TITRE :  Tel est pris ...
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Histoire Sado Maso

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Un soir comme tous les soirs, je rentrais tard et fatigué du boulot. Encore une journée de plus qui passait dans cette fichue semaine, qui comme toutes les précédentes me semblait interminable. Comment en étais je arrivé ainsi ? Me retrouver prisonnier d'un bureau à exercer un métier sans intérêt dans le seul but de gagner misérablement un maigre salaire qui suffisait a peine à couvrir mes dépenses mais certainement pas à nous offrir à moi et à ma femme quelques extras, restaus, cinés, tout cela nous semblait hors de prix. Heureusement, ma femme semblait se satisfaire de cette vie, et pour moi elle était le soleil qui chaque jour venait me réchauffer le cœur. Ce soir donc, une fois de plus, c'est l'esprit las mais le cœur gai que je franchissais la porte de la maison, m'attendant à voir apparaître Marie, prêt à me jeter dans ses bras pour la couvrir de baisers. C'est pour cela que tout de suite je compris que quelque chose n'allait pas.

     Marie était bien là, mais elle restait dans sa cuisine lorsque j'entrai :

     - Marie ? demandais-je
     - Oui, mon cœur, je suis là, je finis de suite et j'arrive, me répondit-elle.

     Impatient et inquiet, je désobéissais et la rejoignis à ses fourneaux. Mais malgré mes questions discrètes pour ne pas la brusquer je ne parvins pas à lui faire dire ce qui clochait, alors que dans le même temps, mes doutes prenaient de l'ampleur.

     

     Ce ne fut que le soir que j'appris la terrible vérité. Alors que nous étions sur le point de nous endormir, elle se confia enfin a moi: le matin même, un huissier était passé ; Mandaté par un de nos trop nombreux créditeurs, il lui réclamait une somme astronomique sur le champ sous peine de revenir dans l'après-midi saisir notre mobilier.

     Effarée autant qu'incapable de se plier de sa demande, Marie tenta autant que faire se peut, de l'en dissuader, de lui faire ajourner le paiement, arguant du fait que, de toutes façon, elle n'avait aucun moyen de paiement sur elle, et était donc dans l'impossibilité de lui rembourser cette somme. Il lui suggéra bien de m'appeler pour que je puisse le faire, mais sans portable (et pour cause) j'étais injoignable. C'est alors qu'inconsidérément Marie lui dit qu'elle aurait bien voulu faire tout son possible mais qu'elle ne pouvait absolument pas lui payer son dû. C'est alors qu'il rebondit :

     "Tout votre possible, madame? mais tout votre possible ne pourrait évidement pas rembourser cette dette !" éructa t'il.
     "Certes non, mais peut-être sauriez-vous au moins vous montrer plus patient" suggéra t'elle tout en faisant sauter un puis deux boutons de son chemisier.
     "J'en doute fort, madame, franchement j'en doute fort" murmura t'il.

     Ne se démontant pas, Marie finit de déboutonner son chemisier puis l'ouvrit, révélant sa poitrine ferme et généreuse, d'un ton cuivré, aux larges aréoles. Prenant chacun de ses seins dans ses mains, elle commença à les malaxer, certaine désormais de pouvoir fléchir les intentions de l'huissier.

     "Madame, tout ceci est fort beau, mais ne saurait me faire changer d'avis." intervint-il pourtant.

     Comprenant qu'il lui en faudrait beaucoup plus, Marie calcula très vite ce qu'elle était prête à consentir, ce qu'elle n'accepterait sûrement pas, et ce qui serait susceptible de lui offrir ce délai convoité.
     Aussi prenant son courage à deux mains, elle vint se plaquer contre son visiteur, et lui fourrant les seins sous les yeux, elle glissa sa main sur la bosse du pantalon de celui-ci. Lui jubilait, Marie le devinait bien , d'avoir obtenu si facilement du plaisir pas cher ! Marie savait désormais qu'il lui faudrait aller jusqu'au bout mais qu'elle avait gagné.

