-- Chérie, c'est moi. Chérie ! . Maggy ? .
Comme aucune réponse ne lui parvenait, Robert en conclut que son épouse
n'était pas encore rentrée de son travail. Se versant un verre de whisky,
il s'installa sur le canapé pour le déguster lentement. Tout en savourant
l'alcool à petites gorgées, il interrogea son répondeur téléphonique. La
voix de mon père retentit dans le silence de la pièce : une voix altérée.
-- Robert ! Ton oncle Pierre vient d'être hospitalisé. Il a fait une
attaque cardiaque au travail. Mais d'après les médecins qui l'ont ausculté,
ce n'est pas trop grave, il ne devrait pas y avoir de grosses séquelles.
Mais ils tiennent néanmoins à le garder en observation quelques jours.
Essaye de téléphoner à ta tante elle a été très perturbée, cela lui
remontera le moral, elle en a bien besoin.
Jetant un coup d'oil à la pendule accrochée au mur de la cuisine et
constatant qu'il était encore tôt dans l'après-midi, Robert décida qu'une
visite serait plus bénéfique à sa tante qu'un simple appel téléphonique.
Pierre et Jeanne habitaient dans un lotissement d'une cinquantaine de
maisons à quelques kilomètres. Griffonnant un message à l'intention de son
épouse, il se rendit aussitôt chez cette tante qui durant son adolescence
lui avait servi de seconde mère. En effet, n'ayant pu avoir d'enfant,
Jeanne avait reporté tout son amour sur lui, se faisant une joie de le
garder lors des nombreuses vacances scolaires... Robert gardait un souvenir
ému des séjours passés chez son oncle et surtout de la tendresse avec
laquelle Jeanne l'avait choyée.
En a peine une demi-heure Robert se trouva devant la porte du pavillon de
son oncle, ému et ne sachant trop comment réconforter sa tante, quels mots
il devrait prononcer pour la rassurer et calmer la détresse qui devait
l'habiter.
Surprise par le timbre de la porte d'entrée, se demandant qui pouvait
bien venir lui rendre visite à cette heure, Jeanne abandonna la préparation
du dîner à laquelle elle était occupée, pour se hâter d'aller ouvrir à ce
visiteur inattendu. Découvrant la haute silhouette de son neveu qu'elle
chérissait, elle se jeta à son cou, l'embrassant passionnément, heureuse de
sa visite :
-- Oh mon Robert ! Tu es venu. Je suis tellement contente. Mais entre mon
grand. Ne reste pas là !
Suivant sa tante, Robert arriva à la cuisine.
-- Quel hasard !... Qu'est-ce qui t'amène, questionna Jeanne ?
-- Papa m'a téléphoné pour m'annoncer l'hospitalisation de tonton.
-- Tu te rends compte mon grand !... Quel malheur !
Ne pouvant contenir son chagrin et l'angoisse qu'elle portait en elle
depuis la révélation de l'accident cardiaque de son mari, Jeanne laissa
éclater son désarroi encore présent dans son esprit et trop longtemps
contenu. Se jetant au cou de son fils d'adoption, auquel elle s'accrocha
désespérément elle éclata en sanglots.
Emu par la détresse de sa tante pour qui il éprouvait une immense
tendresse, Robert tenta consoler cette dernière, lui murmurant des petits
mots de réconfort à l'oreille, lui embrassant tendrement la nuque, la
serrant affectueusement contre lui... Mais ces marques d'affections ne
firent qu'accroître encore les sanglots de Jeanne. Désemparé, Robert, dans
un geste de qui se voulait plein de compréhension, entreprit alors de
caresser affectueusement le dos de sa parente éplorée, voulant par ce geste
lui faire comprendre qu'il compatissait à sa douleur.
Peu à peu, les sanglots s'estompèrent pour devenir de plus en plus
espacés. Lentement Jeanne se calmait, sans pour autant remuer, restant
blottie contre son épaule. Ravi de constater que sa chère tante reprenait
ses esprits, Robert n'en continua pas moins ses tendres caresses.
-- Papa m'a dit que les médecins pensaient que ce ne serait pas grave. Tu
dois garder confiance, tu verras ce ne sera rien.
-- Merci mon chéri, murmura doucement Jeanne entre deux reniflements. Tu
es un amour.
Le neveu et la tante restèrent encore ainsi, tendrement enlacés une bonne
dizaines de minutes ; Jeanne reprenant lentement ses esprits dans les bras
de son cher neveu, Robert continuant de frôler tendrement le dos de sa
tante.
Mais dans ces effleurements pourtant bien anodins, Robert sentit, chaque
fois que ses doigts passaient dessus, le renflement que faisait l'agrafe du
soutien-gorge de sa tante. La découverte de ce détail vestimentaire lui fit
prendre conscience soudain, que depuis un moment les volumineux seins de la
femme de son oncle s'écrasaient mollement contre sa poitrine, et que malgré
les vêtements qu'ils portaient l'un et l'autre, il pouvait sentir avec
émotion, la douceur moelleuse des lourdes mamelles contre son torse. Cela
lui procura une sensation bizarre. Un sentiment fait d'excitation et de
honte en même temps : honte d'éprouver ce genre d'attrait sexuel dans un
moment pareil, et plus est, pour cette tante qui l'avait toujours considéré
comme son propre fils, qui avait empli son enfance de tant d'amour.
Mais ce contact terriblement sensuel des deux masses élastiques contre sa
poitrine, travaillait étrangement Robert. A sa grande confusion, il
s'aperçut qu'il éprouvait un certain plaisir à percevoir la tendre
élasticité des deux fruits de chair. Jaillissant des tréfonds de son
subconscient, une foule de souvenirs d'adolescent lui revinrent en mémoire.
Avec émotion il se remémora les jours passés chez sa tante, et les fantasmes
qui peu à peu avait commencés à naître dans son esprit à mesure qu'il
prenait de l'âge. Dès sa puberté il avait commencé à regarder sa tante
autrement. La forte poitrine et la large croupe de cette dernière avaient
particulièrement attiré ses regards d'adolescent. Combien de fois, le soir
après que Jeanne soit venu l'embrasser dans son lit, avait-il imaginé avant
de s'endormir, les lourds fruits de chair, objets de tous ses fantasmes,
libres de toute protection. Combien de fois également s'était-il réveillé en
pleine nuit, le ventre souillé de son sperme fluide, suite à un songe
érotique où sa tante avait le rôle principal.
Or avec l'âge, Jeanne devait maintenant avoir dans les cinquante trois
ans, calcula rapidement Robert ; sa tante, qu'aucune grossesse n'était venu
déformé un ventre malheureusement stérile, avait gardé une silhouette
élancée. Même si avec l'âge, Jeanne s'était quelque peu étoffée à certains
endroits, notamment au niveau de hanches et de la poitrine, cela lui
conférait encore plus d'attrait. Avec ses longues jambes, fortes mais d'un
galbe parfait, sa poitrine au volume impressionnant, ses hanches
sensuellement épanouies et sa croupe haute et agréablement arrondie, Jeanne
restait une femme encore très attirante et très désirable.
Même après son mariage avec Maggy, dont la poitrine n'avait certainement
rien à envier à celle de sa tante, quoique certainement plus ferme, plus
Robert, à vingt-huit ans ne pouvait se retenir de lorgner en douce les
sensuels appas mammaires de la femme de son oncle, chaque fois que les
occasions s'en présentaient.
Etrangère à ce qui perturbait son neveu, Jeanne ne pouvait se détacher de
l'épaule de ce neveu qu'elle aimait tant. Trouvant un certain réconfort à
s'abandonner aux gestes et aux paroles pleines de tendresse que lui
dispensait celui qu'elle avait si souvent consolé lorsqu'il était enfant.
Tout en continuant de cajoler sa tante, d'une manière un peu plus
sensuelle qu'il n'aurait fallu, Robert ne pouvait s'empêcher d'éprouver
une certaine excitation au contact de cette lourde poitrine écrasée contre
son torse. Surtout que pour accentuer son trouble, Jeanne, du fait de ses
sanglots, avait des soubresauts convulsifs de tout son corps, qui faisait
que son bas-ventre venait par instants se frotter au sien, faisant naître un
émoi gênant au niveau de son membre viril. Emoi qui ne fit que s'accentuer
au fil des minutes, au point que Robert, soudainement affolé, sentit aux
frémissements de son sexe, qu'une érection prenait naissance dans son slip.
Paniqué, il tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le perturbait
tant. Mais sa tante abandonnée contre lui et tout à son chagrin
s'accrochait désespérément à son cou, inconsciente du trouble qu'elle
créait bien involontairement chez lui.
Sentant sa verge se dilater inexorablement au bas de son ventre, en se
durcissant, Robert tenta de concentrer son esprit sur le fait que le corps
féminin qui se tenait étroitement lové contre lui, était celui de sa tante,
la femme du frère de son père. Mais les frôlements incessants du bas-ventre
de sa parente contre sa virilité prompte à s'émouvoir firent échec à sa
volonté. Bientôt son membre se trouva dans un état d'érection telle, qu'il
songea, affolé, qui allait être impossible à sa parente de ne pas
s'apercevoir de la transformation qui s'était opérée au niveau de son
sexe. Et ce n'est pas la légère jupe dont Jeanne était vêtue qui allait
faire un rempart à l'excroissance qui déformait son pantalon.
Cependant, mêmes les plus grandes détresses ayant inévitablement une fin,
Jeanne reprit peu à peu le contrôle d'elle-même. Peu à peu ses sanglots
s'atténuèrent. Apaisée mais désirant profiter encore un peu de ce doux
réconfort que son neveu lui offrait, elle demeura immobile contre lui en
reprenant doucement ses esprits.
-- C'est gentil à toi d'être venu, murmura-t-elle à l'oreille de son
jeune parent. Ta présence m'a fait du bien.
Etant enfin redevenue maîtresse d'elle-même, Jeanne se disposait à rompre
cette tendre étreinte, lorsqu'elle prit conscience que quelque chose de dur
et volumineux lui meurtrissait le bas-ventre. Surprise et stupéfaite devant
cette découverte, dont elle comprit immédiatement la cause, elle demeura
immobile ne sachant qu'elle contenance adopter... Que son neveu ait une
telle érection dans un moment pareil la déconcertait au plus haut point.
Puis la vérité se fit soudain dans son esprit : la responsable de cet état
ne pouvait être qu'elle. Les frottements de son bas-ventre contre le
bas-ventre de Robert, même si ceux-ci étaient bien involontaires, avaient
suffit à faire naître ce changement dans l'anatomie de son jeune neveu.
Qu'elle ait provoqué un tel désir chez celui qu'elle considérait comme
son fils ; Qu'à cinquante trois ans elle ait fait naître une telle érection
chez « son bébé » la perturba énormément. Mais en même temps la réalité
manifeste de cette excroissance contre son ventre la troubla étrangement.
Après le moment de surprise passé, alors qu'elle essayait d'analyser la
situation, elle s'aperçut quelque peu déconcertée, qu'elle éprouvait une
douce félicitée à sentir cette jeune virilité raide et dure s'écraser
contre son bas-ventre. Et alors qu'elle aurait dû s'éloigner, rompre cet
attouchement illicite, elle demeura immobile, prolongeant ce contact
troublant et angoissant en même temps. La fermeté de ce jeune sexe masculin
contre son pubis lui procurait un plaisir insolite qu'elle aurait aimé
faire durer le plus longtemps possible.
Les deux protagonistes demeurèrent ainsi accolés, n'osant bouger, ne
sachant comment rompre ce contact aussi gênant pour l'un que pour l'autre.
Jeanne essaya de se raisonner. Etant la plus âgée, il fallait qu'elle se
reprenne, elle ne pouvait se laisser commander par ses sens, succomber à ce
désir qu'elle sentait poindre dans le fond de ses entrailles. Mais à sentir
cette jeune verge arrogante se presser contre son ventre, lui prodiguait un
tel bien être sexuel qu'elle repoussa le moment de se désunir de ce corps
masculin. Le visage enfoui dans le cou de son cher neveu, elle chassa de son
esprit toutes pensées pour ce concentrer sur ce moment de félicité.
