Il faisait chaud cet été là, j'étais partie
en bord de mer, avec des amis. Nous avions loué des emplacements
dans un camping. Nous étions cinq, deux couples, Alex et
Marie, Kévin et Ophélie, et moi évidemment...
Un soir, mes amis décidèrent
de sortir en discothèque, comme moi je n'étais pas très
en forme, je décidais de passer la soirée tranquillement
au bar du camping avant d'aller me coucher. Après avoir
tenté par mille sollicitations de me convaincre de venir
avec eux, ils partirent donc danser.
Ainsi vêtue de ma robe d'été
bleu azur, en voile transparent, j'allai m'asseoir dans
le bar. Je me sentais un peu bizarre, assise seule à ce
bar, avec quelques personnes alentour qui sirotaient leur
cocktail maison. Je commandai à mon tour une menthe à l'eau
rafraîchissante...
Au bout d'un moment, je ressentis
un long frisson dans le dos, j'avais comme l'impression
que l'on m'observait. Je fis discrètement le tour de la
salle, mais rien. Ignorant ce sentiment étrange je finis
mon verre, payai le barman et descendit de ma chaise haute.
J'errai lentement sur les
chemins du camping, humant l'air chaud et humide de cette
nuit d'août. J’eus soudain l'envie d'aller sur la plage.
Ce que je fis. Aussitôt arrivée, j'ôtai mes tennis. Le sable
bouillant de l'après-midi avait été remplacé par un sable
qui paraissait glacé. J'y enfonçai délicatement mes doigts
de pieds, profitant de ce peu de fraîcheur de la journée.
J'allai m'allonger sur le
sable, dans un coin sombre, à l'abri des regards curieux,
n'ayant que les murmures des passants et le bruit des vagues
comme compagnie. Je fermai les yeux, bercée. Au bout de
quelques minutes, dans un semi-état comateux,
Je ressentis la même sensation
d'être observée que celle que j'avais ressentie précédemment
au bar. J'ouvris alors les yeux et aperçus une ombre se
dessinant dans la lumière de la nuit. Il était là. Fumant
tranquillement une cigarette dont la rougeur m'apparaissait
à un rythme régulier. J'étais subjuguée, mais bizarrement
je ne ressentais aucune peur. J'étais au contraire sereine….
Comme s'il avait sentit
mon accord, il jeta sa cigarette au loin et se rapprocha
de moi. J'eus un léger mouvement de recul, bien vite refreiné
par mon envie de savoir le pourquoi de sa présence auprès
de moi. Je fermai les yeux, les bras le long du corps. Je
sentis alors ses lèvres chaudes, douces et légèrement parfumées
de l'odeur de cigarette, se poser sur les miennes. Il était
d'une délicatesse incroyable. Il força avec douceur le barrage
de mes lèvres, nos langues partirent alors dans un ballet
sensuel, nos salives se mêlèrent….
Je ressentis une langueur
me prendre au plus profond de moi, mon cœur battait la chamade.
Une main vint se poser sur mon sein, et malgré l'obstacle
du tissu, je ressentis comme un feu sur mon corps, je me
cambrai pour renforcer ce contact,, gémissais doucement….
Tout en continuant à m'embrasser,
il commença à baisser les bretelles de ma robe, et soudain
mes seins furent libres de leur carcan de toile. Je ne portais
pas de soutien-gorge tellement la chaleur était forte et
que je ne pouvais supporter le contact de ce tissu…
Sa main vint en caresser
les pointes qui se tendirent sous cet assaut sensuel. Je
frissonnai de plaisir contenu…
Sans un mot, il commença
à tracer un chemin sur mon corps…
Avec sa langue, il lécha
mon menton, descendit le long de mon cou. Je ressentais
une volupté sans nom. Sa bouche vint jouer sur mes mamelons
tendus, excités. Je gémissais. Mes mains étaient venues
se fondre dans ses cheveux, le plaquant sur mes seins, comme
si je voulais qu’il ne fasse plus qu’un avec moi…..
Tout en continuant à descendre
sur mon ventre, il finit de retirer ma robe. Ne restait
alors que la barrière de mon string...
Il ôta sa veste et la déposa
sur le sable et m'aida à m'installer dessus. Il était d'une
grande délicatesse. Je me sentais un peu égoïste de goûter
au plaisir qu'il m'offrait sans retour. Il finit par ôter
mon string, me retrouvant enfin nue devant lui….
