Je m'appelle Stéphanie, j'ai 25 ans, je suis blonde, grande
et fine. J'attire souvent les regards des hommes avec mon
90C et mes fesses bien formées, montées sur de longues jambes,
et j'avoue que cela me plaît. Je suis mariée avec Olivier
depuis maintenant trois ans et je suis consciente que si
tout se passait bien au début, la routine a vite gagné notre
vie de couple, au point que j'ai eu envie de le quitter.
Mais laissez-moi plutôt vous raconter pourquoi je suis restée...
Il y a donc deux ans de cela, la routine commençait à gagner
notre couple. L'homme sportif et drôle - un grand brun aux
yeux verts - que j'avais connu se transformait peu à peu
- disons-le clairement - en BEAUF !
Avant, nous passions des week-ends romantiques à nous balader,
à discuter, à partager nos activités... Maintenant, c'est
son club de foot qui passe avant tout le reste, moi y compris.
Entre les entraînements de la semaine, les compétitions
du dimanche, la télé entre potes les soirs de match... Bref,
j'avais ma dose, jusqu'à ce que je trouve mon propre intérêt
dans les "membres" de son club.
C'était au mois de mai. Olivier avait organisé un barbecue,
le samedi soir, à la maison, pour galvaniser ses troupes
en vue d'un match important le lendemain. J'oubliais de
vous dire: Olivier est évidemment le capitaine de son équipe
de dernière division départementale, catégorie pieds tordus.
Comme d'habitude dans ce genre de soirées, les hommes étaient
autour du barbecue, une bière à la main, en train de refaire
les matchs précédents ou de stratégiser sur le
prochain, en rêvant des éventuelles répercussions sur leur
classement, tandis que leurs épouses ou compagnes du moment
se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant
sur les célébrités en vue et leurs aventures, plus ou moins
cachées ou réelles.
Moi, comme toujours, en bonne maîtresse de maison, j'allais
d'un groupe à l'autre avec les plats, entre les bouteilles
pleines à vider et les verres vides à remplir.
Je ne sais pas pourquoi, cette soirée en particulier me
devenait pénible. Peut-être parce que c'était la je-ne-sais-plus-combien-tième
depuis le début de la saison ou peut-être tout simplement
me rendais-je compte que je n'avais ma place ni dans l'un,
ni dans l'autre groupe.
En tout cas, je songeais sérieusement à aller me coucher
avant même la fin de l'apéritif, lorsqu'une conversation
accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion.
Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool
du petit vin d'oranges maison, avaient dévié des sempiternelles
coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant
: le sexe.
Lorsque je m'approchai d'une oreille attentive, je compris
qu'elles en étaient aux performances et mensurations de
leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne
se doutaient pas que leurs attributs étaient décrits publiquement
avec force détails et à grand renfort de gestes ou de comparaisons
avec des fruits et légumes, tels que la banane ou la carotte.
Un peu à l'écart de la discussion, je riais doucement en
sirotant ma pina-colada à la paille. J'observais chacune
de ces bimbos vanter les mérites de leurs apollons. Je les
soupçonnais d'en rajouter un peu, voire beaucoup, sur les
détails techniques.
Pour ma part, je me disais qu'il valait mieux pour Olivier
que je n'entre pas dans la conversation, car son équipement
était loin de la moyenne de ceux que j'avais connus auparavant,
encore moins de ceux que ces filles décrivaient.
C'est à ce moment-là que je me rendis compte que dans son
coin, la timide Nancy rougissait, mais ne pipait pas un
mot. Je fis donc le tour du groupe pour me poser sur le
transat laissé libre à ses côtés. Je lui murmurai :
- Ca va, tu arrives à suivre ?
En effet, Nancy, comme son nom ne l'indique pas, est Allemande,
fraîchement débarquée de sa Bavière natale avec son mari
Torsten. Si lui était grand, fin, roux à la peau très blanche,
elle était petite, brune teinte en blonde (les filles savent
reconnaître ces détails), avec des formes très avantageuses,
car un peu rondes.
- Je comprends toujours plus que l'on croit, me répondit-elle
avec son accent si charmant.
- Il faut dire qu'avec tous leurs gestes, y a pas vraiment
besoin de comprendre la langue ! lui dis-je, avec un clin
d'œil.
Elle me sourit gentiment d'un air entendu.
- Et toi, ton Torsten, il est comment ? lui demandai-je.
Elle se remit à rougir et n'osa pas répondre.
