TITRE : Sulfureuse initiatrice
Catégorie : 
Histoire Travesti et Trans

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Je sonne à la porte, une superbe brune m'ouvre en souriant.
Elle est habillée d'une guêpière bleue qui contient difficilement ses seins volumineux et lourds, d'un adorable slip assorti, et de bas à couture tendus outrageusement par ses jarretelles.
Malgré son opulente chevelure, son maquillage, ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine à travers ses dessous, un renflement à la naissance de ses cuisses fuselées. Emoustillé par cette ambivalence, je décide de m'abandonner totalement à cette magnifique représentante du 3eme sexe qui saura mieux que quiconque me donner du plaisir.
Très attirante, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.
Après quelques banalités échangées, je me sens à l'aise et elle me pose des questions plus directes :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- J'ai toujours souhaité rencontrer une créature de rêves telle que toi.
Je ne suis pas attiré par les hommes mais j'aime faire l'amour à une jolie fille ambiguë qui se révèle plus féminine que les autres femmes.
- Tu connaîtras mes exigences qu'au fur et à mesure, es-tu prêt à t'abandonner à moi ?
- Oui, en espérant que tu me donneras du plaisir.
- J'ai suffisamment d'expérience et n'oublie pas que je suis la mieux placée pour faire couler ton gros clito. Est-ce tout ?
- Je veux également pouvoir te prendre comme il me plaira.
- J'adore les jeux de rôles, nous pouvons donc commencer.
Elle m'enlève mes vêtements et s'attarde sur mes points sensibles.
Avec un regard amusé, elle voit ma queue se dresser lorsqu'elle soupèse mes bourses pour apprécier mon potentiel.
- Je pense que nous allons nous entendre, me dit-elle
Puis, elle m'invite à choisir dans son armoire la lingerie que je vais porter lors de nos ébats avant de me faire asseoir devant sa coiffeuse.
- Je vais te livrer les secrets de la féminité et te transformer en hétaïre des temps modernes. Tu ne vas plus te reconnaître.
Pendant qu'elle travaille à ma renaissance, elle s'adresse désormais à moi au féminin et poursuit ma mutation en me posant des faux cils et du fard à paupières.
Elle m'applique généreusement sur les lèvres un rouge ardent pour les mettre en valeur.
Enfin, elle choisit une perruque mi courte, très glamour qui achève ma métamorphose.
- Essayons maintenant la lingerie, un cadeau emballé fait toujours davantage saliver, m'affirme t-elle.
Elle me fait passer les dentelles coquines qui m'ont fait craquer.
Je la laisse comprimer ma poitrine et me lacer le corset ivoire en dentelle marron.
Elle rentre difficilement mes seins en silicone dans des bonnets 105c.
Elle les palpe et me dit :
- Tu n'as rien à m'envier, ils sont lourds et denses et nous avons les mêmes mensurations.
Natacha est cependant d'une taille plus petite que moi et ses formes m'apparaissent plus généreuses.
Je contemple un instant cette femelle épanouie avec sa longue chevelure brune qui porte tous les symboles de la féminité tant dans son physique que dans son attitude.
Elle a en plus un superbe sexe en semi érection que je vois s'allonger peu à peu au travers de sa lingerie transparente et qui contraste avec son visage de madone.
Ce paradoxe m'excite au plus au point et j'ai une envie folle de la prendre.
Natacha se rend compte de l'effet qu'elle produit.
- Reste tranquille ma belle, j'ai d'autres projets pour toi en ce moment.
Avec un sourire prometteur, elle m'enfile un adorable slip sur les hanches.
Il est fendu en son milieu et entoure mon sexe d'une fine dentelle qui dégage un large accès à mes fesses.
Enfin, comme je l'aime, elle accroche très haut sur mes cuisses mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m'aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue jusqu'à la taille.
Je suis très troublée par l'aspect érotique de cette lingerie et ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir.
