Carine profite de l'absence de son mari pour passer la soirée chez des
amis qui l'ont invitée pour pendre la crémaillère. Carine est une
superbe blonde d'un mètre soixante-dix, avec un corps de toute beauté. En
plus, elle travaille dans le prêt-à-porter. C'est dire les tenues
vestimentaires qu'elle a la possibilité d'avoir. Ce soir, elle est vêtue en
indienne. Petite jupe à franges, petit bustier assorti arrivant au
nombril, bandeau pour tenir ses longs cheveux. Le tout monté sur des
talons de huit centimètres. Une bombe. Bien sur, elle est la convoitise de
tous les hommes de la soirée. Mais elle repousse toutes les avances de ces
mâles en manque d'affection.
Elle décide de rentrer chez elle vers quatre
heures du matin. Elle a beaucoup trop dansé cette nuit. Et puis ce beau
jeune homme de dix-huit ans qui la faisait rire, en lui tenant des
propos érotiques, l'a beaucoup excitée. Pendant le trajet, elle glisse
une main entre ses cuisses et joue avec ses lèvres légèrement humides.
Une douche lui fera le plus grand bien. En sortant de la salle de bains,
des bruits provenant du salon attirent son attention. Elle noue son
peignoir et avance dans l'obscurité. Elle aperçoit une petite lueur.
Elle comprend de suite. La lueur est celle d'une lampe torche et les
bruits sont ceux d'un cambrioleur. Elle saisit le révolver de dissuasion
situé dans le meuble à l'entrée du hall et pénètre dans le salon en
allumant.
-Mains en l'air, dit-elle en tremblant.
Devant elle se dresse un jeune black, dix-sept ans environ, qui opère à
visage découvert.
-Calmez-vous, Madame, je ne veux pas d'histoire, je m'en vais.
-Vous ne partirez pas avant l'arrivée de la police, poursuit Carine.
D'abord, déshabillez-vous, comme ça vous serez obligé de rester là.
Comment vous appelez-vous?
-Mamadou, répond-il, mais s'il vous plaît, laissez moi partir.
-À poil, j'ai dit, vite.
Deux minutes plus tard, le jeune cambrioleur de fortune se retrouve tout
nu.
"Putain, se dit Carine en voyant le sexe. C'est quoi ça ?"
Mamadou s'aperçoit du désarroi de Carine, de son manque d'assurance.
-Tournez-vous, ordonne-t-elle, mains au mur.
Le jeune black obéit, un sourire aux lèvres. Il sait que la jeune femme
n'est pas sûre d'elle. Il a remarqué aussi le regard qu'elle a posé sur
son sexe. Sa queue, au repos, doit mesurer quinze centimètres. Il sait que
les blanches aiment les grosses queues des noirs. Il veut jouer la dessus.
Et Carine ne résiste pas à la tentation de prendre l'énorme membre dans
la main.
-Mais Madame, qu'est-ce-que vous me faites, je n'ai que dix sept ans.
À force de caresses, la queue atteint maintenant plus de vingt
centimètres. Elle joue avec le prépuce, calottant et décalottant le gland.
Mais tout cela l'excite. La chaleur qu'elle ressent au creux de son
ventre ne laisse aucun doute. Elle dénoue son peignoir et se colle
contre le jeune corps de Mamadou. Celui-ci se retourne, la désarme et
finit de la déshabiller. Ils sont nus tous les deux. D'une seule main, il
lui saisit les poignets sans effort apparent. Il tire une chaise à lui et
s'assied. Carine est debout, dos à lui. Il la force à écarter ses
jambes et glisse une main entre ses cuisses. Il caresse les lèvres
humides et remonte sur le clitoris. Elle pousse un petit cri. Son corps
réagit aux caresses sur ses parties intimes. Les bouts des seins, énormes,
roulent entre les doigts du jeune black.
-Et si la police arrive, dit-il sûr de lui.
-Elle ne viendra pas, murmure-t-elle.
Les doigts continuent leur lancinant va-et-vient sur la fente de Carine.
Elle ferme les yeux, ouvre la bouche. Son pubis va à la rencontre de la
caresse.
-C'est quoi ce petit bouton, sourit Mamadou, il est bien dur.
-Tu le sais ce que c'est, salaud, ne me fais pas râler.
-Mais non je ne sais pas, dis moi, je suis jeune moi.
-C'est mon petit clitoris, c'est par là qu'on nous fait jouir,
soupire-t-elle. Voilà, je l'ai dis, tu es content ?
-Que tu es gentille. Tu veux que je te fasse voir comment un black s'amuse
avec une blanche, hein? Comment on vous fait gueuler, salope. Allez, dis-le.
-Tais-toi, petit voyou, oui je veux. Nique moi maintenant. Tu vois bien
que j'en peux plus. Vois comme tu me fais mouiller, salaud.
Mamadou saisit Carine par les hanches et fait coulisser sa chatte sur sa
monstrueuse queue. Elle soupire de plaisir. Elle est à lui.
-Ha...ha, vas-y, baise la blanche, oui, oui, c'est vrai que vous êtes
mieux montés que nos maris. C'est pour ça que les françaises les trompent
avec vous. Tu me fais jouir, sale black, vas-y, oui. Je te sucerai après.
-Je jouis salope, gémit Mamadou. Tu vas sentir comme je vais vider mes
couilles dans ta chatte de petite pute.
La semence du jeune black afflue abondamment dans les entrailles de
Carine. Des jets interminables.
-Putain, dit-elle, tu vas t'arrêter oui? Oh le con, qu'est-ce-que tu me
mets. Viens, on va continuer au lit. Je vais te tailler ta pipe, polisson.
Pendant deux heures, Carine va se faire prendre par tous les trous, dans
toutes les positions. Elle va se faire niquer, enculer, doigter. Elle va
sucer. Les hurlements de plaisir vont traverser la villa. Epuisée, elle
s'endort dans les bras de son amant.
Au réveil, elle ressent une agréable sensation. Mamadou est couché contre
elle, sa queue encrée au plus profond de sa chatte encore toute mouillée.
Il entame de légers va-et-vient.
-Hum Hum.
Frankie
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