TITRE : Un ivrogne
Catégorie : 
Histoire érotique
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Otávio est marié avec une très bonne fille répondant au prénom de Maria. Sur le plan vestimentaire, sa femme Maria préfère les tenues très féminines, à savoir les jupes (assez courtes) et les vestes de tailleur. Il aime par dessus tout qu'elle s'habille comme une vraie femme. Ses dessous sont toujours choisis avec soin, parfois par lui. Elle porte souvent des bas auto-fixants, auxquels elle ajoute de temps en temps un porte-jarretelles pour donner l'impression qu'il s'agit de vrais bas. Et je peux vous dire que l'illusion est quasi-parfaite. C'est une très belle brune, elle attache ses cheveux avec une queue de cheval et porte un chemisier blanc ouvert sur un soutien-gorge noir, une jupe plissée bleue ciel courte et légère sur des bas noirs et des escarpins à talons hauts, également noirs. Ce jour-là, nous étions ensemble et son mari me fit un clin d'oeil, je lui retournai un sourire des plus approbateurs concernant la sensualité de sa femme.


Nous étions plusieurs compagnons de travail dans un bar et nous buvions un coup. Plus tard, elle nous rejoignit sur un fauteuil face à moi pour prendre l'apéritif. Le serveur lui avait mis une sacrée dose de whisky avec très peu d'eau. En regardant son verre, elle dit à son mari qu'il était trop fort. Il lui répondit qu'elle pouvait se laisser aller. Le beau visage de Maria s'illumina en nous prévenant qu'elle risquait de ne plus être maître d'elle. Nous avons ri tous les trois et la conversation s'est très vite libérée. Au deuxième whisky, Maria ne faisait plus attention à la position de sa jupe. Ses jambes étaient maintenant bien découvertes. Je voyais la lisière de ses bas et un peu de sa peau nu en contact avec le coussin. Elle commençait à être bien allumée. En se relevant du fauteuil pour rejoindre la cuisine, elle m'exhiba son entrecuisse jusqu'à son string noir et une jarretelle fixée à ses bas. En s'éloignant de nous, sa jupe étant remontée, elle me montra encore la lisière de ses bas et me laissa imaginer la forme de ses petites fesses quelques centimètres plus hauts. C'était un vrai appel au viol !


Puis l'un des patrons, complètement bourré est venu s'écraser sur une table près de nous, créant un certain embarras pour tout notre groupe. La femme d'Otávio a alors proposé de lui faire prendre du café et de le ramener chez eux. L'ivrogne avait approximativement 60 ans , il était gros et chauve. De plus, il gueulait qu'il voulait de la vodka, pas du café. De peine et de misère Otávio et Maria réussirent à le ramener à leur maison. Pendant qu'Otávio cherchait la bouteille du thermos avec le café, sa femme surveillait le patron ivre qui s'avançait vers elle en titubant. Alors il perdit pied et même si Maria voulut le retenir, il l'entraîna dans sa chute et tomba sur elle.

-Tu sens comme mon membre est dur ? Demanda-t-il à Maria.

Maria criait à son époux de venir l'aider, sentant le patron devenir agressif et surtout comprenant qu'il profiterait de la situation pour la prendre de force puisque son poids immobilisait la pauvre femme. Il batailla pour lui ouvrir les cuisses tandis qu'Otávio cherchait un objet lourd dans la maison afin de tranquiliser le bonhomme. L'ivrogne poussa un grognement et lança à la femme sans défense :

- Vous êtes femme, je vais vous pénétrer.

Il a soulevé sa robe et avec force il a essayé de lui mettre son énorme gourdin entre les lèvres du sexe. Le souffle coupé Maria continuait de hurler pour que son époux la sauve. Au moment où le mari revenait au salon avec une sculpture de marbre, l'ivrogne réussissait à forcer le vagin de Maria de son gros gland.

- Oh, regarde Otávio, il va me pénétrer avec ce pénis immense.

Toutefois, comme Otávio s'apprêtait à abattre la statue sur le crâne du malotru, il vit sa femme se mettre à gémir soudain tout en ondulant des hanches.

- Attends Otávio, laisse-le jouir, plus tard personne ne saura ce qui s'est passé véritablement. Il se délasse et il part, parce que dans peu de temps il jouira, je le sens. De plus, il a tellement bu que demain il ne se souviendra de rien.

Alors Maria mit le paquet et se trémoussa du mieux qu'elle le put afin de faire jouir cette grosse ordure qui couinait sur elle. Et bientôt elle se prit au jeu du vieux salaud et apprécia largement le sort qu'il lui faisait subir.

- Aiii... C'est delicieux... Cet ivrogne audacieux a un pénis énorme et très épais. Je commence a y prendre plaisir, mon amour. Réellement je suis presqu'à jouir. Aiii... C'est trop bon ! Otávio, mon amour, je jouis !!

Et le compréhensif Otávio l'encourageait et lui donnait l'autorisation pour jouir. Il matait depuis un bon moment sa femme se faire besogner ainsi et c'était un vrai supplice pour lui de se retenir ! Très rapidement, le visage de Maria se crispa et ses yeux se fermèrent pour la béatitude, avant que de sa bouche ne sorte un violent cri de jouissance, aussi puissant que le sperme que l'homme ivre déversa à grand flot dans son ventre. Maria était au paradis, elle bougeait encore et plantait ses ongles dans le dos du son agresseur pour le maintenir bien en elle et sentir sa pine battre et battre, encore et encore, dans son sexe.

Otávio, parfaitement confus, ne sachant que penser de tout cela, bandait comme un cochon et ne songeait plus qu'à se vider les couilles à son tour. Alors la bite de l'ivrogne ramollit dans le sexe inondé de Maria. Elle était bien, ainsi alanguie sous le corps puissant de cet homme. Otávio perdit à ce moment toute forme de lucidité et dit à sa femme :

- Ma petite pute ! Tu vas devoir me masturber afin de me faire gicler. Branle-moi ma jolie, je sais que ta chatte est détrempée et que tu meurs d'envie de te faire sauter un peu plus...

Elle commença par quelques allers retours lents, sans omettre de bien envelopper le gland avec sa langue. Et, rapidement, le manche fut plus dur que du bois, assez long pour qu'elle ne puisse en avaler qu'à peine le tiers et assez épais pour que sa main ne puisse pas en faire le tour. Alors Otávio la fit mettre à genoux devant lui, presque sous lui, il lui immobilisa la tête de ses grandes mains et commença à s'activer dans sa bouche. D'abord lentement, puis de plus en plus rapidement, il la bourra finalement par la gueule sans ménagement. Mais elle appréciait bien d'être ainsi dominé par son homme si viril. Un grognement sourd l'avertit de la jouissance prochaine et il finit par remplir sa bouche d'un bon foutre épais et gluant. Bien qu'à moitié étouffée par la bite et le foutre, Maria n'oublia pas de bien faire tourner la purée dans sa bouche pour en apprécier tout le goût.

Otávio termina de jouir et ils allèrent se coucher, abandonnant l'ivrogne sur le sol du salon, sachant très bien qu'il aurait complètement oublié sa soirée dès son réveil...

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