Bonjour, je me présente, je m'appelle Sarah (c'est en réalité mon deuxième
prénom), j'aurai 20 ans en novembre prochain et j'ai décidé de vous
confier quelque chose qui m'est arrivé au début de cette année. Je suis
en pleine période de doute depuis 4 mois maintenant à cause de ce qui
m'est arrivé, c'est à la fois excitant mais en même temps cela va à
l'encontre de tous mes principes.
Mais laissez-moi d'abord me présenter plus en détail. Il est toujours
difficile de faire son introspection et de délivrer objectivement aux
autres la vérité sur qui l'on est vraiment, mais je crois que l'on peut
dire que j'ai toujours vécu dans un milieu très protecteur et très aisé.
Je suis fille unique, mon père qui est architecte et ma mère qui est
instit' m'ont toujours choyée, couvée et j'ai toujours été couverte de
cadeaux plus que de raison. Ils m'ont offert une éducation « parfaite »,
m'inculquant les bonnes moeurs, les lois de la bienséance, une éducation
très clean en somme mais relativement fermée et très catho.
Le chemin tout tracé, catéchisme, scolarité complète de la maternelle à la
terminale dans un établissement privé très serré. Autant dire que ma mère
ne m'a jamais acheté de string de mon adolescence et que, me les achetant
en douce dès l'âge de 16 ans, j'avais l'impression de défier l'autorité
parentale, c'était le seul acte représentatif de ma « crise d'ado »,
inexistante donc. Vous voyez un peu le tableau.
En début de terminale, à 16 ans, j'ai rencontré Julien (prénom changé, ça
m'étonnerait qu'il lise cela mais sait-on jamais ?).
Avant lui, disons que je n'ai jamais eu de petit ami, ou seulement
quelques flirts anodins, pour faire un peu comme tout le monde et se
prouver que l'on peut plaire (même si je n'avais et n'ai toujours aucun
doute à ce niveau là, 1m66, 50kg et un 90B bien rempli :D des cheveux très
blonds et très longs jusqu'à mi-dos et des fesses dont je suis assez fière
: je sais donc que je plais aux garçons).
Bref, avant Julien, je m'étais déjà posée des questions sur l'amour mais pas
vraiment sur le sexe.
Je l'ai présenté assez rapidement à mes parents et cela a tout de suite
accroché, lui venant d'un milieu assez similaire au mien. Après 5 mois de
baisers adolescents, les choses sont devenues un peu plus sérieuses et
les caresses que l'on pouvait se faire sont devenues de moins en moins
anodines. Nous avons fait l'amour et je dois dire que je suis assez
heureuse de ma première fois, cela s'est bien passé.
A la fin de l'année 2007, on a tous les deux décroché notre Bac, lui S et
moi ES. J'ai intégré une prépa moyenne dans une ville de province assez
importante (dont je tairais le nom) et lui une école d'ingénieur post-bac
dans la même ville. Du haut de nos 11 mois de couple, nous avons décidé de
nous installer ensemble. Et ça n'a pas trop mal marché globalement, à tous
les niveaux même si je sentais que côté sexe j'avais envie de découvrir
plus de choses que lui visiblement. En réalité cela a toujours été très
correct de ce côté-là mais jamais très imaginatif.
Et puis en janvier dernier, lors de ma deuxième année de prépa HEC, il
m'est donc arrivé quelque chose. Pour remettre les choses dans leur
contexte, il faut savoir que je n'avais pas fait l'amour avec Ju depuis 10
jours, que j'avais envie mais qu'il était très occupé à bosser pour ses
cours.
On avait prévu une petite soirée entre filles le jeudi soir, pour
décompresser un peu et faire les folles.
Je me suis donc apprêtée, j'ai mis une petite jupe (pas trop courte quand
même)et un petit haut sympa pour aller danser dans un bar latino.
On s'est pris la tête un peu avec Julien qui n'avait pas l'air très chaud
pour me laisser sortir comme ça alors que ma tenue n'avait rien
d'indécente !
Après l'avoir assuré que j'aurais une bonne conduite ce soir et que je ne
me laisserai pas draguer si l'on m'accoste, je finis pas avoir le dernier
mot.
Donc, sortie entre copines dans un bar dansant latino, assez bonne ambiance.
On boit un ou deux verres puis d'autres et je dois dire que l'alcool me
monte un peu à la tête. On danse collées avec les filles, on se «
chauffe » entre nous, on rigole (assez facilement d'ailleurs) et on prend
conscience qu'en réalité on est passablement éméchées, et moi plus que les
autres.
