Les gros nichons de Josy, aux pointes turgescentes, montaient
et descendaient au rythme des coups de la grosse bite qu'elle
s'enfonçait profondément dans la chatte.A genoux sur le
lit, elle regardait le queutard qui, sous elle, envoyait
son bassin à la rencontre de sa motte coulante.
Draguée au sortir du restau de ce bateau de croisière, le
tour dans la boite de nuit n'avait été que le prétexte à
vérifier, en dansant, que la bosse du pantalon de ce garçon
de service était faite de chair dure et chaude. Deux danses
plus tard, Josy avait suggéré à cet homme brun et viril,
qu'un petit tour dans sa cabine aurait l'avantage de leur
permettre de faire plus ample connaissance.
La lune éclairait la cabine par la large ouverture vitrée.
A peine rentrés et la porte refermée, le marin l'avait attrapée
par derrière, mettant immédiatement ses mains sur ses gros
seins aux pointes dardées en passant sous le chemisier qu'il
avait sorti de la jupe. Il entreprit un malaxage en règle,
pétrissant et enfonçant les doigts dans les masses de chair.
Jo ne se sentait plus de joie. Elle envoyait des coups de
rein en arrière pour sentir la grosseur virile qui, tout
à l'heure, viendrait lui défoncer la chatte.ses doigts fiévreux
défaisaient les boutons de sa jupe pour la laisser tomber
au sol de la cabine, pendant que le marin continuait son
malaxage d'une main, l'autre soulevant le soutien-gorge
pour libérer les globes d'une sensibilité inouïe.
Jo aimait ses nibards maintenant. Avant, plus jeune, elle
avait fait des complexes avec son 90 D, puis, son mari lui
avait libéré l'esprit dans ce domaine, en lui démontrant
que des gros nibards faisaient des gros orgasmes, quand
on se laissait aller en se les faisant tripoter de toutes
les manières, en se les faisant sucer, mordre, aspirer...en
s'en servant pour passer une bonne grosse queue au milieu.et
que, plus les seins avaient été travaillés, plus la bite
était grosse et plus elle jouissait.
Elle en était devenue salope et exhib grâce à lui, grâce
à son salaud de mari, qui lui avait fait découvrir les joies
de la fourette salace, du triolisme avec soit elle et son
mari, plus un copain, soit elle, une amie et son mari.
Pendant ces séances de baise elle se faisait mettre dans
toutes les positions quand il y avait deux mecs pour elle,
et jouissait en continu en se sentant possédée sans discontinuer
des soirées entières. Toujours sollicités, ses nibards avaient
pris des pointes énormes, qui se voyaient en permanence
et attiraient les males comme du miel.
Pour l'instant elle se laissait aller à la houle qui l'envahissait.
Ses nichons totalement libérés, le marin avait entrepris
une caresse longue et lente d'une main, pendant que l'autre
avait glissé vers son string pour y rentrer en écartant
l'élastique.le sexe contre sa croupe avait encore prit du
volume.
Un doigt inquisiteur avait écarté la fente de la motte bombée
pour ensuite s'enfoncer doucement en glissant, puis la main
entière avait empaumé la chatte renflée, entamant un pétrissage
digne d'un mitron. Les pressions sur ses chairs excitaient
son clitoris qu'elle sentait devenir dur et gros.
Envoyant ses mains derrière elle, Josy se mit à défaire
la ceinture du pantalon du marin qui la fit se retourner
vers lui, à l'instant où le vêtement tombait au sol. Dépassant
du mini slip un gland énorme et violacé suintait doucement.
Les mains de Jo s'en saisirent avec avidité, pour le dégager
totalement et commencer à le branler avec lenteur, faisant
coulisser la peau le long de la verge. Ce membre était fortement
veiné et de dimensions impressionnantes.De grosses veines
couraient dessus et le gland trigonocéphale vibrait doucement
sous ses doigts. La bouche sèche, Jo se mit à genoux pour
engouffrer la belle pine et commencer un pompage en règle,
pendant que le marin continuait, en se courbant, à lui palucher
les seins, tordant les pointes qui, maintenant, étaient
devenues dures et jouisseuses.
Les lèvres gonflées et les joues creuses elle regardait
sur le visage du type la montée du plaisir.elle suçait pour
faire venir encore plus de sang dans cette bite fabuleuse.elle
allait le vider celui là, lui faire comprendre comment une
femme de 45 ans pouvait être la meilleure des suceuses,
la meilleure des salopes, la meilleure des baiseuses. Sa
bouche était distendue par le pieu de chair qui était devenu
énorme. Jo sentait le gros gland vibrer préparant la salve
de foutre qui allait lui inonder la gorge. Elle se mit à
pomper encore plus vite, donnant des coups de langue précis
et nerveux.