- Allez ! Tu vas pas faire ta timide ! Toutes les filles
ont déjà décrit leur mec. A ton tour, lançai-je, en me gardant
bien d'éviter de faire remarquer que moi aussi, j'avais
sauté mon tour. Il est plutôt du genre petit cure-dent ou
grosse saucisse ?
Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler,
mais pas à tout le monde.
- Fais-moi voir avec tes mains, au moins. Sinon je leur
fais remarquer que t'as encore rien révélé !
Là, j'y allais un peu fort, mais elle avait trop attisé
ma curiosité pour que je la laisse éviter le sujet. Toujours
timidement, elle jeta un coup d'œil circulaire pour
voir si personne ne la regardait et, rapidement, m'indiqua
avec ses deux mains un engin d'une bonne vingtaine de centimètres.
Pas loin du double de mon Olivier.
- Nan, je lui dis, j'y crois pas. Elle doit être fine,
pour être si longue !
Même rituel de vérification de l'entourage, et elle m'indiqua,
avec ses deux mains, un diamètre hors norme, nettement trop
large pour une seule main ! Là, je ne pus m'empêcher de
penser qu'Olivier était battu à plate couture.
- Tant que ça ? Mais comment fais-tu pour t'occuper d'un
tel monstre ? lui demandai-je.
Elle rougit encore et me dit dans un filet de voix:
- J'ai un peu de mal avec la bouche, mais ça m'excite tellement,
que le bas passe très bien.
Je n'en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Je ne pouvais
détacher mes yeux de ses mains, qui avaient décrit un engin
pareil. Soudain, dans un flash, je me tournai vers le groupe
des garçons et je vis Torsten, debout au milieu des autres,
les dépassant d'une tête avec sa toison rousse. Je l'imaginai
surtout nu, imberbe, sauf sa touffe surplombant une queue
qui lui descendait jusqu'au milieu de la cuisse. Nancy surprit
mon regard et, loin de s'offusquer, me sourit d'un air complice.
- Tu me le prêterais ? lui demandai-je en riant.
Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas.
En moi-même, je pensai :
"Ma petite Nancy, d'accord ou pas, je vais me le faire,
ton Torsten !"
Mon sexe en palpitait déjà d'envie.
J'avais hâte que la soirée se finisse. Toutes les cinq
minutes, je jetais un œil en direction de Torsten,
et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait
l'air bien rempli.
Plus tard, lorsque tous les invités furent partis, non
sans que je fasse une bise appuyée d'un clin d'œil
à Nancy, pour son "tuyau", et que je me frotte un peu à
Torsten, je ne pouvais toujours pas chasser l'image de cet
engin de mon esprit.
Une fois au lit, Olivier commença à me caresser et fut
fort étonné de me trouver déjà toute mouillée.
- C'est pour moi que tu mouilles comme ça ? me demanda-t-il.
- J'ai rêvé de sexe toute la soirée ! lui répondis-je,
sans mentir.
Il me tripota le clitoris maladroitement, à son habitude.
Je me plaçai donc rapidement en levrette pour qu'il me prenne
sans que je le voie et, surtout, pour que je puisse me tripoter
moi-même. Je cambrai les reins au maximum et l'encourageai
:
- Vas-y, prends-moi à fond...
Je l'entendais souffler comme un bœuf pendant qu'il
me pilonnait. J'imaginai la grosse queue de Torsten déchirant
mon antre alors que j'agitais frénétiquement mes doigts
sur mon petit bouton d'amour. Je ne tardai pas à jouir,
à ce rythme-là, alors qu'Olivier m'envoyait la purée, avant
de s'écrouler, épuisé.
Aussi sec, il se retourna et me lança :
- Bonne nuit, mon amour. Demain, je me lève tôt pour le
match.
Le salaud me laissait en plan, sur ma faim, pour son stupide
match de foot.
Toi, mon ami, tu ne perds rien pour attendre. Tu seras
cocu bientôt.
Le lendemain matin, je me lève tard. Olivier est déjà parti.
Mon sexe est déjà en feu, car j'ai rêvé toute la nuit de
la queue géante de Torsten. Un plan a d'ailleurs germé dans
ma tête pour parvenir à mes fins. Pour une fois que le foot
va me servir à quelque chose !
Il fait déjà chaud et je me prépare rapidement. Un petit
tour sous la douche pour me faire belle. Au passage, il
faut que j'éteigne le feu qui brûle mon bas-ventre. Je dirige
le jet sur mon clitoris. L'écoulement de l'eau sur mon bouton
d'amour m'excite au plus haut point. Je ne tarde d'ailleurs
pas à jouir en gémissant très fort.