Certains mecs nous regardent avec insistance mais rien de bien méchant. Et
puis le DJ met un petit zouk, et je sens Chloé (enfin je croyais que
c'était Chloé) qui vient derrière moi et m'attrape par la taille pour me
serrer contre elle, quand j'aperçois des mains noires sur mon ventre. Je
dois me rendre à l'évidence et prends conscience que ce n'est pas Chloé,
mais après tout ce zouk est anodin, bon enfant et je me laisse prendre au
jeu de l'inconnu qui me fait danser. Surtout qu'il danse délicieusement
bien. Je me laisse guider.
Les choses deviennent assez vite incontrôlables pour l'inconnu apparemment
donc je sens petit à petit le sexe gonfler et frotter avec insistance
contre mes fesses. Et là je ne sais pas pourquoi je ne peux pas m'empêcher
de m'imaginer le sexe de cet inconnu derrière moi et de le comparer à
celui de mon homme. Et même si Julien n'a pas à rougir de son pénis, il ne
fait visiblement pas le poids à côté de la queue qui se frotte à moi.
Malgré tout, je songe à stopper ce petit jeu qui devient déplacé quand le
black me glisse quelque chose à l'oreille, et c'est ce quelque chose je
pense qui a tout déclenché.
D'une manière crue et directe qui m'a fait tressaillir et instantanément
mouiller, il m'a susurré : « t'as l'air d'aimer la bite toi, vu la manière
dont tu te frottes à ma queue ». Cela m'a mis dans tous mes états et il a
enchaîné : "Tu la sens ma queue bien dure, hein ? Dès que j'ai vu ta
tête et ton regard de petite salope, j'ai su que tu étais une chienne en
manque de bite".
Le jeu a pris une autre tournure, mon string est trempé car il continue
tout en me parlant de frotter sa queue sous ma jupe.
Ça a été comme un déclic pour moi, comment un homme dont je n'avais même
pas vu le visage a pu me percer à jour aussi bien car j'ai toujours eu la
conviction d'être une salope frustrée et enchaînée, et j'imagine sans me
vanter que c'est rare d'en prendre conscience aussi vite, à mon âge.
Je me laisse aller, il m'a à sa botte. J'entends sa voix rauque à nouveau
qui dit : « Viens chez moi tout de suite, on s'éclipse et je vais te
défoncer comme tu le mérites ».
On ne m'a jamais parlé comme ça, je suis excitée comme je ne l'ai jamais
été, je crois avec le recul que j'étais en train de me découvrir
réellement. Je prétexte à mes copines, qui bizarrement n'ont du avoir
qu'un aperçu de ce qui se tramait réellement, que je vais aux toilettes, et
je me faufile à la sortie du bar rejoignant le supposé black dont je ne
découvre qu'enfin le visage, un visage dur, rongé par l'alcool, ce mec a
bien 40, 45 ans facile !!!!
Qu'est-ce-que je suis en train de faire ?
Peu importe, il continue avec ses insanités qui me font tant frissonner et
je le suis, passive et avide de sexe. On arrive à la porte d'un bâtiment
modeste, banal et moche d'après mes vagues souvenirs.
Je reçois un texto des filles qui me demandent si j'ai vomi et si je suis
tombée dans la cuvette des toilettes. Je leur réponds brièvement que
j'étais crevée, que je suis rentrée, et que d'ailleurs j'arrive chez moi
dans peu de temps.
L'homme me fait entrer dans son appartement, et vu l'état de l'appart', je
devine instantanément qu'il vit seul.
La porte à peine refermée, il se rue sur moi et je me laisse faire, je
l'ai suivi jusque chez lui sans dire un mot, ça prouve que je dois bien
être d'accord très certainement.
Il m'attrape par les cheveux, me fait m'agenouiller avec brutalité, ouvre
sa braguette, sort sa queue, qui est belle et bien énorme, et m'appuie sur
la tête pour me l'enfoncer dans la bouche.
À genoux, affamée de bite, j'essaie tant bien que mal d'engloutir ce gros
morceau de chair, sans succès, et il recommence :
- Bouffe-moi la bite sale petite pute et caresse-moi les couilles.
Je suis entièrement soumise à lui. J'aime la manière brutale dont il me
traite, cet homme qui pourrait être mon père en définitive. Lorsque je
prends conscience de cela, je me sens encore plus chienne que je ne le
suis.
Je lèche donc son membre sur toute sa longueur, je gobe ses bourses, je
lape son gland, j'essaie d'être la plus salope possible, plus qu'une
actrice porno dans les deux ou trois films sur lesquels je suis déjà
tombée en voulant télécharger des séries sur internet et que j'ai conservé
précieusement bien entendu.
Soudain, la porte de l'appartement s'ouvre, et un autre black qui parait un
peu plus jeune entre dans la pièce.
Le salaud qui est en train de me défoncer a du prévenir un de ses potes
juste avant que je le rejoigne à la sortie du bar et a du lui promettre
qu'il pourrait remplir une petite salope (que je suis) par tous les trous.