Mon corps seulement éclairé
par la faible lueur de la lune.
Mes yeux s'étant habitués
au noir, je devinais son visage, il était beau. Mais pas
une beauté commune, non, je dirais une beauté dangereuse.
On aurait dit un loup aux aguets, guettant sa proie, qui
était déjà soumise à lui.....
Il écarta mes cuisses, approchant
sa main, qu'il posa sur le haut du pubis, allant ensuite
caresser l'intérieur de mes cuisses. Jouant sur mon corps
comme le ferait un artiste sur les touches d’un piano. Je
désirais ses mains sur moi, sur mon sexe. Je sentais que
ses doigts avaient déclenché au creux de mon intimité, la
naissance de ce jus qui annonçait le futur plaisir que j’allais
ressentir…
J'étais très excitée. Mon
souffle se faisait de plus en plus saccadé. Aucun mot ne
franchissait nos lèvres. Il s'allongea sur le sable, son
visage à proximité de mon sexe, offert. De ses doigts il
en écarta les lèvres, allant caresser mon bouton d'amour,
déjà bien gonflé de désir contenu... Puis vint sa bouche,
qui se mit à me caresser, très sensuelle. Mon corps dansait
au rythme de ses coups de langue. Il prenait un malin plaisir
à contenir le mien... J'étais en transe, bouleversée par
tout ça…
Il introduisit alors un doigt
au fond de moi, tout en continuant ses coups de langue.
Je sursautais à cette intrusion dans ma féminité, savourant
le plaisir que cela me procurait. Je sentais ce doigt, caresser
l’intérieur de mon sexe, cherchant un je ne sais quoi, au
plus profond de moi….
Il commença de lents mouvements
de va et vient au cœur de mon intimité. Ne voulant pas être
surprise dans cette position, je gardai mes gémissements
et mes râles au fond de ma gorge. Le plaisir montait au
fond de mon corps, j'étais en feu….
Il introduisit alors un deuxième,
puis un troisième doigt, j'étais au bord de la jouissance.
Mon corps se cambrait au rythme de ses doigts. Il ressortit
alors ses doigts, puis son index humide se dirigea vers
mon anus, qui surprit, se contracta à son contact…
Je n'avais jamais autorisé
personne à se rendre à cet endroit particulier, mais surprise
par moi-même, je laissais ce parfait inconnu faire….
Il fit tourner ce doigt
délicatement autour... puis commença à l'introduire doucement,
me laissant choisir le rythme de la pénétration, au gré
de mes gémissements... J'étais étonnée alors de la sensation
que je ressentais. C'était bon. Cela accentuait encore mon
excitation… Un jus de plus en plus fourni sortait de mon
sexe, montrant combien cela me plaisait….
Une fois son doigt entièrement
enfoncé, et lorsqu'il sentit que j'étais prête, il se mit
à limer doucement... en même temps, il continua son jeu
de langue sur mon clitoris... Je savais que la jouissance
n'était plus très loin... Mon corps se mit alors à danser,
au rythme de son doigt et de sa langue… Et malgré ma crainte
je gémissais bruyamment...
Quelle jouissance merveilleuse
je venais d’avoir, je n’avais jamais connu ça auparavant,
avec mes précédents amants… Il avait su trouver au sein
de mon corps, mes zones les plus sensibles au plaisir… Sa
langue continuait à me lécher, comme s'il ne voulait pas
perdre une goutte de la jouissance qu'il venait de me donner.
Je me sentais bien, très bien… Comme jamais cela ne m’était
arrivé… Je me sentais heureuse, épanouie…
Il retira le doigt de mon
anus.. mais continua à me lécher doucement, amenant alors
une nouvelle jouissance au sein de mon corps...
Au bout d'une minute, je
le vis se relever. Remettre un peu d'ordre sur lui. Je sentais
qu'il allait partir, mais je refusais qu'il disparaisse
comme ça, sans que je lui rende ce plaisir qu’il venait
de me procurer sans aucune raison. Je ne comprenais pas
pourquoi, il repartait comme ça, sans prendre lui–même du
plaisir… Pourquoi, m’avait-il donné la jouissance et ne
pas jouir à son tour ? J’étais étonnée, comme s’il avait
voulu donner sans recevoir… C’était incroyable…Un tel homme
pouvait-il exister ?