Ce Torsten va devoir éteindre lui-même ce qu'il a contribué
à initier - bien involontairement, je dois le reconnaître
-.
Déjà 11 heures. J'enfile une robe d'été ample et légère.
Elle laisse deviner ma poitrine ferme dont les tétons pointent
agressivement. J'enfile un string blanc minimaliste et je
me ravise. Après tout, autant ne pas en mettre, ça aidera
peut-être à calmer mes ardeurs.
Je saute dans ma voiture, direction le stade. C'est bien
la première fois que je suis excitée d'aller voir mon homme
jouer au ballon. Le contact du cuir du siège sur mes lèvres
lisses m'électrise encore plus. Heureusement que le chemin
n'est pas long, sinon j'aurais tout trempé.
Une fois arrivée, je me glisse au premier rang des gradins,
avec le lot des supportrices, dont la plupart était chez
moi hier soir. Nancy n'est pas là, tant mieux pour moi.
Mon mari est sur le terrain et court partout et en tout
sens. Je cherche désespérément des yeux mon cher Torsten,
mais je ne le vois pas.
En fait, on se trouve juste au-dessus du banc des remplaçants
de « notre » équipe et c'est lorsqu'il se lève que je le
vois enfin.
Il attrape une bouteille d'eau et, tout en buvant, se tourne
vers nous. Il m'aperçoit et me sourit, quand je le vois
qui bloque et manque de s'étouffer. Je ne comprends pas
tout de suite, mais je suis son regard et m'aperçois que,
de là où il est, comme je suis en hauteur, il peut tout
voir de mon abricot minutieusement taillé et entièrement
dévoilé.
Lorsque je me rends compte de la vision qu'il peut avoir,
au lieu de fermer les cuisses, comme l'aurait fait n'importe
quelle femme sage, je les écarte négligemment, en le fixant
droit dans les yeux.
Il rougit aussitôt et ne sait plus quoi faire. Il finit
par se rasseoir, tout confus. Je me dis :
« Un point pour toi, ma Steph ! »
Le match se termine sur une victoire difficilement conquise
par nos joueurs. Les hommes filent aux douches. J'avoue
que j'aimerais bien aller y jeter un oeil pour m'assurer
de l'équipement des joueurs.
Lors du traditionnel pot de l'amitié, j'embrasse rapidement
et distraitement mon mari et vais me servir un verre de
sangria. Au passage, je me frotte à Torsten qui, lorsqu'il
se rend compte à qui appartiennent ces seins arrogants,
ne sait encore plus où se mettre.
Je me faufile de groupe en groupe et j'entends au passage
l'opportunité qu'il me manquait : Nancy, qui était arrivée
entre-temps, est en effet en train d'expliquer à Olivier,
le capitaine, qu'elle ne pourra pas laver les maillots de
l'équipe comme d'habitude, car leur machine est en panne.
Olivier semble très embêté. Je saute dans la conversation
et leur dis :
- Si vous voulez, je peux le faire en attendant que votre
machine soit réparée !
Olivier est tout surpris, car j'ai toujours refusé de prendre
en charge leurs maillots puants de sueur. Me taper les matchs,
passe encore ; faire la bonniche, non merci !
Mais là, j'ai une autre motivation, d'au moins vingt centimètres.
- Torsten n'aura qu'à me les amener demain soir, Olivier
rentre tard. On boira un verre pendant que ça tournera et
il pourra les remmener pour que tu les fasses sécher au
sèche-linge, car nous n'en avons pas. En une heure, c'est
bouclé !
Olivier est ravi de cette solution et Nancy se sent rassurée
que le problème soit réglé sans qu'elle perde le contrôle
de cette tâche qui la rend utile.
Le lendemain soir, je suis excitée comme une puce. J'ai
passé la journée à préparer la soirée. Je me suis apprêtée
au mieux : une robe noire légère, fendue sur le côté et,
bien entendu, rien en dessous. Des escarpins très hauts
qui me font la jambe un peu plus longue et bien galbée.
Quelques traits de maquillage, lumières tamisées.
Je mouille déjà comme une fontaine à l'idée de ce qu'il
va (enfin) se passer.
À 19 heures pile, ponctualité allemande, Torsten sonne
à la porte. Il porte une chemise blanche sur un pantalon
en jean crème et, surtout, un énorme sac de linge. Je me
rappelle maintenant pourquoi je n'ai jamais voulu m'en occuper.
Il me dit timidement :
- C'est pour les maillots.
- Ah oui, viens, c'est par-là, lui réponds-je, en montrant
le chemin du sous-sol où se trouvait notre machine.
