TITRE : Un anniversaire de mariage
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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Nous nous sommes mariés Nathalie et moi il y a un peu plus de dix ans. Notre vie a été tout ce qu’il y a de plus commune jusqu’à ces dernières semaines. Le soir de notre anniversaire de mariage, j’ai offert à Nathalie le bracelet qu’elle voulait tant, même si c’était une véritable petite folie. J’avais tout préparé : les enfants chez leurs grands-parents et un bon petit dîner en amoureux afin que la soirée se déroule parfaitement. Enfin presque tout, ma petite Nathalie arrivant avec une heure de retard, folle furieuse après son patron et ayant en plus complètement oublié notre anniversaire. Dire que généralement, on pense que ce sont les hommes qui oublient les anniversaires !

Enfin la soirée se passe quand même pas trop mal, même si on est loin de ce que j’avais espéré. Nathalie s’en rend d’ailleurs tout à fait compte et se confond en excuses toutes les dix minutes. Au milieu du repas, je lui dis d’arrêter et de profiter plutôt de la soirée. Elle me regarde droit dans les yeux, puis glisse sous la table et entreprend une fellation dont elle a le secret. Évidemment, nous n’avons pas mangé le dessert, la soirée se terminant au lit bien plus tôt que prévu. Durant les jours suivants, je sentais Nathalie plutôt distante et tracassée. Je lui demandais pourquoi tant de soucis, elle me répondait qu’oublier nos dix ans de mariage était vraiment impardonnable de sa part. Le samedi suivant, en rentrant de chez un ami, je trouve un mot de Nathalie :

- Prends une douche et habille-toi, nous sortons ce soir.

Vers 20 heures, fin prêt je me demande quelle surprise m’attend lorsque le téléphone sonne. Nathalie m’annonce qu’elle vient me chercher en voiture dans 5 minutes. Le temps de fermer la maison et voici la voiture devant le portail. Mon amour est au volant, maquillée, un long manteau ne dévoile que ses jambes gainées de soie. Elle est splendide. Elle m’embrasse tendrement et me souffle à l’oreille :

- Bon anniversaire mon amour, cette nuit est ta nuit...

Je frémis et me sens très fier d’être son mari.

- Où allons nous ?
- Nous allons dîner dans un endroit que tu ne connais pas !

Nous arrivons devant un restaurant assez sélect, je la regarde de plus en plus étonné. Nous rentrons, un serveur nous accueille et prend aussitôt nos manteaux : et là j’ai le premier choc de la soirée. Mon épouse, mère de nos deux enfants, si discrète, si prude d’habitude, porte un tailleur avec une minijupe. Visiblement la veste portée à même la peau est plus déboutonnée qu’il ne conviendrait, offrant à tous un décolleté étourdissant qui s’allonge presque jusqu’au milieu de ses seins. Je reste sans voix. J’entends Nathalie qui prend les choses en mains et se dirige vers notre table. Je la suis dans un état second, mais tout à fait conscient de l’effet produit sur le serveur et les autres convives attablés.

Tout en dégustant notre repas, Nathalie m’explique sa petite mise en scène : régulièrement je la sermonne sur ses tenues trop classiques, pas assez sexy, qui ne mettent pas en valeur son corps qu’elle a gardé, malgré deux grossesses, très beau (en tout cas à mon goût !). Alors ce soir elle a voulu me faire plaisir et s’est donc acheté ce tailleur, des bas et un string. Je n‘en reviens pas ! Et je dois dire que pendant qu’elle m’explique tout cela, je ne peux détacher mon regard de ses seins qui se balancent librement sous sa veste. Je ne suis d’ailleurs pas le seul qu’elle envoûte. Le serveur ne se gêne pas pour la regarder avec insistance et plus particulièrement son décolleté. Une pointe de jalousie monte en moi lorsque Nathalie me dit :

- Il ne faut pas, après tout, n’es-tu pas fier d’avoir une femme qui attire les regards ? Laisse-moi faire et profite du spectacle.