D'une main ferme, j'agrippai
la sienne, ce qui le surprit un peu. Sans un mot, je l'obligeai
à s'asseoir à son tour sur sa veste. Il était étonné, mais
se laissa faire sans broncher. Je commençai alors à lui
déboutonner sa chemise. Je vis se dessiner un lent sourire
complice sur ses lèvres sensuelles. A chaque bouton que
je défaisais, je lui plantais un léger baiser sur la bouche,
le taquinant de ma langue, promesse de plaisirs à venir...
Comme j'étais plus ou moins
assise sur lui, à cheval sur ses cuisses, je sentis alors
l'excitation qui tendait son pantalon, au contact de mon
sexe. Je lui ôtai
définitivement sa chemise,
révélant un corps musclé, mais pas trop...
J'allai titiller à mon tour
ses mamelons, il gémit doucement... Puis, je continuai à
descendre, allant même introduire ma langue dans son nombril,
simulant un coït. Je sentais son excitation être de plus
en plus forte. Mais aucun mot….
Je retirai sa ceinture, dégrafai
son pantalon. Je l'aidai à retirer ce dernier. Ne restait
alors qu'un boxer noir, dont la bosse, ne laissait aucun
doute à l'envie qui le tenaillait…
Je découvris alors un sexe
d'une taille honorable ma fois, il était déjà bien gonflé
et tendu, près à recevoir les délices de ma part…. Je salivais
à l'idée d'y goûter. Son sourire se fit vorace, réclamant
le plaisir qu'il allait subir, enfin recevoir... Pour être
plus libre, je lui retirai cette dernière barrière. Nous
étions nus tous les deux...
Je pris son sexe dans ma
main droite, commençant un lent mouvement de va et vient
sur sa queue. Il se contracta un peu à ce contact, mais
je vis qu'il aimait ça. Taquine, je m'arrêtai quelques secondes
et l'entendit râler de désespoir... Lui tirant la langue,
comme une enfant, je repris alors mes mouvements, toujours
lents. Puis soudain j’accélérai le rythme de ma main, entendant
alors son souffle s’intensifier, s’accélérer à la même vitesse,
je ralentis le rythme à nouveau.
Il me regardait droit dans
les yeux malgré la nuit, je voyais une lumière se refléter
à l’intérieur de sa pupille, marquant le feu que son corps
ressentait au plus profond de lui…. J'approchais ma bouche
et du bout de la langue, je caressais son gland, il gémit.
J'introduisis alors son sexe
dans ma bouche. Il eut un mouvement de hanches, me rappelant
le rythme qu'il voulait que je prenne. J'étais moi aussi
très excitée à l'idée de lui rendre la monnaie de sa pièce
et j'avais bien l'intention de le lui rendre au centuple.
Ma main gauche alla s'égarer sur ses couilles, les massant
avec douceur, ce qui le fit gémir encore plus. Alors je
me mis à le sucer, tout en le masturbant de la main droite
et en me caressant de ma main libre le clitoris, je mouillais
moi aussi comme une vraie fontaine, mon désir était lui
aussi grandissant, j’avais envie de son sexe dans le mien,
que nos corps se mêlent et se connaissent plus intimement
encore…il avait beaucoup de mal à se contrôler... Je jouissais
intérieurement du plaisir que je lui donnais.
Il avait fermé les yeux,
la tête légèrement renversée en arrière, il appréciait ma
langue qui jouait sur son gland. Il posa sa main dans mes
cheveux, me donnant ainsi le rythme désiré. Doucement je
lui mordillai alors le gland, il eût alors un cri de plaisir
et de surprise, mais ne dit rien, savourant cette nouveauté
dans nos jeux…. Je sentis alors son corps se contracter,
la jouissance approchait à grand pas... Enfin dans un râle
rauque, il jouit dans ma bouche, par petits jets saccadés.
Je goûtai alors à ce nectar divin... Qui finit par couler
le long de mes lèvres sur mon cou et sur mes seins. J'étalais
alors sur mon corps, ce jus épais.
Je m'allongeais ensuite sur
lui, posant mes lèvres sur les siennes. Nos langues se mêlant
à nouveau.....
A SUIVRE…..
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