HISTOIRES
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Cela
dure un certain temps quand je m'aperçois qu'elle transpire et que son
tablier colle, dévoilant allègrement ses formes, aussi bien ses seins
que son sexe que je devine à travers une culotte blanche. J'ai une
érection qui est difficile à cacher et là, dans une semi-inconscience,
je me mets derrière elle pendant qu'elle encolle et je lui plaque les
deux mains sur les seins.
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J'ai
un énorme plaisir à voir cette salope de soixante-treize ans qui dans
sa vie de bourgeoise est une femme grave, austère, menant sa famille à
la baguette, là devant moi à ma merci, les mains attachées, la jupe sur
les hanches et les seins à l'air. |
Belle-maman,
le cul dressé en l'air, reçoit ma pine en son ventre et je peux voir
l'expression de son visage avec cette petite crispation qu'amène chaque
touché de son utérus. Elle pince ses lèvres, ferme les yeux, attentive
à chaque coup de mon engin. |
Elle
s'est assise sur mon lit et on a commencé à parler de ce qui s'était
passé. Je lui ai dit que j'étais en manque d'amour, que je n'avais pas
de chance avec les filles. Et puis, en voyant sa chemise de nuit qui
n'était pas complètement fermée sur le haut, j'ai repensé à ses
fabuleux seins et surtout à ses énormes tétons. |
Arrive le soir de
l'anniversaire. Il y a quelques invités, dont Coralie, belle
brune de trente-sept ans. C'est la soeur de Mélanie, elle est
accompagnée de son fils Didier âgé de dix-neuf ans.
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Elle
me dit, entre autres, qu'elle avait été draguée plusieurs fois sans
conséquence, les hommes n'ayant pas insisté quand elle les avait
gentiment remis à leur place. Sauf l'un d'eux qui avait lourdement
insisté, allant même jusqu'à lui proposer de l'argent pour aller avec
lui à l'hôtel.
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Je
pris sa queue, la lêcha, puis je me la mis jusqu'au fond de la gorge.
Il faisait des aller-retour et je sentais ma bave couler sur mes
doigts. Il me baisait la bouche.
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Se
faire décharger au fond de la gorge c'est gâcher une précieuse
marchandise et aucun véritable amateur de sperme ne s'y résoudrait ! Je
suis partagé entre le désir de sentir Silvio exploser rapidement et
celui de voir Franck prolonger éternellement son enculage.
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Je les vis tous
débarquer à ce moment. Il y avait au moins 7 mecs
à poil devant moi. Ils sortirent tous leurs bites sauf deux
qui attendaient à côté. Dans
l'état que j'étais, je me suis mise à
genoux et je les ai sucés un par un pendant plus de 15
minutes. J'avais toutes les tailles ou presque dans ma bouche.
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Donc
après ma première double vaginale, anale et
sandwich, les mecs me
baisèrent jusqu'à la soirée et dans
tous les sens. J'avais du sperme partout et je commençais
à être bien remplie par tous mes orifices.
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Avec un coton
imprégné d'un produit
réfrigérant, elle me glace les tétons
pour les insensibiliser. Puis, sans que je puisse réagir,
elle les perce avec une aiguille. Je ressens une douleur aiguë
qui s'estompe rapidement pendant qu'elle me pose des anneaux en acier.
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Il m'ordonna de
rentrer sa bite dans cette chatte trempée. Quand je pensais
être arrivée à un état
extrême d'humiliation, Emeric poussait les limites encore
plus loin : aider mon copain à
pénétrer sa maîtresse ! Bien
sûr, j'obéis rapidement et alors que je faisais
rentrer son sexe tout raide dans le vagin de Sonya, celle-ci hurla de
plaisir en jouissant dessus.
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Ils ont
gagné, leurs mains dégrafent maintenant ton
soutien-gorge et, à pleines mains, ils te pelotent tes
petits seins. Ce spectacle me rend complètement fou, je suis
jaloux à l'extrême mais très
excité.
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Je reste assis
quelques minutes et finis mon scotch. Ils ont laissé la
porte entrouverte. Je la pousse doucement. Ils font un soixante-neuf.
