TITRE : Surprise en pleins ébats érotiques
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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- Arrête Paul, déconne pas. Chaque fois qu'on se douche ensemble, tu grattes ma petite chatte et mon petit bouton. Je suis toute mouillée maintenant. En plus, tu sais que j'aime ça. Et toi, tu as vu ta queue comme elle est raide, et comme tes couilles sont pleines ?

- C'est de ta faute Cécile, tu n'arrêtes pas de me caresser. Regarde comme tu m'as décalotté. Tu veux pas t'asseoir sur moi que je te baise ?

Paul est un beau jeune garçon de dix-sept ans. Sa soeur Cécile va sur ses dix-neuf ans. Ils s'adorent. Chaque fois qu'ils le peuvent, ils se douchent ensemble et font l'amour. Cécile se retourne dans la baignoire et présente ses fesses à son frère. Elle saisit le sexe en érection et s'y empale dessus en poussant un râle de plaisir.

- Que c'est bon de se le faire mettre, salaud. Tu n'as pas honte de niquer ta soeur ? Vas-y, je vais jouir, hou...oui, je viens, haaa...

- Moi aussi, petite pute, tu sens ce que je t'envoie dans la chatte ? Ha, je me vide, tiens.

Paul malaxe les seins de Cécile qui glousse de plaisir.

- Un jour, on va se faire attraper par maman, dit Cécile, tu vas voir.

- Au fait, poursuit Paul, hier après-midi, quand tu n'étais pas là, j'ai entendu maman crier. Je suis monté, j'ai attendu un moment, et là j'ai vu le frère de papa sortir de la chambre.

- Tonton Gérard ? demande Cécile. Ah bon, et il faisait quoi à maman pour la faire crier ? Tu crois que...

- Va savoir, répond Paul.

Les deux jeunes s'essuient. Cécile passe un peignoir, Paul passe une serviette autour de la taille. En sortant, ils entendent des gémissements provenant de la chambre de leur mère. Ils s'approchent sans bruit. La porte est légèrement ouverte. Et là, surprise : Francine, leur mère, est à quatre pattes sur le lit, en train de se faire prendre en levrette. Paul va vite chercher son appareil numérique, et le met sur vidéo.

- Hou, gémit Francine, que c'est bon de prendre un coup de queue par une grosse bite. Vas-y, mon chéri, pourquoi ton frère ne me nique pas comme ça ?

- Parce que c'est un incapable. Il sait pas se servir d'une femme. Tu sens comme je te fais mouiller, petite pute. Tu veux que je te sodomise après ? Tu veux ?

- Mon corps t'appartient, soupire-t-elle. Tu en fais ce que tu veux.

- Regarde cette catin comme elle se régale, murmure Cécile. Ne rate rien surtout, Paul.

- Tu vas encore me faire gueuler, gémit Francine. Salaud, oui, pince-moi le bouton, décalotte-le ce vilain, ha..oui, tu me maques là, ouiiii.

Gérard sort son membre énorme de la chatte de sa belle-soeur. Il place son gland contre l'oeillet. Il pénètre lentement le petit trou de Francine.

- Putain, comme tu m'encules, soupire Francine. Et tes couilles qui tapent contre mon cul, rentre-les aussi.

Excitée par la scène, Cécile glisse une main entre les cuisses de son frère, sous la serviette, et lui saisit les testicules. Elle les fait rouler entre ses doigts. Elle remonte sur la queue et caresse le gland entièrement décalotté. Dans la chambre, Gérard commence à lâcher des mots obscènes. Francine sent que son amant va jouir.

- Viens, gémit-elle, je vais te finir en te taillant une pipe.

Gérard place son gland contre les lèvres ouvertes de sa maîtresse, en continuant de se branler. Le méat s'ouvre et la semence gicle dans la gorge de Francine. Elle avale la queue jusqu'aux couilles.

- Tiens, mange bordille, régale-toi. Tu aimes le jus de ton beau-frère, hein ? Allez, nettoie bien, jusqu'à la dernière goutte.

Cécile et son frère en ont assez vu. Ils se retirent dans la chambre de Paul.

- Met ça sur DVD, dit-elle. Je vais te sucer pour te faire monter en température. Après, tu me donnes une autre dose. Je suis en chaleur. Demain, c'est avec maman qu'on va s'amuser.


Le lendemain, Francine rentre vers dix-huit heures et surprend Cécile en train de se faire sodomiser par son frère. Elle voit rouge et rugit de colère.

- Espèces de vicieux, gronde-t-elle. Vous n'avez pas honte, entre frère et soeur ?

- Faut pas nous en vouloir, dit Cécile. C'est le film porno qui nous a excités.

