TITRE : Un collègue au poil
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Je m'appelle... disons Anna, brune aux yeux bruns, je travaillais dans un bureau d'une grande entreprise. Maintenant que j'ai dépassé depuis longtemps la quarantaine, j'ai envie de raconter ma plus belle histoire d'amour et de sexe.


Un jour, à la suite d'un remaniement des équipes, un nouveau collègue est arrivé à la place en face de la mienne. Je lui ai tout de suite trouvé un petit quelque chose...

Rapidement nous avons sympathisé ; il avait de la conversation, semblait attiré par mon apparence.

Ce qui m'a plu en lui c'était ses yeux gris-verts, son humour. Et aussi son système pileux fourni sans être "animal". Je crois qu'il m'a aussi trouvée à son goût car bientôt ses pieds rencontrèrent les miens sous nos bureaux. Il est vrai que je n'y étais pas pour rien...

Nos regards se sont croisés, nous avons partagé un sourire complice.


La deuxième semaine (j'avais bien cogité pendant le week-end !), j'ai décidé d'employer tous mes charmes. Habillée d'une jupette légère à fleurs, d'un chemisier aux possibilités larges, j'ai prétexté une difficulté sur un dossier pour l'appeler à l'aide...

Il s'est levé, est venu derrière moi, contre mon épaule droite. Tout contre...

En discutant de ce cas, je me suis déboutonnée, offrant une belle vue sur ma poitrine, tout en croisant mes jambes, ce qui fit remonter ma jupe encore un peu sur mes cuisses. Sa bouche vint près de mon oreille droite et murmura : "charmant !"

Nous étions donc en phase. Il souffla ensuite délicatement sur moi ; une chaude bise sensuelle coula entre mes deux petits seins. Mes tétons se durcirent délicieusement. Je me redressai un peu pour laisser cet air descendre jusqu'au ventre. Je suppose que dans l'aventure il put voir mon nombril et le haut de ma jupe.

Je suis restée un moment étourdie. Il me comprenait, nous nous comprenions au quart de tour !

Des tas de pensées se bousculaient dans ma tête. Il sentit mon trouble, retourna à sa place en face de moi terminer son travail en cours.


Je lui souris, j'allongeai mes jambes. Nos pieds se rencontrèrent. Je le trouvais de plus en plus à mon goût ! Incapable d'articuler un mot, je hochai la tête. Il me mettait dans un état ! Je n'arrivais plus à travailler, je ne pensais qu'à lui.


Il faut dire que lui aussi devait avoir les pensées ailleurs qu'au boulot car il termina vite ce qu'il faisait. «On s'y remet ?» Je répondis «oui» en pensant «enfin !».

Il approcha sa chaise à ma gauche. Je me tassai à droite pour lui faire de la place. Il se plaça juste comme je l'espérais, tout contre moi, son bras droit sur mon dossier, il se pencha sur mes papiers.

Sa main gauche se posa sur mon genou gauche ! Je frémis. Elle commença à avancer, mais recula tout de suite légérement, puis remonta un peu plus, progressivement. Il arriva ainsi au bord de ma jupette légère, noire à petites fleurs.

Je tournai mon visage vers le sien : « Arrête...» dis-je dans un souffle, tout en écartant légèrement les jambes, ce qui était contradictoire !

Nos regards se sont croisés, il me comprit !

Sa main reprit sa progression lente, si lente, trop lente... Sa main droite se plia vers mon cou, le caressant, son pouce titillait mon lobe. J'avais de plus en plus de mal à faire semblant de plancher sur mon dossier !

La gauche passa sous le bord de ma jupette. Il la retira, ce qui me chagrina. C'était pour saisir ma cuisse par dessous et placer ma jambe sur son genou droit. Rassurée sur le cours des évènements, je la remontai même un peu plus en l'écartant ; j'avais tellement hâte qu'il arrive à mon minou !