Lorsqu'elle sentit une douce tiédeur, bien connue, prendre naissance au plus
intime de son sexe lui irradiant la vulve, elle n'essaya pas de résister à
cet afflux de secrétions qui allait irrémédiablement humidifier le fond de
sa culotte. Surtout que d'après ce qu'elle pouvait percevoir à travers
leurs vêtements respectifs, Robert lui sembla posséder une virilité d'une
longueur peu commune. Cette constatation l'affola un peu plus. Malgré elle
une pensée égrillarde lui traversa l'esprit : que pouvait-on ressentir
lorsque l'on était pénétré par un membre de cette longueur ?... Aussitôt son
esprit ébranlé tenta de comparer la virilité de son mari à celle qu'elle
percevait contre son bas-ventre. Pierre, son époux possédait un membre assez
court, même ridiculement court par rapport à celui qui lui appuyait
actuellement le ventre, mais qui lui avait toujours procuré un maximum de
plaisir depuis plus de trente ans.
La présence de ce jeune membre viril colossal à quelques centimètres de sa
chatte soudainement liquéfiée fit perdre toute retenue à Jeanne. Le choc
émotionnel qui l'avait frappé lors de l'annonce par les pompiers de
l'hospitalisation de son mari pour une attaque cardiaque. Puis l'attente
angoissante des examens à la clinique. Et enfin les résultats rassurants des
docteurs, l'avaient tellement perturbés qu'elle s'était senti effroyablement
seule, vidée, abandonnée par le destin. Puis la visite de son neveu, ce
neveu qu'elle aimait tant, lui avait apporté un réconfort immense, une soif
de vivre, une furieuse envie de prendre une revanche sur le destin qui
l'avait si douloureusement frappé.
Mais avec ce retour à la réalité, Robert avait aussi, sans le vouloir,
réveillé ses sens endormis depuis plusieurs semaines déjà. Avec l'âge, il
allait avoir soixante deux ans, Pierre, son époux ne la contentait plus
aussi souvent qu'elle l'aurait désiré. Et en femme aimante et dévouée à son
mari, elle avait du accepter cet continence forcée.
Alors qu'elle en était à se demander comment elle pourrait sortir de cette
impasse sexuelle, Robert, pour se dégourdir les jambes esquissa un geste.
Geste pourtant anodin, mais du fait de leur enlacement, fit que l'extrémité
du membre viril tendu vint heurter le haut de sa fente. Sous ce mini-choc
érotique, Jeanne se sentit défaillir, tandis qu'un long frisson lui
parcourait l'échine. Bouleversée, perdant alors toute retenue, elle gémit :
-- Oh ! Robert . Qu'est-ce qui t'arrive ?
Terriblement gêné, Robert ne sachant quoi répondre, tenta de repousser ce
corps par trop sensuel loin de lui. Mais, toujours accrochée à son cou
Jeanne se recolla instantanément contre son torse et surtout contre l'énorme
protubérance qui ornait son bas-ventre :
-- Oh, non. Laisse-moi contre toi, bégaya Jeanne bouleversée. Je suis si
bien..
Surprit par la réaction de sa tante, surtout que celle-ci s'était coller
étroitement à lui, recherchant sans ostensiblement le contact de sa virilité
gonflée, Robert, après un moment d'indécision se laissa à son tour emporter
par le désir qui le tenaillait. Comme la femme de son oncle continuait
d'onduler du bassin, frottant d'un mouvement lascif son bas-ventre contre
son membre bandé, il crocheta ses doigts dans les hanches évasées qui
remuaient significativement. Forçant sa tante à s'immobiliser, il appuya
fermement sa virilité raidie contre son bas-ventre, lui faisant ainsi sentir
la fermeté de son désir.
-- Ho, Robert !... Qu'est-ce qui t'arrives ?... Ce n'est quand même pas
moi qui te mets dans un tel état, bégaya Jeanne.
-- Et qui veux-tu que ce soit !
-- Tu te moques de moi, gémit Jeanne, la gorge nouée par le désir...
Qu'est-ce qu'un jeune homme comme toi pourrait trouver d'attirant chez
une femme de mon âge ?
-- Ne dis pas ça, tantine, murmura Robert à l'oreille de sa tante et en
lui picorant le cou de légers baisers. Tu sais, il y a beaucoup de femmes
plus jeunes que toi qui aimeraient avoir le corps que tu as.
-- Ne dis pas de bêtises, chuchota Jeanne. Je n'ai jamais été une
beauté.sauf pour ton oncle.
-- Tu veux que je t'avoue quelque chose ?
-- Dis toujours mon chéri.
-- Eh bien, lorsque je venais passer mes vacances chez vous, j'étais déjà
attiré par ton corps aux courbes si sensuelles. Par ton abondante poitrine.
Tu ne peux t'imaginer combien tes seins ont occupés mes nuits
d'adolescent.
Surprise par ces révélations, Jeanne recula son torse, sans toutefois
rompre le contact de son bas-ventre avec la virilité raidie de son neveu,
pour fixer ce dernier d'un air ébahi.
-- Tu te moques de moi, murmura-t-elle d'une voix sourde. Tu avais quel
âge à l'époque ?
-- Entre treize et quatorze ans je crois.
-- Tu ne vas pas me faire croire qu'à quatorze ans tu pouvais ressentir du
désir pour moi.
-- Tu ne peux t'imaginer comme tu me faisais bander à l'époque, tantine
chérie.
-- Ho ! Robert !... Qu'est-ce que tu me dis là. Ce n'est pas possible, tu
n'étais qu'un enfant.
-- A quatorze ans un garçon n'est plus un enfant, je t'assure. Tu me
faisais bander déjà aussi fort qu'aujourd'hui.,
-- Ce n'est pas possible murmura Jeanne incrédule.
Et comme si soudain elle avait été prise d'une pudeur tardive, elle posa
ses mains sur les bosses volumineuses qui déformaient son corsage, comme
pour les cacher aux désirs de son compagnon.
-- Ce n'est pas possible ! . Tu n'étais qu'un gamin, se répéta-t-elle.!
-- Peut-être, reconnut Robert, n'empêche que tes seins m'attiraient
déjà. et encore aujourd'hui je ne peux m'empêcher de les désirer. Je meurs
d'envie de les contempler. D'en sucer les bouts.
Comme Jeanne, ahurie par ces révélations, ne répondait pas, se contentant
de fixer son neveu d'un air absent, celui-ci ne pouvant contenir le désir
qui le tenaillait depuis des années, repoussa la main avec laquelle sa tante
tentait de protéger son sein pour poser la sienne à la place, palpant avec
émotion à travers les tissus qui l'abritaient, le lourd fruit de chair,
souple au toucher.
Le bas-ventre en fusion, Jeanne demeura figée, la bouche entrouverte sur
un souffle haletant. Eprouvant un sournois vertige sous le sensuel
attouchement dont son sein était l'objet, elle laissa le neveu de son mari
lui caresser la poitrine, attentive à la montée du plaisir dans son corps
torturé.
-- Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour
excuser la lourdeur de ses appas.
Terriblement excité par cette situation extraordinaire, Robert posa alors
sa main gauche sur le second sein et sans un mot, de peur de rompre cette
espèce de complicité tacite qui s'était établie entre lui et sa tante, il
entreprit de palper les lourdes mamelles, objets de ses fantasmes
d'adolescent. Longuement il caressa ainsi l'abondante poitrine de sa
sensuelle tante, prenant un plaisir extrême à presser les deux énormes seins
élastiques entre ses doigts. Tendrement il malaxa les globes charnus, tout
en surveillant le visage de sa parente, pour y lire les émotions que ses
caresses lui procuraient. Très vite il constata que le regard de sa tante
devenait plus trouble au fil des attouchements qu'il prodiguait à ses appas
mammaires, tandis que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante.
Tous ces signes de plaisir qu'il percevait chez sa parente lui firent
comprendre combien celle-ci appréciait les attouchements qu'il lui
prodiguait. Jugeant le moment opportun, il tenta alors de déboutonner le
corsage qui lui cachait encore les fruits de chair qu'il convoitait depuis
sa plus tendre enfance.
Se rendant compte soudain que les doigts de son neveu essayaient de faire
sauter les boutons de son chemisier, Jeanne, malgré le désir qui lui
tenaillait le bas-ventre et lui gonflait les mamelons, dans un dernier
mouvement de pudeur tenta d'échapper à cette initiative. Dans sa folie
sexuelle, la seule solution qu'elle imagina fut de se blottir étroitement
contre ce neveu trop entreprenant, écrasant ses volumineuses mamelles contre
le torse dur et musclé du jeune homme.
-- Non, Robert, il ne faut pas, gémit-elle d'une voix plaintive. Ce n'est
pas bien.
Ne désirant pas brusquer sa tante qu'il sentait sur le point de
capituler, Robert laissa descendre ses mains le long du corps féminin lové
contre lui, appréciant au passage la courbe sensuelle des hanches évasées en
forme d'amphore grecque, avant d'atteindre la croupe charnue, ferme et
opulente. Pour ne pas effaroucher sa tante dont il sentait l'émoi, il se
contenta d'effleurer d'une caresse légère les rondeurs jumelles des fesses
tendues, appréciant la dureté des chairs sous ses doigts. Puis comme Jeanne
ne semblait pas s'offusquer de ses frôlements sournois, il accentua ses
attouchements. Tel un boulanger pétrissant sa pâte, il pressa avec volupté
cette croupe large et encore compacte, malgré l'âge de sa propriétaire.
Sous cette nouvelle caresse, pratiquée à l'encontre d'une de ses zones
particulièrement érogènes, Jeanne, le corps parcouru d'un long frémissement
érotique, cambra ses reins afin de mieux se prêter aux attouchements virils
et terriblement affolants dont son postérieur était l'objet. Accrochée à
son neveu, le visage dans son cou, elle ne put étouffer le gémissement de
plaisir que lui procuraient les caresses voluptueuses que Robert lui
dispensait avec insistance. Le brasier qui depuis un quart d'heure lui
dévorait les entrailles devint de plus en plus ardent. Entre ses cuisses
moites, elle sentit sa vulve palpiter doucement comme pour réclamer une
introduction qui l'aurait comblée. Dans un spasme, qui lui fit plier les
genoux, un flot brûlant s'échappa de son vagin en fusion, prélude à une
jouissance qu'elle sentait proche, trempant abondamment l'entrejambe de sa
culotte de soie. Les sens exacerbés, elle ne put résister au désir de
frotter langoureusement son bas-ventre contre ce membre dressé qu'elle
percevait à travers le pantalon de toile. Ne se contrôlant plus, elle ondula
du bassin, s'excitant à sentir cette force virile contre son pubis. Aussi
lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement son neveu retroussait sa
jupe sur ses cuisses, le désir qui lui tenaillait les entrailles fut plus
fort que la raison qui lui enjoignait de repousser les avances incestueuses
du jeune homme. Gémissant doucement sous l'impatience érotique qui la
submergeait, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération engagée
par son jeune partenaire.
Si elle l'avait osé, elle se serait troussée elle-même pour accélérer
l'instant ou les doigts masculins viendraient palper ses fesses déjà
frémissantes.
Comprenant à son immobilisme soudain, que sa tante s'abandonnait enfin à
ses sens en complet désarroi, Robert ne prit plus aucune protection pour
retrousser la minijupe sous laquelle l'attendait ce merveilleux fruit
féminin, chaud et juteux. Ce sexe juteux que chaque homme rêve de goûter à
un moment donné. L'étroit vêtement résista quelque peu au passage des
hanches rebondies. Puis enfin, Robert put saisir à pleines mains les fesses
rondes et fermes, étroitement sanglées dans un slip de soie arachnéen qui
crissa doucement sous ses doigts impatients. La gorge nouée par l'émotion,
il empauma cette croupe encore si ferme qu'il pressa avec ardeur, prenant
un indicible plaisir à sentir les chairs se modeler sous ses doigts
impatients. Longuement il fit glisser ses paumes sur la peau satinée et
frémissante de ce cul affolant, la palpant avec douceur ou la pinçant
délicatement. Jeanne, le visage enfoui dans son cou, gémissait furtivement,
tandis que son bas-ventre se collait avec passion contre le sien dans une
offrande pressante. Mais à sentir les fesses drues et chaudes s'écarter
mollement sous ses doigts, Robert fut saisit d'un désir pervers.