Sans me permettre d’esquisser la moindre parole, elle se lève et se dirige vers les toilettes. La plupart des hommes présents, moi compris, la suive du regard. Au bout de quelques minutes elle revient, rayonnante, les yeux brillants d’excitation ; elle a quelque chose de différent. C’est seulement lorsqu’elle s'assoit que je m'aperçois que son décolleté bâille franchement : elle a déboutonné encore plus sa veste et devient ainsi très provocante. Franchement, elle m’épate et m’excite à la fois. L’excitation remplace petit à petit la jalousie. Elle me chuchote alors :

- Ce que tu ne sais pas, pas plus que les autres, c’est que je n’ai plus de string…

Mon érection grandit encore au point de me faire mal dans mon pantalon. Le serveur vient alors et nous demande ce que nous voulons tout en louchant dans le décolleté de Nathalie. Elle fait mine de réfléchir tout en jouant avec le tissu de sa veste, dévoilant discrètement un de ses beaux seins au regard avide du serveur. Une fois seuls elle me demande :

- Tu as aimé ?
- Oui, mon amour
- Moi aussi cela m’excite.

C’est dans une tension incroyable que nous terminons le dîner. Il est encore tôt pour rentrer et Nathalie me propose de sortir danser un peu pour entretenir cette tension qui nous excite tant. Bien sûr, j’accepte et lui laisse le choix de la suite de la soirée. Nous partons pour une sorte de piano bar dont nous avions entendu parlé. Dans la voiture, je caresse doucement ses cuisses et, remontant doucement, je m’aperçois qu’effectivement elle ne porte rien sous sa jupe et que son sexe est complètement inondé.

Nous arrivons rapidement à destination et découvrons l’endroit qu’un de nos amis nous avait chaudement recommandé. Lumière tamisée, ambiance feutrée, quelques couples dansent au son d’un piano qui joue une douce mélodie. Nous nous installons un peu en retrait et commandons deux cocktails. Les sens de plus en plus échauffés par l’excitation et l’alcool, Nathalie me propose de danser. Doucement nous évoluons ainsi un long moment au milieu des autres danseurs. Je propose à Nathalie un autre cocktail et la laisse près de notre table. Lorsque je reviens, un homme d’une cinquantaine d’années l’invite à danser ; un bref regard dans ma direction pour demander mon accord et elle se dirige vers la piste au bras de son cavalier.

De ma place je peux les voir tourner doucement au rythme de la musique. Petit à petit je vois les mains de l’homme qui commence à caresser le dos de ma femme. La jalousie et l’excitation me reprennent. Un moment je capte le regard interrogateur de Nathalie. Mes yeux brillants, mon sourire discret sont autant de réponses affirmatives à sa question muette : bien sûr si tu le veux, laisse le continuer, il n’y a pas de mal à se laisser un peu caresser le dos. Je continue donc à observer ce couple, composé de ma femme, l’amour de ma vie, et de cet inconnu dont les mains se font plus insistantes, plus pressantes. Ils se rapprochent lentement de notre table, j’aperçois alors leurs corps serrés l’un contre l’autre dansant doucement. Ils ne sont plus qu’à deux ou trois mètres lorsque l’homme, face à moi, regarde dans ma direction. Lentement sans lâcher une seule seconde mes yeux, il se penche et embrasse délicatement ma femme sur l’épaule et remonte lentement vers le cou, puis sur sa joue, s’arrêtant juste à la commissure de ses lèvres. C’est à ce moment précis que la musique cesse. Je vois alors Nathalie remercier cet homme et venir me rejoindre.

- Tu es en colère ? Me demande-t-elle inquiète.
- Non pourquoi le serais-je ?
- Tu l’as vu me draguer et cela ne te fais rien ?
- Si, je dois dire que j’ai aimé te voir danser avec lui, j’ai aimé le voir te caresser, t’embrasser. Et toi ?
- C’était très agréable !

C’est à ce moment là, qu’intérieurement, je me suis posé la question à savoir si cela me plairait qu’elle fasse l’amour avec un autre que moi. Prenant mon courage à deux mains, je lui demande alors si elle aimerait danser à nouveau avec lui. Elle me regarde, interrogative mais ne répond pas. Quelques longues secondes s’égrènent, puis elle me dit :

- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira.