Soudain elle sentit les mains du type se crisper sur ses
pointes en tirant dessus et sa gorge se mettre à recevoir
une très forte giclée de sperme. Elle faillit s'étouffer
tant il était abondant et elle sentit l'excès ressortir
de sa bouche pour venir couler sur son menton. Ramassant
cette sorte de crème elle se tapissa les seins avec, mesurant
au passage la taille obscène des pointes de ses nibards.
Sans relâcher sa suçion elle se remit à pomper la bite du
marin, pour le faire revenir dans une forme qui lui permettrait
de se faire prendre par cet engin fabuleux. Elle s'y remit
avec science, enroulant sa langue autour du gland, faisant
descendre ses lèvres le long de la verge noueuse.pinçant
les testicules avec ses ongles, engoulant bien à fond toute
la longueur de cette bite qui venait au fond de sa gorge
lui couper l'air. Elle reprenait son souffle et plongeait
de nouveau sur cette bête à faire jouir.. Quel pieu de salaud
!!! Elle en voulait de cette grosse pine, elle en voulait
au fond de son ventre et dit au mâle qui devenait de plus
en plus nerveux : - Vas yyy yyy yyy yyy y, main.te.nant,
baise moi avec ta gro.oooo.oooosse queue, fais moi jouir
en bo.ooo.nne salope que je suis !!!
Le type ne se le fit pas dire deux fois et, poussant Jo
sur la couchette, il la mit sur le dos pour relever ses
jambes et dégager l'entrée de sa chatte en feu. Il se mit
à genoux sur la moquette et n'eut qu'à donner un coup rein
pour s'enfoncer dans la fente trempée de la bourge en rut,
qui se donnait comme la dernière des putes, vêtue de son
seul chemisier, dépoitraillée, avec ses bas Dim et ses hauts
talons, ce qui créait un spectacle des plus salauds, proche
de la pornographie la plus salace. La grosse pine s'enfonça
d'une seule poussée, arrachant un cri de gorge à la superbe
femelle, qui se mit tout de suite à gémir et à crier : -
Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa.aaa.aa.laud, tu me fais du.u.u bien.,
ouiiiiiiiiii, en.en.en.en.core, plus fort, plus au fond,
aaaaaaah ta gro.oo.oo.osse biii.ii.ii.iite me faii.iii.it
du.u.u bien. !
Elle aimait ce moment où elle sentait son ventre possédé,
envahi par une queue, anticipant la jouissance qu'elle allait
en tirer, salivant d'avance au bonheur qu'elle allait se
faire donner en se faisant défoncer.
La bite ressortait et rentrait, encore et toujours, dans
un mouvement lent et puissant.les mains du marin lui avaient
attrapé les hanches pour bien la maintenir pendant la pénétration
et, dans la pénombre de la cabine, elle voyait ses yeux
exorbités qui mataient le spectacle, parfaitement lubrique,
qu'elle donnait avec ses gros nibards et ses cuisses remontées,
au centre desquelles un gros piston de chair allait et venait.
Bien prise elle se mit à se pogner les seins pour augmenter
son plaisir, caressant les masses et tirant sur ses pointes
pour accentuer sa jouissance.elle se sentait bien, salope,
pute, pleine de cette queue qui lui ramonait le ventre,
pleine de cette bite qui la faisait couler, remplie par
ce membre qui, bientôt, éjaculerait du sperme, ce qui lui
procurerait un orgasme à chaque giclées.la décharge de foutre
de la bite d'un inconnu lui procurait toujours des sensations
fabuleuses.
Voulant encore plus elle attrapa l'homme aux hanches et
se mit à le secouer pour le faire s'enfoncer encore plus
au fond et surtout plus violemment.
Le type suivit immédiatement et se mit à pistonner comme
un malade, devenant ordurier dans ses propos :
- saaaaaaaalope, ouaiiiiiiiiii, t'es une saaaaaaaaaaalope
avec tes gros nibards, une pute même, ouaiiiiiiiiiiiiiii,
c'est çaaaaaaaaaaaa, une pute, une puuuuuuuuutain de bouuuuuuurge,
qui se fait saillir pour assouvir son manque de queue.tu
voyages pour te faire troncher par de la grosse biiiiiiiiite.ça
te plait comme ça, comme une puuuuuuuuuuute, qui aurait
levé un client.hein, que tu aimes t'envoyer en l'air crûment,
sans flirt ni préparation. ?, de la queue, tu veux de la
queue.rien que de la queue pour jouir et sentir ta motte
bien défoncée.Saloooooooope, prends ça, tiens, encoooooooooooore,
ouiiiiiiiiiiiiiiii, tiens, bien au fond.
