Je m'appelle Sophie, j'avais tout juste 19 ans à l'époque.
Mon copain s'appelle Julien et nous sommes ensemble depuis
3 mois environ. Je suis très timide et n'ai pas une grande
expérience des garçons.
Ma relation avec Julien se passe bien, mais je sais qu'il
m'aimerait un peu plus chaude sexuellement.
Il faut dire que mon dépucelage date d'un peu plus d'un
an et Julien n'est que le deuxième garçon avec qui je couche.
Je l'aime, il est doux, compréhensif et toujours très attentionné.
Il ne me serait jamais venu à l'idée de le tromper, mais
un jour la tentation fut si forte que je cédai aux avances
d'un certain André. Je n'ai pas été jusqu'à coucher avec
lui, heureusement, mais lors d'une soirée un peu arrosée,
je l'ai laissé m'embrasser et caresser mes seins. Je l'ai
repoussé au dernier moment, alors qu'il essayait de glisser
sa main dans ma culotte. J'étais très excitée et il me plaisait
beaucoup, mais j'aime trop Julien pour lui faire ça. Ça
aurait pu s'arrêter là si je n'avais pas fait « LA » boulette.
On est samedi et comme très souvent à cette heure là je
suis avec Julien dans sa chambre à alterner entre câlins
et travail (nous sommes à la fac tous les deux et je suis
assez sérieuse de ce côté-là).
Pour une fois ses parents ne sont pas là et je reste chez
Julien jusqu'à leur retour demain soir.
C'est l'heure de la pause câline, je suis allongée sur
le lit et Julien a déjà enlevé mon pull et m'embrasse le
ventre, j'adore quand il fait ça. Ses bisous me donnent
de petits frissons, il remonte tout mon ventre en l'embrassant,
il me débarrasse de mon soutif et peut enfin s'adonner à
son plus grand plaisir, jouer avec mes seins. Julien adore
mes seins, il les embrasse, les malaxe, les lèche ... ils
ont déjà gonflé et je sens l'excitation monter en moi.
- Humm, j'adore que tu lèches mes seins, mon bébé !
- Tu es belle ma puce, tu sens si bon et ta peau est si
douce ... je t'aime.
- Humm, André ...
Julien s'arrête brusquement et se redresse
- Comment tu m'as appelé ?
- Heu ... désolé ... je ... heu, excuse-moi, c'est à cause
d'un film que j'ai vu ...
Julien ne croit pas un mot des mes explications foireuses
et je finis pas lui dire la vérité moins quelques détails
inutiles. Il ne prend pas mal le fait que j'ai été attirée
par un autre garçon mais il change un peu d'attitude et
son regard devient un peu plus dur.
- Alors comme ça tu as des envies d'autres mecs ...
- Non, c'était un accident et je n'ai rien fait, je t'aime.
- D'accord, je veux bien te croire, mais si tu m'aimes
comme tu le dis, il va falloir te faire pardonner parce
que j'ai eu de la peine à cause de toi.
- Je suis désolée mon chéri, je ne vois pas ce que je pourrais
faire c'est trop tard.
- Oh, mais j'ai déjà une idée ma puce, puisque que tu joues
les petites filles sages et qu'en fait tu n'es qu'une petite
coquine, tu ne vas plus faire ta fausse timide avec moi
et me laisser te baiser comme tu le mérites.
Julien a sauté sur l'occasion d'assouvir ses fantasmes
plutôt que de se mettre en colère, je le reconnais bien
là. Bon, je suis prise au piège et très excitée, Julien
mérite bien ça après tout et je sais qu'il ne me forcerait
jamais vraiment alors ... je décide d'accepter sa proposition
et je vais me lâcher vraiment cette fois.
Sur les « ordres » de Julien je me suis changée : grandes
chaussettes, jupette plissée, chemisier blanc et des couettes,
la parfaite écolière coquine. Je joue son jeu jusqu'au bout.
- Alors fillette, il paraît qu'on s'intéresse aux garçons
?
- Non monsieur, ce sont des mensonges
- Moi je crois pourtant que c'est vrai et tu es un peu
jeune pour être aussi coquine je trouve, il va falloir que
je te corrige tu sais ...
- Non monsieur, je serai sage c'est promis !
- C'est trop tard ma puce, viens ici approche-toi !
Julien est assis sur sa chaise de bureau, je me mets face
à lui. Il soulève ma jupe, passe sa main entre mes cuisses
et remonte jusqu'à mon sexe. Il le frotte vivement à travers
ma culotte en coton.
- Mais c'est déjà tout humide ici, tu es une petite perverse
en fait, tu mérites une fessée.
Il me place sur sa gauche, baisse ma culotte sur mes chevilles
et me couche sur ses genoux. Me tenant fermement dans cette
position il claque mes fesses de plus en plus fort.
- Une fessée pour une méchante petite fille, c'est tout
ce qu'elle mérite !
- Non je suis une gentille fille, je ne mérite pas de fessée.
(Cette situation m'excite terriblement)
Julien me fesse de plus belle ...
- Il ne faudrait pas que tu deviennes une petite salope,
mais je vais t'en faire passer l'envie, je te le promets.