Sournoisement il laissa glisser un doigt entre les masses fessières si dures
de sa sensuelle tante, pour explorer avec circonspection la profonde raie
séparant les deux rondeurs jumelles, cherchant sournoisement l'orifice anal
qu'il trouva étonnamment moite.
Terriblement excité par cette découverte, mais appréhendant la réaction de
sa tante, ne sachant comment celle-ci allait accepter son excursion
indiscrète, il appuya doucement son majeur contre la collerette qu'il
trouva curieusement humidifiée, pour la forcer à s'ouvrir. Aussitôt il
enregistra la soudaine immobilité de Jeanne, comme si celle-ci attendait et
espérait la suite qu'il allait donner à son attouchement pervers.
S'enhardissant alors, il appuya légèrement sur la rosace qui donnait accès
aux profondes et mystérieuses entrailles féminines. Constatant que son doigt
s'enfonçait entièrement et sans aucune peine dans l'anus assoupli de sa
tante, Robert comprit que cette dernière n'était certainement pas hostile à
la sodomie. Ce qui lui fut confirmé lorsque dans un gémissement, Jeanne
lança sa croupe en arrière, comme pour mieux se prêter à cette introduction
indiscrète.
La facilité avec laquelle il avait réussit à forcer le cul d'une
souplesse incroyable de sa tante, fit comprendre à Robert que celle-ci avait
certainement l'habitude de se faire sodomiser. Malgré lui, il ne put
s'empêcher de penser à son oncle, et aux nombreuses de fois qu'il avait du
enfoncer son membre dans l'anus accueillant de son épouse.
Désirant, dans un accès de lubricité, savoir jusqu'à quel point sa
sensuelle tante avait été élargi, Robert il présenta son index à l'entrée
des intestins déjà perforés par son majeur. La facilité avec laquelle son
second doigt s'enfonça dans le cul élargi de sa tante lui prouva que son
oncle avait dû maintes fois enfoncer son membre dans l'orifice relâché. Mais
comme il entamait un mouvement de piston dans l'anus évasé, Jeanne cambra
brusquement ses reins, lançant désespérément sa croupe à la rencontre des
doigts qui l'enculaient, tandis qu'une longue plainte s'échappait de sa
gorge.
-- Oh oui, mon chéri. C'est bon !...
Lorsqu'elle avait senti l'un des doigts de son neveu venir fureter entre
ses fesses, Jeanne avait ressenti une bouffée de chaleur l'envahir : son
cul avait toujours été une zone extrêmement sensible et extraordinairement
érogène, presque autant que les mamelons enflés de ses volumineux seins.
Pierre son époux l'avait très vite compris et ne se privait pas d'en user
lors de leurs ébats sexuels. Aussi lorsque ce doigt s'enfonça délicatement
dans ses entrailles, Jeanne sentit son cour s'affoler, tandis qu'une onde
de plaisir lui parcourait l'échine, la faisant longuement frissonner. Et
quand le second doigt vint prendre place aux cotés du premier entre ses
fesses relâchées, lui dilatant l'anus d'une façon délicieuse, l'onde
voluptueuse la submergea toute, lui faisant perdre la réalité des choses. Un
seul fait compta alors pour elle : atteindre cet orgasme qu'elle sentait
prêt à exploser en elle, et qu'importe que celui qui lui dispensait soit le
neveu de son époux. Pour cela elle était prête à toutes les audaces, sans
souci du lien de parenté qui l'unissait à son entreprenant complice.
Ce qu'elle espérait tant se produisit sans qu'elle ne puisse rien faire
pour l'en empêcher. Alors que Robert activait pour la troisième ou
quatrième fois ses deux doigts accolés dans son cul dilaté. Elle ressentit
comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa
toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête
blessée, libérant ainsi tout le flux sensuel emmagasiné en elle depuis de
longues semaines. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme,
elle s'accrocha désespérément au cou de son neveu qui l'avait si
rapidement mené à la jouissance. Celui-ci, les doigts toujours enfoncés dans
son anus, l'enlaça tendrement en lui embrassant passionnément la nuque.
Entre ses cuisses sa chatte n'était plus qu'un torrent brûlant et son
vagin un magma incandescent.
Aux gémissements prolongés que sa tante poussa dans son cou, Robert
comprit aisément que cette dernière venait d'atteindre la jouissance. Et le
fait qu'elle ait pu jouir aussi rapidement, sans qu'il n'ait fait autre
chose que de lui explorer le cul le surprit énormément. Doucement il retira
ses doigts de l'anus élastique, déclenchant un gémissement de la part de sa
partenaire. Changeant de cible, il glissa, avec émotion, sa main dans la
fourche brûlante et d'une douceur extrême de la jointure des cuisses de sa
sensuelle tante. La moiteur qu'il y découvrit le laissa ébahi.
L'entrejambe de la culotte qui protégeait ce sexe tant désiré était
littéralement trempé, comme si Jeanne dans son abandon sexuel avait uriné
dedans. Peut-être était-ce ce qui s'était passé ?...
Jamais, lors des quelques aventures sexuelles qu'il avait eut avant son
mariage, Robert n'avait rencontré de femme qui lâche une telle quantité de
foutre lors de leur jouissance. Excité par cette découverte il sentit le
désir qu'il ressentait pour sa tante croître un peu plus. Repoussant le
morceau de tissu archi-trempé de la culotte, il glissa sa main dans
l'entrecuisse moite de sa parente afin d'accéder à la vulve imbibée.
La jupe retroussée jusqu'au nombril, les jambes largement écartées pour
permettre à son neveu de l'atteindre au plus intime d'elle-même, Jeanne le
bas-ventre en fusion poussa un petit gémissement de contentement et
d'impatience en sentant les doigts du jeune homme frôler les grandes lèvres
de sa chatte ruisselante.
La gorge nouée par le désir, Robert avança ses doigts dans l'abondante
pilosité au cour de laquelle s'ouvrait la longue fente béante et
dégoulinante d'un jus chaud et onctueux. Terriblement ému par ce qu'il
osait entreprendre, il enfonça son majeur dans le magma liquide qui
enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Comme cinq minutes auparavant,
lorsqu'il s'était rendu compte de la souplesse de l'anus de sa tante, il
demeura de nouveau fort étonné en découvrant la largeur étonnante du vagin
dans lequel il enfonçait son doigt : une véritable cavité démesurée et aux
parois spongieuses et ruisselantes d'une liqueur brûlante. Son majeur
barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis.
L'orifice sexuel dans lequel il avait entrepris d'agiter son doigt lui
sembla d'une telle dimension et si spacieux qu'il décida d'y enfoncer
aussi son index, arrachant un gémissement à sa tante. Puis comme ses deux
doigts s'agitaient toujours aussi aisément dans l'antre féminin, il y
ajouta son annulaire, auquel il joignit immédiatement son auriculaire. Si
bien que ce fut sa main entière, à l'exception de son pouce, qui se trouva
enfoncée dans le vagin béant et ravagé de sa tante écartelée et haletante.
Tandis que de son pouce il écrasait et titillait sensuellement le
merveilleux bouton de chair érigé de sa parente suffoquée, il commença à
fouiller en profondeur le vaste vagin, repoussant avec délectation les
chairs gorgées d'un jus chaud et poisseux.
Complètement bouleversée par cette situation incestueuse, et victime de
ses sens enfin comblés, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant
en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements
désordonnés d'aider cette main qui lui pourfendait le vagin et qui la
fouillait si profondément.
-- Oh oui, gémit-elle. Branle-moi bien mon chéri. J'en ai tellement envie
! .
Ne demandant pas mieux, éprouvant même un plaisir pervers à fourrager dans
l'immense chatte de celle qui l'avait tant fait fantasmer durant son
adolescence, Robert enfonça le plus profondément possible ses quatre doigts
réunis. Dans un réflexe érotique, Jeanne plaqua alors ses deux mains contre
ses seins qu'elle entreprit de malaxer à travers son corsage.
-- Huumm. gémit-elle.
Ce simple geste suffit pour exciter un peu plus Robert qui agita alors
fiévreusement ses doigts à l'intérieur du vagin brûlant, frottant les
parois spongieuses, pressant avec ivresse les chairs trempées... De son
pouce, le seul de ses doigts qui n'avait pu pénétrer à l'intérieur de la
vulve béante, il frotta le clitoris qui depuis le début avait jailli de son
abri. Un véritable torrent embrasé s'échappait de la chatte affreusement
élargie de sa tante, lui engluant la paume, alors qu'une odeur musquée et
terriblement aphrodisiaque lui montait aux narines.
Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir la jouissance
prendre possession de ses organes sexuels exacerbés. Se démenant comme une
démente sur les doigts qui s'affairaient dans sa vulve détrempée, ahanant
de plaisir, elle réussit à atteindre enfin l'orgasme libérateur. Dans une
crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par une jouissance
violente et dévastatrice qui la laissa pantelante. Les reins arqués, le
corps en transe, les jambes vacillantes, elle s'accrocha désespérément au
cou de son neveu pour ne pas s'écrouler à même le sol.
La main trempée par l'abondance des sécrétions vaginales que sa tante
avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels, Robert laissa cette
dernière reprendre ses esprits avant de retirer lentement ses doigts de la
chatte ruisselante de cyprine odorante, pour les porter à ses lèvres afin de
connaître les saveurs intimes de sa parente, qu'il lécha avec une
gourmandise perverse.
Reprenant lentement ses esprits, Jeanne remercia son cher neveu par un
sourire gêné :
-- Il y a longtemps que je n'avais joui aussi fort, murmura-t-elle dans
un souffle. Qu'est-ce que tu vas penser de moi !. Et pendant que ton pauvre
oncle se trouve à l'hôpital. Mon Dieu j'ai honte !
-- Pourquoi culpabiliser ainsi, tenta de la rassurer Robert, dont le
membre toujours en état d'érection réclamait une prompte conclusion. Tu as
été terriblement perturbée par l'accident de tonton, tu avais besoin
d'évacuer tout ce stress. Et puis tu étais trop bouleversé pour vraiment te
rendre compte de ce qu'il t'arrivait. Mais si j'ai pu te procurer un peu de
plaisir, j'en suis réellement content. Et puis ça restera notre secret.
-- Tu es un amour, murmura Jeanne le regard embrumé de larmes.
Puis, après quelques secondes de silence, elle osa de nouveau dans un
souffle, s'adresser à son neveu, comme si elle craignait d'exprimer sa
pensée :
-- Mais toi ? . Tu as toujours envie !
Et comme pour se rendre compte de ce qu'elle avançait, elle posa sa main
sur l'énorme protubérance qui déformait toujours le devant du pantalon de
son neveu. Sentant le volumineux contour du membre viril en pleine érection,
un frisson de désir la parcourut toute. Une irrésistible envie de contempler
cette jeune virilité la saisit
-- Mon pauvre chéri, dans quel état te voilà, chuchota-t-elle, comme si
quelqu'un d'étranger pouvait l'entendre .. Tu veux que je. je te. branle
?.
-- Je pense que se serait la solution, s'empressa d'accepter Robert tout
excité à l'idée que sa tante allait saisir sa verge dans sa main. Qu'elle
allait le branler. Comme il se l'était tellement imaginé dans ses rêves
d'adolescent.
Alors, comme prise d'une impatience érotique, Jeanne s'attaqua à la
ceinture du pantalon de son neveu, qui s'écroula mollement aux pieds de son
propriétaire laissant ce dernier en slip. La gorge nouée par le pervers
désir qui maintenant la faisait agir, Jeanne, soudain fébrile s'empressa de
descendre le sous-vêtement, afin de libérer cette jeune verge l'avait
tellement affolée par son contact contre son pubis. Devant l'imposant
gourdin qui jaillit au milieu d'une touffe épaisse de poils drus, elle ne
put s'empêcher de s'exclamer admirative :
-- Oh ! Comme tu es fort !.