Nous sommes restés de longues minutes à nous regarder, à nous embrasser. Enfin je lui dis :

-Écoute mon amour, je sais que tu adores danser et je ne voudrais pas te priver. Vas-y si tu en as vraiment envie.

Elle me sourit, m’embrasse, puis se lève lentement et se dirige vers la piste de danse. Au bout de quelques minutes l’homme revient et se met à danser devant elle. Petit à petit ils s’écartent du centre de la piste pour se retrouver dans un coin assez sombre qui est proche de notre table. Le style de ma femme jusque là assez sage dévie lentement vers une danse de plus en plus sensuelle voire lascive. Je regarde fasciné mon épouse adorée, la mère de mes enfants, exécuter une espèce de parade amoureuse qui n’a pour but que d’exciter le mâle qui se trouve devant elle. L’homme se rapproche d’elle, lui chuchote quelque chose à l’oreille. Nathalie le regarde et lui sourit. Ils se remettent alors à danser l’un contre l’autre, bougeant au rythme de la musique, rapprochant toujours un peu plus leurs corps jusqu’à se coller. Mon excitation grandit encore bien que mes sentiments soient plus axés sur la jalousie et la colère. Voir ma femme aussi calme, aussi décontractée dans les bras de cet homme me fait mal. Je la vois alors me regarder et articuler distinctement :

- Pour toi, je t’aime !

Ma tension intérieure chute brutalement et je lui souris. Elle regarde alors son cavalier et l’embrasse sur la bouche. Pas un baiser du bout des lèvres, mais un baiser profond, sensuel. Les mains de son cavalier descendent doucement sur les fesses de Nathalie pour l’obliger à se plaquer encore davantage à lui. Ils dansent ainsi quelques minutes, se rendant caresses et baisers. À la fin de la série, l’homme la prend par la main et l’attire vers sa table où ils retrouvent un autre couple. Je les observe, toujours plus excité, elle rit, boit un peu, rit encore ; elle est belle, désirable... Même après dix ans de mariage je l’aime toujours autant. Son cavalier pose sa main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle me regarde interrogative. Je lui fais à nouveau un grand sourire qui a pour effet de la détendre complètement. Elle s’appuie sur le dossier de la banquette et se laisse aller pour mieux apprécier. Lentement la main remonte vers le haut de sa cuisse dévoilant mon épouse toujours un peu plus. L’autre couple décide alors d’aller danser. Sans doute se sentent-ils de trop. L’homme est en train d’embrasser Nathalie lorsque sa main effleure sa toison brune. Il marque un temps d’arrêt, puis reprend son exploration. Même s’ils sont un peu abrités par la semi obscurité et par la situation géographique de la table qui est assez éloignée de la piste de danse, le spectacle de mon épouse, la jupe complètement remontée, ne peut pas échapper à toute l’assistance. Je regarde rapidement autour de moi, un peu affolé. Je ne repère personne d’autre que le couple de tout à l’heure semblant s’en être aperçu. L’homme continue de caresser Nathalie tendrement. Puis lui chuchote quelque chose et se dirige vers la sortie. Nathalie vient me rejoindre, les yeux brillants.

- Je t’aime, me dit-elle
- Moi aussi. Mais pourquoi est-il parti ?
- Il m’attend dehors, seule...
- Que comptes-tu faire mon amour, demande-je, inquiet.

À ce moment, mes sentiments sont tellement confus que je ne sais même pas quelle réponse je souhaite entendre. Elle me regarde dans les yeux et me répète pour la troisième fois de la soirée :

- Cette nuit est ta nuit. Je t’aime. Je ferai ce qu’il te plaira.

Le problème c’est que je ne sais plus ce que je veux ! Je reste un long moment sans rien dire, juste lui caressant les cheveux. Enfin je romps le silence :

- Où t’a-t-il proposé ?
- Je lui ai dit chez nous.
- Vas-y mon amour si tu le désires.
- Rejoins-moi à 4 heures. Je serai alors toute à toi mon amour.