Il arrête de gifler mes fesses qui commençaient à chauffer,
je sens son doigt passer sur ma raie, il crache sur mon
anus et étale sa salive avec son doigt. Je me débats légèrement
...
- Arrête de bouger, c'est inutile, je sais ce qu'il leur
faut aux petites salopes de ton espèce.
Sa grossièreté me surprend mais ça a un coté excitant,
je ne dis plus rien et me laisse faire.
Julien se fait plus insistant, son pouce force sur mon
anus et entre. Il fait quelques va-et-vient, puis ressort.
C'est plutôt agréable comme sensation, en fait.
- Tiens, tu ne te plains plus ? Je savais que tu aimais
ça ! Maintenant tu vas me sucer, sale gosse.
Je ne l'ai encore jamais fait, c'est l'occasion ou jamais
de combattre mon appréhension. Julien me place entre ses
jambes et me met son sexe en érection sous le nez.
- Allez, sale gosse, ouvre la bouche, c'est l'heure de
la pipe !
Je place les lèvres autour du gland et commence à le lécher,
le goût est un peu bizarre mais le gland est très doux et
les réactions de Julien à chaque coup de langue m'encouragent.
Il attrape mes couettes et me tire vers lui, sa verge est
au fond de ma gorge, il fait le va-et-vient avec ma tête
de plus en plus vite, puis retire sa queue de ma bouche
d'un coup et éjacule violemment sur mon visage. Surprise,
je marque un temps d'arrêt, je suis poisseuse de sperme,
j'en ai dans l'œil, dans le nez, dans les cheveux.
Julien me tend une serviette.
- Tiens cochonne, débarbouille toi, t'en as partout, c'est
du propre !
Pendant que je m'essuie la figure, Julien se lève et je
le vois prendre une bougie dans un tiroir.
- C'est pourquoi faire cette bougie ?
- Il paraît qu'avec des bougies, c'est plus romantique,
on va voir ce qu'en pense ton cul.
- Quoi ? Ah non, tu ne mets pas ça dans mon derrière, je
vais avoir mal.
La voie de Julien se fit plus douce quelques instants.
- Ne t'inquiète pas, mon coeur, tu sais bien que je ne
te ferai jamais de mal ... mais j'ai décidé de te faire
jouir comme une chienne alors ... (D'un ton redevenu ferme)
Allez tu t'es suffisamment nettoyée, remets-toi sur mes
genoux pour recevoir ta punition.
- Oui, monsieur !
Je m'allonge à nouveau sur les genoux de Julien. Il caresse
mon anus, crache dessus et sort de sous son lit un petit
tube. Il l'ouvre et passe une couche abondante de gel sur
ma raie. Son index explore déjà mon petit trou, il entre,
ressort tourne à l'intérieur pour l'élargir. Julien se saisit
de la bougie ... Je la sens se poser sur ma rondelle. Elle
doit faire deux centimètres de large et force de plus en
plus sur mon anus. Elle entre d'un coup en moi et coulisse
dans mon cul. C'est très agréable.
- T'aimes bien prendre des trucs dans ton petit cul toi,
hein ?
- Oui monsieur, c'est bon ... humm !
- Alors je vais la laisser là pendant que je te baise d'accord
?
- Non ! Monsieur s'il vous plaît, ne la laissez pas là
... Je vous en supplie !
- Ah ! Tu me supplies maintenant ? Tu sais enfin qui le
maître, on dirait ?
- Oui c'est vous ... vous êtes mon maître ...
Julien me porte pour me placer à quatre pattes sur le lit,
toujours avec la bougie dans mon derrière, je me sens ridicule
et totalement soumise.
- Chose promise, chose due, ma chérie, je vais te baiser
comme une chienne.
Julien se place à genoux derrière moi, il enfonce un peu
plus la bougie en moi, m'arrachant un cri de plaisir et
enfonce son sexe de nouveau en érection tout au fond de
ma chatte. Je n'en peux plus, je crie mon plaisir.
- Oui ... Oui ... C'est bon ... Défonce-moi, bébé.
- Pardon ?
Julien claque mes fesses sèchement
- Je suis le maître et toi la chienne, ne l'oublie pas
!
- Pardon mon maître, j'aime ce que vous me faites !
La bougie est retirée doucement de mon cul maintenant bien
ouvert et Julien sort de ma chatte pour remplacer la bougie,
cela m'arrache de nouveaux des cris de plaisir. Je suis
en train de me faire enculer, ses mains tiennent fermement
mes hanches et Julien me lime le cul de plus en plus vite.
Dans un cri rauque, je jouis comme jamais et m'écroule
les fesses en l'air.
Julien, qui n'avait pas encore fini, sort de moi, me retourne
et m'assoit face à lui ou plus exactement, face à sa queue.
Il me tient par le menton, m'ouvre la bouche et y enfonce
sa bite. Il lime ainsi quelques secondes et, me tenant par
les couettes, bloque sa queue au fond de la gorge et y déverse
son sperme en abondance.
- Avale tout ça, petite chienne !
J'avale son sperme et retombe sur le lit, essoufflée mais
comblée.
Depuis cet après midi-là, je suis toujours une « petite
fille sage » à l'extérieur, mais la dernière des chiennes
quand je suis avec mon Homme.
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