Lors d’un de mes voyages à l'étranger, je me
suis retrouvé à Taiwan. L'Asie m'attirait spécialement à
cette époque. J'avais 25 ans et je fantasmais sur les jolies
asiatiques. Mes précédents voyages en Chine ne m'avaient
permis de conclure que par quelques chiches baisers et m'avaient
laissé sur ma faim. Le travail occupait toute ma journée
et ne me laissait pas trop de temps pour courir les filles
et draguer. J'étais alors avec un collègue qui était là
bas depuis plusieurs mois et qui connaissait assez bien
les endroits chauds. Mon premier week-end fut mémorable.
Après avoir travaillé toute la journée, nous décidâmes,
mon pote, un autre collègue (un belge) et moi de partir
passer la soirée à Taipei. Après un repas dans un resto
quelconque, nous nous sommes retrouvés dans un des quartiers
chauds de la ville. De bars en bars, bières après bières,
l'heure passant, j'avais de plus en plus envie de tirer
un coup. Et toutes ces filles qui traînaient dans les bars
n'attendaient qu'une chose : que les mecs sortent leur fric
de leur porte-monnaie pour aller passer un moment avec eux.
Décidé à me délester de quelques billets, faute de mieux
pour la soirée, je réussis à convaincre mes collègues de
rentrer dans un bordel.
Notre entrée ne passa pas inaperçue. Normal, il n'y avait
aucun mec dans l’endroit et seule la mère maquerelle et
une fille étaient là. La vieille s'intéressera à notre ami
belge (c'était le plus vieux) tandis que la seule fille
présente vint s'asseoir sur les genoux de mon pote. Dire
que c'était moi qui avait le plus envie de baiser et je
me retrouvais comme un couillon, tout seul à boire mon verre
de whisky si chèrement payé et pour rien. La mère maquerelle
nous laissa quelques instants pour aller dans une salle
derrière et revint au bout de quelques minutes pour reprendre
son grand dialogue avec notre ami belge. L'alcool aidant,
celui-ci la laissait piailler même s'il n'en avait aucune
envie. Elle n'était vraiment pas canon ! Quelques minutes
après, nous vîmes un mec qui sortait de l'arrière salle
et passa près de nous en jetant un regard coléreux. Je compris
quelques instants plus tard quand je vis une superbe fille
le suivre et venir s'installer sur mes genoux. Elle était
plutôt grande et fine, les cheveux longs et un petit nez
fin. Ses seins étaient assez gros pour une asiatique et
son cul très mignon. Elle portait juste une mini robe dont
je ne me rappelle même plus la couleur. Pendant que mon
copain était occupé avec sa fille, je discutais avec la
mienne. Or tout en bavardant, elle commença à me masser
la queue au travers le jean. Je bandais comme un salaud
et elle savait que c'était à cause d'elle.
Les filles nous entraînèrent dans les canapés disposés dans
la pénombre. Notre ami belge resta au bar à se faire tenir
la jambe. Mon pote discutait tranquillement avec sa copine
et moi je commençais à caresser la fille qui m’accompagnait.
Mes mains se baladaient sur ses jambes et je me surpris
à l'embrasser dans le cou. Elle se laissa faire. Au bout
d'un moment, nous nous sommes retrouvés avec les queues
à l'air. Cachés de la mère maquerelle, nous nous sommes
fait branler comme des salauds. Les filles nous expliquèrent
que nous étions sympa mais que si elles se faisaient prendre
en train de nous branler sans que l'on ait payé, elles allaient
passer un mauvais moment. La nuit tirait plus ou moins à
sa fin et je décidai de me débrouiller pour finir la nuit
avec ma minette. Après de longues négociations, je réussis
à lui arracher un rendez-vous à 6h du mat (il était 3ou
4h) devant le bordel afin que l’on aille chez elle après,
sans que la mère maquerelle n'en sache rien. Mon pote, lui,
préféra rentrer, car nous dormions chez un collègue taiwanais
cette nuit là. Quand à notre ami belge, il n'avait qu'une
seule envie, celle de quitter la maquerelle le plus vite
possible. Mais moi, je n'arrivais pas à m'arracher des bras
de cette fille. Après quelques tentatives et confirmations
que ce n'était pas un lapin et que je n'aurais pas à débourser
un centime, je me suis laissé entraîner à l'extérieur par
mes potes. J'ai eu bien du mal à les retenir jusqu'à 5h
30... Tous les bars fermaient l'un après l'autre. Notre
ami belge n'arrêtait pas de répéter :
-"Putain de french, se faire branler dans les canapés comme
ça, putain de french."