Devant ses yeux ébahis se dressait le membre viril gonflé de son neveu. Si
le pieu de chair qui oscillait doucement devant son visage la surprenait par
sa longueur, au moins deux fois celle de son mari, c'est surtout le diamètre
qui étonna grandement Jeanne. Jamais elle n'aurait imaginé que son tendre
neveu, qu'elle avait maintes fois baigné alors qu'il n'était qu'un
enfant, puisse avec l'âge avoir hérité d'un sexe si énorme. D'ailleurs
jamais elle n'avait imaginé qu'il puisse exister de membre plus important
que celui de son époux. Mais là, devant la réalité de la chose, elle ne put
que constater qu'elle ne savait pas grand-chose sur le sexe des hommes. Il
est vrai qu'elle n'en avait connu qu'un, celui de son mari, qu'elle n'avait
jamais trompé. Si Pierre possédait une verge qu'elle avait toujours
considérée d'une taille suffisante, du fait des jouissances qu'elle lui avai
t procuré, celle de Robert lui apparut démesurée. Une étrange émotion la
saisit en imaginant le plaisir qu'une femme devait ressentir à être
pénétrée par un engin d'une telle dimension.
-- Mon Dieu, mais tu es monté comme un mulet, murmura-t-elle d'une voix
soudain enrouée. C'en est presque effrayant, comment une femme peut-elle
accepter tout ça en elle ?.
-- Tu peux essayer, si tu veux vraiment le savoir, osa alors Robert
-- Oh ! Robert, tu n'y penses pas, protesta Jeanne d'une voix bien timide.
Je suis ta tante.
-- Et alors, au point où l'on en est.
-- Tu es fous, tenta de raisonner Jeanne de moins en moins sure d'elle. Je
veux bien te branler pour te remercier du plaisir que tu m'as donné... Mais
ça, ce n'est pas possible.
Jugeant qu'il valait mieux sans tenir là, pour l'instant, Robert se
contraignit au silence, laissant sa tante ouvrer à sa guise.
Les yeux brillant d'un nouveau désir, Jeanne se laissa alors tomber à
genoux aux pieds de son neveu. Les yeux fixés sur la hampe de chair turgide
qui oscillait doucement à quelques centimètres de son visage, elle referma
ses doigts autour avec émoi.
Sentant la main de sa tante enserrer sa verge, Robert ne put réprimer le
tremblement voluptueux que lui procurait cet attouchement follement
excitant. Tremblement qui ne passa pas inaperçu à sa sensuelle partenaire :
-- Tu aimes, demanda cette dernière ?
Dans un grognement de satisfaction, Robert lança son bas-ventre en avant,
faisant ainsi comprendre à sa tante son désir d'être plus amplement
caressé. Déchiffrant le message, Jeanne entreprit aussitôt d'agiter sa main
refermée, la faisant coulisser de haut en bas le long du membre dressé.
Fixant avec extase, et envie, cette virilité orgueilleuse, elle repoussa
délicatement le prépuce mobile afin de dégager complètement le gland gonflé.
Durant quelques minutes elle activa ainsi ses doigts le long de la puissante
verge tendue, branlant avec un plaisir extrême cette jeune virilité qui la
ramenait trente ans en arrière ; lorsque dans la pénombre d'une salle de
cinéma elle masturbait ainsi celui qui allait devenir son mari, jusqu'à ce
que ce dernier, dans des grognements étouffés lui décharge sa semence grasse
et épaisse dans le creux de la main. Cependant, malgré sa récente
jouissance, Jeanne sentit son sexe s'embraser de nouveau, tandis que dans
son soutien-gorge, ses mamelons se gonflaient un peu plus. Se rappelant
soudain d'une caresse bien précise que son mari appréciait particulièrement
au temps de leurs fiançailles, elle avança sa seconde main pour enserrer le
membre viril tendu entre ses paumes. Pressant tendrement la colonne de chair
gonflée, elle la fit rouler sensuellement tout en continuant à la branler
vivement.
Sous cette caresse nouvelle pour lui, et qui ne fit qu'accroître encore
l'intense désir qui lui taraudait les entrailles, Robert se cambra en
laissant échapper un petit gémissement de contentement. Il lui sembla que sa
verge allait exploser irrémédiablement.
-- C'est bon ? Lui lança Jeanne tout heureuse du résultat de sa
voluptueuse caresse. Tu aimes ?
Ravie de constater combien sa caresse inédite avait troublé son neveu,
elle entreprit de presser plus fortement le gland cramoisi entre ses paumes
qu'elle frotta alternativement d'avant en arrière et de bas en haut. Tout
en branlant ainsi son jeune compagnon, elle fixa le visage de celui-ci pour
y lire le résultat de sa sensuelle masturbation. En connaisseuse elle
devina, à l'expression qui figeait les traits de Robert, que ce dernier
accomplissait un intense effort pour essayer de contenir l'explosion finale
qui le libérerait...
-- Ça vient, questionna-t-elle ?
En guise de réponse, elle n'eut droit qu'à un borborygme. Comprenant alors
que l'instant fatidique approchait, que la délivrance sexuelle n'allait
pas tarder, elle s'empressa d'aspirer l'extrémité cramoisie de la verge
frémissante. Goulûment elle aspira le gland congestionné au fond de sa
gorge, tachant d'absorber entièrement l'impressionnante queue extrêmement
gonflée dans sa bouche. Avec une avidité gourmande, elle entreprit de sucer
l'énorme pal de chair dont l'extrémité venait lui frapper la glotte, la
forçant à déglutir. Et afin d'amener son cher neveu à l'extase finale
rapidement, elle referma ses doigts sur les couilles velues et gonflées
qu'elle pressa délicatement.
Malgré les efforts désespérés qu'il faisait pour retenir l'éjaculation
qu'il sentait sur le point de jaillir, Robert ne put résister longtemps aux
différents attouchements, tous plus affolants les uns que les autres, que
son habile parente lui faisait subir. Agrippant la chevelure de sa tante aux
lèvres terriblement expertes, il l'immobilisa, l'obligeant à garder la
totalité de sa verge dans sa bouche, avant de décharger avec force son
sperme abondant au fond de sa gorge.
Fermement maintenue, le visage collé au bas-ventre de son neveu, Jeanne ne
put qu'avaler précipitamment l'abondante semence virile qui lui emplissait
dangereusement le gosier, déglutissant avec peine, manquant s'étrangler plus
d'une fois. Tels des geysers impétueux, le sperme épais et gluant,
jaillissait par saccades rapprochées du gland tressautant, lui frappait
violemment la glotte avant de s'écouler dans sa gorge en un flot abondant.
Respirant par le nez, Jeanne dut faire de violents efforts pour réussir à
tout avaler sans s'étrangler.
Ce n'est que lorsque sa source intime se fut tarie et que son membre
apaisé commença à perdre de sa rigidité que Robert accepta de relâcher son
éteinte sur le crâne de sa virtuose tante. Cette dernière s'empressa alors
de recracher le gland quelque peu ramolli afin de finir d'avaler les
résidus de sperme qui lui obstruaient encore les voies digestives :
-- Hé bien ! Tu en avais une sacrée réserve ! S'exclama-t-elle. J'ai
bien cru ne pas pouvoir tout avaler. Cela aurait été dommage de perdre une
telle liqueur. Tu jouis toujours aussi abondamment ?
-- En général oui, lui répliqua Robert, éprouvant une certaine fierté.
-- Ça va mieux ? Tu es calmé ? Continua ironiquement Jeanne en se relevant
et en palpant doucement le membre revenu à des dimensions plus normales. Il
fait moins le fier ! Il va être tranquille pour un moment maintenant !
-- Qu'est-ce que tu paries ? S'empressa de répliquer Robert, bien décidé
à abuser encore une fois des bontés de sa tante. Laisse- le se reposer un
instant et tu pourras encore l'utiliser si tu le désires.
-- Eh, qui sait !... Mais pour l'instant je vais me servir un verre de
whisky pour me rincer le gosier. Tu en veux un ?
-- Bien volontiers !
-- Je te l'amène. Mais en entendant range donc ton attirail, il ne
faudrait pas qu'il prenne froid.
Alors que Jeanne versait la liqueur ambrée dans deus grands verres, Robert
réintégra son membre viril désenflé à l'abri de son slip avant de
s'installer sur une chaise près de la table.
-- Voila, je t'ai mis un glaçon, annonça Jeanne en s'approchant avec les
boissons.
Comme Robert récupérait son verre, Jeanne câline vint s'asseoir sur ses
cuisses.
-- Je peux ?
Pour toute réponse Robert lui encercla la taille et lui déposa un léger
baiser dans le cou.
-- A la tienne, mon chéri, murmura Jeanne en portant son verre à ses
lèvres.
-- A nos amours, renchérit Robert, pressant tendrement sa tante contre lui
tout en lui flattant la hanche d'une main câline.
Les deux protagonistes demeurèrent un instant silencieux à savourer leur
whisky, et à reprendre lentement conscience, dégustant avec sérénité cet
instant de tendre bonheur. La première Jeanne rompit ce moment de quiétude.
Posant son verre vide, elle interpella son neveu, malicieuse :
-- Tu sais, tu as bien faillit m'étouffer... Ce n'est pas croyable toute
cette quantité de sperme que tu emmagasines. Ce n'est pas un sexe que tu as,
c'est une véritable lance à incendie, mon chéri. Elle en a de la chance ta
femme d'avoir un tel pompier à disposition.
-- Tu sais tantine, murmura Robert. Je peux bien te l'avouer... Depuis
qu'elle a atteint son sixième mois, Maggy ne veut plus que je la touche.
Elle dit que je risquerais de faire du mal au bébé.
Après un moment de silence dut à la révélation inattendue de son neveu
Jeanne interrogea :
-- Tu veux dire que vous ne faites plus l'amour ?
-- Eh bien non.
Prise soudain d'un élan de compassion pour celui qu'elle avait toujours
considéré comme son fils, oubliant ce qui venait de se passer entre eux
quelques minutes auparavant, Jeanne passa ses bras autour du cou de son cher
petit.
-- Mon pauvre chéri.Je comprends maintenant.
Se laissant alors emporter par l'affection qu'elle portait à ce cher
neveu, elle avança son visage pour l'embrasser, comme elle le faisait,
lorsque enfant, Robert, suite à un gros chagrin devait être consolé. Mais du
fait d'un mouvement fortuit de ce dernier, ses lèvres se posèrent sur celles
du jeune homme. Surprise, Jeanne s'immobilisa, trop émue pour effectuer le
mouvement de recul qu'elle aurait dû faire.
Si Robert fut lui aussi surpris que sa tante, il n'en perdit pas la tête
pour autant. Remontant sa main, qui ceinturait la taille de sa complice,
jusqu'à la nuque de cette dernière, il lui maintint solidement la tête pour
l'obliger à accepter sa langue à l'intérieur de sa bouche. Avec une
exaltation extrême il s'enivra au goût sucré de la salive de sa tante. Avec
autorité il fouilla la cavité buccale parfumée dans ses moindres recoins,
prenant un plaisir extrême à embrasser cette femme dont qu'il avait si
douloureusement désiré lors de son adolescence.
D'abord décontenancé par le baiser auquel elle ne s'attendait pas de la
part de son neveu, Jeanne se laissa vite gagner par la douceur et l'habilité
de cette langue qui frétillait allégrement à l'intérieur de sa bouche.
Oubliant à nouveau les liens qui l'unissaient à ce jeune homme qui
l'embrassait avec une fougue et une passion qu'elle n'avait plus connue
depuis des années, elle se laissa emporter par ses sens de nouveau en émoi.
Enlaçant plus fougueusement son jeune compagnon, elle s'engagea dans ce
ballet terriblement sensuel du baiser. Sa langue retrouva l'agilité de ses
dix huit ans, l'âge où embrasser un garçon était d'abord un apprentissage.