J'admire ma silhouette vaporeuse et mes seins dressés en prenant des poses suggestives.
J'aime me voir sanglée dans mon corset qui comprime mes seins et met ma taille en valeur. J'adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s'approche de moi, avec un regard de louve.
- Tu es très excitante, je brûle d'envie de te baiser, s'exclame t-elle.
Avec un sourire malicieux, elle pose sa main sur mon sexe puis la glisse habilement dans la fente de mon slip ouvert.
Avec douceur, elle me masturbe et presse mes bourses entre ses doigts en les tirant vers le bas ce qui a pour effet de me décalotter le gland.
J'ai une érection spectaculaire et la supplie :
- Natacha, j'ai envie de toi, laisse moi te prendre.
Sans me répondre, elle me pousse sans résistance vers la table d'initiation où elle me fait m'allonger face à une grande glace murale.
Je dois me soumettre à une séance mystérieuse qui me rend nerveuse.
- Laisse moi te faire découvrir de nouveaux plaisirs avant de jouir dans mes fesses, me dit-elle d'un regard prometteur.
Avec un sourire rassurant, elle m'aide à placer mes talons aiguilles dans les étriers. Puis, elle m'écarte les jambes et m'attache solidement les poignets et les chevilles.
- Je vais te vider les couilles pour commencer, cela te calmera, me dit-elle d'une voix envoûtante.
Elle passe à l'action et fouille avidement ma bouche avec sa langue en me caressant les cuisses à la jonction des bas. Sa main effleure mon périnée et remonte doucement vers ma rosette qu'elle masse d'une manière circulaire avec l'un de ses doigts.
L'effet est prodigieux, mon sexe se dresse d'un coup et se frotte sur le satin de ma robe de nuit qu'il soulève.
Satisfaite, elle relève mon déshabillé et s'empare de ma verge.
Puis, elle tire lentement sur le frein et me masturbe avec trois doigts en suivant sur mon visage la montée du plaisir.
Elle s'engouffre dans la fente de mon slip et plonge son majeur lubrifié dans mes fesses en le recourbant pour que sa pulpe soit en contact avec ma glande d'amour.
Ayant une grande expérience de cette pratique, elle la masse longuement et méthodiquement en variant les pressions pour me donner un bonheur intense qui me conduit peu à peu à l'orgasme.
Elle me voit soupirer de plaisir et me chuchote à l'oreille.
- Tu vois ma chérie l'avantage avec une fille comme moi, c'est que je sais exactement ce qui te fait plaisir. Tu vas prendre ton pied ma belle.
Au moment propice, un simple effleurement de son doigt sur mon frein suffit à me faire décharger.
Elle appuie avec insistance sur mon point G pour me faire jouir du cul en tournant avec habilité ses doigts dans mon fourreau pour extraire mes dernières gouttes de sperme.
- Je te vide lentement ma chérie. Regarde ton clito couler doucement, me dit-elle en me caressant la queue.
Je jouis longuement en voyant avec excitation ma semence se répandre en une coulée épaisse d'abord, puis au fur et à mesure que je me vide en un mince filet blanchâtre qui se répand sur mon corset et mes bas.
Cette jouissance anale sans spasme ni contraction est un instant de pur délice.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase quand elle me presse le sexe pour recueillir sur sa langue mes dernières gouttes de sève.
- Je te fais de l'effet car ton corset est complètement inondé de sperme, s'extasie t-elle en m'épongeant.
Elle met à profit mon relâchement pour poursuivre ma préparation.
- Je vais maintenant t'épiler la queue et ton petit trou pour que tu sois plus présentable.
Munie d'un rasoir, elle égalise avec soin les contours de mon gazon et sculpte un triangle parfait.
Elle empoigne mon sexe à pleine main et le soulève pour raser de prés mon oillet qui va être l'objet de toute son attention.
J'ai un frisson devant son regard ambigu lorsqu'elle fait glisser lentement la lame le long de ma queue pour supprimer toute pilosité.