- Aâââââââââh putain que c'est bon une salope qui se fait
baiser, fourrer, emmancher.âââââââââââhb je vais te décharger
dans la chatte.je vais te remplir de foutre. Ne pouvant
plus se retenir, le type saisit les cuisses pleines et rondes
de Josy et s'abutant bien contre ses fesses il poussa à
fond, en criant son bonheur à décharger toute l'excitation
qui lui venait des couilles, de la queue, de la vision de
cette femelle échevelée, aux lèvres luisantes de foutre,
aux gros nichons dont les pointes énormes le narguaient.
- AAAAAAAAAAAAH ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, deeeeeeeeeedans
,deeeeeeeeeedans, je te décharge deeeeeeeeedans, je te remplie,
saaaaaaaaalope, avec mon sperme de queutard.
Josy sentais dans sa chatte les vibrations de ce somptueux
manche qui crachait en saccades puissantes un liquide chaud,
épais, lourd, gras.elle partit elle aussi dans un long cri
de salope comblée :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii, OUIIIIIIII, OUiiiiiiiiiiiiiiiiii,
OUI, aaaaaaaaaaaaaaaaaah salaud tu me remplies, tu me remplies,
aaaaaaaah que c'est salaud, que c'est salaud, ouiiiiiiiiiiiii
saââââââlaud, de jouîiiiiiiiiiiiir coooooooomme ça, comme
une pute, emmanchée. baisée. baisée. oui je suis baisée,
bien baiséééééééeeeeeee.
Le type lâcha les jambes qui retombèrent au bord de la couchette
et il s'affala sur les seins dont il se mit à bouffer les
pointes comme un affamé. La réaction ne fut pas longue à
venir car l'orgasme avait créé cet appel de sexe qui faisait
demander encore de la queue après en avoir pris juste avant.
Les mains de Josy partirent à la recherche du membre qui
venait de la remplir de foutre et elle recommença à le branler,
en salope experte qu'elle était devenue au fil des années.
Le marin venait de lui rentrer deux doigts dans la chatte
et donnait des petits coups, pour écraser le clitoris et
aussi pour tapisser le sperme dont elle était remplie.
Les mains de Josy donnaient du plaisir au marin qui se remit
rapidement à rebander et voulut la reprendre. Elle dit :
- non, pas comme ça, je veux te monter dessus, voir ta tête
quand tu me pogneras les nibards, me suceras les pointes,
me rentreras tes doigts dans la motte. Le marin ne se le
fit pas dire deux fois et il s'allongeât sur le dos pour
permettre à cette somptueuse salope de l'enjamber.
Sitôt dessus Josy saisit la bite du type qui était redevenue
ferme et commença une fellation tout en promenant la bête
entre ses seins.le type râlait de plaisir. Il en avait tirés
des touristes sur le bateau ; certaines ne venaient que
pour ça d'ailleurs.mais celle là, elle était d'une pointure
au dessus avec ses gros nichons, ses grosses pointes, son
cul large et ferme de salope en rut, ses coups de rein salaces,
sa science de la fourette, sa voix de gorge quand elle s'envoyait
en l'air, ses mots crus qui augmentaient la jouissance.
Trouvant le membre à sa convenance elle remonta et sans
coup férir l'introduisit elle-même dans sa chatte qui s'ouvrit
instantanément pour le laisser pénétrer. Elle descendit
doucement, savourant l'instant où les chairs s'écartent
sous la poussée du gland.où la muqueuse pompe le membre
pour le faire s'enfoncer encore plus.
Pleine du jus de la décharge précédente elle sentait une
jouissance salace revenir, comme quand elle rentrait chez
elle, après s'être faite tirer en ville, pour demander à
son mari de lui rentrer sa queue dans le ventre.ce qu'il
faisait aussitôt, connaissant bien sa salope de femme, qui
ne jouissait jamais autant que quand elle pouvait se faire
prendre par deux ou trois bites différentes et finir avec
celle qui lui avait libéré le corps et l'esprit.racontant
comment ça avait été bon de baiser et de rentrer pour prendre
encore du sperme en le mélangeant à celui des autres.
Arrivée en bas elle se mit à tourner pour bien faire s'enfoncer
la queue puis remonta doucement, sentant le sperme de la
précédente décharge refluer.
C'était d'un salaud limite pornographique.la chatte pleine
elle se faisait remettre de la bite dans le ventre, en baiseuse
insatiable qu'elle était.
Les mains du type lui avaient attrapé les pointes des seins,
tirant dessus et les allongeant d'au moins trois centimètres,
pour ensuite prendre les masses de chair à pleine mains
et malaxer à grandes pognées. Le plaisir lui remontait dans
le ventre et elle demanda au marin qu'il lui mette ses doigts
dans la chatte pour pincer et tirer sur son clito.