Sa main reprit ses caresses sur ma cuisse gauche. Il continuait de remonter lentement, si lentement. Je sentais ma chatte s'humidifier. Sa main chaude passait de l'intérieur sous ma cuisse, revenait dessus et avançait inexorablement tout en me donnant des sensations délicieuses. Enfin elle arriva à ma culotte de dentelle noire. À travers elle son majeur tâta ma fente, son index repéra mon clitoris qui se tendait. Mon collègue ne disait rien, il me regardait tendrement avec un merveilleux sourire. Son autre main quitta mon cou. Son bras droit sépara mes épaules du dossier ; à hauteur des omoplates, il passa la main sous mon aisselle et vint masser mon sein à travers le bonnet.

L'autre main ne perdait pas de temps : elle écartait le haut de ma culotte pour entrer dedans. Je bougeai les reins pour faciliter le glissement. Il pencha son visage encore plus près et me baisa tendrement derrière l'oreille. Mais vu nos positions, sa main gauche ne pouvait aller bien loin et n'atteignait pas mon clito. Elle sortit de ma culotte qui claqua en se remettant en place contre mon pubis. Ses doigts s'insinuèrent dans le pli de ma cuisse que j'écartai encore un peu pour aider au passage sous l'élastique ; délicatement ses doigts arrivèrent enfin à ma vulve. Je me mordais les lèvres tellement c'était bon de les sentir agiles, farfouiller ma chatte et branler mon bouton ! Je me cambrais, ondulais, me penchais vers lui, totalement offerte, ouverte. Mon corps frémissait, s'échauffait, je minaudais, heureuse...

Je pris sa main droite avec la mienne et la guidai dans le bonnet vers mon sein qu'elle saisit délicatement, fit jaillir pour le caresser et le masser divinement. Mon téton raide passait entre ses doigts tièdes.

Quand ses deux doigts s'enfonçèrent enfin dans ma fente, j'ai senti arriver l'orgasme et j'ai râlé. Ses mains me possédaient toute entière, faisaient parcourir mon corps de sensations chaudes et intenses. J'entendais le chitt-chatt de mon minou mouillé. Son pouce poussait mon clito. Je n'avais encore rien ressenti de semblable !

Sa main gauche et ma culotte étaient en nage. Mes orgasmes se succédaient à un rythme qui devint insupportable ! Il avait quatre doigts en moi. Je serrai les cuisses, immobilisant la main fautive. Après quelques secondes de saisissement, elle se retira, lentement, comme à regret. Mes cuisses tremblaient du plaisir qui m'habitait encore. L'autre main ralentit son pelotage. Je repris mon souffle !

Il posa sa tête contre mon épaule : « J'aurais dû t'écouter quand tu m'as dit d'arrêter ? »

Je lui répondis d'un ton réprobateur : « Oui, parce que maintenant je suis toute mouillée et mon siège aussi ! » Mais mon sourire disait tout le contraire... Et mes yeux devaient briller de reconnaissance.

« Moi aussi j'ai mouillé ! » me dit-il en me montrant une tache sur sa braguette. Il est vrai que pendant qu'il s'occupait si bien de moi, j'étais tellement ailleurs que je n'avais même pas pensé à le branler !

Je posai ma bouche sur la sienne. Puis je me retirai aux toilettes pour remettre de l'ordre dans mon esprit, éponger ma chatte et passer ma culotte sous le séchoir à mains. Heureusement que personne ne me surprit alors....

J'avais donc un collègue en or ! Un homme comme j'en avais rêvé : mignon, drôle, tendre, intelligent, habile de ses mains...


Dans la journée, il remettait mes cheveux en place, ôtait une peluche sur mon épaule ; au restaurant d'entreprise nous partagions presque tout. Son regard était une perpétuelle déclaration d'amour. Mais je ne pouvais pas me comporter avec lui comme si je n'étais pas mariée... Car je l'étais !

Le soir, alors que je guettais l'arrivée de mon mari qui venait me chercher en voiture, je me plaçais à la fenêtre juste derrière mon collègue. Aussitôt il reculait son siège vers moi et, tout en discutant, sa main me caressait les mollets, bientôt les cuisses, les fesses, la chatte. Il savait que j'aimais ça et il le faisait si bien...



Anna do Talho



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