     Ayant sorti son engin, elle commença à le masturber en le regardant dans les yeux pour bien lui faire comprendre qu'elle était maîtresse de la situation. Ce pieu grossissait dans sa main, et elle devina un organe de belle taille. Voulant écourter malgré tout le deal muet qu'elle avait conclu avec l'huissier, elle s'accroupit et se mit a lui administrer une fellation en règle.
     Moi, son mari, je sais trop comme elle excelle dans cet art. Ses doigts s'amusant le long de sa hampe alors que sa bouche engouffrait ce chibre vaillant. Usant de sa bouche comme de sa langue, ses doigts courant sur son engin, elle l'amena bien vite à l'orgasme, et il se vida ainsi dans sa bouche sans qu'elle n'en perde une goutte tant elle aimait ce nectar.

     Rustre et félon jusqu'au bout, l'huissier remballa son outillage et d'un ton n'appelant aucune réflexion, lui dit qu'elle avait gagné une semaine, pas un jour de plus et qu'il se présenterait de nouveau à son domicile afin d'obtenir notre dette !
     Le salaud, pensais je, une semaine, comme si en une semaine j'allais pouvoir réunir une telle somme ! Et comme si une fellation d'une telle qualité ne valait pas plus ! Je savais bien pourtant que des pipes comme celle là, il n'avait pas du en avoir trop souvent... D'ailleurs peut-être était ce pour ça qu'il avait fixé un délai aussi court. Bon sang, le saligot pensait sans doute obtenir un deuxième ticket gratuit pour le septième ciel !
     Ecœuré , j'enserrai ma femme dans mes bras afin qu'elle sache que je ne lui en voulais pas du tout, après tout elle avait fait ça pour sauver notre maison, c'est lui, ce gros pervers qui l'avait incité à en venir à une telle solution.

     En m'endormant, je ruminais tout cela, la nuit portant conseil, je me réveillai le lendemain, une idée derrière la tête...

     Prenant ma journée pour la retourner dans tous les sens et tenter d'en prévoir toutes les conséquences, j'attendais le soir pour en faire part à ma femme. Celle ci ne sembla pas du tout emballée par ma proposition, je m'en doutais étant donnée qu'elle serait mise à contribution (...) mais je finis par lui démontrer que le "jeu" en valait la chandelle, aussi se résolut-elle à accepter.

     

     Le vendredi suivant, tout était prêt pour accueillir cet huissier peu scrupuleux, il ne nous fit pas attendre, arrivant à l'heure comme je m'en doutais...

     "Bonjour madame"
     "Bonjour monsieur, je vous en prie, entrez donc." lui répondit-elle en le laissant pénétrer.
     "Bien, je suppose que vous savez pourquoi je suis là, et j'espère que, cette fois, vous avez de quoi me payer" dit-il de manière péremptoire.
     "Et bien, c'est à dire, ... pas exactement" bredouilla t'elle en se laissant glisser dans notre salon. L'huissier lui emboîta le pas avant de répondre interloqué
     "Comment ça, pas exactement? Ecoutez madame, je vous ai fait grâce d'une semaine supplémentaire, j'espère que vous ne comptez pas abuser de ma patience."
     "C'est a dire, que vous devez bien comprendre qu'une telle somme ne se récupérera pas aussi vite, monsieur, les banques ne prêtent pas si facilement, et pour économiser tout cet argent, j'ai besoin d'encore un peu de temps." enchaîna t'elle .
     "Madame, du temps je n'en ai pas, alors passons aux choses sérieuses, qu'avez vous à me proposer?".

