TITRE
: Trio
pour couple
Catégorie : Histoire
Groupes et Partouze
Nous sommes un groupe d'ami(e)s libertins: Béatrice, 48 ans, bisexuelle; Nancy, 26 ans, également bisexuelle et Christian, 48 ans. Nous sommes juste amis. Chacun de nous est marié mais avec un conjoint/conjointe qui ne fait pas partie de notre trio. Nous nous retrouvons régulièrement, soit à trois, soit avec quelques "invités".
L'autre jour, nous avons reçu un couple -Patricia et Jeremy- dont nous avions fait la connaissance via un site de rencontres. Ils recherchaient un couple dont la femme était bi. Nous nous étions appelés et à l'évidence, nous avions les mêmes désirs: érotisme, lingerie, jeux coquins/calins entre femmes, jeux divers, réalisation de trio FFH, etc. Puis les hommes, en secret des femmes, se sont rappelés pour mettre au point un scénario.
Le soir de la rencontre, peu avant 19h, Christian a reçu un texto (en Belgique, on dit un SMS) et tout de suite après il nous a bandé les yeux. Encore une minute ou deux plus tard, on sonne à la porte d'entrée. Christian va ouvrir. Il nous présente Patricia et Jeremy ... que nous ne pouvons pas voir.
Les hommes ont disparus quelques instants et nous ont offert une flute de champagne. Et à partir d'ici, je vais raconter l'histoire comme je l'ai ressentie sur le moment. Quelqu'un me déshabille; un liquide coule sur mes seins et une bouche gourmande -celle d'un homme- receuille à même mon cou, mes seins et mon ventre, le liquide qui coule. Puis une main, celle d'une femme, je le ressent au toucher, carresse mes seins. Je dépose mon verre et mes mains rejoignent celles de ma carresseuse, d'abord sur mes seins et vers mon ventre. J'attire ma carresseuse, je cherche sa bouche, je l'embrasse. C'est Nancy ! Je reconnais ses lèvres, le gôut de sa salive, sa langue qu'elle fait si bien tourner autour de la mienne. Mes mains se promènent sur ses seins, sur son ventre, avant de plonger entre ses cuisses. Ses doigts ont déjà trouvé mon clitoris que les miens commencent à parcourir ses lèvres, d'abord à l'extérieur puis dedans. Je trouve le clito décapuchonné. Comme d'habitude, je la sent très excitée. Elle pousse déjà de petits gémissements. Cela m'excite terriblement. Nous nous carressons et il ne me faut que quelques secondes pour jouir, bientôt suivie par Nancy qui sous l'excitation de son orgasme, pince mon clito, ce qui me fait repartir de plus belle. Nous nous carressons ainsi quelques minutes, un orgasme de Nancy appelant une nouvel orgasme chez moi.
Nous sommes encore enlacées quand Christian vient nous chercher et nous conduit dans la chambre, en veillant à ce que nous ne nous cognions pas aux meubles ou chambranles de portes. Il nous fait grimper sur le lit, me fait avancer quelque peu sur les genoux. Je franchis une jambe. Je sens que Patricia porte des bas. Je me place au dessus d'elle et je me mets à explorer son corps. Je passe sur son visage. Je glisse un doigt sur ses lèvres -elle a des lèvres fines, elle porte du rouge à lèvres- elle happe mon doigt pour le sucer. C'est excitant. Elle me libère et mes mains continuent l'exploration. Je perçois maintenant qu'elle a les jambes et les bras écartés et quand j'arrive aux mains et puis aux pieds, je sens des liens qui la retiennent aux quatre coins du lit. Nancy ayant pris possession des seins de notre amie, je me glisse entre ses jambes pour la butiner. Mais la coquine mouille déjà abondamment. Ses lèvres sont chaudes et humides. J'aime l'odeur de son sexe. J'y replonge la bouche. Ma langue s'enroule autour de son clito. Elle gémit. Nancy me rejoint. Je descend entre ses fesses, libérant le clito pour Nancy. La bouche de Nancy est a quelques centimètres de la mienne et je l'entend haleter. Un souffle court comme quand le plaisir va la submerger. Je devine qu'elle s'est mise de telle sorte que invitée masquée puisse elle aussi prodiguer quelques savantes carresses avec la seule partie de son corps qui n'est pas entravée. Quoique ! Je me suis maintenant mise de telle sorte que mon sexe repose sur sa jambe et malgrè le peu d'amplitude que lui autorise les liens, Patricia parvient quand même à lbouger la jambes et à cogner sur mon sexe. Je l'aide en plaçant mon sexe sur son genou, là où elle a la plus grande amplitude de mouvement. Ses coups sur mon sexe sont un reflet de son excitation et des ses envies. Quand Nancy et moi la broutons savamment, ses coups sont forts mais réguliers. Et quand on la quitte queleques secondes, elle donne quelques petits coups pour signifier "non, n'arrêtez pas".