Une fois arrivés, je lui dis :
- Pose le sac. Tu vas me passer les maillots et je les
mettrai dans la machine.
Il s'accroupit donc pour me passer un premier maillot.
Je me penche volontairement à l'extrême, jambes tendues
et légèrement écartées, pour enfourner le tissu dans le
tambour frontal de la machine. Au deuxième maillot, je me
retourne et le vois rougir d'un seul coup. Je fais mine
de ne rien voir et continue mon manège.
Après que nous ayons vidé le sac, je mets la machine en
route, je me retourne vers lui et le provoque :
- Mais qu'est-ce que tu regardes comme ça, espèce de cochon
? T'es encore en train de mater sous ma robe, comme au match
hier ?
Il est confus et bredouille des excuses.
- Qu'est-ce que tu cherches ? Tu veux voir ma culotte ?
Je lève le bas de ma robe et lui montre mon minou épilé,
avec juste un petit triangle sur le haut du pubis.
- C'est pas la peine, je lui dis. Tu vois, j'en ai pas.
Va falloir te faire pardonner tes sales manières !
Sans qu'il ait le temps de réagir, je m'approche de lui,
qui est toujours accroupi, le visage à hauteur de mon abricot,
et lui dis :
- Fais-lui un bisou pour te faire pardonner.
Il bredouille encore quelques mots confus et ne sait que
faire.
- Tu veux que je dise à ta femme que tu me mates sans arrêt
? Allez ! Embrasse mon sexe et ça restera entre nous, lui
lançè-je, en posant ma main sur sa tête et en l'approchant
de mon sexe brûlant pour lui indiquer le chemin.
Hypnotisé par la vision, il s'approche timidement et pose
un léger baiser sur mon pubis.
- Encore ! Et mieux que ça ! N'hésite pas à y mettre ta
langue, cochon ! l'exhortè-je.
Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long
de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau
sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par
ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses.
Ce contact m'électrise. Il continue à jouer de sa langue
sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon
clitoris, dressé comme un petit sexe, qu'il décapuchonne.
Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me
provoque une décharge de plaisir inattendue.
- C'est trop bon, continue...
Torsten, à mes pieds, ne fait plus du tout le timide et,
voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations qu'il
me provoque, prend de l'assurance et empoigne mes hanches
pour leur imprimer un mouvement d'avant en arrière.
Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les
moindres recoins de mon sexe.
Pendant ce temps, j'ai lâché sa chevelure abondante pour
prendre en main ma poitrine dure aux tétons dardés par l'excitation.
Je les libère de la robe et commence à les pétrir sans ménagement.
Torsten me fait allonger pour avoir plus de latitude et
continue ses jeux de langue, pendant qu'il use de ses doigts
pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre
de ses doigts investigateurs. A ce rythme-là, je ne tarde
pas à sentir la jouissance monter jusqu'à exploser littéralement,
alors que je plaque la tête de Torsten sur mon sexe pour
qu'il continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes
du plaisir.
Epuisée, je me laisse tomber sur le carrelage.
- On ne m'avait jamais fait jouir aussi fort avec la langue.
A moi de te remercier ! dis-je, en me jetant littéralement
à genoux devant son bassin.
Le tissu du jean est plein à craquer. La situation a l'air
de lui plaire. Je pose ma main sur sa poitrine et le fais
s'allonger, pour me laisser reprendre le contrôle des évènements.
Je déboutonne sa chemise et dépose des baisers sur tout
son torse imberbe. Je lèche ses tétons et les mordille avec
gourmandise.
Je descends lentement vers mon objectif. Je défais sa ceinture
et les boutons de son jean.
L'objet de ma gourmandise, moulé dans un boxer, n'est plus
séparé de ma bouche que par une infime barrière de tissu.
Je passe ma main le long de ce colosse chaud et puissant
et le branle à travers le tissu. Je sors ma langue au maximum
et je la passe sur son gland.
Torsten a fermé les yeux et gémit de plaisir. Je passe
une main de chaque côté du boxer et le fais glisser vers
le bas pour libérer le monstre. Lorsque le diable sort de
sa tanière, je comprends que Nancy n'a pas exagéré : son
engin est vraiment énorme. Il me faudrait une troisième
main pour le couvrir entièrement sur la longueur, et encore
! Je n'arrive pas à l'entourer entièrement de mes doigts.
Mes lèvres palpitent déjà à l'idée de sentir cette colonne
de chair à l'intérieur. Je prends l'objet en main et commence
à lécher la hampe sur toute sa longueur. D'une main, je
soupèse ses bourses, énormes et lisses. Il doit se les raser.