     Reclus dans la chambre du haut, je sursautais: il venait ni plus ni moins que de lui tendre la main pour un nouveau "marché". Ainsi je ne m'étais pas trompé sur cet homme, restait à espérer que je ne me sois pas trompé sur la suite non plus...
     S'approchant de lui, Marie lui glissa qu'une semaine de plus lui permettrait sûrement d'amasser l'argent qu'elle lui devait.
     Joignant le geste à la parole, sa main descendit sur sa braguette pour s'assurer qu'elle avait bien été comprise.
     Constatant qu'il restait coi (qui ne dit mot consent), elle ouvrit la fermeture pour en sortir sa verge déjà gonflée comme je pouvais le constater : En effet, j'avais installé et branché ma webcam sur le pc du salon, éteint l'écran, et d'en haut avec le deuxième pc ( merci patron !) je pouvais enregistrer ce petit deal malhonnête. J'avais dans l'idée de rendre la monnaie de sa pièce à ce vil personnage, et ainsi filmé, l'obliger à reconsidérer son marché pour mettre notre créance à la poubelle !

     Scrutant l'écran des yeux, je vis donc ma belle commencer a s'affairer sur le pieu désormais bandé. Elle commença ainsi à le décalotter de ses lèvres, puis l'emboucha sans autre forme de procès. S'y prenant avec ardeur, sa bouche engloutissait son braquemart et le relâchait en cadence, pendant que ses mains pétrissaient ses couilles. J'étais à la fois gêné et, à ma grande surprise, excité de ce spectacle; nous avions déjà expérimenté et apprécié l'amour à trois, mais dans ces conditions je ne pensais pas m'en trouver aussi troublé et excité.
     N'ayant cure de mes soucis, Marie continuait vaillamment sa pipe, y mettant tout son cœur, et notre homme semblait s'en satisfaire grandement. Marie augmentait peu à peu le rythme de sa fellation, ses mains venant en aide à ses lèvres pour branler son sexe, sa langue léchant ensuite ses burnes, avant de revenir titiller son gland.

     C'est alors qu'il la surprit. Reculant tout à coup, il lui dit qu'il ne saurait cette fois se satisfaire de cela.

     "Retourne toi petite garce, et relève ta jupe !"

     Ne sachant que faire, Marie fixa la cam, espérant sans doute que j'allais intervenir. Je ne savais que faire non plus, j'étais moi-même perplexe. Ne perdant pas une minute, l'huissier lui avait déjà retroussé sa jupe et vint présenter sa queue contre son orifice. Marie, la tête dans le canapé, semblait perdue. Le sexe bandé et lubrifié par sa salive (et le sexe de marie semble t'il déjà mouillé) s'enficha d'un coup dans son con, et Marie ne put retenir un petit cri.
     Aussitôt il se mit à la marteler, sa queue partait et revenait doucement mais fortement, s'enfonçant au plus profond de son intimité. S'y prenant avec une certaine dextérité, devais je reconnaître, il prenait tout son temps pour augmenter son propre plaisir. C'était désormais lui qui possédait Marie, et il en faisait ce que bon lui semblait. Dans ma chambre, je voyais tant bien que mal ce qu'il faisait, et j'entendais par la porte ce qui se passait, les cris de ma femme me confortant dans l'idée qu'elle semblait y prendre plaisir malgré tout.

     Excité au plus haut point de voir ainsi ma femme se faire prendre, je commençais à me branler doucement. Lui en bas semblait tout à son aise dans le sexe de ma femme, tellement à l'aise qu'il commença à s'humecter le doigt et entreprit de déflorer son anus qu'il avait sous les yeux depuis qu'il avait pris Marie en levrette. Je savais qu'elle appréciait cela mais pour autant elle restait craintive.

     Cependant il y allait progressivement, et ainsi parvint-il à lui enficher son majeur en entier. Il le faisait glisser au même rythme que sa verge qui continuait son incessant manège de son coté. Retirant son doigt, il s'essaya aussitôt à lui glisser son pouce. S'y reprenant avec douceur, oh bien sur je ne pouvais pas tout voir, mais je devinais qu'il s'appliquait, il lui malaxa doucement son petit trou puis réussit à lui glisser celui ci en entier. Marie ne pouvait réprimer son contentement, et habitué au langage sexuel de ma femme, je devinais qu'elle y prenait beaucoup de plaisir, ce qui du même coup augmentait le mien.

