TITRE : Tata jeanne I
Catégorie : 
Plaisir Solitaire

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Cette année là, nous étions partis en vacances dans une jolie maison de l’arrière-pays provençale. La haie qui entourait le terrain empêchait tout vis-à-vis et nous pouvions profiter de la piscine en toute tranquillité. Nous étions cinq à partager ce petit coin de paradis : mes parents, mon petit frère Louis âgé de dix ans, ma tante Jeanne et votre narrateur âgé de dix-huit ans.

Nous passions nos journées au bord de la piscine, je sortais très peu de la maison car je ne connaissais personne de mon âge dans la région. Pourtant je ne m’ennuyais pas du tout, je restais avec ma tante Jeanne avec qui j’entretenais de très bon rapports. Jeanne était une femme de 33 ans. Un après-midi, après déjeuner, mes parents proposèrent d’aller se promener dans le village voisin. Cette proposition ne nous emballa guère car nous préférions ma tante et moi, lézarder au bord de la piscine. Mon petit frère, lui était très content de pouvoir se balader avec mes parents. Ils partirent donc tout les trois, nous laissant ma tante et moi au plaisir de la bronzette. Il faisait vraiment très chaud, j’étais sur une chaise longue au bord de la piscine en train de lire une revue sur le basket-ball alors que ma tante était assise sur sa serviette et se passait délicatement de la crème pour se préparer à sa séance quotidienne.


Je ne pouvais m’empêcher de jeter de petits coups d’oeil lorsque ma tante s’étalait ce liquide laiteux sur le haut de sa poitrine mais très vite je me forçais à replonger dans ma lecture.

- Aujourd’hui, je pense que nous allons bien bronzer ! Me lança-t-elle.
- Oui, je pense que ce soir nous aurons de belles marques de maillot ! Répondis-je.

Elle stoppa son activité un bref instant et me regarda d’un air pensif et hésitant, puis elle me dit :

- Écoute Simon, étant donné que nous ne sommes que tous les deux, est-ce que ça te gêne si je retire le haut. J’aimerais, pour une fois bronzer sans marque.

Mon sang ne fit qu’un tour, je répondis un "non", en essayant d’être le plus naturel possible, sans trahir mon état d’excitation.
Elle dégrafa donc son soutien-gorge et libéra ses deux globes qui jaillirent en présentant à mes yeux deux larges auréoles rosées, supplantées de deux jolies tétines qui pointaient dans mon sens. Je détournai rapidement mon regard sur ma revue, de peur que ma tante s’aperçoive que son neveu ne valait pas mieux que tous ces pervers qui la regardaient avec insistance sur la plage.


Mon coeur battait la chamade, je n’arrivais plus à lire les articles, il fallait que je me calme absolument. Mais ma séance de "yoga express" fut vite interrompue par le doux timbre de voix de Jeanne :

- Simon, j’ai encore un petit service à te demander mais promis, après je ne t’embête plus.

Doucement, je tournai la tête vers elle, en espérant ne pas voir ses petites tétines qui me perturbaient à un point !! Ouf, elle s’était allongée sur le ventre.

- Mais tu ne m’embêtes pas, qu’est-ce que je peux faire ?
- Ah, tu es un ange, peux-tu me passer de la crème dans le dos s’il te plait ?

Et moi qui commençait tout juste à calmer mes ardeurs, voici une nouvelle épreuve. Je me levai, m’agenouillai à ses côtés et commençai à répandre le liquide sur son dos en la massant délicatement.

- Hum, tu es très doué Simon.

Mon coeur tambourinait dans ma poitrine et j’avais toutes les peines du monde à cacher mon état.

- Les jambes aussi SVP.

Sans dire un mot, je m’exécutai et commençai à masser ses mollets, puis ses cuisses tout en m’imaginant toutes sortes de scénarios tout droit sortis des films X de ma collection perso. Soudain, un évènement m’arracha brusquement de mes rêveries cochonnes... Du bout du doigt, je venais d’effleurer l’entrecuisse intime de ma tante, ce qui lui avait provoqué un petit sursaut. J’étais tétanisé, je sentis mon visage devenir rouge écarlate et, péniblement, je pus dire quelques mots d’une voix tremblotante :

- Excuse-moi !
- C’est rien, me dit elle tout simplement.

