TITRE : Un après-midi de chien
Catégorie : 
Histoire érotique

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Cette nouvelle histoire se déroule un après-midi d’été. Un samedi après-midi pour être plus exact.

Carole et moi-même avions été invités à boire l’apéritif chez des amis, et je dois dire qu’il avait bien traîné en longueur. Carole, qui n’avait guère trop l’habitude de boire, était très guillerette, et c’était rigolo de la voir faire le pitre et j’en ris encore lorsque je la revois partie dans de grandes explications sur le besoin d’être plus sociale et sur le fait d’avoir besoin d’amis pour ne pas sombrer dans l’ignorance et dans l’oubli...


Nous avions prévu de nous promener dans un parc près de chez elle pour passer l’après-midi car la température devenait de plus en plus oppressante, mais une violente pluie d’été vint contrarier notre emploi du temps ainsi que notre promenade.

Une fois rentrés à l’appartement, Carole s’affala dans son fauteuil et au bout de quelques instants, Rusty, son berger Allemand, vint placer sa tête sur ses cuisses en la regardant d’un air triste.

Carole commença par lui caresser la tête puis, me regardant droit dans les yeux, elle me dit dans un petit rire :

« Avec un tel après-midi de chien, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter et je me sens d’humeur joyeuse tout à coup ! ! ! »

Quelques instants après, Carole souleva son derrière du fauteuil et s’appliqua à faire glisser sa petite culotte le long de ses longues jambes si bien dessinées...

Elle se réinstalla dans le fauteuil en prenant bien soin de placer au préalable une serviette sur l’assise, et après avoir bien remonté sa minijupe, elle s’installa en plaçant ses pieds bien sur l’assise et en écartant bien ses genoux au maximum, dévoilant ainsi toute son anatomie au museau et à la langue de Rusty.


Le brave chien comprit aussitôt les attentes de sa très chère maîtresse et commença à lécher allégrement la chatte de Carole de haut en bas en n’oubliant pas le moindre repli et en faisant pénétrer sa langue au plus profond qu’il le pouvait. Carole gémissait déjà et elle commençait déjà à être détrempée de sa liqueur de plaisir et de la bave de Rusty. L’animal la léchait dans un bruit de succions étonnant. Ces bruits couvraient les petits soupirs de bien-être de Carole... Le berger Allemand lui léchait désormais frénétiquement la vulve et cette dernière écartait de ses deux mains ses grandes lèvres pour que l’animal accède bien à son petit bouton. À chaque fois que l’animal passait un coup de langue râpeuse sur son clitoris, elle gémissait de plus en plus fort, et les yeux clos, elle ne cessait de lui répéter :

« C’est bien mon chien, continue, lèche-moi bien, encore plus fort, plus profond, là... Rentre bien ta langue là, dans ma chatte ! ! ! ! »


Je finis par m’installer dans le fauteuil en face d’elle. J’avais moi aussi mon anatomie tendue tel un arc prêt à se rompre et je commençais donc à me masturber en regardant cette belle et délicieuse « chienne/humaine » en train de se faire bouffer le minou par son chien.


Carole releva un peu son derrière et elle le fit descendre un peu plus du fauteuil, permettant ainsi à Rusty de pouvoir accéder à son anus. Carole inonda sa main de salive et humecta son petit trou avec.

Le berger Allemand descendit son museau vers l’endroit fatidique et recommença à lécher de plus belle et de plus en plus frénétiquement ! ! ! !

Carole gémissait de plus en plus fort et elle se mit à hurler de plaisir sous les coups de langue de plus en plus dévastateurs pour son petit trou.

Elle me regardait en gémissant et elle tentait de me dire entre deux gémissements haletants :

« Comment ne pas adorer cela ? ? ? Quel homme serait capable de me lécher aussi fort, aussi profondément ?? Quel homme accepterait d’introduire sa langue ainsi au plus profond de mon anus ? ? ? Tu comprends à présent pourquoi je préfère, et de très loin, l’Amour Canin ? ? ? »

Carole finit par fermer les yeux et je la vis secouée d’orgasmes multiples...


Rusty lapa avidement la liqueur qui inondait désormais sa chatte ainsi que la serviette, puis il commença à monter sur le fauteuil pour rejoindre sa maîtresse et pour lui enfiler son sexe qui était à présent tout rouge et gorgé de désir.

Je regardai ce spectacle hallucinant et je finis par dire à Carole :

« Quelle chienne tu fais ! ! ! ! Tu ne trouves pas cela un peu injuste ? ? ? Ce pauvre chien te donne tout le plaisir du monde et toi, que lui donnes-tu en échange ? ? ? »

Carole, qui reprenait tant bien que de mal ses esprits, me regarda avec de grands yeux étonnés et me dit dans un souffle : « Mais, je lui permets de me prendre tout de même ! ! ! Ce n’est pas rien et il a plutôt l’air de bien m’apprécier, non ? ? ? Tu ne trouves pas cela suffisant toi ? ? ? »

« Si, lui dis-je en gloussant, mais ce que je voulais dire, c’est que tu n’as jamais songé à lui faire une petite fellation ? ? ? ? À le sucer ? ? ? »

Carole resta un moment interloquée puis, dans un sourire, elle me souffla que oui, elle y avait déjà songé mais qu’elle n’osait pas et qu’elle avait peur que cela ne la dégoûte un peu...