En fait il nous expliqua, quelques jours plus tard, qu'il
n'aurait jamais osé et que c'est pour ça qu'il avait réagit
comme ça. À 5h50, je me retrouvais tout seul comme un couillon
devant l'entrée du bordel. 6h20 et toujours personne ! Merde
je me suis vraiment fait poser un lapin. C'est au moment
où je pensais repartir que je la vis sortir. Toujours aussi
sexy, elle avait juste remis une veste sur sa robe et me
dit qu'il fallait nous dépêcher à partir. Elle ne voulait
pas être vu là avec moi. Pendant tout le trajet que nous
fîmes pour aller chez elle (10min environ), je ne cessais
pas de lui peloter les fesses en marchant et elle se lovait
contre moi. J'étais au comble de l'excitation. Nous sommes
arrivés chez elle. C’était un minuscule appartement qu'elle
partageait avec sa sœur. Elle me dit de m'installer sur
le lit et me mit le karaoké en route. Elle alla prendre
une douche et revint complètement nue. Ses seins étaient
bien dressés. Sa chatte était taillée et quand elle se tourna
pour attraper une serviette, j'eus envie de lui mettre la
main au cul. Mais j'étais assez intimidé par cette beauté
devant moi. Elle me demanda si je voulais qu'elle chante
pour moi et j'acquiesçai. Assis tous les deux sur le bord
du lit, je lui caressais les cuisses pendant qu'elle chantait.
Je m'amusais à lui écarter les cuisses qu'elle resserrait
pour se concentrer sur sa chanson. N'en pouvant plus, je
la poussai sur le lit et me mis à la caresser partout. Mes
mains se promenaient entre ses seins, son ventre, ses cuisses.
Elle me fit glisser le jean, le caleçon et commença à me
branler. Je n'en pouvais plus. Elle sentait bon et j'avais
envie qu'elle me suce. Je lui caressais la chatte et mes
doigts commencèrent à s'enfiler en elle. Elle mouillait
comme une petite salope. Elle me suça et je faillis jouir
dans sa bouche. À ce moment là, je me suis glissé entre
ses cuisses et je lui lèchai la fente.
Elle sentait bon et sa mouille était bonne. Son clito sortait
de ses lèvres bien roses ce qui contrastait avec la couleur
de sa peau assez mate. Je la sentais frémir sous mes coups
de langue et elle se cambra quand je lui enfilai un doigt
au fond de sa grotte. Je sentais qu'elle était serrée et
les rumeurs que j'avais entendu sur les asiatiques se confirmaient.
Je n'arrêtais pas de la lécher et je m'aventurais à lui
doigter le cul quand elle fut prise d'un orgasme qui faillit
m'étouffer tellement elle me serra la tête de ses cuisses.
Je suis resté entre ses jambes quelques instants et elle
m'a regardé en me disant en mandarin : "Viens...". Ses mains
m'agrippèrent et me tirèrent plus haut. Je pris ma queue
dans ma main et je frottai mon gland à l'entrée de sa grotte.
Je forçai un peu pour rentrer et je me retrouvai planté
au fond d'elle. Elle me regarda en me disant :
-"You are so big !"
Je la besognai lentement pour qu'elle s'habitue à ma queue
et après de longs va-et-vient, j'activai la cadence. Elle
criait mélangeant le mandarin et l'anglais, ce qui provoquait
en moi un effet des plus excitants. Elle ne faisait pas
ça juste pour les quelques billets que nous avions lâché
au bar, elle prenait vraiment son pied. Je l'ai retourné
et mise à quatre pattes. J'ai posé mon gland sur son cul
et elle a eu un mouvement de recul. Je lui ai mouillé le
cul avec mon gland, en le rentrant dans sa chatte pour le
tremper puis je lui ai enfilé le gland. Elle cria quand
il rentra mais ses cris ne firent que m'exciter encore plus.
Je la voulais à fond et j'ai alors poussé ma queue au fond
de son cul d'un seul coup. Elle hurla, le cul déchiré mais
c'était tellement bon de se sentir au chaud, bien serré
dans son petit cul de salope. Mes couilles frottaient sur
sa chatte. J'ai fait deux ou trois va-et-vient mais elle
hurlait tellement que je suis ressorti et je l'ai fait venir
sur moi. Quel plaisir de la voir monter et descendre sur
ma queue. J'ai fini par la remettre sur le dos et, les jambes
sur les épaules, je l'ai besogné jusqu'à la jouissance.
Elle a joui trois fois pendant que je lui astiquais la chatte
et, à la fin de son troisième orgasme, je lui ai dit que
j'allais tout lui décharger. Elle a pris ma queue et me
l'a branlé au-dessus de sa chatte. Je lui ai alors lâché
tout mon jus sur la chatte, le ventre et les seins. Nous
sommes restés collés l'un contre l'autre pendant un long
moment avant de reprendre une douche ensemble. Elle m'expliqua
alors que je devais partir car sa sœur allait bientôt rentrer.
Je lui ai vaguement suggéré que l'on baise tous les trois
mais elle m'a dit : "Non pas avec ma sœur". Elle m'a glissé
son numéro de portable dans la poche. Je suis parti et j’ai
pris un taxi pour retrouver mes potes. C'était mon premier
week-end à Taiwan.
Auteur

|