Jean-Paul, mon mari, dit de moi que je suis une petite
vicieuse complètement nymphomane et pervertie. J’adore quand
il me traite ainsi d’autant plus qu’il n’a pas tort. J’aime
le sexe, j’aime la bite ! Pardonnez-moi une entrée en matière
aussi crue mais j’aime aussi entendre des mots assez grossiers
quand je suis excitée. Cela me rend encore plus vicieuse.
Des mots qui choqueraient certainement dans les dîners d’affaires,
les soirées mondaines ou les réceptions où nous sommes souvent
invités, mon mari et moi. Mais on peut être une bourgeoise,
avoir reçu une éducation stricte, fréquenté les meilleures
écoles privées et aimer le cul, non ?
Il paraît que je ne donne pas du tout l’air d’être comme
ça, aussi lubrique et obsédée. Pourtant, je ne pense qu’à
ça. Quand un homme me plaît, j’essaye tout de suite d’imaginer
comment peut être sa queue. Découvrir un beau sexe en érection,
une belle tige dure et décalottée a toujours été pour moi
un spectacle aussi fascinant que troublant. C’est tellement
beau, un homme qui bande. Surtout si je sais qu’il bande
pour moi. Là, je craque et ma petite culotte s’inonde immédiatement.
J’ai la chance d’avoir épousé un homme très tolérant et
pas du tout possessif en matière de sexe. De plus, Jean-Paul
est très voyeur. C’est lui qui m’a fait connaître les boîtes
échangistes et les clubs privés, des lieux où le sexe est
roi et où je peux m’offrir devant lui à tous les hommes
( et quelques femmes, de temps en temps ) qui me font envie.
Lui participe peu, il préfère regarder et me faire l’amour
à moi seule quand il est trop excité.
Jean-Paul prend parfois plaisir à me photographier ou me
filmer pendant que je m’occupe vicieusement et habilement
de deux ou trois beaux mâles. En amour, je n’ai pas de tabou.
J’aime caresser, sucer, être léchée, doigtée, godée, prise
en sandwich, avoir une queue dans chaque orifice et être
bien limée. Tout ça me rend folle et lorsque Jean-Paul me
regarde, je suis encore plus excitée. C’est aussi en partie
pour lui si je me montre aussi chaude et gourmande avec
mes partenaires. Je veux qu’il soit fier de moi, fier de
sa petite salope adorée. Les activités professionnelles
de mon mari nous obligent à une très grande discrétion.
Aussi, ce n’est pas à Strasbourg mais dans notre maison
de campagne située dans l’arrière pays niçois que nous vivons
en grande partie nos fantasmes. Nous avons fait restaurer
puis emménagé un vieux mas provençal et le Sud Est ne manque
pas de lieux libertins pour faire des rencontres. Il y a
aussi les petites annonces d’une revue très connue dans
la région. Elles nous ont permis, par exemple, de dénicher
deux superbes étalons qui m’ont très bien baisée lors de
notre dernier séjour dans les Alpes Maritimes.
Daniel travaillait comme magasinier dans un supermarché
de Nice et son copain Serge conduisait des gros engins pour
une entreprise de travaux publics. Je n’ai été prévenue
qu’au dernier moment. Jean-Paul s’était chargé de tout.
Il sait que je préfère les hommes virils et machos et que
j’ai un petit faible pour les ouvriers ou les travailleurs
de force. Les contrastes m’excitent encore plus : moi, tailleur
ou robe BCBG, bijoux, lingerie de luxe, parfum Chanel, toute
propre et parfaitement manucurée et des brutes épaisses,
des hommes grossiers et assoiffés de sexe qui vont me traiter
comme une vulgaire putain. Voilà le scénario qui me fait
incroyablement jouir ! Loin de Strasbourg, je me sens plus
libre et capable des pires folies. Les deux hommes me plaisaient
beaucoup et j’ai commencé par les sucer alors qu’ils étaient
encore habillés, la braguette ouverte et la queue dehors.
Je me suis appliquée, branlant les deux belles bites qui
prenaient encore plus de volume dans mes doigts et les faisant
passer tour à tour dans ma bouche. Jean-Paul avait installé
son appareil sur trépied et nous mitraillait pendant que
je m’occupais de mon mieux mes deux partenaires. Plus j’étais
excitée et plus je me montrais ribaude avec mes deux amants.