Elle est au-dessus bien sûr. Sa bite est de bonne taille ;
elle doit ouvrir la bouche en grand. Il l'a prend bientôt
à la missionnaire. Ce qui m'excite le plus c'est de les voir
s'embrasser sur la bouche. Je décide de ne pas me branler
devant eux et sors de la chambre, refermant la porte
derrière moi.
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Un des mecs
s'allongea sur le lit et un autre me porta et mit sa bite dans ma
chatte qui était bien dilatée et toute rouge.
Dans l'état d'excitation, je ne sentis rien à ce
moment, et voici l'autre homme qui était à part
et qui mit un doigt dans mon cul. Je lui dis non mais ses potes me
tenaient bien et il me mit deux puis trois doigts. Il faisait des
va-et-vient de plus en plus vite. |
Il va sans dire que
ce récit, cette confession, m'avait mis dans un
état indescriptible. Malgré moi, sous le journal,
ma main avait accompagné les
péripéties de Nicole d'une masturbation
énergique et à plusieurs reprises, j'avais failli
craquer et, à mon tour, souiller mes
sous-vêtements. En attendant, l'heure du train approchant,
mon érection étant trop évidente pour
me lever et arpenter les quais de la gare, je devais me calmer et
retrouver une attitude digne. |
Démarrage
en douceur et ces dames vont nous offrir un remake en live du film vu
peu de temps avant : câlins, caresses, 69, etc...nous nous
contentons de les encourager et, surprise, tous les couples de la salle
vont défiler pour regarder, aucun ne participe mais
visiblement ils apprécient le spectacle.
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Tout est
allé très vite. Ma surprise fût de
constater à quel point les filles en avaient envie.
François avait beau supplier Gwen de ne pas le faire, elle
était déjà totalement partie. La
vision de l'énorme pénis d'Idrissa lui fit perdre
tout repère. Elle l'enfourna sans plus de
cérémonie et commença un geste de
va-et-vient avec la bouche.
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Julie enfourna le
pieu déjà bien dur qui se présentait
à elle. Ses copines ne lui avaient pas menti sur la taille
du pénis des noirs. Cela n'avait rien à voir avec
l'expérience qu'elle en avait eu avec un copain de
lycée il y a quelques années. Le
garçon était fébrile et
inexpérimenté. Alors que là, Ousmane
lui attrapa la tête et la serra fortement entre ses mains.
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Doucement je sens la
caresse le long de ma jambe, c'est plus doux. Oh, il a
retiré sa chaussure et moi, étonnamment, je le
laisse faire. Je regarde furtivement mes voisins, ils sommeillent, et
ce pied qui monte toujours plus haut. Moi, si sage, voire prude, je
m'alanguis allant jusqu'à m'avancer sur mon siège
et écarter un peu plus mes jambes afin d'aider ce gentil
assaillant.
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Par hasard, le
deuxième jour, en me promenant, j'ai remarqué un
cheval dont l'énorme bite pendait ! Je m'attendais
à un sexe de bonne taille certes, mais pas aussi gros tout
de même.
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Mon copain
Jean-Claude avait bien senti que j'aimais ça, et comme je
préférais faire la femme, un jour je lui ai
avoué que j'adorais porter des dessous de femme et que
j'aimerais en porter devant lui. Ravi de ma proposition, il me demanda
d'aller en mettre pour qu'il me voit ainsi. Et ce jour-là,
c'est dans une cave de notre immeuble, un soir, que je me suis
présenté à lui en
guépière, bas, string, minijupe courte, bustier
et escarpins. Quand il m'a vu vêtu en femme, il n'en cru pas
ses yeux.
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Je lui avoue enfin
que j'aime me travestir mais que je n'ai jamais eu de relations avec un
homme. Il me demande de lui montrer à quoi je ressemble une
fois travesti et me laisse seul pour me préparer.
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Donc je me suis
habillé mais avant elle m'a mis sous la douche et, avec une
crème épilatoire, elle a fait
disparaître le moindre de mes poils. Ensuite, j'ai mis une
guépière en dentelle et un string assorti, des
bas couleur chair et une robe moulante et pas très longue.
Elle m'a maquillé avec beaucoup de goût, a
coiffé la perruque, m'a mis les chaussures à
talons et nous sommes passés à table.
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