- Avant de te prendre, je vais te faire un brin de toilette, me dit-elle.
Avec douceur, elle plaque mes bourses sur mon ventre et m'enfile une canule dans l'anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent d'eau, elle me masturbe en faisant vivre et s'allonger ma verge entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de son bassin, je me rends compte que cette situation ne la laisse pas indifférente.
Son sexe grandit à vue d'oil et finit par jaillir de son slip en dentelle.
Plaqué contre son ventre par une érection impressionnante, il dépasse largement la hauteur de son nombril.
Natacha est dotée d'une queue assez exceptionnelle, très longue et qui s'élargit de plus en plus jusqu'à la racine.
Après un bref échange du regard, elle m'enfonce sa verge dans la gorge et je lui lèche la couronne du gland et le frein jusqu'à ce que le lavement se termine.
Elle monte ensuite sur la table. A califourchon sur mon ventre, elle me fait évacuer en jets discontinus les trois litres d'eau dans un bassin.
La tête entre ses cuisses, je ne résiste pas à l'envie de lui titiller l'oeillet pendant qu'elle me pompe divinement le noud.
Son bassin se fait plus lourd sous mes caresses et se plaque contre ma bouche.
D'un geste gracieux, elle me recouvre le visage de ses dessous pour stimuler mon côté fétichiste.
A regret, elle se lève pour retirer sa robe de nuit. Elle garde sa guêpière qui contient difficilement ses seins volumineux et me laisse admirer sa queue dressée entre ses cuisses gainées de nylon.
Elle enfile avec lenteur une paire de gants lubrifiés en me fixant d'un regard lourd.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle prend place entre mes cuisses.
- Pour commencer ton initiation, il me faut élargir ta rondelle le plus possible ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt l'échine lorsqu'elle pousse son index dans mon oeillet, puis très vite deux autres doigts glissent sans hésitation dans mon passage.
Elle trouve rapidement ma glande qu'elle masse d'une manière appuyée.
- Je rentre facilement dans tes fesses et tu mouilles beaucoup. Je vois que ton petit trou est déjà bien élargi. Tu aimes la sodomie, n'est ce pas ma chérie.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Appliquée, elle me sonde efficacement et s'arrête dés qu'elle voit une goutte de sperme perler sur mon gland.
J'ai le pressentiment qu'elle me réserve d'autres surprises lorsqu'elle agite sous mes yeux avec un regard trouble un imposant gode noir d'une taille peu commune.
Elle le tient à deux mains en raison de son diamètre et l'applique contre ma rosette.
Devant la glace, je la vois peser de tout son poids en essayant sans succès de me pénétrer.
Enervée par cet échec, elle me dit d'une voix sèche :
- Tu es trop étroite pour un tel calibre, pousse pour m'aider à t'embrocher.
Elle attend que je lui obéisse et exerce simultanément une forte pression qui efface les plis de ma rosette. Elle finit par céder d'un coup en laissant s'engouffrer en moi cet énorme sexe.
Je pousse un cri qui surprend Natacha et l'arrête net dans sa course.
Puis de nouveau attentive, elle continue à me fouiller le ventre et tourne habilement le pal jusqu'à ce qu'il disparaisse en moi.
Plusieurs fois de suite, elle prend un plaisir pervers à le retirer lentement pour observer ma rosette se dérouler sur le gode et s'enrouler à nouveau lorsqu'elle l'enfonce dans mes reins.
Natacha me cloue sur la table, et m'écarte les cuisses pour essayer d'autres angles d'attaques.
Messaline insatiable, elle sonde longuement les moindres replis de mes entrailles.
- Je vais bientôt te faire décharger, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son vocabulaire m'excite au plus au point.
Elle redouble d'ardeur et me fait suffoquer de plaisir.
D'un poignet expert, elle décrit de larges rotations pour assouplir mes sphincters.
Je m'agite dans tous les sens et m'enfonce sans le vouloir toujours plus loin sur ce sexe monstrueux.