Ma main court le long de l'engin, et je prends le gland
en bouche.
Torsten gémit à la sensation de ma langue chaude sur son
gland. J'essaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement
grosse que je n'arrive même pas à la moitié, alors que je
la dévore à pleine gorge, à la limite du trop-plein. Je
suce et lèche ce gourdin comme une vorace, alternant les
passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue,
branlant l'animal énergiquement sous les gémissements de
ma proie.
Je sens qu'à ce rythme, Torsten ne va pas tarder à venir
et c'est justement ce que je cherche. Je veux sentir sa
semence chaude m'exploser dessus.
Je branle maintenant ma victime à deux mains, léchant le
bout avec gourmandise, quand je sens l'engin grossir encore
jusqu'à m'exploser au visage.
Je prends quelques jets longs et épais dans la bouche mais,
surprise par la puissance, je dois laisser les autres s'envoler
vers mon visage et mes seins. Moi qui ai toujours refusé
ce final à mon mari...
Je me régale ensuite à lécher avidement les moindres traces
de jus d'amour. Puis je remonte le long du corps de mon
amant épuisé et l'embrasse à pleine bouche, lui faisant
goûter ses propres sécrétions. Je reconnais d'ailleurs sur
sa langue le goût de ma cyprine.
Torsten est littéralement vidé, mais je n'en ai pas fini
avec lui. Ma petite chatte réclame son gros bâton, dont
elle rêve depuis plusieurs jours maintenant.
Je commence donc à me frotter le clitoris sur la longue
tige à moitié ramollie. Je quitte ma robe maculée de traces
suspectes, pour donner ma poitrine à téter à l'objet de
mes désirs. Il joue de sa langue si habile sur mes tétons
dressés d'excitation et les gobe avec bonheur. Sa queue
reprend doucement sa taille hors norme, au fur et à mesure
de mes mouvements de bassin.
Torsten recommence à gémir de plaisir et m'attrape les
fesses pour imposer son rythme. Lorsque je le sens dur à
ma convenance, je prends sa longue hampe et la présente
à l'entrée de ma grotte aux plaisirs.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories
que j'ai pues connaître auparavant et j'appréhende un peu,
mais mon sexe est tellement lubrifié par l'excitation que
l'entrée se fait en douceur.
Je n'en reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin
en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne
de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.
Je laisse passer quelques secondes, pour m'habituer à ces
dimensions exceptionnelles, et je me mets doucement à aller
et venir sur cette barre de chair. Je joue à me pénétrer
uniquement du bout de la hampe, pour quelques allers-retours,
avant de m'empaler dessus.
C'est vraiment trop bon ! Torsten semble beaucoup apprécier
mes initiatives et je sens monter de nouveau la pression,
mais il est encore trop tôt, j'en veux plus.
Je me lève et je prends appui sur la machine à laver, qui
tourne maintenant à fond pour l'essorage. Je me tourne et
lui dis :
- Prends-moi par derrière, mon salaud, je veux te sentir
me défoncer le plus loin possible.
Il ne se fait pas prier et vient vers moi, la pine à la
main. Il me l'enfonce petit à petit, centimètre par centimètre,
savourant sa supériorité qui lui donne accès à des plaisirs
interdits. Je crois que la vision de mes fesses rebondies
offertes à ses caprices l'excite encore plus.
C'est à grands coups de boutoir qu'il me prend sans ménagement.
Me tenant par les hanches, il me défonce en jurant en allemand.
Il prend mes fesses dans ses mains et se déchaîne dessus.
Surprise, je sens son pouce s'immiscer dans sur ma petite
rondelle. Je ne suis pas habituée à ce genre de caresses
et cela me déclenche un nouvel orgasme. La pression monte
de plus en plus, les vibrations et les mouvements de la
machine à laver, accordés au piston géant qui me perfore
à tout va, déclenchent de nouvelles sensations.
Torsten ne tarde d'ailleurs pas, lui non plus, à jouir
sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long râle
de plaisir.
Définitivement épuisé, Torsten est maintenant penaud, le
pantalon sur les genoux, le drapeau en bannière. Je le remercie
avec une bise sur la joue et lui remets les maillots désormais
propres en lui disant :
- Merci, Torsten, pour cette séance exceptionnelle, mais
dépêche-toi de rentrer, Nancy va t'attendre.
Il part précipitamment sans demander son reste. Nous nous
sommes vus de nombreuses fois par la suite, mais ça, ce
sera le sujet de nouvelles confessions.
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