« Cela doit avoir un drôle de goût, sans parler de l’odeur qu’elle doit avoir ! J’ai un peu peur de ne pas y arriver », dit-elle en baissant les yeux.


J’insistai encore un peu sur le fait qu’elle aurait du essayer au moins juste une fois pour voir, que si elle n’aimait pas, tant pis, que ce n’était pas grave, elle serait ainsi fixée. Par contre, si elle aimait cela et que si elle y prenait goût, j’aurais pu la prendre par derrière tandis qu’elle sucerait son chien, que cela aurait été totalement à l’inverse de ce que nous faisions d’habitude, puisque généralement c’est moi qu’elle suce et c’est le chien qui est derrière elle en train de la prendre bestialement...

Carole me regarda avec son petit sourire qui en disait long... Je connaissais ce sourire, je savais que si elle souriait de la sorte, c’est qu’elle y réfléchissait, qu’elle n’était plus contre cette idée et je savais d’hors et déjà que j’avais gagné ! ! ! ! Ce sourire voulait dire « Je n’ai peur de rien ! ! ! ! On ne me met pas au défi ainsi, je vais relever ce défi, je vais le faire ! ! ! ! ! »

« D’accord, gloussa-t-elle, mais d’abord je vais me prendre un bon whisky, histoire de me donner du courage et du cœur ! ! ! »

Carole se servit un grand whisky et elle le but en regardant Rusty... « Sans blagues, j’te jure, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire, toi... »


Elle fit installer Rusty sur le dos et commença à jouer avec. Sa main glissait sur le ventre de l’animal et s’attardait sur son fourreau. Elle commença à le branler tout doucement, puis lentement elle fit sortir son sexe. Il était redevenu petit, rouge, et la forme qu’il avait était vraiment très différente du mien.

Carole resta quelques petits instants à l’examiner, puis elle prit une profonde respiration et posa ses lèvres sur la bite de ce chien. Elle fit couler un long filet de salive dessus puis elle commença à faire un va-et-vient tout le long de cette bite. Ses lèvres jointes coulissaient tout du long de ce sexe si différent. Apparemment, cela n’avait pas l’air de la dégoûter plus que cela. Au bout de quelques minutes, je dirais même qu’elle en retirait elle aussi un certain plaisir à la façon dont elle gémissait en frottant ses lèvres sur ce sexe qui devenait de plus en plus rouge et de plus en plus saillant ! ! ! !

À présent, le sexe de Rusty était tendu et prêt à craquer ! ! Tout comme le mien... Cela faisait déjà deux fois que cette foutue chienne de femme me faisait jouir en un rien de temps ! ! !

Carole entreprit de le mettre en bouche, elle commença doucement à le pomper puis de temps à autre, elle lâchait un filet de salive pour bien humecter ce sexe rougeâtre et elle y faisait glisser ses lèvres jointes tout du long...

Ce spectacle qui s’offrait à moi était des plus jouissifs et sensuels ! ! !

Voir Carole en train de gémir, les yeux clos, ses lèvres tantôt coulissant sur ce sexe, tantôt l’enfournant goulûment ! ! ! !

Elle le suçait à présent délicatement, en fermant les yeux et en gémissant... Nul doute qu’elle appréciait le contact de ce sexe... Elle ouvrit les yeux et me dit en souriant :

« C’est tellement bon ! ! ! Son sexe est si doux, si chaud ! ! ! Il est bien plus chaud que le tien ! ! ! »

Puis, avant de le reprendre goulûment en bouche, elle me dit :

« Tu n’avais pas parlé tout à l’heure de me prendre par derrière comme une bête tandis que je serai en train de le sucer ? ? ? »

Je ne me fis pas prier deux fois et je me mis derrière elle illico... Je me mis à la prendre par derrière en levrette et jamais au grand jamais je n’avais tenu une telle forme...

Jamais encore je n’avais été aussi excité ! ! ! ! La dernière fois que j’avais ressenti une telle excitation, c’était lorsque j’avais découvert Carole en train de se faire lécher la chatte tandis qu’elle était à quatre pattes en train de me faire une fellation...

Ensuite, c’est lorsque j’avais aperçu ce satané chien lui monter sur le dos et la prendre avec une simplicité déconcertante (normal, puisqu’il la prenait ainsi plusieurs fois par semaine ! ! !).


Je ne pus retenir mon flot de foutre. Entendre les gémissements de Carole, la voir en train de sucer ce chien, les yeux clos de plaisir, voir ses mouvements de va-et-vient, ses joues qui se creusent lorsqu’elle prend ce sexe en bouche, la voir en train de prendre en bouche ce sexe long et si fin ! ! ! ! Voir sa langue tourner et courir le long de ce sexe, la voir titiller le bout de cette bite si rouge, si fine, si pointue... La voir en train d’aspirer en creusant de nouveau ses joues et cette pine qui pénètre à l’intérieur de celles-ci telle une épée dans un fourreau... Ce spectacle était bien au-dessus de mes forces et je met au défi quiconque qui me lira de tenir lui aussi dans une telle position, si un jour la chance lui est donnée de vivre une telle expérience ! ! ! !