Je continuai donc mon massage et peu à peu, la gêne fit place à l’excitation. Si bien que je laissai, par moment, mes doigts traîner sur le côté de ses seins. Mais très vite, ce petit jeu entraîna une modification du relief de mon caleçon de bain. Je ne pouvais pas continuer ainsi car tôt ou tard, ma tante allait s’en apercevoir et j’allais mourir de honte. Je décidai donc de m’éclipser rapidement dans ma chambre afin de me soulager tranquillement devant un film porno que j’avais apporté en prévision de moments de solitude.


Je m’installai sur mon lit et commençai à me branler doucement devant une scène de lesbiennes aux gros seins. Pourtant, si le spectacle était aguichant, mon esprit restait prisonnier de l’image des seins de ma tante. Soudain, j’entendis la voix de Jeanne juste derrière ma porte qui m’appelait tout en entrant. J’eus juste le temps de remettre ma verge dans mon caleçon mais pour le film, c’était déjà trop tard, Jeanne était là, devant moi, en culotte. Rouge vif, je m’empressai de stopper la cassette sans dire un seul mot. Mon coeur tambourinait. Pourtant, ma gêne semblait être mêlée d’un soupçon d’excitation.

- Ne soit pas gêné, à ton âge c’est normal ! Et puis c’est à moi de m’excuser, j’aurai dû frapper.

Ces mots me réconfortèrent mais je ne pouvais toujours pas parler.

- Tu sais Simon, moi aussi j’en ai déjà vu des films pornos. Et puis vaut mieux que se soit moi plutôt que ta mère non ?

Elle me sourit et nous commençâmes à rire de la situation. C’est ça que j’aimais chez ma tante, elle était proche des jeunes de mon âge, elle ne me jugeait jamais et nous discutions de beaucoup de choses tout les deux.

- Allez, montre-moi un peu ce film qui t’a tant gêné.

Je remis donc la scène de lesbiennes, que nous regardions tous les deux allongé sur mon lit.

- Dis-donc, elles en ont gros sur le coeur elles aussi...

Je ne répondis pas. Je sentais à nouveau mon excitation monter et je ne pouvais plus cacher mon érection qui tendait mon caleçon. Mais ma tante avait le regard fixé sur le film et ne voyait pas la bosse qui se dressait outrageusement dans mon maillot.


Ma gêne fut dissipée lorsque je m’aperçu que les tétines de ma chère tante avaient doublé de volume et pointaient désormais d’une manière insolente en direction des deux actrices qui jouissaient en 69. Cette découverte augmenta mon excitation et je décidai de scruter ma tante pour voir sa réaction lorsqu’elle s’apercevrait que son neveu bandait comme un taureau. Ce délai ne fut pas long, je surpris le regard étonné de Jeanne lorsqu’elle pausa ses yeux sur ma bosse de virilité. Elle détourna rapidement les yeux pour faire comme si elle n’avait rien vu, mais son expression était désormais différente. Un second indice m’avait encouragé à continuer mon petit jeu d’exhibition. J’avais observé que suite à la découverte de mon érection, les tétines de Jeanne avaient continuer à se dresser. Nous ne parlions plus, Jeanne ne détournait plus son regard du film. Moi j’étais dans un tourbillon d’excitation et je ne contrôlais plus mes émotions. J’étais décidé à continuer ce jeu qui m’excitait au plus haut point.


Sans vraiment réfléchir, je glissai ma main dans mon caleçon et commençai à me masturber. Durant les trois premières secondes, j’avais peur de sa réaction, puis, voyant qu’elle commençait à rougir, je continuai. J’avais réussis à inverser nos rapports, c’est elle désormais qui était gênée et n’osait pas regarder mon anatomie. Je ne réfléchissais plus, c’est réellement mon excitation qui dirigeait mes actes. Mes caresses se faisaient de plus en plus pressantes, les gestes de va-et-vient le long de ma queue n’étaient plus du tout discrets, si bien que dans l’élan, ma main fit sauter l’élastique de mon caleçon et découvrit ma verge tendue dont le gland violacé semblait être sur le point d’exploser. À cet instant, je surpris le regard abasourdit de ma tante qui devait réaliser qu’elle était allongée aux côtéx de son neveu devant un film porno et que celui-ci se masturbait sans retenue.


Cette idée me fit chavirer et j’éjaculai de grandes giclées dont une termina sa course sur le bras de Jeanne. Lorsque je repris mes esprits, ma tante avait quitté la pièce sans dire un mot.

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