Soudain, elle me dit d'un air provoquant :
- Tu vas jouir maintenant ma belle, essaye de me résister si tu le peux.
Déchaînée, elle écarte les dentelles de mon slip ouvert et me pilonne sans arrêt les reins jusqu'à ce qu'elle voit mes cuisses trembler et mes pieds se raidir lui annoncer mon orgasme.
Dans le même temps, faisant appel à toute son expérience, elle me masturbe et me frotte habilement le gland avec son pouce jusqu'à ce que mon sperme jaillisse par saccades sur mon corset. Elle continue à me fouiller l'intestin tant que durent mes spasmes et mes gémissements.
Je récupère à peine de cet orgasme quand je l'entends me dire :
- J'utilise un dernier jouet pour finir de rôder ton oillet ma chérie.
Elle choisit à cet effet un objet impressionnant constitué de nombreux anneaux d'un diamètre croissant jusqu'à la racine.
Elle l'agite cyniquement devant mes yeux et me dit :
- Regarde avec quoi je vais t'ouvrir le cul maintenant.
Elle me le montre complaisamment et avec un certain sadisme le dépose un instant sur ma poitrine pour que j'évalue mieux son poids et sa circonférence.
Lorsque qu'elle l'empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les cuisses, étant toujours attachée à la table, écartelée et offerte à ses caprices.
Elle se place entre mes jambes et l'appuie franchement contre ma rondelle.
- C'est le plus gros que j'ai pu trouver ma belle et je vais te rentrer un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-elle à l'oreille.
Comme mon oillet n'est pas refermé, elle m'enfonce aisément le premier tiers.
Puis, elle force mes sphincters, très étonnée de les voir absorber des diamètres croissants.
La pression exercée sur ma glande interne fait dresser ma queue et Natacha me tire ainsi mes premiers gémissements de plaisir et de douleur qui la galvanise.
Poursuivant cette lente pénétration, je ressens une douleur lancinante dans le ventre qui s'amplifie au fur et à mesure que mes chairs s'écartent pour laisser le passage à ce monstre.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c'est avec excitation qu'elle pousse le dernier anneau dans ma grotte.
Elle reste fascinée de me voir engloutir un tel calibre.
Quant à moi, je me sens prise et possédée au-delà de mes espérances.
Avec stupeur, je me regarde dans la glace empalée sur cet énorme pieu qui sort de mon ventre.
- Te voilà bien prise ma chérie et je reste étonnée d'avoir pu rentrer une telle masse dans tes fesses, me dit-elle en souriant.
Pour diminuer la tension, je pousse pour me libérer des anneaux les plus gros en regrettant très vite mon initiative.
Avec sadisme, elle appuie fortement et à plusieurs reprises son genou sur le gode annelé en me transperçant les entrailles.
Insensible à mes cris de douleur, elle ne s'arrête que lorsqu'elle le voit enfoncer totalement en moi.
Chauffée à blanc, excitée de me voir en son pouvoir, elle me travaille la rondelle pour finir de l'assouplir.

Enfin, elle me détache les pieds et m'oblige à resserrer mes cuisses sur le pal pour achever ma dilatation. Je sens vivre en moi cet énorme sexe qui me provoque des contractions anales.
Sachant par avance ce qui m'attend, elle vérifie la solidité de mes autres liens.
Puis, elle me fourre dans la bouche une de ses culottes en dentelle et me bâillonne avec l'un de ses bas.
- Ecarte tes cuisses ma belle que je vois si tu es suffisamment dilatée.
Elle me retire le gode annelé par un mouvement de torsion qui le décolle de ma muqueuse et me laisse largement ouverte à ses autres fantasmes.
Puis, elle prend un spéculum et l'engage dans mon fourreau.
C'est donc aisément qu'elle m'injecte le contenu d'une grosse seringue remplie d'un gel lubrifiant et antalgique qui prévient toute douleur.