Elle m’embrasse tendrement, se redresse devant moi, déboutonne totalement sa veste de tailleur, prend son sac, traverse toute la salle et sort. Je reste seul, rempli de sentiments contradictoires, il est à peine minuit. Les quatre heures suivantes se traînent lamentablement. Je danse un peu, discute beaucoup avec le barman. Je suis dans un état d’excitation incroyable. Il est quatre heures pile lorsque je rentre chez moi. J’ai croisé une voiture à moins de deux cents mètres de ma porte d’entrée. À cette heure, il y a fort à parier... Je monte directement dans notre chambre. Nathalie est là, étendue sur le lit conjugal. Je la regarde, elle est encore plus belle. Je m’approche et l’embrasse tendrement sur le front. Son odeur est brouillée par celle d’une eau de toilette pour homme. Je descends mes lèvres vers les siennes. Une autre odeur dont je devine l’origine, le sperme de son amant, chatouille mes narines. Une érection se déclenche immédiatement.

- Mon amour, je t’aime.
- Moi aussi, je t’en supplie crois-moi !

Je lui souris. Je continue de descendre lentement vers ses seins tout en déposant de petits baisers.

- S’il-te-plait, laisse-moi me laver.
- Non ! Je te veux ainsi.

Je descends jusque vers son sexe et là, je vois sa vulve luisante de sperme. Mon épouse sanglote, laissant échapper à chaque sanglot un petit filet de sperme. Je suis fasciné par ce spectacle, par l’odeur de sexe qui imprègne la pièce, par la dépravation de mon épouse qui s’est donnée sans retenue à un inconnu. Je me déshabille rapidement et vient me blottir contre elle. Je la calme par des mots tendres et beaucoup de douceur. Enfin elle commence son récit...

Il lui avait demandé de venir le rejoindre seule, mais que si elle le faisait, elle devait aussi lui montrer qu’elle irait jusqu’au bout. C’est pourquoi elle a traversé toute la salle la veste déboutonnée. Une fois sortie, elle a rejoint l’homme qui l’attendait près de sa voiture. Puis rapidement elle est montée et a indiqué le chemin jusqu’à notre maison. Le trajet s’est déroulé dans une tension extrême. Une fois arrivé à destination l’homme a dit doucement :

- Tu es prête ?
- Oui allons-y !

Ils sont montés directement dans notre chambre, se sont embrassés longuement tout en se déshabillant mutuellement. Il l’a longuement embrassée, léchée avant de venir sur elle. Ils se sont regardés dans les yeux, puis tout doucement il est entré en elle. Il est resté quelques secondes sans bouger, pour qu’elle s’habitue à l’idée d’un autre sexe que le mien en elle. Puis il a commencé de lents et longs va-et-vient jusqu’à ce qu’elle mette ses jambes sur ses reins comme un signal d’acceptation.
Ils ont fait l’amour sans s’arrêter pendant presque trois heures. De son propre aveu, Nathalie devenait plus garce à chaque minute. Elle l’a sucé longuement, s’est mise en levrette, lui a demandé d’être plus violent, de lui tirer les cheveux...

Pendant son récit, je me met sur elle afin de la pénétrer à mon tour. La pensée qu’un autre l’avait fait juste avant moi a décuplé mon ardeur, je la baise comme un fou pendant qu’elle me raconte sa nuit d’amour. L’excitation est tellement grande que je ne peux me retenir longtemps de jouir en elle, mon sperme rejoignant celui de son amant. Je la regarde alors pour lui dire combien je l’aime. Elle me répond simplement avec un grand sourire :

- Je t’aime aussi.

Lentement, je descend jusque vers sa chatte trempée et je lèche, nettoyant sa vulve des souillures de son amant et du sperme que j’ai moi-même déposé. Au bout de quelques minutes, Nathalie se met sur le ventre, découvrant son joli fessier, avec comme seul commentaire :

- N’oublie rien mon amour.

Tremblant, redoutant ce qui va suivre, je prends ses jolies fesses dans mes mains et les écarte doucement. Son anus dilaté recrache un liquide blanc. Bien qu’elle ne m’a jamais autorisé la sodomie, je la nettoies quand même avec application. Nous nous endormons l’un contre l’autre, serrés.

Au petit matin je découvre une nouvelle Nathalie, plus coquine, plus sensuelle. Seule une trace de morsure sur l’épaule, faite par son amant d’un soir, nous rappelle la folle nuit que nous venons de passer. Et nous n’en reparlerons jamais.

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