- Je vais le visionner ce film, et le montrer à votre père, poursuit Francine. On va voir comment il va le prendre, lui.

Francine arrive au salon. Des petits bouts de papier sont éparpillés sur la table basse. Elle appuie sur Play. Les images qui défilent sont terribles. Elle se voit en train de se le faire mettre par le frère de son mari, dans des positions plus que suggestives. Elle porte sa main devant sa bouche.

"Mon dieu, dites-moi que je rêve", se dit-elle.

Elle déplie le premier message.

1. Oh maman, que tu es belle en train de te faire enculer par ton beau-frère. Si papa savait ça, écrit Paul.

2. Mais maman, on t'aime bien, on dira rien. Par contre, je t'ai préparé une tenue sexy. Passe-là et viens me voir, écrit Cécile. Tu voudras bien que je te chatte avant d'aller te coucher ? Je t'imagine pleine de mouille.

3. Si tu voyais ma queue, maman. Elle est en pleine érection, toute décalottée. Si tu pouvais lui tailler une pipe. Mais, suis-je bête, tu ferais jamais ça à ton fils.

4. Comme tu te fais bien lécher la raie, comme tu mouilles. Et ton clitoris tout décalotté, vilaine. Une fois que tu auras tout passé, rejoins-nous au lit. On a envie de s'amuser avec toi, maman. Et tâche d'être obéissante, ok ?

Francine se prend la tête entre les mains. Elle ne s'attendait pas à un tel chantage. En plus, la marge de manoeuvre est limitée. Elle n'a guère le choix. Elle hésite, puis enfile la tenue mise à sa disposition. Elle se regarde dans la glace et, ma foi, se trouve assez attirante. Elle prend son courage à deux mains et s'aventure dans la chambre de sa fille. Celle-ci fait mine de dormir. Francine s'avance et se penche sur le visage de Cécile. Elle sent une main qui remonte entre ses cuisses. Ses jambes sont légèrement ouvertes, sa fente aussi. Un doigt caresse ses lèvres humides. Le clitoris est là, offert aux attouchements vicieux de Cécile. Francine gémit. Elle sent des mains qui lui soulèvent la minijupe ultra courte et qui lui prennent les fesses, un pouce jouant même avec son petit trou. Elle est entièrement soumise à ses enfants. Mais à l'entendre glousser, c'est loin de lui déplaire. Elle écarte ses jambes pour faciliter l'accès à son intimité. Le pouce de Paul a laissé la place à son sexe. Francine se cambre pour mieux se faire pénétrer, pendant que les doigts de sa fille excitent le clitoris entièrement sorti de sa capuche. Paul donne un coup de rein et s'introduit dans les entrailles de sa mère. Un cri de plaisir traverse la chambre. Cécile a un sourire au coin des lèvres.

- Oh maman, tu sens ton fils comme il t'encule. Et ta fille, comme elle te chatte. Tu sens mon ongle qui gratte ton bouton ? Tu veux qu'on arrête ?

- Tais-toi ma chérie, gémit Francine. Vous voyez pas que vous me régalez ? Salauds.

- Maman, ton trou est bien gros. Il a du en prendre des coups de queues celui-là.

Paul s'allonge sur le dos et force sa mère à s'empaler sur son imposant membre, dos à lui. Dans cette position, il peut lui caresser les seins à son aise. D'ailleurs, il ne s'en prive pas. Il fait rouler les bouts énormes entre ses doigts, pour le plus grand bonheur de Francine. Cécile participe aussi. Elle s'avance en fléchissant sur ses jambes, pour que sa chatte soit à la hauteur de la bouche de sa mère.

- Suce, salope. Que c'est bon de se faire bouffer la chatte par une pute.

Toute la nuit, Francine va être l'objet de ses enfants. Ils vont jouer avec elle, la faisant hurler de plaisir. Elle accepte les pires soumissions. C'est même elle qui en redemande. Au bout de la nuit, alors qu'elle taille une pipe à son fils, Cécile lui administre une petite fessée.

- Maman, écoute bien, dit-elle. Deux fois par semaine, tu passes la nuit avec nous, ok ? Et tâche d'être sage et obéissante, sinon tu risques de le regretter. Et quand on n'est que tous les trois à la maison, on exige que tu portes cette tenue. Sans rien dessous, bien sur. Il peut nous arriver de vouloir jouer avec toi, c'est clair dans ton esprit ?

Francine, honteuse, baisse la tête.

- Vous ne direz rien à papa au moins ? Je vous promet d'être sage mes amours. Vous pourrez jouer avec moi quand vous le désirerez.

- Parfait, poursuit Cécile. Maintenant laisse-nous. J'ai promis à mon frère de lui tailler une pipe.



Frankie



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