Pris par la passion, Robert accueillit avec bonheur la langue agile de sa
tante dans sa bouche, mais très vite il fut obligé d'accepter le rythme
endiablé que celle-ci lui imposa. Ce fut un baiser plein de fougue où
l'impatience se mêlait à une passion dévorante. Sur ses cuisses où elle
s'était installée, sa tante s'agitait de plus en plus nerveusement ; comme
si un feu interne lui consumait les reins. Ne pouvant rester inactif plus
longtemps, il empauma alors les volumineux seins de sa parente qu'il malaxa
fiévreusement par-dessus le corsage qui les recouvrait, arrachant un
gémissement à leur propriétaire. Gémissement étouffé par l'ardent baiser
qu'ils échangeaient.
Cependant peu à peu, Robert sentit le désir, qui s'était temporairement
assagi, renaître dans ses entrailles. Ce simple baiser, même s'il lui
prodiguait un formidable plaisir sensuel, ne pouvait étancher son besoin de
lubricité. Echappant à la bouche affamée de sa tante, il lui murmura à
l'oreille :
-- J'ai envie de te goûter !
-- Qu'est-ce que tu veux ? Interrogea Jeanne qui n'avait pas compris le
sens des mots de son jeune acolyte.
-- J'ai envie de te lécher !... Je veux te donner du plaisir, de la même
façon que tu m'en as donné tout à l'heure.
-- Oh, non. Ce n'est pas bien mon chéri. Tu n'y penses pas !...
Ne faisant aucun cas des négations de sa sensuelle tante, Robert la saisit
par les hanches pour la repousser jusqu'à la table de bois placée au centre
de la pièce.
Balbutiant doucement de faibles protestations, Jeanne se laissa néanmoins
manoeuvrer par son jeune neveu. Mais sentant le bord de la table heurter sa
croupe, elle ne put s'empêcher une dernière objection :
-- Non ! Robert ! . Ce n'est pas possible. Je suis toute mouillée. par ta
faute. Laisse-moi au moins aller faire un brin de toilette, hasarda-t-elle
avouant ainsi inconsciemment son acceptation.
-- Justement, lui répliqua Robert bien décidé à mettre son projet à
exécution. Je veux moi aussi goûter à ta liqueur.
Incapable de résister à ses sens bouleversés Jeanne laissa son ardent
neveu la coucher sur la table de cuisine encombrée de légumes, un long
frisson de désir lui parcourant tout le corps. Lorsque Robert se saisit de
sa culotte et tenta de lui retirer, elle souleva sa croupe afin de lui
faciliter la tâche, non sans bafouiller :
-- Oh non. Chéri. Il ne faut pas. Ce n'est pas bien.
Sourd aux protestations, bien faibles il est vrai, de sa tante, Robert
fixa comme médusé le bas-ventre qu'il venait de dénuder.
Privée de son cache sexe, Jeanne ressentit une bouffée de honte lui
envahir le visage en imaginant le spectacle qu'elle devait offrir à son
jeune neveu. Dans un geste dérisoire de pudeur, elle porta une main sur son
pubis livré à la concupiscence de son neveu :
-- Non !... Je t'en prie !... Sois sage. Ce n'est pas bien. Je suis trop
vieille pour toi.
Mais si son esprit tentait vainement de se soustraire aux désirs
incestueux de son parent, son corps au contraire s'offrait sans retenues
aux convoitises sexuelles dont il était l'objet.
Ivre d'émotion, Robert porta le slip féminin abondamment humidifié à son
visage, comme un trophée victorieusement gagné, pour se griser des odeurs
épicées qui s'en dégageaient. Le bas du visage enfoui dans la fine culotte,
il repoussa la main qui tentait bien maladroitement de lui cacher l'objet de
son désir. Avec émoi il contempla alors le bas-ventre replet à la chair
laiteuse de sa tante. Son regard s'attarda plus particulièrement sur
l'abondante toison aux reflets roux dont la pointe se perdait entre les
deux cuisses pleines et charnues. Pour la première fois il découvrait la
nudité d'une femme dans la force de l'âge ; d'une femme épanouie au corps
et aux appâts plantureux. Médusé il laissa son regard s'attarder sur les
larges hanches, sur le ventre légèrement rebondi. La luxuriante toison
couleur feu formait un triangle parfait sur le pubis renflé ; triangle dont
la pointe se perdait entre les cuisses potelées encore resserrées comme pour
interdire l'accès à longue fente broussailleuse qui s'y cachait. Lui qui
avait toujours connu sa tante blonde comme les blés, découvrait tout d'un
coup la véritable coloration de cette dernière et cette constatation lui
apporta une nouvelle bouffée de désir. Glissant la culotte chiffonnée dans
sa poche, il força sa parente à replier ses jambes sur son torse en les lui
écartant largement.
-- Oh Robert !. Qu'est-ce que tu fais ? Bégaya Jeanne en acceptant
néanmoins la position terriblement obscène que son neveu lui imposait
La gorge nouée par une certaine angoisse, elle ne put s'empêcher
d'éprouver une incontestable confusion, malgré le désir qui la consumait, à
se montrer dans une telle posture à celui qu'elle avait en quelque sorte
élevé. Mais ses sens bouleversés eurent vite raison de ses états d'âme.
Dans un faible gémissement elle s'abandonna sans retenue aux exigences
sexuelles de son neveu, éprouvant même un certain plaisir à s'offrir ainsi.
Tout à ses désirs pervers, Robert la força à poser ses pieds à plat sur la
table et à écarter ses jambes au maximum, à s'écarteler impudiquement, dans
une posture affreusement éhontée, que seul son gynécologue se permettait de
lui faire prendre Jamais en plus de vingt ans de mariage son mari ne lui
avait demandé de s'exposer ainsi, de manière aussi lubrique.
Terriblement ému par la situation, Robert contempla longuement
l'entrecuisse tapissé d'un épais buisson ardent de sa tante. Au centre de
cette forêt luxuriante, émergeaient les deux grandes lèvres cramoisies et
gonflées de la vulve épanouie. Les deux babines sexuelles délimitaient
l'entrée du plus mystérieux réceptacle charnel, lieu des plus suaves
plaisirs. Se laissant enfin tomber à genoux à même le sol carrelé, tel un
adorateur d'une divinité païenne, Robert insinua son visage entre les
cuisses charnues de sa tante impudiquement offerte à ses désirs. De ses
pouces il écarta les grandes lèvres congestionnées, découvrant les chairs
incarnates et luisantes de la chatte largement épanouie.
Soudain assoiffé de luxure, le jeune homme plaqua sa bouche contre la
faille humide. Avec délectation, il enfonça sa langue dans la cavité
sexuelle torride, léchant avec une gourmandise avide les parois gorgées de
suc vaginal. Tout en lapant le sublime nectar qui suintait de la vulve en
émoi, il s'ingénia à frotter son nez sur le magique bouton féminin qui
avait jaillit de son nid douillet.
Sous ce baiser incroyablement érotique, et qu'elle n'avait plus connu
depuis fort longtemps, Jeanne se cambra convulsivement sur la table de la
cuisine. Prise d'une frénésie sexuelle elle agita violemment son bassin,
lançant passionnément sa chatte en fusion au devant de cette langue agile
qui la fouillait intimement. Incapable de contenir plus longtemps son émoi,
elle laissa échapper un long gémissement avant d'encourager son talentueux
neveu :
-- Oh, mon chéri.C'est bon.Oh, chéri.Chéri. Oh ouii.
Stimuler par les encouragements et les plaintes énamourés que laissait
échapper sa sensuelle parente, Robert appuya un peu plus son luxurieux
baiser. Depuis la commissure inférieure de la longue fente sexuelle, il
remonta lentement sa langue jusqu'au repli supérieur des grandes lèvres, là
où se nichait le merveilleux bouton d'amour. En amant consommé, le jeune
homme s'appliqua à procurer un maximum de plaisir à cette tante qui l'avait
tellement fait fantasmer du temps de son adolescence. Prenant son temps,
sachant par expérience que plus il ferait durer son baiser, plus Jeanne
affolée serait à sa merci, il lécha avec application la vulve suintante.
Avec délectation, il recueillit le jus chaud et épicé qui s'écoulait de
plus en plus abondamment des profondeurs du sexe féminin. Plusieurs fois,
lors de son érotique léchage, sa langue vint fouetter le clitoris fièrement
érigé hors de son nid, arrachant un petit cri de plaisir à sa volcanique
parente. Cette dernière avait replié ses jambes sur son torse, afin de
s'offrir le mieux possible au savoureux baiser, insouciante de ce que sa
pose avait d'obscène. Profitant de l'écartèlement que s'imposait son
impudique tante, Robert lui saisit les fesses à deux mains pour les écarter,
les séparant largement l'une de l'autre afin de s'ouvrir le chemin de
l'orifice anal. Tout en continuant de lécher voluptueusement la longue
chatte ruisselante, il laissa glisser sa langue jusqu'à l'adorable oillet
plissé et copieusement humidifié par les secrétions vaginal, qu'il explora
délicatement. Faisant taire sa propre impatience, Robert alterna longuement
prospections anales et vaginales.
Etendue sur la table de cuisine, les cuisses largement ouvertes,
impudiquement offerte, Jeanne, le corps secoué de spasmes voluptueux,
s'abandonna sans pudeur à l'extraordinaire cunnilingus que lui prodiguait
son talentueux neveu. Il y avait bien longtemps que son mari ne lui avait
dispensé pareil baiser ! Retrouvant un plaisir depuis longtemps oublié, elle
s'offrit sans retenue à la langue agile de son jeune partenaire, rejetant
loin d'elle la pensée de ce que son abandon avait d'incestueux. Retrouvant
avec délectation des sensations dont elle avait perdues le souvenir, elle se
polarisa sur le plaisir qu'elle sentait monter du fond de ses entrailles.
Enfermés dans leur prison de dentelle, ses seins étaient parcourus par
d'intenses frémissements et peu à peu elle sentit ses mamelons se gonfler
douloureusement.
Se contorsionnant voluptueusement sur le plateau de la table de bois,
Jeanne éprouva soudain l'impérieux besoin de presser ses seins douloureux,
afin d'adoucir les élancements que le désir faisait naître dans sa
poitrine. Relâchant ses jambes auxquelles elle était accrochée, elle
empoigna ses volumineuses mamelles pour les étreindre passionnément à
travers le tissu qui les protégeait encore. Au brasier qui se répandait dans
ses entrailles et aux tressaillements de plus en plus nombreux qui lui
parcouraient le bas-ventre et le creux des reins, Jeanne comprit que
l'orgasme n'allait pas tarder à l'emporter sur ses ailes magiques. Relâchant
alors ses seins de plus en plus douloureux, elle saisit le crâne de son
diabolique neveu qu'elle griffa fébrilement. Soudain une violente
jouissance, aussi soudaine qu'inattendue la fit se cambrer furieusement sur
le plateau de chêne. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son
vagin en feu, irradia son bas-ventre, se dispersa dans tout son corps, pour
submerger, tel un raz-de-marée puissant et sauvage ses mamelons sensible. Un
torrent brûlant et incontrôlable surgit des profondeurs de ses entrailles,
dévastant ses chairs intimes avant de jaillir en un flot impétueux d'entre
les grandes lèvres de sa vulve ravagée.
Robert qui venait de mordiller le clitoris dilaté se trouva soudain
surpris par ce flux bouillonnant, qui surgissant inopinément des entrailles
de sa tante lui emplit la bouche. Se saisissant rapidement, il collant
étroitement ses lèvres à l'ouverture béante du sexe ruisselant afin
d'avaler la liqueur magique au goût acre qui en fusait avec force. Sur la
table, sa tante, prise d'une frénésie charnelle, se contorsionnait
fébrilement en poussant les mêmes petits vagissements qu'elle avait lâchés
quelques instants auparavant lorsqu'il l'avait fait jouir en la branlant.
Ivre de luxure, le jeune homme lapa avec gourmandise, les sécrétions
vaginales où l'urine se mêlant à la cyprine formait un brouet au fumet
fortement épicé. Ce n'est que lorsque la source miraculeuse se tarit, qu'il
abandonna alors la vulve humide, ainsi que le clitoris monstrueusement
gonflé. Le bas du visage trempé il se redressa les lèvres luisantes des
humeurs intimes de sa tante.