- C'est parfait, tu es prête ma chérie et tu vas pouvoir apprécier pleinement la suite, me dit-elle avec un regard torride après m'avoir rattaché solidement les pieds aux étriers.
Ecartelée, je la vois glisser ses doigts gantés dans mes fesses et les tourner longuement pour faire rentrer sa main peu à peu.
- Laisse toi aller, tu n'auras pas mal, m'affirme t-elle.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche en m'embrochant davantage sur son bras tendu qu'elle pousse résolument en moi.
Elle me soulève à plusieurs reprises, excitée de me voir empalée jusqu'à la hauteur de son poignet.
- Je vais te sucer la queue en même temps, tu verras comme c'est bon, dit-elle
Effectivement, je ne tarde pas à râler de plaisir devant son savoir faire diabolique.
Déterminée, elle profite de mon abandon pour introduire progressivement ses autres doigts.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue et godille dans mes fesses pour se frayer un passage dans mes entrailles.
Elle me laisse m'apaiser un instant avant de faire coulisser ses mains l'une contre l'autre et poursuivre sa progression.
Avec surprise, je la vois alternativement rentrer et sortir de mon fourreau avec une facilité déconcertante sans ressentir la moindre douleur grâce au gel antalgique
- Regarde toi dans la glace, mes deux mains sont plongées dans tes fesses, me dit-elle avec exaltation.
Je comprends le plaisir qu'elle éprouve à me violer de la sorte quand je vois ses poignets plantés dans mon ventre.
Un long moment, elle me regarde m'agiter en essayant de trouver une position plus confortable mais je ne fais que m'enfoncer involontairement toujours plus loin sur ses bras tendus.
Elle finit par retirer une main en me fouillant avec plus de précision avec l'autre.
Connaissant mes faiblesses, elle lèche mon frein jusqu'à ce que j'éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle avale ce flot de sperme et caresse mes bourses pour mieux me vider.
Natacha s'excite lorsqu'elle ressent sur son poignet mes fortes contractions anales qui témoignent de l'intensité de mon orgasme.
- Je meurs d'envie de te prendre en espérant que tu me serreras la queue avec autant de force, me dit-elle.
Puis, elle se retire lentement de moi brûlante de désir.
Elle suit des yeux une coulée de gel mêlée à mes secrétions qui sort de mes fesses, glisse lentement sur mes cuisses et s'infiltre insidieusement dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, s'exclame t-elle en m'épongeant.
Elle me libère de mes liens et nous allons prendre un repos bien mérité en nous asseyant sur un tabouret de bar pour siroter un cocktail.
En manque, Natacha sent monter le désir dans ses reins. Elle se cambre et dresse ses seins provoquant pour m'aguicher.
Elle me regarde avec un sourire amusé fixer ses cuisses longues et fermes qu'elle croise et décroise avec une lenteur calculée. Elle fait crisser ses bas et me laisse entrevoir par instant ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle s'ingénie à faire monter ma libido.
Elle relève lentement sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue bandant mollement sur ses bas.
Prends la vite, elle demande tes caresses, me dit-elle d'un regard suppliant.
Je la câline tendrement et la voit effectivement se dresser d'une manière impressionnante.
Ayant maintenant très envie que je la baise, elle m'entraîne sur le lit.
- Fais moi l'amour comme tu veux, je n'ai aucun tabou, me dit-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos et serre mon sexe entre ses cuisses en le frottant volontairement sur ses bas en nylon. La stimulation de mon gland sur le voile satiné me déclenche immédiatement une forte érection.
Son regard se trouble lorsqu'elle voit ma verge luisante de désir, tressauter et laisser échapper quelques filaments blanchâtres sur sa jarretière.
- Laisse moi m'enfoncer dans tes reins, lui dis-je en l'implorant du regard.
- Oui mon ange, prend moi vite maintenant car tu ne vas pas tarder à décharger.
Elle se met sur le ventre et rabat son sexe vers l'arrière.