J’avalais leur bite jusqu’à la garde, je caressais leurs
bourses lourdes et velues, je titillais leur gland du bout
de la langue et allais jusqu’à masser leur anus. Tous les
deux semblaient pleinement satisfaits de mes doigts et de
ma bouche. Daniel s’est écrié que je suçais comme une vraie
salope tandis que Serge parlait déjà de me mettre sa bite
dans le trou du cul. Puis, tout en m’embrassant l’un après
l’autre et en me caressant, ils m’ont déshabillé et mis
entièrement nue. J’avais le ventre en feu et j’étais toute
trempée entre les cuisses. À présent, Daniel et Serge n’étaient
plus du tout intimidés. Pendant que je suçais de nouveau
le premier, l’autre tenait mes cuisses très écartées pour
me lécher à grands coups de langue. Il n’était pas avare
de commentaire :
-"Qu’est-ce qu’elle mouille, cette petite salope ! C’est
vrai qu’elle aime ça, se faire baiser. Je n’ai jamais vu
une garce pareille. Elle a l’air d’avoir un sacré feu au
cul !"
Puis, tout en pénétrant ma chatte avec sa langue, il a forcé
mon anus avec un premier doigt avant d’en ajouter un second
et il les a agité profondément avec un va-et-vient tournant
comme une vrille. Je me suis ouverte facilement, ce qui
l’a fait réagir :
-Ça rentre comme dans du beurre, entre ses fesses. On va
la prendre par tous les orifices."
Silencieux, Jean-Paul observait la scène derrière l’objectif
de son appareil photos mais je savais que le spectacle devait
lui plaire. Daniel et Serge étaient de plus en plus vicieux
et brutaux avec moi. Devant ma docilité, ils étaient en
train de perdre complètement la tête. Ma poitrine était
pétrie, malaxée, mes pointes étirées et pincées. Et moi,
je n’arrêtais plus de gémir avec la sensation de mouiller
encore plus, de couler comme une fontaine. Serge m’a pris
alors que je suçais toujours Daniel. J’étais déjà en train
de retenir mon orgasme, ivre de plaisir. J’étais baisée
sans ménagement puis ce fut autour de Daniel de venir s’enfoncer
dans ma chatte alors que Serge me faisait pomper sa bite
encore humide de mon plaisir. Cette fois, ni l’un ni l’autre
ne cherchaient à se retenir. Après ma chatte, ils se sont
occupés de mon petit trou. Serge a été le premier à me sodomiser
et moi, je les encouragerais à se montrer encore plus vicieux
avec moi. Je voulais vraiment avoir la sensation d’être
traitée comme une pute. Ils m’ont enculée tour à tour avant
de me prendre en sandwich. J’étais surexcitée avec les deux
queues qui s’agitaient en rythme. J’ai demandé à mon mari
de venir dans ma bouche. Je voulais être prise partout,
comblée par tous mes orifices. Jean-Paul s’est avancé, il
bandait très sur lui aussi et j’ai tout de suite avalé sa
queue. C’était délicieux. Cette fois, je n’ai plus pu retenir
mon orgasme et j’ai joui une première fois alors que Serge
me traitait de tous les noms et me sodomisait violemment.
Daniel, lui, caressait brutalement mes seins tout en me
baisant. Je suis partie trop vite et les trois hommes n’ont
pas joui avec moi. Malgré mon premier orgasme, j’étais toujours
aussi excitée et de temps en temps, délaissant la queue
de mon mari pour manifester mon plaisir, je les suppliais
de me baiser encore, de me défoncer...
J’ai encore joui à deux reprises alors que Serge a été le
dernier à se vider entre mes fesses. Les deux autres avaient
déjà déchargé dans ma bouche et entre mes cuisses quand
il s’est mis à crier :
-"Tiens, salope ! Ca y est ! Je me vide les couilles dans
ton trou du cul. Je te donne tout."
Il ne m’a pas tout donné puisque, un moment plus tard, il
me baisait encore avec son copain Daniel. Parfois, j’ai
un peu honte de moi en repensant à la façon dont je me donne
à tous ces hommes mais c’est tellement bon !!!
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