Toujours étendue sur l'immense table de la cuisine, Jeanne, les yeux
clos, les doigts refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement
ouvertes sur sa chatte trempée, haletait doucement, le bas-ventre encore
agité de frémissements voluptueux.
Longuement Robert la contempla, la trouvant particulièrement émouvante et
désirable dans son abandon sexuel.
Reprenant ses esprits, Jeanne ouvrit les yeux pour découvrir son jeune
neveu debout entre ses jambes écartées qui la fixait avec un regard rempli
de tendresse :
-- C'était magnifique, mon chéri murmura-t-elle. J'étais bien. Tu es un
amant merveilleux.
Mais comme Robert se trouvait debout entre ses cuisses, son regard se posa
sur le membre viril fièrement dressé au bas du ventre du jeune homme.
Stupéfaite de la rapidité avec laquelle ce dernier avait pu retrouver une
telle érection après son éjaculation récente elle s'exclama :
-- Mais tu bandes encore !. C'est pas croyable !. C'est vrai que si tu
ne t'es pas vidé les couilles depuis quelque temps, tu dois avoir des
réserves.
Fier de montrer la force de sa virilité à celle qui quelques années plus
tôt avait été son égérie, Robert empoigna son membre viril et entreprit de
se branler lentement, éprouvant un plaisir pervers à se masturber ainsi sous
le regard de sa tante alanguie. Fixant avec émotion le ventre replet dénudé
au bas duquel l'abondante toison sexuelle aux bouclettes rousses formait un
triangle parfait, il fit aller et venir sa main refermée le long de son
membre viril tendu, décalottant largement son gland de nouveau gonflé.
Toujours allongée sur sa table de cuisine, parmi les légumes en vrac, les
jambes repliées mais largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée l'énorme
bourgeon de chair dilaté. Suivant les mouvements de va-et-vient de la main
de Robert qui se masturbait devant elle, le gland rougeaud disparaissait et
réapparaissait sous le prépuce mobile. La vision de ce gros bouton de chair
tendu dans sa direction et qui semblait la narguer l'excita tellement que
machinalement elle reprit le doux malaxage de sa poitrine, pressant presque
maternellement ses lourdes mamelles.
Le regard attiré par les caresses que se prodiguait sa tante, Robert osa
exprimer un désir vieux de près de vingt ans :
-- Fais-moi voir tes seins !
Sans être spécialement surprise par la demande de son neveu, Jeanne hésita
quand même à contenter son jeune parent, freinée par un reste, bien minime
de pudeur.
-- Tu veux vraiment les voir, mon chéri ?... Tu sais, tu risques d'être
déçu, ils ne sont plus aussi fermes.
Devant ce qui prenait pour une réticence de la part de sa tante, Robert
réédita sa demande en y mettant plus de tendresse :
-- Il y a si longtemps que j'en meurs d'envie. Tu ne peux t'imaginer
combien tes seins ont troublés mon adolescence. Je peux bien te l'avouer
aujourd'hui. Souvent je me suis branlé dans mon lit le soir, en me les
imaginant.
-- Mais. tu n'étais qu'un enfant !
-- Tu sais à treize ans, un garçon commence à être perturbé par le sexe.
Enfin, moi je l'étais. Et la vision de ta grosse poitrine me troublait
énormément.
-- C'est vrai ?... Mon pauvre chéri.
Après un moment de flottement passé à assimiler ce qu'elle venait
d'apprendre, Jeanne jugea qu'elle ne pouvait refuser ce plaisir à son cher
neveu. Après tout ce qu'elle lui avait déjà permis, la vision de ses seins
était bien peu de chose. Et après les merveilleux moments de plaisirs qu'il
lui avait fait vivre, ce n'était qu'un juste remerciement. Aussi c'est avec
une certaine jouissance qu'elle entreprit de déboutonner son chemisier qui
s'écarta de lui-même, dévoilant aux yeux réjouis de Robert les deux
balconnets abondamment remplis du soutien-gorge renforcé. Ne pouvant défaire
l'agrafe de son sous-vêtement mammaire du fait de sa position couchée,
Jeanne se contenta de tirer les corbeilles de dentelle en direction de son
cou, libérant brutalement ses volumineux seins. Privés de leur soutien les
lourdes mamelles s'avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses
élastiques.
Médusé par la vision de cette poitrine monumentale qu'il découvrait
enfin, et qui l'avait tant fait fantasmer du temps de sa jeunesse, Robert
demeura comme pétrifié, cessant même de se masturber. Malgré ce que
laissaient deviner les énormes bosses qui déformaient le devant de ses
corsages, jamais il n'aurait imaginé que sa tante puisse posséder une
poitrine si imposante. Deux masses de chairs laiteuses parsemées de taches
de rousseur, énormes, souples et moelleuses, et terminées par une immense
aréole pourpre. Au centre de cette couronne grenat à la peau granuleuse se
dressait un téton d'une taille étonnamment importante. Maggy, son épouse,
pensa-t-il possédait également une forte poitrine qu'elle maintenait dans
des soutiens-gorge de taille 90 C, et pourtant ses seins paraissaient bien
menue à coté de ceux qu'il avait sous les yeux en ce moment.
Devant l'air médusé de son jeune partenaire, Jeanne se saisit de ses
volumineux appas mammaires à l'aide de ses deux mains, pour les presser
l'un contre l'autre, leur donnant encore plus de volume. Au fond
d'elle-même elle ressentit une certaine jouissance à offrir les énormes
fruits charnus de sa poitrine à son jeune neveu et amant :
-- Alors ?. Ils te plaisent, toujours demanda-t-elle en bombant
exagérément son buste afin de faire saillir ses énormes seins ?. Tu ne les
trouves pas trop gros ?
-- Ils sont magnifiques, réussit à articuler Robert, la bouche sèche et
les yeux rivés sur les énormes mamelons cramoisis.
Quelques secondes passèrent ainsi, chacun des deux protagonistes demeurant
silencieux, à apprécier cet instant d'intense bonheur : bonheur pour Jeanne
d'offrir ses appas a celui pour qui elle éprouvait un véritable amour
maternel ; bonheur pour Robert de pouvoir enfin contempler ces merveilleux
fruits charnels qui l'avait tant fait rêver.
Ce fut Jeanne qui la première rompit ce silence :
-- Tu ne veux pas les embrasser ? Roucoula-t-elle prise d'un désir
soudain. Regarde comme ils sont gonflés !.
Ne demandant pas mieux, Robert ne se le fit pas répéter. Se penchant sur
les admirables seins gonflés que sa sensuelle tante lui offrait
généreusement, il referma ses lèvres sur l'un des tétons aussi raides que
sa verge, qu'il se mit à sucer avec une délectation troublante.
-- Oh oui !. Gémit aussitôt Jeanne, éprouvant un délicieux plaisir à être
ainsi tétée. Hhuumm c'est bon !
Retrouvant ses instincts de nourrisson, Robert pressa fortement ses lèvres
autour du mamelon gonflé, l'aspirant fortement dans sa bouche, comme s'il
avait voulu en extraire le lait nourricier. Du bout de la langue il titilla
l'extrémité du téton dressé.
Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne lâcha ses
volumineux appas pour refermer ses doigts dans la chevelure de son jeune
partenaire, l'attirant fiévreusement contre son sein, comme elle l'aurait
fait avec un bébé qu'elle aurait allaité.
-- Oh oui !. Murmura-t-elle d'une voix langoureuse. Tête-moi bien mon
chéri!. Oh, mon bébé. Tête bien ta tatie. Plus fort, mon chéri. Oh, c'est
bon.
Ainsi encouragé, Robert s'acharna sur le bout de chair que le désir
raidissait, le pressant entre ses lèvres, pour bientôt le mordiller
délicatement.
Sous cette morsure, Jeanne, comme à chaque fois que l'on s'en prenait à
ses tétons, sentit un intense frémissement lui parcourir tout le corps, lui
embraser les creux des reins et le bas-ventre. Se cambrant convulsivement
elle cria son plaisir :
-- Ooohhh oui ! Encore !... Oui ! Ooohh oui !... C'est si bon.. Continue
mon chéri!. Oui !
Le désir qu'elle croyait assoupi grâce à ses précédents orgasmes irradia
de nouveau tout son corps, depuis ses mamelons douloureux jusqu'à son sexe
bouillonnant. Comme animé d'une vie propre son bas-ventre commença à
s'agiter sensuellement à la recherche d'un sexe masculin qui le
pourfendrait et calmerait le feu interne qui le consumait. Dans les
profondeurs de son vagin, le brasier qui s'était quelque peu assagi suite à
ses précédentes jouissances, s'était réveillé et embrasait de nouveau ses
entrailles. Jamais elle n'avait éprouvé un tel bonheur sexuel ; jamais non
plus son mari ne lui avait prodigué pareil traitement, à part peut être lors
de leur lune de miel, trente ans plus tôt.
Conscient des ravages sexuels qu'il causait dans le corps de sa
volcanique tante, Robert s'acharna sur les seins gonflés, les tétant
passionnément. Passant alternativement d'un sein à l'autre, il en léchait
les mamelons boursouflés avant de mordiller délicatement les tétons raidis.
Les plaintes et les supplications de plus en plus véhémentes de sa parente
surexcitée montaient à ses oreilles comme une délicieuse mélodie,
l'encourageant dans sa frénésie sexuelle.
-- Oh mon chéri. Tu me rends folle. Tu es un démon. Ooohhh. Arrête. Je
vais encore jouir. Non ! Chéri, je t'en prie !... Ooohh noon.
Ayant compris que les mordillements qu'il infligeait aux tétines de chair
érigées, procuraient à sa tante un plaisir particulièrement ardent, il
s'acharna plus particulièrement sur les bourgeons érigés. Serrant fortement
ses dents autour de l'éminence de chair dressée, il le mordit franchement.
Aussitôt Jeanne se cambra frénétiquement, tandis que de sa gorge une longue
plainte s'élevait. Pareil à un jeune chiot, Robert s'acharna alors sur les
tétines érigées et durcies, les mordillant et les secouant frénétiquement,
arrachant de véritables cris à sa sensuelle partenaire. Désirant alors
constater l'état dans lequel se trouvait sa tante, il plongea sa main droite
entre les cuisses largement disjointes de celle-ci. Immédiatement, sans
avoir à tâtonner bien longtemps, son index et son majeur accolés
s'enfoncèrent dans un magma brûlant. De la chatte béante de sa tante un
véritable flot incandescent s'écoulait, pareil à un torrent de lave
s'échappant d'un cratère en éruption. Frottant de son pouce le clitoris
émergeant de sa tanière, il pistonna allègrement la vulve en fusion dans un
bruit de clapotis des plus érotique.
Ivre de luxure sous ces attouchements plus voluptueux les uns que les
autres, Jeanne se démenait en tout sens, la main droite appuyée sur la nuque
de son démoniaque neveu, afin de l'encourager à la téter, la gauche
emprisonnant et guidant le poignet qui s'activait entre ses cuisses.
Mais si ces caresses mammaires excitaient Jeanne au plus haut point, la
faisant se contorsionner lascivement sur la table de cuisine, tel un ver
sectionné en deux, il en était de même pour Robert dont le membre frémissant
réclamait sa part de câlineries.
Ne pouvant résister plus longtemps au désir qui lui gonflait
douloureusement les couilles, Robert abandonna alors les énormes mamelles
luisantes de sa salive et devenues cramoisies sous ses morsures, pour se
redresser. Oubliant le lien de parenté qui l'unissait à la femelle
impudiquement offerte, cuisses ouvertes face à lui sur la table, il présenta
sa verge roide à l'entrée de la chatte rousse abondamment velue.
Sentant le puissant gland frôler les grandes lèvres de sa vulve en feu,
Jeanne ne put contenir le frisson de contentement que lui procura ce
frôlement érotique :
-- Oh oui, gémit-elle.