J'ai ainsi une vue torride sur sa croupe rebondie, ses bourses et sa longue queue durcie qui sort de ses fesses.
Elle ouvre ses jambes pour me montrer son anneau palpitant qui s'élargit progressivement avec la montée de son désir.
Elle me fixe avec un regard de braise et se prépare à mon assaut.
Très impatiente, elle écarte ses fesses à deux mains.
- Viens me défoncer, j'ai le cul en feu, s'exclame t-elle.
Rien qu'à voir ses yeux suppliant et sa queue magnifique, je bande comme un malade.
J'écarte la fente de son slip ouvert et la pénètre avec fougue.
Une fois mon gland passé, je m'enfonce d'un coup jusqu'à la garde.
Elle succombe un instant sous l'assaut avant de reprendre le dessus.
Courtisane expérimentée, elle contracte son muscle intime, roule du bassin en tournoyant ses fesses sur ma verge.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d'explorer ses reins.
Puis, elle se lève et sort d'un tiroir quelques objets.
- Je reprends l'initiative et tu ne vas pas le regretter, m'annonce t-elle.
Elle me culbute sur le lit en riant et m'enfonce lentement une à une des boules anales pour amplifier mon plaisir ainsi qu'un anneau pénien destiné à me grossir la queue.
Ravie du résultat, elle prend ma verge en main et l'enfonce à nouveau dans son cul.
- Elle est plus grosse, je la sens mieux dans mes fesses, me dit-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle fait coulisser mon sexe marteau turgescent qui lui racle fortement l'intérieur.
Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir.
- Baise moi bien ma chérie, continue à me défoncer, va plus profond dans mes reins, embroche moi avec ton épée.
Je bande comme un fou et j'empoigne ses seins superbes qui jaillissent de sa guêpière.
Elle m'entend gémir et me dit :
- Ne bouge plus, laisse moi te pomper avec mon cul.
Pour cela, elle balance lentement sa croupe d'avant en arrière et comprime mon sexe à plusieurs reprises avec son muscle qui devient une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d'une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et m'arrache d'un coup les cinq boules anales placées dans mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir et déverse ma semence à gros bouillons dans son ventre.
Elle se relève, heureuse de m'avoir vidée à ce point.
Le désir lui taraude toujours les reins, elle ne pense plus qu'à jouir pour apaiser sa tension et décharger son trop plein de liqueur dans mon cul.
Pour cela, Natacha m'allonge sur le lit, un coussin sous le ventre et se glisse entre mes jambes.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées de chaque côté par les dentelles de mon slip ouvert, ainsi que mes bas attachés haut sur mes cuisses.
- Tu as encore l'oillet bien ouvert, s'exclame t-elle.
Excitée par ce spectacle, elle ne peut attendre plus longtemps et me chevauche telle une amazone.
- N'ayant pas fait l'amour depuis plusieurs semaines, j'ai des réserves de foutre aussi ne t'étonne pas si j'inonde ton petit cul, me sourie t-elle.
Un moment, elle se masturbe dans la raie de mes fesses pour bander plus fort.
Puis, elle les écarte à deux mains et m'encule lentement de tout son poids en écrasant mes seins sur le matelas.
Je m'ouvre progressivement au diamètre croissant de sa queue en frissonnant de plaisir.
Elle me baise sous tous les angles, sans relâche, et sort parfois de mon fourreau pour mieux me transpercer en se laissant retomber de tout ton poids.
Plaquée contre le lit très ferme, elle peut me poignarder profondément et reste par moment immobile pour éviter de décharger trop vite.
Je perçois alors mieux sa verge qui vit et tressaute de désir dans mes entrailles.
Elle me besogne à nouveau. J'entends avec excitation les claquements de son bas ventre sur ma croupe en sentant ses testicules me fouetter les fesses.
Enfin, elle me bascule sur le côté, remonte une de mes jambes et s'enfonce jusqu'à la racine du sexe.
- Je suis à fond dans ton cul ma chérie.