     Ce qui devait arriver arriva, et délaissant sa chatte, il vint présenter son pieu sur le petit trou désormais luisant de Marie. Sereine et détendue après ce massage professionnel, elle accueillit sans douleur son sexe dans son ventre, et l'aida même d'une brève poussée à l'investir. L'huissier le remarqua, et lui claqua doucement les fesses

     " Tu aimes ça, ma salope, en fait t'es une vraie p'tite pute!"

     Et il ponctua sa phrase d'une poussée féroce dans ses entrailles qui lui arracha un nouveau cri. Reprenant son pilonnage, il s'activa sans vergogne dans le cul de Marie, et soudain dans un râle il lui cracha sa semence.

     
     Il était temps pour moi d'intervenir, aussi remballant mon outil, je descendis rapidement les escaliers. Son sexe était encore à un endroit où il n'aurait jamais dû se trouver lorsque j'arrivai. Surpris et décontenancé, il m'écouta lui parler de ce joli film auquel il venait de participer, et comme cela pourrait franchement venir perturber sa carrière si celui-ci venait à être mis dans certaines mains. Comprenant qu'il était fait, mais ne sachant que faire, je lui expliquai que non seulement il allait devoir renoncer à ses émoluments mais surtout qu'avant de partir, il allait devoir enfin se préoccuper du plaisir de ma femme après s'être satisfait du sien !

     "Maintenant tu vas délicatement lui lécher le minou et tenter d'enfin la faire jouir ce que tu n'as pas su faire jusqu'à présent !"

     Aussitôt, notre homme se mit au travail, Marie me jetant un clin d'œil amusé. Elle savait très bien que je savais avoir menti, et qu'elle avait eu plusieurs orgasmes, mais après tout, elle avait bien mérité un petit extra supplémentaire, d'autant que notre serviteur m'avait semblé assez doué et expérimenté sur les choses du sexe. S'appliquant du mieux qu'il pouvait, celui-ci s'affairait sur le minou de Marie, jouant aussi bien des doigts que de la langue pour satisfaire celle-ci.

     Considérant que j'avais bien le droit moi aussi à quelque chose, Marie me dégrafa rapidement mon pantalon et se mit à me sucer avec toute la conviction possible. C'était vraiment une suceuse de première, et j'en profitai tout en matant notre huissier goûter au doux élixir de ma femme.

     
     Je ne comptais pas en rester là, aussi vins-je me présenter derrière notre homme, et lui présentai ma queue contre son petit trou, après tout il avait enculé ma femme, et je n'étais pas contre l'enculer lui aussi.

     S'il fut surpris, il n'en dit rien, et continua sagement à tenter d'arracher des soubresauts de plaisirs à ma femme qui semblait avoir du mal à garder son calme. Doucement je m'introduisis en lui, ce ne devait pas être la première fois, tant cette introduction fut aisée. J'étais dans le cul d'un homme qui léchait ma femme, cette situation m'excitait au plus haut point, et lorsque j'entendis ma femme crier son orgasme, je ne fus pas long à décharger mon foutre dans cet orifice si accueillant. Peu après je me retirais et venais m'allonger contre Marie qui semblait se remettre doucement de ses émotions.

          Quelques bruits et courants d'air plus tard, je compris que notre hôte avait fait ses valises. Nous sombrions Marie et moi dans une douce somnolence comme seules l'extase de l'orgasme et la chute du stress peuvent la provoquer.
     L'huissier n'est jamais réapparu, mais j'ai bien évidement gardé la vidéo qui fut la première d'une longue série, mais cela nous ne le savions pas encore...

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