Le souffle de Nancy se fait de plus en plus court et ses gémissements sont de plus en plus forts. Je cherche sa bouche pour partager ce moment avec elle. Mais soudain son visage vient cogner le mien, puis repart et revient. Elle n'est plus seulement butinée mais quelqu'un est en train de la prendre en levrette. Je suis curieuse. Je veux sentir. J'avance la main et juste au dessus du visage de notre amie, je sens une belle bite qui va et qui vient dans le sexe de Nancy. Est-ce note invité ? est-ce christian ? mais je n'ai pas le temps de continuer mon exploration qu'une langue vient se coller sur mon anus. Elle glisse entre mes fesses, tourne autour de la corolle, s'insinue dans l'oeillet. A cette façon de faire, je reconnais notre ami Christian. C'est maintenant un doigt et la langue qui en alternance s'insinuent dans mon petit cul. Le doigt me fouille maintenant en profondeur. Je suis excitée et même sans m'en rendre compte, j'ai dû accélérer le rythme des mes carresses sur la clito de notre cruxifiée. Son odeur de femelle est de plus en plus forte. Je la respire, je la bois, je ta tête. Elle soulève les fesses. J'accélère. Je me sens belle et salope. Je sais que je vais la faire jouir et j'aime celà. Je sens qu'elle en veut. J'aspire son clito, je mordille ses lèvres. Je glisse un doigt et puis deux en elle. Elle remue les fesses. Je la fouille aussi loin que je peux. J'en oublie presque qu'une queue est plantée dans mon cul. Je l'oublie mais c'est bon. D'autant meilleur qu'une main s'est glisée entre mon sexe et la jambe de Patricia et que cette main me fouille, que des doiugts tirent sur ma légère toison, pincent les lèvres, appuient sous le clito. Je le sens gonflé. J'ai maintenant une bite dans le cul et deux doigts dans ma chatte. Je suis à égalité avec ma cruxifiée. Mon enculeur a le bon goût de ne pas trop me pilonner, de telle sorte que ma bouche peut se consacrer à achever notre amie. Encore quelques coups de langue et c'est parti. Patricia jouit. Elle gémit. Non, elle crie son plaisir. J'adore. Ses fesses s'agitent et son corps roulede droite à gauche. Pour ne pas le perdre, j'ai passé mes bras autour de ses cuisses et je colle ma bouche sur son sexe. Elle continue à jouir. J'espère que cela va durer longtemps, longtemps. J'aime donner du plaisir à une femme; a un homme aussi d'ailleurs. Je me sens garce. Un homme qui parvient à faire jouir une femme en ressent une fierté. Il est le plus beau, le plus fort. C'est pareil pour moi. Patricia jouit et je me sens irrésistible. Je profite. Je ne sais pas si ce sont des orgasmes successifs ou un orgasme qui n'en finit pas. Mon ventre me brule. Est-ce que mon enculeur a senti que c'était le bon moment ? Il accélère un peu le rythme et ses doigts me fouillent encore plus profondément. Je ressens mon corps comme un autel du plaisir, d'un côté butinant une amie, et de l'autre côté offerte avec consentement et désir aux assauts d'un amant qui me connaît bien. Alors j'oublie quelques instants Patricia et je me laisse envahir. J'ai chaud. Mon coeur bat. Mon esprit part. C'est le vide. Juste la bite dans mon cul. Je n'entend plus rien. Je suis morte. C'est délicieux !
Je n'ai pas entendu Nancy et notre ami Jeremy mais quand j'émerge de mon nuage, nous sommes tous effondrés les une sur les autres. Christian est le premier à se relever pour aller nous chercher une nouvelle flute de champagne.
Pendant que nous buvons, Christian nous demande si nous voulons retirer notre bandeau. Toutes les trois répondons que c'est encore un peu tôt ! Par contre Patricia demande pour être détachée et pouvoir avoir un rôle plus actif.
Nous avons passé toute la soirée et une bonne partie de la nuit à tester toutes les combinaisons qu'autorise la présence de trois femmes bisexuelles et de deux hommes.
Nous nous sommes endormis vers quatre heures du matin, après avoir proposé à nos amis Patricia et Jérémy de passer la nuit chez nous.
Notre prochain projet: en juillet nous partons à cinq dans le sud de la France. Nous avons loué une villa près de Saint-Tropez. Nous avons l'intention d'aller découvrir les nuits tropéziennes. Nous ne sommes pas riches mais quelque chose me dit que nous y aurons du succès.
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