- Laisse moi te faire jouir, lui dis-je d'une voix étouffée.
Avant qu'elle ne me réponde, je lui presse sournoisement les bourses et lui serre la queue comme un étau avec mes muscles intimes.
J'entends Natacha râler de plaisir. Elle veut se dégager pour retarder l'orgasme, mais j'écrase son bassin avec mes fesses.
Son foutre fuse et s'écrase avec force dans mon fourreau. Je me sens envahir par un flot de sperme en laissant Natacha se vider en moi. Elle gémit lorsque je contracte à nouveau mes sphincters pour pomper le reste de sa semence.
Terrassée, elle me laisse lui enlever ses dernières forces.
Eperdue de reconnaissance, elle m'embrasse à pleine bouche et fouille mes dessous en me caressant.
J'ai lubrifié ton petit trou pour un moment, me chuchote t-elle avec satisfaction.
Après un repos bien mérité, insatiable, elle m'invite une fois encore à poursuivre nos ébats. Elle a une ultime gâterie à me faire découvrir.
Prends moi une dernière fois, me dit-elle d'une voix chaude et un regard prometteur.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour la pénétrer d'autant que sa rondelle est encore bien ouverte.
Pour se mettre en condition, elle applique un vibromasseur sur sa queue qui grossit rapidement en s'allongeant sur sa guêpière.
Puis, elle me demande de ne plus bouger pendant qu'elle s'encule avec le gode vibrant.
Avec surprise, je sens qu'il s'engouffre dans ses fesses.
Très vite, il me presse la queue et remonte lentement jusqu'à mon gland.
Une fois bien en place, elle actionne le moteur et guette mes réactions.
J'éprouve un plaisir indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur ma verge en déclenchant des vibrations sur mon frein.
Le plaisir est trop fort et je m'apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul et laisse moi t'achever, me dit- elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l'engin.
Elle se colle contre moi jusqu'à ce qu'elle sente mes convulsions. Je crie de plaisir en déchargeant dans son cul.
Elle me garde dans ses fesses en me donnant le gode vibrant.
Elle sait que je suis experte dans son maniement et m'implore du regard, impatiente de pouvoir libérer sa tension.
- Fais moi jouir aussi fort, me dit-t-elle.
J'effleure son frein avec le vibro. Très vite, je la vois s'agiter et fermer les yeux pour mieux apprécier ce massage.
Peu à peu, son désir monte crescendo et elle me supplie de conclure.
- Achève moi ma chérie, je n'en peux plus d'attendre, ma queue est tellement tendue qu'elle me fait mal.
Malgré son souffle court et son agitation, je retarde encore un moment sa délivrance avant de l'achever.
Puis, j'amplifie les vibrations sur son gland en lui massant le périnée et je m'enfonce plus à fond dans ses fesses.
Sentant le plaisir monter d'une manière irréversible, elle se tétanise avant d'exploser en libérant de longs et puissants jets de sperme qui éclaboussent sa guêpière.
Epuisées, nous décidons de passer la nuit ensemble.
Avant de m'endormir, je me couche sur le côté, collée contre Natacha.
Plusieurs fois dans la nuit, elle me viole dans mon sommeil en m'inondant de sperme.
Je n'ai pas le courage de réagir car cela me plait de m'abandonner en sentant couler sa semence en moi.
Au petit matin, Natacha s'étire en cambrant sa magnifique poitrine, les mamelons dressés.
Elle m'embrasse avec fougue et me dit :
Cette nuit, j'ai réalisé un de mes fantasmes. Je t'ai prise cinq fois quand tu dormais en déchargeant toutes mes réserves de foutre dans tes reins. A un point tel, que j'ai du t'enfoncer un plug car tu avais le cul tellement rempli de sperme qu'il s'échappait de tes fesses en se répandant sur les draps.
Heureuses de notre rencontre, nous prenons date pour nous revoir prochainement.

Sandra

 

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