Après avoir joui au plus profond de son sexe, j’eus la joie de constater que ma verge était toujours aussi dure. Ce que je voyais sous mes yeux valait bien tout le viagra du monde, (comme quoi, nous n’avons rien inventé de nouveau avec ce viagra). Je sortis donc ma verge de son sexe inondé de mon foutre et, me plaçant correctement, je lâchais un filet de bave en direction de son petit trou que je me mis à titiller avec mon index.

J’humectais donc son anus de salive et y tendis ma verge toujours en érection...

Carole gémissait de plus en plus fort et me supplia bientôt d’y aller plus fort, plus vite et plus loin ! ! ! !

Elle finit par lâcher le sexe de Rusty pour jouir de plus belle dans un grand râle.

Une fois ses esprits revenus, elle reprit le sexe en bouche et le pompa frénétiquement.

Je vis que Rusty commençait à osciller du bassin, puis je vis Carole en train d’avaler le plus profondément possible la bite de ce chien. C’était sa technique pour pouvoir avaler le sperme sans faire de hauts-le-cœur...

Dans un profond soupir, elle se laissa retomber sur le coté puis elle me regarda tendrement en me disant :

« Whaouuuuu . . . C’était géant ! ! ! Divin ! ! ! Tu tenais la grande forme, dis-moi ? ? ? Cela t’en donne des idées de me voir faire la chienne comme ça ! ! ! ! Tu as drôlement l’air d’aimer me voir dans ces situations ! ! ! Au fait, je te remercie de m’avoir un peu poussée à faire cette nouvelle expérience... C’est tellement... BON ! ! ! Sucer ce sexe est tellement différent de quand je te fais une fellation... Là, ce sexe est si doux, si chaud ! ! ! Non pas que je n’apprécie pas la tienne, loin de là, mais là c’est tellement « différent » ! ! ! ! Je pensais qu’il aurait eu un goût, une odeur que je n’aurais pas aimé, mais NON ! ! ! C’est tout le contraire ! ! Sentir cette petite bite si fine entre mes lèvres est si jouissif ! ! ! De plus, c’est vraiment bizarre, du moment qu’elle commence à durcir, elle ne cesse de couler ! ! ! Et contrairement à ce que l’on pourrait bien croire, son liquide n’est pas dégoûtant, loin de là, et il n’est pas aussi épais que du sperme ! J’ADORE tout simplement et elle est si douce lorsque je frotte mes lèvres contre elle ! ! ! ! »


Je l’écoutai, ébahi par son enthousiaste et de la voir ainsi aussi heureuse et épanouie faisait plaisir à voir.

Carole était tout simplement, « rayonnante » de bonheur et de joie. La voir ainsi m’enivrait presque autant qu’elle...

Venant se blottir tout contre moi, elle me dit avec un sourire :

« La prochaine fois, j’aimerais bien que tu m’aides... »

Je la regardais étonné et lui dis, surpris : « t’aider pour faire quoi ? ? ? »

En positionnant sa tête au creux de mon épaule, elle me dit dans un souffle de béatitude :

« J’ai bien envie d’essayer que Rusty me sodomise, mais pour l’instant, seule, je ne suis jamais parvenue à lui faire choisir ce trou et je ne suis jamais parvenue à placer sa bite assez rapidement contre ma petite rondelle pour qu’il puisse me pénétrer... De plus, avec son nœud, j’ai un peu peur... S'il parvient à me l’introduire, je risque fort de dérouiller. De plus, je serai liée à lui durant pas moins de 20 à 30 minutes... Dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit d'autre que de prendre du plaisir et d'attendre que son nœud ne ressorte. Donc une petite aide extérieure serait la bienvenue. Dis, tu m’aideras, hein ? ? ? »

Je la regardai médusé par ses propos et étonné aussi. Elle venait tout juste de sortir d’une expérience qu’elle pensait déjà à la prochaine... Je lui souris et finis par lui dire gentiment :

« Bien sur que je vais t’aider ma petite chienne adorée... Je ferai tout ce que tu voudras tant que je puisse participer aux jeux moi aussi ! ! ! »

Nous nous esclaffâmes de rires en nous serrant très fort l’un contre l’autre en pensant à notre prochaine séance...


De bien beaux et agréables moments d’extase allaient encore s’offrir à nous, je n’en doutais aucunement.

Carole allait pouvoir gémir de nouveau et prendre un pied incontrôlable comme elle aimait si bien le dire...


Bien que le temps s’était annoncé pluvieux cet après-midi là, nous avions bien cru que nous étions partis pour passer un après-midi merdique. Mais, bien au contraire, nous avons passé un après-midi de chien, bien sur, nous seuls nous comprenions lorsque nous reparlions de cet après-midi pluvieux d’été...



Centaure



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