TITRE : Un Dimanche endiablé
Catégorie : 
Histoire Gay

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Je vais vous raconter ma première expérience gay. C'est arrivé, il y a déjà quelques années, mais les faits sont encores gravés dans ma mémoire. Je m'en souviens comme si cétait hier. Cette histoire c'est déroulé vers mes dix-sept ans, j'étais alors encore un adolescent - Je faisais don de nouvelles expériences.

Avec un ami - que je connaissais depuis nos six ans - que je ne nommerai pas, nous avions convenu que j'allais aller dormir chez lui lors d'un week-end où nous avions tous deux peu de travail pour l'école et où nous pourrions passer le temps aux jeux vidéos et autres. Je me rendis donc chez lui le samedi dans l'après-midi et nous passâmes notre temps devant la télévision, l'ordinateur, etc. Lorsque vint l'heure d'aller nous coucher (aux alentours de 1h00 du mat), nous étions crevés et nous nous couchâmes et nous endormîmes immédiatement.

C'est au réveil, que l'histoire commence réellement. La mère de mon ami nous avait laissé un mot, signalant qu'elle avait dû partir d'urgence pour le boulot et qu'en nous voyant dormir et n'ayant pas voulu nous réveiller, elle était partie sans nous prévenir. Ce mot, je fus le seul à le lire, en fait, mon ami dormait encore lorsque je descendit au rez-de chaussée pour me rendre aux toilettes.

En remontant dans la chambre, je retrouvai mon ami et lui signalai le message laissé par sa mère. Il ne manifesta aucune réaction et c'est alors que je remarquai une bosse sous son drap. Il n'essayait même pas de la cacher. En quelques secondes j'imaginai son membre bien dur et sans avoir jamais ressenti aucune attirance pour un garçon auparavant, je commencai moi-même à bander dans mon caleçon trop étroit. Mon ami semblait sortir de sa rêverie et remarqua à son tour mon membre bandouillant dans mon slip. Il semblait perdu et se rendit compte de son membre à lui prêt à déchirer les draps tellement il était dur.

Je m'approchai de lui et m'agenouillai à ses côtés. Il semblait comprendre que quelque chose me rongait et semblait lui aussi en être rongé. Sans rien nous dire, nous nous déshabillâmes (moi j'enlevai mon slip et lui retira son drap). Nous nous contemplions, nous admirions nos membres. Je me couchai sur le dos et tout en regardat mon ami, je commencai à me masturber. Il me regarda, s'approcha et me toucha, d'abord à tatons et puis petit à petit, ces mains commencèrent à me caresser et j'y prenais plaisir. Mon va et vient, que je faisais à grande vitesse comme chaque soir quand j'étais seul dans mon lit, se ralenti, mon désir n'était plus épéditif, mais je voulais faire durer ce moment. C'était la première fois que je me branlais devant quelqu'un et étant d'un naturel très timide, j'aurais pensé en être gèné et vite débander, mais ce n'était pas le cas, même plus, c'était le contraire, je bandais plus fort que jamais. Les caresses de mon ami, d'abord centrée sur mon torse et mes bras, glissèrent lentement vers mes cuisses et puis vers mon pubis. Il me fit lacher prise sur mon membre pour remplacer ma main par la sienne. Je sentai la chaleur de ses mains sur mon membre et cela m'exita encore plus. Je n'aurais jamais imaginé telle scène, même dans mes phantasmes les plus fous, pourtant je prenais goût à la chose. Mon ami me sorti de ma rêverie lorsque je sentit son souffle chaud et saccadé sur mon torse, il s'était penché et embrassait maintenant mon torse. Je relevai la tête, il s'approcha et m'embrassa. C'était la première fois que l'on m'embrassait - ma trop grande timidité m'avait empêché jusque là de m'intéressé aux filles - et j'en ressentit une libération, comme si ce baisé m'avait libéré d'une chaine invisible.

Mon ami vint se placer à califourchon sur mon torse et me présenta sa verge, sans réfléchir, j'ouvrai la bouche et avalai son membre goulument, la chair était chaude et réchauffait ma bouche, ce qui eut pour conséquence de me faire beaucoup saliver. Guidé par ses mains, j'entrepris une fellation - encore une fois une première dans ma vie de jeune garçon. Je voyais sur son visage une expression de plénitude, de joie. Je vis se former sur son visage, la grimace du bonheur et lorsqu'il ouvrit la bouche, ce fut pour laisser s'échapper un râle qui m'exita de plus belle. Il se retira, et m'obligea a me retourné. Une fois mis à quatre pattes, il écarta mes jambes, puis il prit mes fesses avec ses mains, les écarta et me cracha sur mon trou de cul. De sa main gauche, il étala son cracha de manière à bien umequeter ma rondelle, et de la droite, il se saisi de mon membre qu'il masturbait délicatement. Tout en continuant le va et vient qu'il infligeait à ma verge tendue, il enfonca délicatment un doigt, puis deux dans mon cul. Ma rondelle se dillatait sous l'effet du désir et je commencai à perler de sueur, ce qui mèlé à son cracha, rendait mon anus propice à une pénétration, ce qui ne tarda pas à venir. Il m'enfonça son membre tout du long et m'arracha ainsi un cri de douleur. Il commenca son va et vient tout en m'écartant les fesses avec les mains. Après quelques coups de piston, je sentit le désir grandir en moi, et ce fut à mon tour de lâcher un râle, mais qui cette fois ci n'était pas de douleur, mais bien de jouissance.
Mais mon ami n'en avait pas encore fini, il lâcha mes fesses et me saisi les bras, qu'il m'attacha au moyen d'un lacet dans le dos. J'étais ainsi à genoux mais face contre terre, totalement sous son emprise. Après quelques nouveaux coups de piston, plus fort qu'avant (le désir devait monter en lui), il se retira. Il me fit me retourner à nouveaux, couché sur le dos, et cette fois-ci il se mit au-dessus de ma tête. Il me présentait ses couilles et ragardait en direction de mes pieds (petits détails pour que vous situyer bien la position). Il se mit à genoux et je commencai à lui lècher, puis sucer les couilles. Il se masturbait et son va et vient augmentait en vitesse au même rythme que je lui sucait les couilles. Il finit par éjaculer et il se soulagea sur mon ventre. Je me rappel comme sa semence était chaude, elle me brûlait quasi le corps.

Vous pensez que cette histoire se termine ainsi ? Détromper vous, notre désir sexuel à tous deux était depuis bien trop longtemps baffouer que pour se satisfaire de ce nous avions déjà fait.

Mon ami, dont j'étais toujours en train de sucer les couilles, me les retira et me présenta à nouveau sa verge qui n'avait pas débandé d'un poil. Je l'avalai tout aussi goulument que la première fois et la nettoyer du sperme qui y était resté accrocher. Mon ami, se pencha (pour les connaisseurs, cette position ressemble étrangement au 69 !) et lècha tout le sperme étalé sur mon ventre (son sperme). Il descendit tout en continuant à me lècher et s'empara enfin de mon membre qu'il goba. Je sentis sa salive couler sur mon pubis. La réaction de sa bouche au contact de ma verge chaude avait dût être la même que la mienne. Nous étions là tous les deux, dans cette petite maison de cité en train de nous taper un 69 de monstres. Quelques minutes plus tard, nous nous soulagions tous deux dans nos bouches respectives et avalâmes goulument ce sperme chaud qui nous démangeait férocement.

Depuis ce jour, il n'est pas rare que nous nous invitions l'un l'autre pour une soirée « jeux-vidéo »

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