme un dieu, dit-elle. Vivement mercredi prochain, qu'on recommence !

- Tu es vraiment un sacré coup ! C'est un pur bonheur de baiser avec toi, répondit-il en se rhabillant. Bon, je me casse avant que Chris arrive. A mercredi, seize heures !

Ils s'embrassèrent longuement, puis Jacques finit par partir.

Je dus me rendre à l'évidence : j'avais pris un pied énorme à voir Angie et Jacques baiser ensemble, un pied cent fois meilleur que celui que je prenais les rares fois où nous faisions l'amour.

Je n'ai jamais rien dit à ma femme.

Depuis ce jour, chaque mercredi, je sors plus tôt du bureau, j'achète un bouquet de roses rouges et, à seize heures pétantes, je suis devant la porte de mon salon !

 

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