Mais malgré l'intense désir qui la torturait et dont elle espérait enfin
être calmée, Jeanne prit soudain conscience, dans un sursaut de lucidité,
que le mâle qui se calait entre ses jambes pour la pénétrer de sa queue
bandée était le neveu de son mari ; ce garçon qu'elle avait pratiquement
élevé, qu'elle avait chéri comme son propre enfant. Elle ne pouvait accepter
cet accouplement incestueux. Aussi, avec un sanglot de déception, elle
s'empressa de placer une de ses mains devant sa chatte enfiévrée pour
empêcher l'énorme bourgeon de chair masculin d'y pénétrer. D'une voix que
le désir rendait défaillante, elle tenta de repousser son entreprenant neveu
:
-- Non, Robert !. Il ne faut pas !. C'est pas bien !. Laisse-moi !. Je
t'en prie !
Trop excité pour se conformer aux prières de sa tante, Robert réussit sans
trop de mal, à repousser la main que cette dernière plaçait devant l'entrée
de son sanctuaire secret. Avant qu'elle ne puisse de nouveau lui fermer
l'accès, il présenta son gland dilaté entre les grandes lèvres gonflées et
juteuses.
-- Oh non, gémit une nouvelle fois Jeanne d'une voix vaincue.
Comprenant qu'il avait gagné la partie, éprouvant un plaisir infini,
Robert enfonça lentement son bourgeon de chair dans la vulve ruisselante de
sa tante, sans n'avoir à forcer tant cette dernière possédait une chatte
exceptionnellement vaste et abondamment lubrifiée. De nouveau il fut
extrêmement surpris de découvrir combien la femme de son oncle possédait un
vagin spacieux. Malgré la taille pourtant importante de son membre viril, il
eut l'impression de flotter dans cet antre démesuré.
Pendant tout le temps que dura la pénétration de la longue queue dans son
vagin bouillonnant, Jeanne ne cessa de gémir :
-- Non ! Oh non !. Je t'en prie, ce n'est pas bien ! . Non arrête, s'il
te plait !. Je te sucerai si tu veux. Non ! Oh non !.. Ohhh.
Le choc voluptueux du gland congestionné contre le fond de son vagin lui
procura une telle jouissance que Jeanne cessa de lutter, acceptant sans plus
réfléchir cet accouplement incestueux. Sous les coups de boutoirs que
commença à lui dispenser son neveu, une fois qu'il se fut complètement
introduit dans sa vulve, la malheureuse se trouva dans l'incapacité de
raisonner. Ses sens exacerbés réclamaient un apaisement rapide. Le
va-et-vient puissant et régulier de la longue verge entre les parois
juteuses de sa vulve, transforma son sexe en un centre de plaisir, d'où
prenaient naissance des milliers d'ondes voluptueuses qui irradiaient les
différentes zones érogènes de son corps. Ses faibles protestations se
transformèrent très vite en gémissements langoureux, qui évoluèrent en des
vagissements ininterrompus. Sous les vigoureuses pénétrations du membre
viril dans son vagin brûlant, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un
mince filet chaud et abondant s'écoula de sa chatte investie et ardemment
fouillée pour se perdre dans la longue raie séparant ses fesses charnues.
Les mains agrippées aux larges hanches potelées de sa tante, qui les
jambes à l'équerre, avait de nouveau empoigné ses énormes seins pour les
presser fiévreusement, Robert s'agita avec de plus en plus de frénésie
entre les cuisses féminines frémissantes. Dans un rythme effréné, il fit
coulisser sa verge raidie dans le magma brûlant du vagin incandescent,
éprouvant un intense plaisir à sentir cette chaleur enveloppée son membre.
Mais vu l'ampleur de la cavité sexuelle qu'il harcelait de son pieu de
chair, il ne tarda pas à se rendre compte que s'il éprouvait un certain
plaisir à sentir son membre naviguer dans cette fournaise humide, il ne
ressentait pourtant pas le frottement terriblement affolant des chairs
internes de la vulve contre sa verge, tellement la cavité sexuelle de sa
partenaire était dilatée.
Cette constatation lui fit soudain douter du plaisir qu'il pouvait donner
à sa tante. Son oncle pensa-t-il, devait posséder un membre d'une grosseur
peut commune pour pouvoir investir et amener son épouse dotée d'un sexe si
large à l'orgasme. Le corps en sueur il continua à se démener, mais en
imprimant à ses hanches un mouvement giratoire, de manière à frotter son
gland gonflé contre les parois évasées du vagin torride.
Mais malgré les gémissements de plus en plus prononcés de sa tante, il fut
pris de doute sur sa capacité à réussir à faire jouir celle-ci. Aussi se
déchaîna-t-il dans le large fourreau sexuel, le pistonnant avec une
véritable rage dévastatrice, s'acharnant désespérément à procurer enfin
l'orgasme libérateur à sa parente.
Mais alors qu'il se démenait dans une cadence effrénée, martelant
furieusement la croupe tendue de sa compagne de son bas-ventre, il remarqua,
posés sur la table, prés du corps allongé de sa tante, divers légumes que
Jeanne devait préparer avant son arrivée. Parmi ceux-ci son attention fut
particulièrement attirée par un poireau d'une grosseur surprenante. Le
corps de cette plante potagère devait mesurer une cinquantaine de
centimètres et son diamètre devait être le double de son membre viril. A la
vue de ce légume aux dimensions peu communes, une idée perverse lui traversa
alors l'esprit. Jugeant l'étonnant poireau avec ses racines dressées apte
par ses dimensions à remplir le vagin démesuré de sa sensuelle tante, et de
ce fait pouvant lui apporter rapidement l'orgasme qu'elle attendait, il
décida d'utiliser cet artifice végétal pour amener sa chaude parente à
l'orgasme final. Décidant aussitôt de mettre son idée perverse en pratique,
Robert se dégagea du sexe spacieux et dégoulinant de la femme de son oncle.
Sentant le membre gonflé se retirer complètement de son vagin
bouillonnant, Jeanne éprouva un sentiment de frustration. Contrairement à ce
que Robert pensait, elle éprouvait un vif plaisir sous la furieuse
pénétration dont elle était victime. Il y avait si longtemps que son mari,
vu son âge, ne lui avait l'amour, que ses sens depuis longtemps mis en
veille, s'étaient immédiatement réveillés sous les frottements actifs du
gland volumineux. Ses glandes intimes s'étaient ranimées, dégorgeant en
abondance leurs sèves brûlantes. Les zones érogènes qui tapissaient
l'intérieur de sa vulve avaient retrouvées toutes leur fonctions, émettant
leurs ondes voluptueuses dans les moindres recoins de son organisme. Aussi
le retrait du pal de chair de son vagin, créa chez Jeanne une terrible
déception.
-- Pourquoi, gémit-elle ?... C'était si bon !. Reviens !...
-- Attends, la rassura Robert. Ça va être encore meilleur !
Surprise par cette affirmation, Jeanne observa son neveu, curieuse de
connaître les intentions de celui-ci. Le voyant choisir minutieusement le
poireau le plus gros et le présenter entre ses cuisses écartées, son cour
s'accéléra soudainement, comprenant tout d'un coup le projet pervers que
Robert avait conçu. Surprise et mais étrangement excitée, elle découvrait
une face de son neveu qu'elle n'aurait jamais imaginée
Le long légume à la main, Robert s'était de nouveau placé entre les
cuisses que sa tante avait gardé grandes ouvertes, et qui les yeux brillants
d'une lueur nouvelle, suivait le moindre de ses mouvements. La gorge nouée
par la perversité de son geste, le jeune homme présenta l'extrémité du
poireau dardé de ses racines contre la fente béante de sa parente attentive.
-- Oh, chéri !. Qu'est-ce que tu fais ? Tenta de protester Jeanne sans
beaucoup de conviction, attendant avec émotion que son neveu introduise le
légume dans sa chatte ruisselante.
Maintenant fermement l'énorme légume, Robert entreprit d'en frotter
d'abord l'extrémité barbue le long de la vulve écartée et luisante de
cyprine de sa tante ; insistant plus particulièrement sur le clitoris
vermillon monstrueusement gonflé, qu'il stimula en le fouettant à l'aide
des souples racines.
Frissonnante de désir, follement excitée par la situation, Jeanne tendit
son bas-ventre en direction du légume qui lui flageolait le bouton, en
gémissant sourdement.
-- Humm, c'est étrange, murmura-t-elle. Mais je dois reconnaître que c'est
bon.
Ravi du résultat obtenu, Robert appuya un peu plus sa caresse, insistant
vicieusement sur le clitoris dilaté, le cinglant à l'aide des radicelles
dures et souples en même temps du légume. Des spasmes nerveux agitèrent le
bas-ventre de sa bienheureuse victime.
Jeanne, dont tout le corps était parcouru d'ondes érotiques, referma ses
doigts sur ses seins volumineux qu'elle entreprit de presser et de malaxer
suivant les vagues voluptueuses qui la submergeaient. Se laissant emporter
par l'étrange plaisir qui l'envahissait progressivement, elle agita
langoureusement ses hanches, lançant désespérément sa vulve à la rencontre
du légume qui lui agaçait le clitoris. Cette caresse, nouvelle pour elle et
à laquelle elle n'aurait jamais songée, ne tarda pas à l'affoler au point de
lui faire perdre toute retenue. Impatiente soudain de sentir un corps, quel
qui soit s'enfoncer dans son vagin en fusion, elle replia vivement ses
jambes contre son torse, en s'écartelant impudiquement ; offrant ainsi
l'affolante vision des chairs intimes de sa chatte béante à son tourmenteur
:
-- Je t'en prie, sanglota-t-elle. J'ai trop envie !. Je veux sentir ta
queue dans mon ventre !. Viens, mon chéri !. Viens me la mettre !.Je t'en
supplie. Regarde comme je suis mouillée !.
Mais contrairement à ce qu'elle désirait, ce n'est pas son membre au
gland toujours aussi dilaté que Robert présenta à l'orée de sa vulve béante
et ruisselante de désir.
La gorge nouée par l'émotion, à la pensée de ce qu'il allait oser,
Robert appuya le bout arrondi de l'énorme poireau entre les lèvres
luisantes de la chatte qui palpitait dans l'attente de la pénétration.
Celles-ci s'écartèrent graduellement sous la poussé qu'il imposa au
légume. La vulve avala lentement l'énorme légume qui s'enfonça dans les
profondeurs du vagin dilaté, comme aspiré par le mystérieux orifice sexuel
féminin. Bientôt, seules les longues feuilles vertes émergèrent du sexe
dilaté, la totalité du corps lisse et blanc du poireau étant enfoui dans le
ventre de sa tante. Terriblement excité par le spectacle extraordinairement
obscène de ce monstrueux légume profondément planté dans le sexe dilaté de
sa parente, Robert activa alors le poireau, le faisant coulisser dans le
gouffre sexuel de sa partenaire, tout en lui imprimant un mouvement de
rotation alterné.
Sous cette énorme pénétration végétale, Jeanne ne tarda pas à haleter
sensuellement, la vulve entièrement comblée par l'énorme légume, qui tout
en la fouillant intimement lui flagellait l'intérieur du vagin à l'aide de
ses racines souples. Hagarde elle fixa son neveu, n'en revenant pas de la
perversité de celui-ci.
-- Alors, tu aimes, interrogea Robert au comble de l'excitation.
Pour toute réponse, Jeanne émit un grognement de contentement qui se
transforma aussitôt en un véritable râle de plaisir, sous la soudaine
accélération que Robert imprima à l'énorme poireau. Dans un mouvement
saccadé du poignet, Robert avait entrepris d'enfoncer le plus loin possible
dans le vagin, l'énorme poireau maintenant imprégné de liqueur vaginale.
Sous cette vigoureuse pénétration, Jeanne ne tarda pas à ressentir les
prémices de la jouissance. Ses petits cris se transformèrent peu à peu en
des vagissements entrecoupés d'encouragements en termes crûs :
-- Oh oui ! . Plus fort ! . Oh, que c'est bon !... Oh mon chéri, tu me
défonces. Je le sens jusqu'au fond du ventre. C'est terrible... Oh oui !...
Vas-y ! Bourre-moi à fond !