- Lààààààààààààà, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, saaaaaaalaud
tu es bon.pinces, tires, enfonces, ouiiiiiiiiiiiii au fond,
rentre tes doigts.
Remplie, elle était remplie.une grosse bite, plus deux doigts,
lui travaillaient le sexe la faisant jouir en continu.elle
se mit à crier de nouveau.tout en accélérant sa cadence
de montée et de descente sur ce pieu fabuleux. Ses bas étaient
tirebouchonnés, mais elle s'en foutait.plus rien ne comptait
que la grosse queutasse qui maintenant la défonçait à grands
coups de rein.rien d'autre que les doigts qui la fouillaient
profondément, rien d'autre que les pointes de ses copieux
nichons qui dardaient, obscènes de grosseur, devant elle.
Salope, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, saaaaaaaaaalope.il pouvait
le dire. car c'était vrai.salope au sens effectif du terme,
pour baiser, jouir, jouir, jouir encore et toujours, prendre
du membre, du raide, du gros, du salaud, du vultueux, du
crapuleux.salope pour s'envoyer en l'air avec des baiseurs.
salope pour se faire tringler. comme une pute en mal de
rut.
Brusquement, le marin sortit sa grosse queue bien raide
de la chatte de Josy, en la faisant remonter avec ses mains
et, sans la prévenir, il la fit retomber en se déportant
pour que le membre lui perfore l'anus.elle cria comme une
damnée, plus de surprise que de douleur car dans la transe
érotique et salope où elle était cette pénétration était
la bienvenue.elle aurait souhaité, à ce moment, qu'il y
ait deux mecs pour la défoncer.elle le méritait en baiseuse
qu'elle était. Il faudrait qu'elle voit pendant la croisière,
d'ailleurs, si cette éventualité pourrait se faire jour.
Pour l'instant elle gueulait sa joie, le cul rempli par
le braquemard de son baiseur qui, en même temps, lui avait
rentré les doigts dans la chatte, pinçant, tirant, limant,
allant très au fond de sa motte, au point de sentir à travers
la mince paroi le membre qui pistonnait les boyaux de la
femelle jouissante. Elle pleurait presque, hoquetant à chaque
fois que la bite lui arrivait au fond du cul, sentant son
ventre plein de jouissance devenir lourd. L'orgasme montait,
elle ne pourrait pas tenir longtemps à ce régime d'enfer
avec une grosse et fabuleuse bite qui lui ramonait le fondement
pendant que une main presque entière lui travaillait la
motte, lui donnant orgasmes sur orgasmes, la faisant jouir
en continu.
D'un coup elle partit, tombant sur le coté, sans pouvoir
se retenir, en hurlant tellement fort que le marin en fut
désarçonné. Toutefois, la voyant à plat ventre, frémissante
et pantelante, il ne perdit pas de temps et se mettant à
califourchon sur elle il lui écarta les fesses pour remettre
sa bite dans le cul encore ouvert et qui ne demandait que
ça. Le sexe tumescent s'enfonça de nouveau bien au fond,
arrachant un feulement de plaisir à cette bourge en gésine.
Les mains bien cramponnées à la large croupe de la belle
femelle il se mit à limer et à pomper comme un derrick,
enfonçant puissamment sa grosse queue dans le cul de cette
femme en rut, qui depuis qu'elle avait commencé à jouir
n'avait pratiquement pas arrêté. Il tira sur la croupe pour
la faire se mettre à quatre pattes de manière à pouvoir
bien s'enfoncer dans le ventre de Josy qui criait de plaisir,
jouissante sans arrêt.La vision de ces hanches était des
plus salaces, avec les fesses bien écartées et son membre
qui entrait et sortait avec la régularité d'un métronome
rythmé par les cris de joie de la belle pute.oui la belle
pute.il le lui disait, qu'elle était une belle pute et elle
jouissait, jouissait, jouissait.
D'un seul coup, puissant, le marin s'enfonça brutalement,
maintenant plus rien comptait que son plaisir à lui.il allait
décharger pour lui, vider tout le sperme qu'il avait encore
dans les couilles dans le ventre de cette baiseuse.
La tenant abutée il se mit à pistonner à petits coups rapides,
ce qui eut pour effet de la faire s'envoyer encore en l'air
car elle sentait la queue devenir encore plus grosse.dans
un hurlement elle se repoussa en arrière pour s'enfoncer
sur la grosse bite au moment où la giclée de foutre sortit
avec force lui procurant un dernier soubresaut de bonheur.
Elle tomba à plat ventre entraînant son amant qui vint s'abattre
sur elle, encore planté dans son gros de jouisseuse.laissant
les vagues du plaisir refluer doucement.
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