L'idée de me faire embrocher par deux gros membres bien dur fait du chemin
dans ma tête et me conquiert totalement, je dois l'avouer.
L'homme qui vient de rentrer me lance : « Alors c'est toi la chienne
bouffeuse de bite ? J'vais me joindre à la partie et je vais te faire
crier sale petite pute, je vais te donner ce que tu mérites ».
Ses paroles accentuent une nouvelle fois mon excitation.
Sans tarder, le nouvel arrivant se désape et enfourne sans plus de
ménagement sa queue dans ma bouche toute huileuse de liquide spermatique.
Je les pompe à tour de rôle pendant qu'ils me caressent les seins et la
chatte à travers mes vêtements.
Charles (le premier que j'ai rencontré, c'est son nom) m'ordonne
d'arrêter de les sucer, m'arrache mes vêtements et me porte jusqu'au
canapé.
Il se place derrière moi pendant que je me rattèle à ma tâche d'avaleuse de
chibre sur son pote.
Charles frotte sa bite aux alentours de mon petit minou et me dit :
« - Tu en as envie, hein ? »
« - Oui. »
« - Non, dis-moi que tu as envie de ma grosse queue. »
« - Oh putain, j'ai envie que tu me la mettes profond. »
Il se décide alors à me prendre comme la dernière des putes et m'assène de
grands coups de reins qui font claquer ses couilles contre mon cul. Il me
met de violentes claques sur les fesses en gueulant encore et encore : «
Tiens prends ça, salope, et continue de bouffer la bite de mon pote ».
J'adore ça, je ne comprends pas que je puisse être devenue une vraie
salope en 1 heure à peine, c'est à croire que c'était caché là au fond de
moi depuis mon adolescence.
Le tableau est vraiment digne d'un film X quand j'y pense, je suis en
train de me faire défoncer par deux grands blacks qui ont une bonne
vingtaine d'années de plus que moi et qui me traitent comme une traînée,
je pense à Julien que je suis en train de tromper, sans complexe. Pire,
j'aime l'idée de le tromper, alors que c'est mon premier amour. Paradoxal.
Alors j'explose :
« Je veux que vous m'enculiez sévèrement, je veux qu'on baise mon cul, ma
bouche et ma chatte ! »
C'en est trop pour l'ami de Charles qui me décharge sur le visage, dans
les yeux et dans les cheveux sans crier gare.
Je me surprends à nouveau à crier : « J'adore ça, j'adore qu'on m'en foute
plein la gueule », et m'entendre gueuler, cela m'acheva et déclencha chez
moi un puissant orgasme.
Charles, d'une voix primaire au bord de l'explosion, dit qu'il n'en a plus
pour longtemps non plus.
Je le supplie quasiment de venir éjaculer sur mon visage. Il s'approche,
attrape ma tête et me fait bouffer sa queue :
« Tiens je viens à peine de la sortir de ton cul, catin, t'es la pire des
salopes, de celles qui sucent des bites juste après s'être bien fait
enculer. »
Et dans un dernier râle, il appuie sur ma tête et déverse tout son foutre
dans ma bouche, ce à quoi je ne m'attendais pas, en gueulant :
« Avale tout ça, petite garce, tiens t'aimes ça le foutre, hein. »
J'ai l'impression de recevoir une bonne quinzaine de centilitres de son
sperme encore chaud.
Je fus bien obligée de tout avaler devant la pression des deux hommes, et
finalement, avaler ce liquide tout chaud fut une première expérience
plutôt satisfaisante ; encore sous le coup de l'excitation ce n'était pas
si mauvais !
Les deux hommes m'ont gardée toute la nuit, m'ont baisée et rebaisée au moins
quatre ou cinq fois avec la même brutalité, je pensais à Julien qui
devait se faire du souci, cela m'inquiétais quant à la manière dont je
devrai m'expliquer sur le fait que j'avais découché et me rendait folle
de plaisir en même temps. De toute façon j'avais coupé mon portable. Cela
attendrait demain, je voulais profiter un maximum de cette nuit
complètement dingue et surréaliste.
Le lendemain j'étais complètement vidée et épuisée. J'ai menti à Julien en
disant que j'avais passé la nuit chez Amandine car la soirée avait fini
très tard et que je ne voulais pas rentrer seule à une heure pareille. Il
n'a pas l'air d'avoir de doute.
Je n'ai pas gardé contact avec mes deux baiseurs mais je me suis découvert
une envie de sexe énorme, j'ai des envies furieuses de me faire prendre 3
à 4 fois par jour, et pour combler ce manque que Julien ne peut pas
complètement assumer, je me caresse où je peux.
L'idée de le tromper à nouveau m'angoisse mais m'excite énormément. En
bref, depuis 4 mois, je ne sais plus vraiment où j'en suis.
J'espère que le récit de mon aventure extraordinaire vous a plu.
Bisous Coquins
Sarah89
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