La gorge nouée, Robert n'en croyait pas ses oreilles. Jamais, aussi loin
qu'il s'en souvienne, il n'avait entendu sa tante se permettre un écart
de langage. Aujourd'hui il découvrait une nouvelle femme : une femme
esclave de ses sens, que le plaisir poussait à s'exprimer en des termes
d'une vulgarité extrême, et qui oubliant leur lien de parenté n'hésitait
pas à l'encourager à lui procurer ce plaisir après lequel elle courrait
depuis une demi-heure. Tout en fixant d'un oil excité le va-et-vient
accéléré du monstrueux légume entre les grandes lèvres sexuelles distendues,
il s'interrogea sur la possibilité que sa tante utilise ce genre de
godemiché végétal pour assouvir ses besoins. Désirant en avoir la
confirmation, il abandonna l'énorme poireau, dont tout le corps se trouvait
profondément fiché dans le vagin de sa parente :
-- A toi, lança-t-il à cette dernière, qui le fixait d'un air égaré.
Branle-toi ! .
Et afin de faire comprendre à sa sensuelle parente ce qu'il attendait
d'elle, il s'empara d'une de ses mains qu'il obligea à se refermer sur le
phénoménal légume qui jaillissait hors de sa chatte béante et ruisselante de
sécrétions luisantes.
-- Vas-y, branle toi, se répéta-t-il
Incapable de raisonner sereinement du fait de l'excitation qui l'habitait,
dû à tout ce que son neveu lui avait prodigué depuis sa venue, Jeanne
referma ses doigts autour du monstrueux poireau en balbutiant :
-- Oh mon Dieu, gémit-elle d'une petite voix. Ce que tu me fais faire !
Le corps moite d'une sueur érotique, Jeanne dut néanmoins s'avouer qu'elle
éprouvait au fond d'elle-même, un plaisir pervers à accéder aux désirs
pervers de son jeune compagnon. Maintenant fermement l'énorme poireau, elle
entreprit alors de le faire coulisser doucement entre les grandes lèvres de
sa vulve trempée. Et elle dû reconnaître qu'elle éprouva une réelle
délectation sensuelle à se pistonner les entrailles à l'aide du légume.
-- Oh, mon chéri, tu es démon. Tu te rends compte de ce que tu me fais
faire. Qu'est-ce que tu vas penser de moi ?... Je me branle avec un poireau.
Jamais je n'aurais imaginé que je ferai une chose pareil.Et c'est toi qui me
la demandé.
-- Ce n'est pas agréable ? Ça ne te plait pas ?
-- Je n'ai pas dis ça. Au contraire c'est presque aussi bon que ta queue.
-- Alors continue !...Je te trouve terriblement excitante dans cette
position !...
-- Ça t'excite, hein mon cochon, de voir ta tante se fourrer un poireau
dans la chatte, répliqua Jeanne après avoir jeté un coup d'oil entre ses
cuisses en direction de son lubrique de neveu.
En effet, Robert, debout face à sa tante allongée sur la table, fixait
d'un air extasié le va-et-vient du légume dans le sexe dilaté de sa
compagne, tout en se masturbant d'une main assurée.
La vision de son pervers neveu occupé à se branler, joint au plaisir que
l'énorme poireau lui dispensait, amena rapidement Jeanne au summum de
l'extase. Peu à peu sous l'euphorie sexuelle qui l'avait saisie, elle
accéléra le mouvement de va-et-vient de son poignet, se ramonant le vagin
avec frénésie et avec une soif évidente d'atteindre l'orgasme. Oubliant
totalement de ce que sa position, et surtout son activité avaient d'obscène,
elle s'abandonna complètement au plaisir qui la faisait haleter bruyamment,
se pistonnant la chatte avec fougue.
Considérablement excité par le spectacle de sa tante se masturbant à
l'aide d'un légume, Robert qui se branlait d'une main alerte, suivait d'un
oil alléché le va-et-vient rapide et rythmé du monstrueux poireau
s'enfonçant dans le sexe extraordinairement dilaté. Mais très vite le jeune
homme jugea que sa masturbation ne lui convenait plus, en regard de ce qui
s'offrait à lui.
Vu la posture que sa tante avait adoptée pour se pénétrer, les cuisses
largement écartées et repliées sur son torse, elle lui présentait sa large
croupe charnue dans toute sa splendeur. Devant ce cul rebondi, Robert fut
pris d'un désir soudain. Le minuscule orifice brun et plissé que la position
écartelée de sa parente dévoilait entièrement attira irrémédiablement son
regard. L'orifice anal luisant de secrétions vaginales semblait palpiter
doucement sous les coups de boutoirs que Jeanne se dispensait allègrement.
Plus rien alors ne compta pour Robert que ce désir impérieux qui l'avait
saisi : pouvoir enfoncer sa queue extrêmement tendue dans ce second orifice
que sa tante lui offrait aussi impudiquement. Il était certain de trouver ce
conduit anal plus étroit que le vagin dans lequel il avait si aisément
navigué quelques minutes plus tôt, et plus à la mesure de son membre gonflé.
Terriblement ému à l'idée d'enculer sa tante, cette femme qui l'avait
tendrement élevé, et qui sans le savoir avait fait naître ses premières
érections, il s'avança vers la vaste croupe tendue, dirigeant le bout
mafflu de sa queue gonflée en direction du petit trou convoité.
Recherchant désespérément la jouissance qui la délivrerait de ce feu
interne qui la consumait, Jeanne se pistonnait vigoureusement la chatte.
Tout ce qui l'entourait n'existait plus, seul son besoin de jouir
l'obsédait. Si bien qu'elle ne s'aperçut pas immédiatement, malgré le
frôlement qu'elle percevait dans sa raie des fesses, des motivations
perverses de son neveu.
L'anus abondamment lubrifié par les abondantes sécrétions qui
s'écoulaient du vagin fouillé par le godemiché végétal, luisait
d'humidité. Aussi lorsque Robert y appuya son gland, celui-ci, malgré sa
dimension extraordinaire s'enfonça avec une facilité déconcertante dans ce
profond et mystérieux conduit.
-- Oh salaud ! S'exclama Jeanne sous cette pénétration anale à laquelle
elle ne s'attendait pas... Tu me l'as mise.
Surprise par cette initiative de son neveu, Jeanne en oublia un instant sa
voluptueuse masturbation afin de goûter pleinement cette extraordinaire
sodomisation. En plus de vingt ans de mariage, jamais, Pierre son époux,
n'avait tenté la moindre approche du coté de cet orifice secondaire. Et de
son coté, même si quelques fois le désir d'essayer cette pénétration lui
était venu à l'esprit, elle avait gardé secret cette envie, n'osant la
proposer à son époux. A cinquante trois ans, elle découvrait l'étrange
sensation que procurait un membre masculin s'enfonçant dans ses intestins.
Elle était pour ainsi dire encore vierge de ce coté là ; et celui qui le
premier explorait ses entrailles était le garçon qu'elle aimait le plus au
monde, son fils adoptif. Les yeux hagards, tous les sens en alertes, elle
fixa intensément son ardent neveu, prête à le freiner si elle ressentait la
moindre douleur.
La maintenant solidement par les hanches, Robert, dans un puissant coup de
reins, lui planta la totalité de son membre dilaté dans les entrailles. La
violence de la pénétration lui arracha un long cri qui retentit dans la
pièce, tandis que tout son corps se cambrait frénétiquement.
Fixant le visage de sa victime, afin d'y lire les émotions qu'elle
ressentait, Robert commença alors à enculer cette dernière d'un ample
mouvement des reins. Sa verge coulissait avec une facilité déconcertante
dans les intestins souples de sa tante, lui procurant un plaisir extrême.
Ahanant sous les va-et-vient du membre viril qui naviguait dans son cul
élargi, Jeanne reprit alors sa perverse masturbation avec encore plus
d'ardeur, dans une ivresse sexuelle décuplée par le fait d'être sodomisé.
Entre la mince paroi qui séparait le vagin des intestins, Robert sentait
avec un délice immense, l'extrémité du poireau qui plongeait en cadence
dans la vulve, heurter son membre viril, lui procurant ainsi un plaisir
infini... Durant plus d'un quart d'heure il encula ainsi sa tante, lui
arrachant de véritables cris de jouissance à chaque nouvelle pénétration. Le
foutre brûlant qui s'échappait en flots irréguliers de la chatte barattée
par l'énorme poireau, coulait en un mince filet le long de la raie des
fesses, pour venir finalement lubrifier sa verge, facilitant encore
l'introduction anale.
Bientôt la pièce résonna des cris langoureux de Jeanne et des grognements
de Robert, témoignant de l'approche imminente de leurs jouissances
communes.
Esclave du plaisir qu'elle sentait monter de ses entrailles labourées,
Jeanne avait cessé d'agiter le godemiché végétal à l'intérieur de son
vagin en fusion, toute attentive aux ondes sexuelles que lui dispensait le
membre viril de son neveu coulissant avec régularité entre ses fesses
écartées.
Enfin, le corps en sueur, le souffle précipité, Robert sentit le plaisir
envahir son bas-ventre, gonfler un peu plus sa virilité. Percevant aux
frémissements avant coureur qui agitèrent son membre que l'éjaculation
libératrice n'allait pas tarder, il se retira précipitamment d'entre les
fesses de sa tante. Maintenant son membre viril d'une main ferme, il fixa
avec extase l'affolant trou du cul demeuré béant et dilaté après son
retrait. Et comme de son gland turgide jaillissaient enfin les premières
salves blanchâtres, il visa adroitement l'anus grand ouvert, l'aspergeant
copieusement de son sperme épais et abondant. Un étrange plaisir le saisit à
contempler l'orifice anal de sa tante souillé par sa semence blanchâtre. Au
même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouit à son tour,
dans une contorsion extraordinaire de tout son corps.
Au bout d'un long moment, les deux amants reprirent enfin leurs esprits.
Lentement, Jeanne retira l'énorme poireau de sa vulve trempée, qu'elle
reposa sur son ventre encore parcouru de spasmes.
-- Tu sais c'est la première fois, murmura-t-elle d'une petite voix.
-- La première fois ? L'interrogea Robert surpris, ne comprenant pas ce
que sa tante tentait de lui expliquer.
-- C'est la première fois que je trompe ton oncle. Tu me crois ?
-- Ou. Oui bien sur, bégaya Robert soudain dégrisé.
-- Et c'est aussi la première fois que je. je fais l'amour. de ce coté.
-- C'est la première fois que tu te fais. enculer ? S'étonna Robert,
stupéfait.
-- C'est vrai, continua Jeanne confuse. Tu es mon premier amant. et le
premier à me prendre par derrière.
-- Tu le regrettes ?
-- Oh, non, je ne le regrette pas, c'était tellement bon. Il y a
longtemps, tu sais que je n'avais autant joui. Je n'aurai jamais pensé que
ce soit aussi bon de ce coté là. Et toi ? Tu as été heureux ?
-- Oui pour moi aussi ça été fabuleux, s'empressa de répondre Robert,
comme pour rassurer sa tante. Moi aussi, je n'avais jamais connu un tel
plaisir.
Alors, se redressant de sa position couchée Jeanne s'accrocha au cou de
son neveu qui venait de lui faire connaître ce merveilleux orgasme et
l'embrassa tendrement du bout des lèvres :
-- C'est vrai ?. Tu as vraiment été heureux ? Questionna-t-elle surprise
et ravie en même temps. Pourtant ta femme est bien plus jeune que moi.
-- Peut-être, mais comme je te l'ai dis, depuis qu'elle est enceinte, elle
ne veut plus que je lui fasse l'amour.
-- Même par derrière ?... Tu sais si tu veux recommencer, tu peux revenir
quant tu veux. Du moins tant que ta femme te refusera de te calmer.
Attendri par cette offre, Robert attira sa tante à lui et collant ses
lèvres aux siennes l'embrassa passionnément, lui fouillant la bouche de sa
langue agile, bien décidé à renouveler cette première aventure sexuelle.
-- Je t'adore tantine.
-- Moi aussi, mon chéri, je t'aime.
Fulvia.
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